Sylvester Stallone en deuil : sa mère Jackie est morte à

Auprès de TMZ, la famille de Sylvester Stallone a annoncé la mort de sa mère Jackie à l’âge de

Auprès de TMZ, la famille de Sylvester Stallone a annoncé la mort de sa mère Jackie à l’âge de 98 ans. Une terrible nouvelle pour l’acteur, qu’elle a soutenu tout au long de sa carrière.

La famille Stallone est en deuil. Lundi 21 septembre, le site TMZ a annoncé la mort de Jackie, la mère de Sylvester Stallone, à l’âge de 98 ans. Une mort « récente » a affirmé la famille de l’astrologue, connue pour écumer depuis de nombreuses années les plateaux de télévision, mais aussi, les tapis rouges au côté de la star de Rambo.

Véritable touche à tout, Jackie Stallone n’a jamais hésité à utiliser la célébrité de son fils Sylvester pour elle aussi faire parler d’elle dans les médias. Souvent citée comme un exemple des ravages de la chirurgie esthétique, dont elle reconnaît avoir abusé, elle est aussi célèbre pour exercer la rumpologie, un art divinatoire qui consiste à lire l’avenir dans le sillon interfessier. Née en 1921 à Washington, Jackie Stallone, née Jacqueline Labofish, était la mère de trois enfants, Sylvester et Franck, nés de son mariage avec Francesco Stallone, et de l’actrice Toni d’Alto, qui en 2012 a succombé à un cancer.

Productrice d’une émission qui a inspiré une série Netflix

Véritable accro au sport, notamment à la fitness, Jackie Sylvester a été dans les années 1980 la première femme à avoir une émission de télévision quotidienne sur l’exercice et l’haltérophilie à Washington rapporte le Daily Mail, ce qui l’a poussée à ouvrir sa propre salle de sport réservée aux femmes, Barbella’s. Dans les années 1980, Jackie Stallone a également été la productrice de l’émission GLOW, qui mettait en scène du catch féminin à la télévision, et qui a fait l’objet d’une série sur Netflix. Sa carrière à la télévision, la mère de Sylvester Stallone l’a également faite dans l’émission britannique Celebrity Big Brother, durant deux saisons, où elle a notamment retrouvé son ex belle-fille, Brigitte Nielsen, qui a été mariée à l’acteur de Rocky de 1985 à 1987.

Source: Closer

Gims a été membre d’une secte islamiste : son témoignage édifiant

Pour ceux qui s’attendaient à un documentaire convenu, le film sur Gims, diffusé par Netflix, promet des révélations complètement inattendues sur l’artiste. Notamment qu’il a été membre d’une secte islamiste, il y a quinze ans.

Pour ceux qui s’attendaient à un documentaire convenu, le film sur Gims, diffusé par Netflix, promet des révélations complètement inattendues sur l’artiste. Notamment qu’il a été membre d’une secte islamiste, il y a quinze ans.

Jeudi 17 septembre, tous les fans de Gims vont se ruer sur Netflix, où un documentaire sur l’artiste est en ligne sur la plateforme de vidéo à la demande. Le but, évidemment, est de retracer l’ascension l’un des artistes les plus accomplis de notre époque moderne, multi-nominé aux Victoires de la musique quasiment chaque année. Mais Gandhi Djuna, son véritable nom, évoque aussi des passages plus intimes de sa viecomme sa conversion à l’Islam, en 2004. Alors, un peu perdu, notamment « fumeur de shit », comme il le dit lui-même, Gims trouve dans la religion des réponses« Quand je me suis converti, je n’avais plus envie de boire, de fumer, souligne-t-il. C’était un cadre ». Un cadre qu’il a fallu mettre en place, cependant, et Gims aurait pu tomber entre de mauvaises mains.

« Ça m’a fait flipper »

En 2005, Gims est déjà membre de la Sexion d’Assaut mais le collectif ne connaît pas encore le succès. Gandhi Djuna, quant à lui, « rejoint les « Frères du Tabligh », une secte islamiste », précise le documentaire Netflix. « Quand je suis rentré dans cette religion, j’étais à la portée de n’importe quel gourou, j’étais un cœur pur et quelqu’un de mal intentionné peut te prendre sous son aile et faire de toi une arme », explique le rappeur. A l’intérieur du groupe, Gims rencontre des gens, dont certains finiront en Irak. « Des gens qui étaient là à côté de moi, ils se sont suicidés en Irak », confirme l’artiste, sans se cacher (hormis derrière ses célèbres lunettes noires). « Ça, ça m’a fait flipper », ajoute-t-il. Gims parvient alors à quitter le mouvement, et reprend sa carrière dans la musique, qu’il avait mise entre parenthèses jusque-là. Pour le succès que l’on connaît.

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