« À peine, une vingtaine anime et fait feu de tout bois dans cet hémicycle », Angela Kpeidja critique les députés de la 9è législature

Angela Kpeidja n’est pas admirative du travail abattu par la 9è législature. Réagissant à une critique faite à l’endroit des 29 femmes parlementaires, la journaliste-activiste a plutôt fait remarquer qu' »à peine, une vingtaine anime et fait feu de tout bois » au Parlement.

Angela Kpeidja n’est pas admirative du travail abattu par la 9è législature. Réagissant à une critique faite à l’endroit des 29 femmes parlementaires, la journaliste-activiste a plutôt fait remarquer qu' »à peine, une vingtaine anime et fait feu de tout bois » au Parlement. Lire ci-dessous son développement. 

« J’ai entendu dire sur une radio hier que les 29 dames élues députées à l’Assemblée nationale brillent par leur silence! Dans le dossier présenté sur la radio en question, tous les intervenants ont repris en chœur ce même constat.

Je voudrais cependant faire remarquer que les femmes ne sont pas les seules absentes au chapitre des débats à l’hémicycle au 229 !

Sur les 109 députés que compte l’Assemblée nationale du Bénin, combien participe en réalité aux débats ?

Combien sont -ils à apprécier réellement les enjeux de tel ou tel projet de loi ? À peine, une vingtaine anime et fait feu de tout bois dans cet hémicycle .

Ce sont donc les profils de façon générale de nos députés qui posent problème. Au moment de les positionner sur les listes électorales, est-ce leurs compétences, leurs convictions ou leur charisme qui nous préoccupent ou les intérêts partisans ?

Quant aux femmes béninoises, les plus appréciées sont les plus hypocrites, celles qui sont soumises, capables d’exprimer le contraire de leur vécu. Jouer les épouses exemplaires et fidèles quand bien même tout est pourri en dessous est la norme ici au 229!

Alors ne vous plaignez pas !!!

Nos députés femmes sont à l’image des autres élus hommes mais en plus, elles sont à la place où vous aimez nous voir.

Dommage ! »

#AngelaKpeidja #naiepaspeur #Brisdesilence

Après le rejet de la révision de la constitution : l’UP le Renouveau prend un engagement

L’Union progressiste le renouveau réagit après le rejet de la révision de la constitution. A travers un communiqué signé de son secrétaire général, Gérard Gbénonchi, le parti prend acte du verdict et s’engage à faire ..

L’Union progressiste le renouveau réagit après le rejet de la révision de la constitution. A travers un communiqué signé de son secrétaire général, Gérard Gbénonchi, le parti prend acte du verdict et s’engage à faire « triompher la politique vertueuse de la protection durable de l’ensemble de la population sur les intérêts immédiats de groupes et de classes ». Lire ci-dessous le communiqué.

Communiqué de presse 

Avec la majorité du peuple, l’extrême majorité des députés ont jugé pertinent et recevable l’initiative du député Assan SEIBOU, président du groupe parlementaire Bloc Républicain, membre de la majorité parlementaire.

L’Union progressiste Le renouveau salue avec force, la solidarité stratégique entre les deux groupes de la majorité parlementaire et la solidité politique des 47 députés de son groupe parlementaire.

Chacun savait que le résultat de l’examen à l’Assemblée nationale ne pouvait être différent de celui consacré par le blocage de la minorité circonstantiellement élargie puisque, dès le départ, le parti Les

Démocrates a rejeté, a priori, toute discussion en vue d’obtenir un consensus politique sur une proposition dont le seul but est d’améliorer notre système électoral et le rendre plus cohérent avec le régime politique.

Avec l’Union Progressiste le Renouveau, le peuple en prend acte.

En ces circonstances où sur une proposition de modification technique de la Constitution, il y a davantage d’approbation que de rejet, la ligne choisie par le peuple sera renforcée, protégée et sauvegardée.

Le système partisan ne sera pas désossé et vidé de son contenu.

L’Union Progressiste le Renouveau prendra toutes ses responsabilités afin que triomphe la politique vertueuse de la protection durable de l’ensemble de la population sur les intérêts immédiats de groupes et de classes.

Fait à Cotonou, le 02 mars 2024

Le Secrétaire Général du parti

Gérard GBÉNONCHI

Bénin : Les préalables avant toute révision de la constitution, selon Richard Boni Ouorou (Tribune)

Aujourd’hui, ce qui se joue est énorme. Si révision il doit y avoir, celle-ci doit tenir compte des enjeux de notre époque et participer non seulement à renforcer les droits des citoyens, à stabiliser la vie politique, à organiser notre société, à anticiper sur les défis à venir et à orienter notre économie.

Pour la paix de demain.

Terrien,ne,s cher,e,s libéraux.

Je me suis récemment insurgé contre le fait que la révision constitutionnelle à venir ne reflète pas les intérêts du peuple et soit l’œuvre d’un petit groupe pour sauvegarder des intérêts partisans.

Aujourd’hui, ce qui se joue est énorme. Si révision il doit y avoir, celle-ci doit tenir compte des enjeux de notre époque et participer non seulement à renforcer les droits des citoyens, à stabiliser la vie politique, à organiser notre société, à anticiper sur les défis à venir et à orienter notre économie.

Dans cette perspective, il est souhaitable que le débat soit ouvert à l’ensemble des Béninois et Béninoises, que le contenu soit discuté dans nos villes, nos villages et dans tous nos hameaux. À cet effet, il est de la responsabilité de l’État d’organiser un plan de communication élargi à la communauté locale pour vulgariser et débattre de son contenu.

Je voudrais, que cette fois encore, et au regard du passé où la première révision avait été rejetée sans qu’on ait pris la peine de connaître son contenu ni de débattre de celui-ci, il s’est avéré après que si le contenu avait été lu et compris, il y était inclus le mandat unique et certaines innovations et que le chef d’État actuel n’aurait pas brigué un second mandat.

Il est donc important que ce soit le peuple qui exprime cette fois sa souveraineté. Nous devons nous assurer que chaque citoyen soit informé et puisse participer activement au débat sur le contenu, pour que la future révision constitutionnelle soit véritablement le fruit d’un réel consensus populaire.

Nous devons éviter que ce soit quelques politiciens et des médias versatiles, qui nous impose la réflexion et nous représente.

Notre peuple est assez mûr pour débattre de son destin et décider de son avenir.

Je suis clairement contre toute révision opportuniste, mais j’insiste sur le fait que nous ne pouvons juger de l’opportunisme de la révision sans en connaître son contenu et que nous sommes assez éduqués pour lire et comprendre par nous-mêmes.

Je n’ai pas de représentants!

Excellente journée et Prenez soin de vous.

Issa Richard Boni Ouorou ❤️

Intervention militaire de la Cédeao au Niger : Voici pourquoi le Gouvernement du Bénin n’envisage pas de consulter le Parlement

Le porte-parole du Gouvernement du Bénin se prononce à nouveau sur la crise nigérienne. Au cours d’une émission spéciale dénommée ‘‘Focus’’, diffusée mercredi 16 août 2023, il a réitéré l’engagement du Bénin à œuvrer aux côtés de la Cédeao pour le rétablissement du président Bazoum dans ses fonctions et au retour de l’ordre constitutionnel.

Le porte-parole du Gouvernement du Bénin se prononce à nouveau sur la crise nigérienne. Au cours d’une émission spéciale dénommée ‘‘Focus’’, diffusée mercredi 16 août 2023, il a réitéré l’engagement du Bénin à œuvrer aux côtés de la Cédeao pour le rétablissement du président Bazoum dans ses fonctions et au retour de l’ordre constitutionnel.

 Sur l’émission ‘‘Focus’’, Wilfried Léandre Houngbédji a souligné que toutes les cartes restent sur la table pour contraindre les putschistes à libérer le président démocratiquement élu, Mohamed Bazoum, retenu au palais présidentiel depuis le 26 juillet. Le porte-parole du gouvernement a toutefois fait savoir que le dialogue reste l’option privilégiée de la Cédeao pour un règlement pacifique de la crise. Il a notamment fait remarquer que l’organisation continue d’appeler au dialogue malgré l’expiration de l’ultimatum donné aux putschistes.

En cas d’échec des négociations, il n’a pas exclu le recours à la force pour rétablir Mohamed Bazoum dans ses fonctions.

Wilfried Léandre Gougbédji  explique pourquoi le Parlement ne sera pas consulté

 Et sur la question d’une intervention militaire, notamment la participation des Forces armées béninoises, le porte-parole du Gouvernement a laissé entendre que le Gouvernement n’envisage pas de consulter le Parlement.

Il a fait remarquer qu’il « ne s’agit pas d’une déclaration de guerre contre le Niger ». Le porte-parole du gouvernement fait plutôt savoir que le Bénin se veut solidaire des décisions prises par la Cédeao, évoquant une «   dynamique sous-régionale ».

« (…) il ne s’agit pas de décision contre le peuple nigérien et comme certains ont pu le dire, oui la Cédeao va en guerre, le Bénin va en guerre contre le Niger. Je dis tout de suite, le Bénin n’est pas en guerre contre le Niger. Il ne s’agit pas et il ne s’agira jamais d’une guerre du Bénin contre le peuple frère du Niger. Le peuple frère du Bénin n’a rien contre le peuple frère du Niger. Le peuple béninois et le peuple nigérien sont des peuples frères. Donc, le Bénin ne déclare pas la guerre au Niger. Il s’agit d’une action envisagée par la Cédeao en désespoir de cause pour demander aux militaires de restaurer l’ordre démocratique. Dans la logique de la Cédeao, il ne s’agit nullement d’une guerre contre les populations », a-t-il clarifié.

Wilfried Léandre Houngbédji soutient que la loi n’oblige pas le gouvernement à consulter les députés dans ce contexte.

Pour lui, il n’est point besoin d’aller s’expliquer  à l’Assemblée nationale sur une intervention militaire de la Cédeao au Niger et une probable participation des troupes béninoises.

Louis Vlavonou et les siens apprécieront !

Manassé AGBOSSAGA

La Cour constitutionnelle demande à Yahouédéou de libérer gentiment son siège pour l’occupant titulaire, lire la décision

La Cour constitutionnelle a autorisé, vendredi 12 mai 2023, le retour de Hervé Hehomey au parlement après son départ du gouvernement suite au remaniement ministériel.  

La Cour constitutionnelle a autorisé, vendredi 12 mai 2023, le retour de Hervé Hehomey au parlement après son départ du gouvernement suite au remaniement ministériel.  Intégralité de la décision.

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Cour constitutionnelle : Yahouédéou peut déjà commencer à ramasser ses affaires, le rapporteur favorable au retour de Hehomey au parlement.

Bonne nouvelle pour Hervé Hehomey !   Le rapporteur de la cour constitutionnelle est favorable à son retour au parlement.

Bonne nouvelle pour Hervé Hehomey !  Le rapporteur de la cour constitutionnelle est favorable à son retour au parlement.

Selon les informations rapportées par Bip Radio, le conseiller rapporteur dans le dossier Sylvain Nouwatin a proposé, ce jeudi 11 mai, à la cour constitutionnelle de déclarer contraire à la constitution la lettre Nº232/AN/PT/SP-C du président de l’Assemblée Nationale envoyée à l’ancien ministre Hervé Hehomey.

En attendant le verdict final, Janvier Yahoudéou peut déjà commencer à ramasser ses affaires au parlement.

M.A

« Le vrai débat est revenu à l’assemblée nationale. Ça les irrite », selon Gafari Adéchokan, député LD

Au Bénin, l’opposition a signé son come-back à l’Assemblée nationale après 04 ans de Parlement monocolore. A la faveur des législatives du 08 janvier dernier, 28 députés  du parti Les Démocrates siègent aux côtés des élus de la mouvance présidentielle.

Au Bénin, l’opposition a signé son come-back à l’Assemblée nationale après 04 ans de Parlement monocolore. A la faveur des législatives du 08 janvier dernier, 28 députés  du parti Les Démocrates siègent aux côtés des élus de la mouvance présidentielle.

Et après leur installation le 12 février dernier, l’honorable Gafari Adéchokan soutient que le débat politique est désormais de retour à l’Assemblée nationale avec la présence de l’opposition.

« Le vrai débat est revenu à l’Assemblée nationale… Les problèmes poignants sont évoqués et dénoncés. Si ça ne va pas, nous levons la voix. Nous dénonçons au sein de l’assemblée nationale », a déclaré le secrétaire national à la jeunesse, aux loisirs et aux sports du parti Les Démocrates, face aux jeunes du 03è arrondissement de Cotonou, le dimanche dernier.

Le député de la 15è circonscription électorale a ensuite laissé entendre que les députés de la mouvance, habitués au monologue, se sentent mal à l’aise par cet autre son de cloche.

« Ça les irrite », a semblé ironiser Gafari Adéchokan.

Il a reconnu que le rôle joué par les députés de l’opposition « n’est pas facile », mais est nécessaire après 04 ans d’expérience de parlement monocolore.

« (…) c’est vrai. Ce n’est pas facile. Ça les irrite. Mais, notre rôle, c’est d’évoquer ce qui ne va pas pour qu’on puisse corriger. Nous avons besoin d’apporter la voix du peuple pour corriger les mauvaises habitudes adoptées au cours de la 8è législature ».

M.A

Nicaise Fagnon laisse la mairie de Dassa pour le Parlement

« Le mandat de député est incompatible avec l’exercice de tout autre mandat électif qui ne procède pas du mandat parlementaire ». Conformément à cette disposition de l’article 156 de la loi n°2019-43  du 15 novembre 2019 portant code électoral, Nicaise Fagnon a démissionné du conseil communal de Dassa-Zoumè. Il a officiellement  rendu le tablier le vendredi 10 mars dernier.

« Le mandat de député est incompatible avec l’exercice de tout autre mandat électif qui ne procède pas du mandat parlementaire ». Conformément à cette disposition de l’article 156 de la loi n°2019-43  du 15 novembre 2019 portant code électoral, Nicaise Fagnon a démissionné du conseil communal de Dassa-Zoumè. Il a officiellement  rendu le tablier le vendredi 10 mars dernier.

Elu député pour le compte de la 9è circonscription électorale à l’issue des législatives du 08 janvier dernier, le désormais ex maire opte ainsi pour le Parlement.

L’honorable Nicaise Fagnon cède son fauteuil de conseiller communal à Léon Akpo, enseignant à la retraite  et ancien chef d’arrondissement central de Dassa.

Qui succédera à l’ancien ministre à la tête de la mairie de Dassa-Zoumè ?

Manassé AGBOSSAGA

Australie : Un député fait sa demande en mariage au Parlement

Quand l’amour se déplace au Parlement. En Australie, le député, Nathan Lambert a fait sa demande en mariage à sa petite amie, Noah Elrich, dans les locaux de l’institution.

Quand l’amour se déplace au Parlement. En Australie, le député, Nathan Lambert a fait sa demande en mariage à sa petite amie, Noah Elrich, dans les locaux de l’institution.

Fait rare, pour être signalé. C’était la première prise de parole du député à l’Hémicycle. Devant ses collègues, Nathan Lambert a, loin des sujets liés à la nation, s’est adressé à sa compagne. Il a demandé à  Noah Elrich, d’être sa future épouse.

«  Je pense que nous devrions nous marier…Je ne sortirai pas de bague maintenant, car je n’ai pas le droit d’avoir d’accessoires. Mais elle est actuellement en sécurité et je prévois en fait de le sortir de manière très romantique ce soir, dans les dix minutes entre les enfants qui s’endorment et nous qui nous effondrons d’épuisement », a déclaré Nathan Lambert face à ses collègues, rapporte 20minutes.fr. Loin de provoquer l’ire de ses collègues, ses propos ont suscité une salve d’applaudissements.

Dans un entretien accordé au Guardian, Nathan Lambert a confié que sa compagne « a dit oui » à sa demande. Il a ajouté qu’ils ont trinqué avec des coupes de champagne, après avoir mis ses deux enfants au lit.

Revenant sur les raisons de son acte, l’homme politique explique qu’il n’avait jamais pris le temps de faire sa demande, avançant qu’ « Il n’y avait pas de vacances françaises en vue.

M.A

Assemblée nationale : le journaliste André Dossa nommé !

Firmin Gangbé s’en va, André Dossa arrive.  Le Rédacteur en Chef de la télévision privée Canal 3 Bénin vient d’être nommé Directeur des Services de l’Information et de la Communication (DSIC) de l’Assemblée Nationale du Bénin.

Firmin Gangbé s’en va, André Dossa arrive.  Le Rédacteur en Chef de la télévision privée Canal 3 Bénin vient d’être.

André Dossa est désormais le ‘‘boss’’ des quatre services de ladite direction, à savoir : le Service de la Radio Hémicycle, le Service de la Télévision Hémicycle, le Service Technique et le Service de la presse écrite, développement et coopération.

La direction des Services de l’Information et de la Communication (DSIC) a vu le jour après la modification du règlement intérieur de l’assemblée nationale par les députés de la 8è législature.

M.A