Bénin-Justice : L’activiste Rémy Gnambakpo interpellé !

Rémy Gnamakpo n’est plus libre de ses mouvements. Connu pour ses audios et ses diatribes contre le régime de la Rupture, abondamment relayés sur les réseaux sociaux, le célèbre activiste a été interpellé dans la matinée de ce samedi 20 avril 2024, confie Le Potentiel.

Rémy Gnambakpo n’est plus libre de ses mouvements. Connu pour ses audios et ses diatribes contre le régime de la Rupture, abondamment relayés sur les réseaux sociaux, le célèbre activiste a été interpellé dans la matinée de ce samedi 20 avril 2024, confie Le Potentiel.

Il serait détenu à l’Office central de Répression de la Cybercriminalité (OCRC), ajoute la même source.

L’arrestation de Rémy Gnamakpo serait liée  à un commentaire sur les propos attribués  à Joseph Djogbénou sur sa prétendue candidature à la présidentielle de 2026.

Affaire à suivre !!!

M.A

Romaric Boco : l’audacieux militant du BR interpellé et placé en garde-à-vue

Romaric Boco n’est plus libre de ses mouvements depuis ce lundi 08 avril 2024. La nouvelle de l’arrestation du militant du Bloc républicain et conseiller municipal à Cotonou,

Romaric Boco n’est plus libre de ses mouvements depuis ce lundi 08 avril 2024. La nouvelle de l’arrestation du militant du Bloc républicain et conseiller municipal à Cotonou, ce jour, a été confirmée par Le Matinal.

Selon nos confrères, il a d’abord été interpellé dans la matinée de ce lundi, non loin de son domicile à Akpakpa, par plusieurs agents de la Police républicaine. Romaric Boco a ensuite été conduit à sa résidence où une perquisition aurait eu lieu. Il a plus tard été conduit à l’Office central de répression de la cybercriminalité (OCRC). Sur place, il lui sera notifié qu’il est poursuivi pour harcèlement et menace par voie électronique sur la personne du ministre du cadre de vie, des transports, José Tonato, indique Le Matinal.

Après son interpellation, Romaric Boco va comparaître devant le Procureur spécial de la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (Criet) dans les prochains jours . En attendant, il est placé en garde-à-vue.

un mouvancier pas comme les autres

Loin des raisons de son interpellation, il convient de souligner que Romaric Boco n’est pas un militant comme les autres. Franchise, honnêteté intellectuelle, et audace définissent, avant tout, ce jeune acteur politique.

S »il ne cache pas son appartenance au Bloc républicain, et par ricochet à la mouvance, il ne manque de dénoncer les péchés du régime de la Rupture. Très actif sur Facebook, sa page est énomément mise à contribution dans ce sens. A titre d’exemple, Romaric Boco  a utilisé ce canal pour dénoncer la suspension de l’huissier de justice dans le dossier de Togbin, promettant que ce dernier sera rétabli  à l’arrivée d’un nouveau président. « J’ai appelé à l’instant L’huissier dont la maison a été détruite à togbin par le gouvernement de Patrice TALON suite à sa suspension ce jour en conseil des ministres. Et je lui ai dit ceci : Si éventuellement il n’est pas réintégré avant 2026, alors qu’il sache en Mai 2026 lors du 1er conseil des ministres du nouveau président élu , il sera réintégré. Le peuple béninois va le réintégrer car aucune personne au monde ne mérite cela. Le BÉNIN mérite mieux », a t-il publié .

On peut également noter son message où il dénonce le manque de solidarité de la Rupture en ces temps de cherté de la vie. « Hier Dangote a fait don de 100 camions de entrées alimentaires aux populations démunies. Actuellement en France , les foyers modestes reçoivent 277 euro de chèque énergie pour leurs factures d’électricité. Ici même demi comprimé périmé de Paracétamol, ils ne peuvent pas te donner si tu es malade. C’est un seul Homme avec son petit clan qui s’est accaparé de tout et Pdt ce temps le peuple souffre, les femmes se font confisquer leurs bébés à la maternité pour manque de moyens #Yédoubi », a t-il dénoncé, la veille de son interpellation.

Reste donc désormais à savoir quel sera le sort de ce mouvancier qui n’a pas sa langue dans sa poche et qui n’hésite pas tirer à boulet rouges sur le chantre de la Rupture.

Manassé AGBOSSAGA

AzureCharge : De l’arnaque pure, l’OCRC appelle les populations à la vigilance

AzureCharge, de l’arnaque pure et dure. Ce n’est pas Kpakpato Medias qui le certifie, mais plutôt l’Office central de répression de la cybercriminalité (OCRC).

AzureCharge, de l’arnaque pure et dure. Ce n’est pas Kpakpato Medias qui le certifie, mais plutôt l’Office central de répression de la cybercriminalité (OCRC).

A travers une alerte publiée ce mercredi 27 mars 2024 sur ses canaux officiels, l’OCRC  soutient que  « AzureCharge est une « plateforme d’investissement frauduleuse » et « s’avère être une arnaque élaborée, similaire au récent dossier « CameoShell ».

Accessible via le lien https[:]//benin[.]ezxearn[.]com et via plusieurs applications mobiles (LoopEarn, Fast Earn, Rapid Earn), elle « promet des rémunérations exceptionnelles en très peu de temps et exploite de manière malveillante l’image du Chef de l’Etat ».

Face à cela, les populations sont invitées à la vigilance et sont priées de  « vérifier la légitimité des plateformes d’investissement ».

En attendant, l’OCRC rassure que ses « équipes ont effectué les investigations requises et prennent actuellement des mesures pour neutraliser l’activité de cette application frauduleuse sur notre territoire ».

M.A

Escroquerie en ligne : nouvelle stratégie des cybercriminels pour arnaquer les populations

Alerte ! L’Office central de répression de la cybercriminalité (OCRC) attire l’attention des populations sur un nouveau mode opératoire des cybercriminels.

Alerte ! L’Office central de répression de la cybercriminalité (OCRC) attire l’attention des populations sur un nouveau mode opératoire des cybercriminels.

La nouvelle trouvaille de ces individus sans foi ni loi consiste, cette fois-ci, à annoncer des propositions de fausses bourses d’études.

« lls créent notamment des groupes sur les réseaux sociaux WhatsApp, Telegram, Messenger, etc. auxquels ils invitent les nouveaux bacheliers à intégrer. Une fois membres, ces derniers se font proposer des bourses d’études dans divers pays étrangers. Ils sont alors appelés à payer des frais de constitution de dossiers, d’attes tation d’octroi de bourses, etc. Dès lors que les victimes paient ces divers frais exigés, elles sont simplement et purement retirées et bannies des groupes », explique l’OCRC.

Une fois que leurs victimes mordent à l’hameçon, les cybercriminels coupent alors tout contact avec elles.

Vigilance donc !!!

M.A

Escroquerie : L’OCRC alerte sur un nouveau mode opératoire des cybercriminels

Alerte ! A travers un message publié sur ses canaux officiels, l’Office central de répression de la cybercriminalité (OCRC) attire l’attention des populations sur un nouveau mode opératoire des cybercriminels.

Alerte ! A travers un message publié sur ses canaux officiels, l’Office central de répression de la cybercriminalité (OCRC) attire l’attention des populations sur un nouveau mode opératoire des cybercriminels.

Selon le message, l’appât consiste à créer des groupes sur les réseaux sociaux en se faisant passer pour des agents de la Loterie nationale du Bénin (LNB).

« Ils se font passer pour des agents de la Loterie Nationale du Bénin et créent des groupes sur les réseaux sociaux WHATSAPP ; FACEBOOK ; TELEGRAM ; MESSENGER, etc. et invitent leurs victimes à intégrer lesdits groupes. Une fois intégrées dans les groupes, ils leur demandent d’abord de s’inscrire en payant une somme de cinq mille (5.000) francs CFA et d’envoyer des informations sur leurs identités et quelques photos. Après l’inscription, les administrateurs des groupes invitent ensuite les victimes à jouer des jeux de divers montants et leurs proposent des numéros soi-disant ‘’gagnant au Loto’’. Ils imposent aux victimes de jouer à les numéros gagnants à leur place donc ces dernières doivent envoyer une nouvelle somme d’argent. Les cybercriminels patientent alors et attendent que la vraie Loterie Nationale du Bénin proclame les résultats des jeux en cours. Une fois ces résultats proclamés, ils contactent les victimes qui ont joué et leur font croire qu’ils ont gagné un gros lot. Mais pour recevoir le lot, la victime doit encore envoyer une forte somme d’argent aux cybercriminels (administrateurs des groupes). Quand les victimes envoient ladite somme d’argent dans l’espoir d’obtenir leurs lots, enfin les cybercriminels les bloquent et coupent tout contact avec leurs proies », explique le message d’alerte.

L’OCRC assure que ce « nouveau mode opératoire » des cybercriminels  « fait assez de victimes actuellement » et appelle les populations à la vigilance.

M.A.

 

Cybercriminalité : L’OCRC va se rapprocher de sa clientèle dans le septentrion

Mauvaise nouvelle pour les cybercriminels exerçant depuis le nord Bénin.  Pour cause, l’Office Central de la Répression de la Cybercriminalité (OCRC) arrive dans le Borgou.

Mauvaise nouvelle pour les cybercriminels exerçant depuis le nord Bénin.  Pour cause, l’Office Central de la Répression de la Cybercriminalité (OCRC) arrive dans le Borgou.

Selon les informations rapportées par Fraternité Fm, la police de l’Internet est en train de prendre quartier dans la troisième ville à statut particulier du Bénin. La Direction Départementale de la Police Républicaine du Borgou pourrait accueillir l’équipe de l’OCRC.

Gayman résidant dans Parakou et environs, vous êtes donc prévenus !!!

M.A

Bénin : Plainte contre Bertin Koovi

Le président de l’Alliance Iroko et membre du Bloc Républicain bientôt devant la justice de son pays. Pour cause, une plainte a été déposée, depuis mi-novembre à l’Office central de répression de la cybercriminalité (OCRC) contre Bertin Koovi.

Le président de l’Alliance Iroko et membre du Bloc Républicain bientôt devant la justice de son pays. Pour cause, une plainte a été déposée, depuis mi-novembre à l’Office central de répression de la cybercriminalité (OCRC) contre Bertin Koovi.

L’auteur de la plainte l’accuse de « calomnie, diffamation, injures publiques par voie électronique ».

Absent du territoire national, Bertin Koovi a,  peut-être, du souci à se faire.

M.A

Deux personnes interpelées pour publication de fausse information annonçant l’entrée des djihadistes au Bénin

Il y a quelques jours une rumeur annonçait l’entrée des Djihadistes au Bénin. L’affaire a vite fait de créer la psychose dans le rang de la population, avant le démenti formel de Police républicaine à travers un communiqué en date du 31 mai signé de l’Inspecteur général Soumaïla Yaya.

Il y a quelques jours une rumeur annonçait l’entrée des Djihadistes au Bénin. L’affaire a vite fait de créer la psychose dans le rang de la population, avant le démenti formel de Police républicaine à travers un communiqué en date du 31 mai signé de l’Inspecteur général Soumaïla Yaya.

Et aux dernières nouvelles, les auteurs de cette rumeur ne sont plus libres de leurs mouvements. Selon les informations rapportées par Frissons Radio, deux personnes ont été arrêtées dans cette affaire.

D’après la même source, l’Office central de répression de la cybercriminalité (OCRC) a interpelé  le premier le 31 mai, tandis que le second a été interpellé le 1er juin. L’un des deux mis en cause serait un élu local.

Ils ont été présentés au procureur de la république près le tribunal de Cotonou. Après leur audition, ils ont été placés en détention provisoire en attendant leur jugement le 26 juin au tribunal de Cotonou pour relai de fausse information.

Manassé AGBOSSAGA

Bénin- Six présumés cybercriminels déposés en prison

Encore des présumés cybercriminels déposés en prison au Bénin. Ce jeudi 28 avril 2022, six présumés cybercriminels ont été placés sous mandat de dépôt.

Encore des présumés cybercriminels déposés en prison au Bénin. Ce jeudi 28 avril 2022, six présumés cybercriminels ont été placés sous mandat de dépôt.

Poursuivis pour des faits d’escroquerie en ligne,  prêt fictif  et don imaginaire via internet, les six présumés cybercriminels ont été présentés au Procureur spécial de la cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (Criet), Mario Mètonou, ce jeudi.

C’est après leur audition, qu’ils ont été déposés en prison en attendant leur procès.

Les mis en cause ont été conduits à la Criet par l’Office central de répression de la cybercriminalité (OCRC), le mardi 26 avril dernier.

Manassé AGBOSSAGA