El Farouk Soumanou du parti FCBE: « Personne parmi nous n’a trahi Boni Yayi…»

Le deuxième adjoint au Secrétaire Exécutif National du parti FCBE était ce dimanche 25 février 2024 l’invité de l’émission  »L’ Entretien du Dimanche »de la chaîne de Télévision Eden TV. El Farouk Soumanou puisque c’est lui qu’il s’agit a réagi sur les différents sujets d’actualité dont la révision de la constitution et la relecture du code électoral. Il est revenu également sur la crise qui a secoué la formation politique au logo cauris après les législatives de 2019 occasionnant le départ de Boni Yayi le leader principal. Selon El Farouk

Le deuxième adjoint au Secrétaire Exécutif National du parti FCBE était ce dimanche 25 février 2024 l’invité de l’émission  »L’ Entretien du Dimanche »de la chaîne de Télévision Eden TV. El Farouk Soumanou puisque c’est lui qu’il s’agit a réagi sur les différents sujets d’actualité dont la révision de la constitution et la relecture du code électoral. Il est revenu également sur la crise qui a secoué la formation politique au logo cauris après les législatives de 2019 occasionnant le départ de Boni Yayi le leader principal. Selon El Farouk Soumanou l’ancien président de la République n’a jamais été trahi par qui que ce soit. Lire son propos explicatif.

El Farouk Soumanou: « Je ne crois pas que le président Boni Yayi puisse dire qu’on a volé son parti. Ce que nous avons fait, c’est cela qui devrait faire école. Nous avons géré pendant 10 ans le pouvoir avec Boni Yayi et lorsque nous avons perdu le pouvoir en 2016, nous avons clairement compris que notre place est dans l’opposition. Nous avons aidé le président Boni Yayi à transformer en 2018 l’alliance que nous étions en parti politique. Pendant ce temps, plusieurs des nôtres ont déjà rejoint le président Patrice Talon. Plusieurs ministres du président Boni Yayi sont avec Patrice Talon soit dans son gouvernement soit au parlement dans ses blocs. Nous avions en 2019, lorsque la rupture a choisi de nous empêcher d’aller aux élections et d’enfermer notre président d’honneur Boni Yayi pendant 52 jours à son domicile de prendre nos responsabilités pour éviter à la FCBE le sort de la disparition comme l’UBF et tous les autres partis qui ont soutenu des présidents en exercice et qui ont disparu après. Je vous rappelle que lorsque le président Boni Yayi était revenu et que nous nous sommes rendus en son domicile, il nous a félicité, tous les amis étaient venus et nous devons aller aux élections communales en 2020. C’est dans la confection des listes qu’il y a eu des divergences et contre toute attente Boni Yayi nous a envoyé sa démission. Donc personne parmi nous ne l’a trahi. Nous avons choisi préserver le parti. Ceux qui voulaient le lâcher sont partis à l’aube de la rupture.»

Extrait de l’émission l’Entretien du dimanche du 25 février 2024

Élections Générales de 2026 : Paul Hounkpé parle des préalables pour un passage en douceur

Le parti FCBE a tenu ce samedi 15 juillet sa deuxième session ordinaire de l’année 2023 à Parakou. Dans son allocution d’ouverture, le Secrétaire Exécutif Paul Hounkpé a levé un coin de voile sur les préalables à régler afin que le Bénin puisse passer en douceur la période des élections générales de 2026.

Le parti FCBE a tenu ce samedi 15 juillet sa deuxième session ordinaire de l’année 2023 à Parakou. Dans son allocution d’ouverture, le Secrétaire Exécutif National Paul Hounkpé a levé un coin de voile sur les préalables à régler afin que le Bénin puisse passer en douceur la période des élections générales de 2026.

Les institutions ayant en charge l’organisation des élections ainsi que les partis politiques doivent se retrouver pour clarifier un certain nombre de points avant 2026, année des élections générales. Pour Paul Hounkpé, Secrétaire Exécutif National du parti FCBE, il s’agit d’un préalable très important si l’on tient à passer en douceur cette période.

Dans son allocution d’ouverture de la deuxième session ordinaire de l’année 2023 du parti au logo cauris qui s’est déroulée à Parakou ce samedi, l’ancien ministre de la culture du président Boni Yayi l’a fait savoir et a invité toutes les Forces vives de la Nation Béninoise a œuvré pour son effectivité.

En effet depuis la mise en œuvre de la réforme du système partisan, les différentes élections organisées ont été émaillées de violences et des arrestations de leaders politiques dont certains sont encore en détention. La cause principale, la différence des interprétations que font les acteurs politiques et les responsables des institutions chargées des élections des textes qui régissent l’organisation de ces dernières.

Les élections générales de 2026 étant si loin et si proche, il faut obligatoirement prendre des dispositions pour éviter que les scénarios de 2019 et 2021 se répètent. L’unique solution pour y arriver aux yeux du premier responsable du parti FCBE, c’est de se retrouver entre toutes les parties impliquées dans le processus électoral pour que  les conditions de participation auxdites échéances soient clairement expliquées. Il n’est pas question d’attendre l’année électorale pour le faire.

« Entre les députés élus en 2023 et ceux qui seront élus en 2026, qui vont parrainer les candidats à l’élection présidentielle de 2026? Le Chef de l’Etat, le président Patrice Talon peut-il être encore candidat 2026? », s’interrogent Paul Hounkpé.

C’est à la résolution de ces préalables que l’homme de Bopa invite toute la classe politique. Paul Hounkpé persiste que l’heure ne devrait pas être à des confrontations et à des attaques sous n’importe quelle forme.

La résolution des préalables cités est désormais le combat de Paul Hounkpé et des militants du parti FCBE a-t-il rassuré, avant d’inviter toutes les Forces vives de la nation à s’inscrire dans la même dynamique.

Par Christophe KPOSSINOU

Séisme de magnitude 7 au parti FcBe ! Démission de Sylvanus Aïssi et plusieurs militants

Vent de démission à la Force cauris pour un Bénin émergent (FcBe). Sylvanus Aïssi et plusieurs militants ont adressé leur démission au bureau exécutif national du parti, le 19 avril dernier. Et à travers une déclaration de presse, ce mardi 9 mai 2023, les démissionnaires ont levé un coin de voile sur les raisons de leur divorce avec Paul Hounkpè, sans évoquer leur prochaine destination. Lire la déclaration lue par le candidat titulaire du parti FcBe dans la 16è circonscription électorale pour plus de détails.

Vent de démission à la Force cauris pour un Bénin émergent (FcBe). Sylvanus Aïssi et plusieurs militants ont adressé leur démission au bureau exécutif national du parti, le 19 avril dernier. Et à travers une déclaration de presse, ce mardi 9 mai 2023 à Cotonou, les démissionnaires ont levé un coin de voile sur les raisons de leur divorce avec Paul Hounkpè, sans toutefois évoquer leur prochaine destination. Lire ci-dessous la déclaration lue par le candidat titulaire du parti FcBe dans la 16è circonscription électorale, ainsi que leur lettre de démission collective pour plus de détails.

DECLARATION DE PRESSE : DEMISSION DU PARTI FCBE

Camarades de luttes

Sympathisants et acteurs politiques,

Au sortir des législatives de janvier 2023 auxquelles le parti Fcbe a activement pris part, un point a été fait dans la 16ème circonscription électorale. Nous avons passé au scanner, notre participation, nos stratégies en rapport avec les moyens. C’est le lieu de remercier une fois encore, tous ceux qui se sont engagés à nos côtés, pour réaliser ce gros effort, même si nos résultats n’ont pas été à la hauteur de l’espoir suscité.

Sylvanus Aïssi

De l’analyse de nos résultats et de tout ce qui y a concouru, on retient entre autres, que malgré la bonne foi du Secrétaire Exécutif National Paul Hounkpè, ses efforts sont noyés dans des agissements très peu orthodoxes, de certains de ses collaborateurs. Ce qui a plombé les efforts de toute l’équipe de campagnes, aussi bien dans la 16ème circonscription électorale, que dans bien d’autres.

Tirant leçon de tout ceci, les militants et sympathisants de Sylvanus Aissi, Viho Togbo Pierre, Eric Aitchémé, Edwige Kossouho et Falilatou Afo Ramanou, ont décidé que nous démissionnons du parti Force Cauris pour un Bénin Emergent, afin de pouvoir donner une autre vision à notre combat politique pour le bien des populations.

Respectueux des principes démocratiques et des bases du militantisme, nous avons donc soumis notre démission collective, au bureau exécutif du parti FCBE, le 19 avril dernier. En conséquence, nous, Sylvanus Aissi, Viho Togbo Pierre, Eric Aitchémé, Edwige Kossouho et Falilatou Afo Ramanou, ne sommes plus membres du parti Force Cauris pour un Bénin Emergent.

Dans les prochains jours, nous déciderons, ensemble avec les militants à la base, la nouvelle orientation que nous comptons donner à notre combat politique, et dans quel cadre légal ceci pourra s’exécuter.

Pour l’heure, nous appelons les uns et les autres, au calme et à la sérénité. Pour ceux qui brulent d’impatience, nous disons que c’est pour bientôt.

Vive le Bénin !

Je vous remercie.

Lettre de démission 

CamScanner 05-08-2023 15.13

 

« Mes larmes pour Kaobagou », Abdoulazize Brisso Yarou

Abdoulazize Brisso Yarou, Ancien ministre de et membre du parti Force cauris pour un Bénin émergent (FcBe) réagit après l’attaque terroriste à Kérou, ayant fait plusieurs morts dans le rang des civils. « Mes larmes pour Kaobagou »,

Abdoulazize Brisso Yarou, ancien ministre et membre du parti Force cauris pour un Bénin émergent (FcBe) réagit après l’attaque terroriste à Kérou, ayant fait plusieurs morts dans le rang des civils. « Mes larmes pour Kaobagou », écrit-il, tout attristé pour présenter ses condoléances aux familles éplorées. Lire son message.

 « Mes larmes pour Kaobagou

 J’ai appris le cœur meurtri, l’ignoble tuerie de nos frères par des assaillants non encore identifiés à Kaobagou, dans la commune de Kérou. Les images qui me sont parvenues m’ont laissé sans voix, sans la moindre force de réaction. Elles m’ont dévasté et n’ont pu m’arracher que des larmes.

Tellement j’ai été choqué par la barbarie que je ne savais quoi vous dire qui puisse être à la hauteur de la douleur que j’ai aussi ressentie . Jamais nous n’avons connu une telle cruauté dans notre localité. Nos frères égorgés et laissés dans leur sang à même le sol par des assaillants, des agresseurs extérieurs, c’est une première dans notre pays à l’ère de la démocratie.

Dans la douleur encore vive, j’ai plus été indigné par l’attitude du gouvernement de la Rupture qui, une fois encore, a manqué l’occasion d’être proche de nous, sa population. En effet, lors du Conseil des ministres du 03 mai 2023, Conseil intervenu deux jours seulement après l’horreur de Kaobagou et juste au lendemain de celle de Banikoara, Patrice TALON a mis en place une commission d’enquêtes parce qu’il estime autant que ses ministres que la faute revenait aux Forces de défense et de sécurité de notre pays. Ce Conseil des ministres n’a fait mention de la moindre compassion à l’endroit des victimes.

A supposé que nos Forces de défense et de sécurité ont réellement manqué à leur devoir, en quoi cela rendrait-il responsables les victimes pour que le gouvernement ne daigne pas se prononcer sur leur sort et présenter les condoléances à leurs familles et à la nation? Ceci n’est pas que du formalisme. C’est une attitude humaine.

Le constat est très amer de voir que le gouvernement ne pense qu’à une solution administrative, qu’à réprimander au lieu de prendre aussi les dispositions nécessaires pour soutenir les familles des victimes. La population de Kaobagou et environs a besoin d’une assistance matérielle, morale et psychologique. Depuis cette boucherie, les activités sont au ralenti dans le zone. Par peur des assaillants, la population ne sort plus pour vaquer à ses occupations quotidiennes.

J’appelle le gouvernement à prendre réellement la mesure de la situation pour des solutions à tous les niveaux.

Kaobagou et toutes les autres localités du pays frappées par ces agressions méritent notre soutien et notre attention . J’invite donc tous les Béninois du Nord au Sud, de l’Est à l’Ouest, et ceux de l’extérieur à avoir un regard bienveillant à l’endroit de nos concitoyens victimes de ces tueurs.

 C’est le moment de la solidarité nationale. Filles et fils du Bénin, nous avons le devoir de nous dresser tous comme un seul homme contre ces agresseurs qui chaque jour gagnent un peu plus du terrain.

Le Bénin n’est pas une nation pour des terroristes. Boutons les dehors ».

Abdoulazize BRISSO YAROU,

Ancien ministre de la République

6ème circonscription électorale : sans campagne et sans de  »véritables candidats », le parti Les Démocrates réussit à décrocher 2 sièges

S’il y a bien une circonscription électorale où le parti Les Démocrates a été moins présent durant la campagne électorale, c’est sans doute la 6è. D’Abomey-Calavi, à Zè en passant par Sô-Ava, les candidats de l’ancien président Boni Yayi étaient moins visibles sur le terrain.

S’il y a bien une circonscription électorale où le parti Les Démocrates a été moins présent durant la campagne électorale, c’est sans doute la 6è. D’Abomey-Calavi, à Zè en passant par Sô-Ava, les candidats de l’ancien président Boni Yayi étaient moins visibles sur le terrain.

A cela, on pourrait ajouter que les ambassadeurs des Démocrates étaient presque inconnus des populations et des électeurs. Malgré tout ça, le parti n’a pas été ridicule.

Orphelins de Valentin Djènontin, Paulin Dossa ou encore Claude Djankaki, le parti a réussi à décrocher deux sièges, soit mieux que le parti présidentiel Bloc Républicain.

Sur 8 sièges disponibles, Olossoumai Hélène et Hounga Midofin Antonin ont permis au parti d’avoir deux représentants.

L’Union Progressiste le Renouveau remporte la bataille avec 5 sièges.

Manassé AGBOSSAGA

Législatives 2023 au Bénin : Liste intégrale des 218 candidats des 7 partis en course

Au Bénin, le Bloc Républicain (BR), l’Union progressiste le Renouveau, la Force cauris pour un Bénin émergent (FcBe), Les Démocrates, le Mouvement populaire de libération (MPL) , le Mouvement des élites engagés pour l’émancipation du Bénin (Moele-Bénin), l’Union démocratique pour un Bénin nouveau) sont les 7 partis en course pour les législatives du 08 janvier 2023. Ci-dessous intégralité des 218 candidats de chaque parti.

Au Bénin, le Bloc Républicain (BR), l’Union progressiste le Renouveau, la Force cauris pour un Bénin émergent (FcBe), Les Démocrates, le Mouvement populaire de libération (MPL) , le Mouvement des élites engagés pour l’émancipation du Bénin (Moele-Bénin), l’Union démocratique pour un Bénin nouveau) sont les 7 partis en course pour les législatives du 08 janvier 2023. Ci-dessous intégralité des 218 candidats de chaque parti.

La liste des 218 candidats de l’UP le Renouveau 

up_renouveau_declaration_de_candidatures_elections_legislatives_2023

La liste des 218 candidats du MPL

DECLARATION-DE-CANDIDATURES-M1-MOUVEMENT-POPULAIRE-DE-LIBERATION

La liste des 218 candidats du parti FcBe

BENIN-LISTE-DE-CANDIDATURES_FCBE_LEGISLATIVES

Liste des 218 candidats du BR

Bénin-politique-liste-candidat-BR-législatives 

Liste des 218 candidats du parti Les Démocrates

liste-démocrates

Liste des 218 candidats de l’UDBN

Liste des 218 candidats de Moele-Bénin

 

 

Bénin : Azannaï dit que Hounkpè a joué ‘‘six-one’’ à Agossa et que c’est comme ça, Talon va feinter Les Démocrates

Entre Azannaï et les formules sacrées pour dézinguer ses adversaires, c’est une histoire d’amour. Et à l’occasion d’une sortie politique dans le 13ème arrondissement de Cotonou, le président du parti Restaurer l’Espoir a, dans un jeu de mots dont lui seul a le secret, taclé, en douceur,  Iréné Agossa.

Entre Azannaï et les formules sacrées pour dézinguer ses adversaires, c’est une histoire d’amour. Et à l’occasion d’une sortie politique dans le 13ème arrondissement de Cotonou, le président du parti Restaurer l’Espoir a, dans un jeu de mots dont lui seul a le secret, taclé, en douceur,  Iréné Agossa.

Référence à l’échec du partenariat politique entre le parti Restaurer la Confiance (RLC) et la Force cauris pour un Bénin émergent (FcBe) pour aller ensemble aux législatives du 08 janvier 2023, Candide Azannaï a, en langue locale fon, ironisé,   indiquant que Paul Hounkpè a joué ‘‘six-one’’ à Iréné Agossa.

Mais comme si cette formule au jeu de Ludo ne lui suffisait pas pour étayer sa pensée, le président du parti Restaurer l’Espoir a, dans un autre langage footballistique, souligné que le secrétaire exécutif national du parti FcBe a, comme un tireur de penalty joué un contre-pied parfait au colistier de Corentin Kohoué, qui tel un gardien qui regarde seulement le ballon traverser, ne s’est même pas gêné pour plonger inutilement.

Il a ensuite prévenu Les Démocrates qu’ils subiront le même sort avec Patrice Talon,

Pour Azannaï, il n’y a pas d’élection avec Patrice Talon, soutenant que ce qui s’annonce le 08 janvier est juste une nomination où les noms des futurs députés sont déjà connus.

Agossa et Les Démocrates apprécieront …

Manassé AGBOSSAGA

Agossa dit que FcBe et Les Démocrates sont « deux blocs héritiers » de Yayi et qu’ils n’ont « rien compris de l’enjeu» des législatives

L’heure est aux piques chez Iréné Agossa. Après l’échec des négociations politiques avec les autres forces de l’opposition pour aller en rang serré aux législatives du 08 janvier 2023, le président du parti Restaurer la Confiance (RLC) règle ses comptes avec les responsables des Forces cauris pour un Bénin émergent (FcBe) et les leaders du parti Les Démocrates.

Iréné Agossa règle ses comptes avec la Force cauris pour un Bénin émergent (FcBe) et Les Démocrates après l’échec du partenariat politique avec le parti présidé par Paul Hounkpè. De passage sur la télévision nationale, le président du parti Restaurer la Confiance (RLC) a traité les deux partis, « d’héritiers » de Boni Yayi, prédisant au passage, leurs échecs lors des législatives du 08 janvier 2023.

L’heure est aux piques chez Iréné Agossa. Après l’échec des négociations politiques avec les autres forces de l’opposition pour aller en rang serré aux législatives du 08 janvier 2023, le président du parti Restaurer la Confiance (RLC) règle ses comptes avec les responsables des Forces cauris pour un Bénin émergent (FcBe) et les leaders du parti Les Démocrates.

Revenant sur les raisons de l’absence du parti Restaurer la Confiance au scrutin du 08 janvier, il a d’abord qualifié le parti FcBe et Les Démocrates d’être des « héritiers » de l’ancien président Boni Yayi. Pour lui, ces « deux blocs héritiers » n’ont pas en réalité « compris l’enjeu » des législatives de janvier 2023.

« La FcBe n’a pas encore compris l’enjeu. Ce n’est pas que la FcBe, même Les Démocrates et tout ce que vous voyez être de l’opposition et vous allez voir, c’est les héritiers du président qui a quitté le pouvoir.  En réalité le bloc des héritiers de la personnalisation de l’environnement politique, ils n’ont pas compris l’enjeu », a-t-il fait observer sur le plateau de l’émission 5/7 Matins.

Pour lui, ces « blocs héritiers » de l’ancien président ont « fait le choix d’aller en rang dispersé ». « Ils pensent aujourd’hui que c’est le fait d’avoir deux ou trois députés au parlement qui va régler le problème », a-t-il ajouté.

Mais pour Iréné Agossa, l’enjeu des législatives est de contrôler le perchoir. Et pour lui, seule une liste commune de l’opposition aurait pu permettre à l’opposition d’atteindre cet objectif pour combattre le régime de la rupture dans les urnes

« Nous n’avons pas pu être dans cette stratégie avec les autres partis. Ils n’ont pas pu s’entendre avec nous. Ils n’étaient pas au même niveau de conscience qui concerne l’objectif que nous nous fixons. Nous ne pouvons plus aller seul. Aller seul, c’est aller pour échouer », a-t-il lancé pour justifier l’absence du parti qu’il préside aux législatives.

Et parce que convaincu qu’en politique, seulement l’addition et la multiplication permettent d’aller de l’avant, Iréné Agossa ne voit pas la FcBe et Les Démocrates battre les partis de la mouvance au soir du 08 janvier.

Manassé AGBOSSAGA

Positionnement de Comlan Fagbémon comme tête de liste : Paul Hounkpè a vu juste, Zoom sur l’homme qui va faire gagner le parti FcBe dans la 9ème circonscription

Plus aucun doute, chaque parti politique sait désormais ce qui l’attend dans le cadre des législatives du 08 janvier 2023. Le positionnement et l’enregistrement des candidatures à la CENA reprécisent les objectifs de chacun. Dans la 9ème circonscription électorale que composent Dassa-Zoumé, Savalou et Bantè,  le parti Force Cauris pour un Bénin Émergent (FCBE) compte tirer son épingle du jeu. C’est à juste titre qu’il place toute sa confiance en la personne du maire de la commune de Bantè Comlan Fagbémon. 

Plus aucun doute, chaque parti politique sait désormais ce qui l’attend dans le cadre des législatives du 08 janvier 2023. Le positionnement et l’enregistrement des candidatures à la CENA reprécisent les objectifs de chacun. Dans la 9ème circonscription électorale que composent Dassa-Zoumé, Savalou et Bantè,  le parti Force Cauris pour un Bénin Émergent (FCBE) compte tirer son épingle du jeu. C’est à juste titre qu’il place toute sa confiance en la personne du maire de la commune de Bantè Comlan Fagbémon.

Zoom sur Comlan Fagbémon

Du haut de ses 37 ans, Comlan Fagbémon est expert Médiateur et Facilitateur de Développement.

Ce jeune Maire est  actuellement le Président  du Groupement Intercommunal des Collines.

Jeune dynamique, discret et pondéré, il est un Socio- Anthropologue engagé pour la cause des collines spécifiquement et du Bénin en général. Un pur produit de l’Université de Parakou dont l’une de ses qualités reste l’efficacité sans pareille dans les négociations.

C’est sur lui que repose la lourde responsabilité de conduire la liste des Forces Cauris pour un Bénin Émergent à la victoire aux élections législatives du 8 Janvier 2023 dans la 9e Circonscription Électorale.

Certains observateurs avertis trouvent en lui une audace politique intrinsèque et une référence pour la jeunesse engagée.

S.E

Législatives-FcBe : Père titulaire, fils suppléant… C’est ça on appelle positionnement familial

On a beau salué la simplicité et la générosité légendaire de ‘‘Gatéri’’, mais comment ne pas ‘’kpakpatoyer’’ sur le   positionnement familial opéré chez les FcBe, sans doute, avec son aval. En effet, dans la 13ème circonscription électorale (Djougou), les ‘‘cauris’’ ont fait confiance au père et au fils de la ‘‘famille Soumanou’’. Du moins pour la tête de liste.

On a beau salué la simplicité et la générosité légendaire de ‘‘Gatéri’’, mais comment ne pas ‘’kpakpatoyer’’ sur le   positionnement familial opéré chez les FcBe, sans doute, avec son aval. En effet, dans la 13ème circonscription électorale (Djougou), les ‘‘cauris’’ ont fait confiance au père et au fils de la ‘‘famille Soumanou’’. Du moins pour la tête de liste.

En effet, le père Alassane Soumanou est premier titulaire et le fils El Farouk Djima Soumanou est son suppléant.

C’est parce que y a pas travail sinon où est le problème de Kpakpato Medias si ce positionnement familial peut faire gagner Hounkpè et consorts.

Manassé AGBOSSAGA