France- Un perroquet volé, le voleur réclame une rançon à son propriétaire

Un drôle de kidnappeur. En France, précisément à Marseille, un homme a enlevé un perroquet et a ensuite exigé une rançon avant de le remettre à son propriétaire.

Un drôle de kidnappeur. En France, précisément à Marseille, un homme a enlevé un perroquet et a ensuite exigé une rançon avant de le remettre à son propriétaire.

C’est à croire que l’enlèvement des humains ne paie plus bien. France Bleu Provence, rapporte, ce lundi 02 mai, qu’un homme a volé le perroquet d’un habitant dans le XIIe arrondissement de Marseille (Bouches-du-Rhône).

Le propriétaire du perroquet qui remarque plus tard la disparition de son perroquet reçoit un appel d’un inconnu.

Ce dernier lui dit qu’il détient son perroquet, baptisé ‘‘coco’’.

Une rançon le Perroquet

Mais il réclame une rançon de  1 843 739,38 Franc CFA, soit 2000 euros. Il menace de tuer le Perroquet s’il ne reçoit pas l’argent.

France Bleu Provence  poursuit et confie que les deux hommes ont alors fixé un rendez-vous sur le parking d’un supermarché du XIIIe arrondissement de Marseille. Mais entre-temps, le propriétaire du Perroquet a alerté les forces de l’ordre et une opération d’intervention a été mise en place.

Le suspect s’est rendu sur place avec un couteau, mais sans le perroquet. Interpellé, il a fini par révéler où le volatile était détenu.

Le propriétaire a pu retrouver son ‘‘Coco’’ dans un état  sain et sauf.

Pendant ce temps, l’autre risque la prison pour enlèvement de perroquet.

Ça fait vraiment rire….

Manassé AGBOSSAGA

France: Un étudiant condamné pour avoir publié la photo d’un policier sur les réseaux sociaux

Un jeune homme de 23 ans a écopé de quatre mois de prison avec sursis pour avoir posté sur les réseaux sociaux une photographie d’un CRS, révèle La Provence. Il l’accusait d’avoir tué un jeune le 4 août, à Marseille (Bouches-du-Rhône).

Le jeune homme devra suivre un stage de citoyenneté. (illustration)
© ARCHIVES / OUEST-FRANCE Le jeune homme devra suivre un stage de citoyenneté. (illustration)

Persuadé de la culpabilité d’un policier après la mort d’un jeune de 19 ans le 4 août à Marseille (Bouches-du-Rhône), un étudiant avait trouvé une photographie d’un CRS et l’avait publié sur Snapchat. Il a été condamné pour « traitement illégal de données à caractère personnel relatives à la qualité de fonctionnaire ou de personne chargée d’une mission de service public », a révélé La Provence mercredi 11 août.

Il a écopé de quatre mois de prison avec sursis, d’une amende de 1 000 € et devra suivre un stage de citoyenneté.https:

Depuis hier un policier en poste à Marseille était menacé par des voyous sur les réseaux sociaux, à visage découvert suite à un contrôle. Un suspect a été interpellé ce matin. Chacun doit savoir que tout sera fait pour protéger nos forces de l’ordre. pic.twitter.com/tBu8U1UZRP— Gérald DARMANIN (@GDarmanin) August 6, 2021

Le ministre de l’Intérieur intervient

Dans son post, il avait accusé le policier d’avoir tué par balles un jeune homme. « Voilà la photo de la tête de condé qui a tiré sur le mec à la Belle-de-Mai qui est mort, avait écrit le mis en cause. Il m’a contrôlé avec des collègues, on était à moto, il […] fait le vaillant à Marseille. Partagez les gars. » Le Marseillais avait été interpellé vendredi 6 août. Une arrestation saluée par le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin sur Twitter.

Concernant les circonstances de la mort du jeune homme de 19 ans, une enquête a été confiée à l’Inspection générale de la police nationale pour l’usage de l’arme. Une autre pour « tentative d’homicide » a été confiée à la police judiciaire.

Ouest France