Déclarée morte: Une femme de 36 ans se réveille au beau milieu de son enterrement, puis…

Incroyable, mais vrai. Une femme qui était sur le point d’être conduite à sa dernière demeure s’est réveillée en plein milieu de son enterrement, avant de finir par définitivement rendre l’âme à l’hôpital. Cette scène surréaliste se passe au Pérou.

Incroyable, mais vrai. Une femme qui était sur le point d’être conduite à sa dernière demeure s’est réveillée en plein milieu de son enterrement, avant de finir par définitivement rendre l’âme à l’hôpital. Cette scène surréaliste se passe au Pérou.

Le 26 avril dernier au Pérou, Rosa Isabel Cespede Callaca, une Péruvienne âgée de 36 ans s’est soudainement réveillée de son sommeil au beau milieu de son enterrement.

Avant ça, elle avait succombé à ses blessures suite un accident de la route.

Seulement voilà, lors de ses obsèques, la ‘‘morte’’ se réveille et revient à la vie. Des personnes présentes ont entendu un bruit provenant du cercueil.

Face au bruit, le gardien du cimetière, Juan Segundo, décide d’ouvrir le cercueil. La stupéfaction est au rendez-vous.

Rosa Isabel Cespede Callaca  n’était pas morte. «Elle a ouvert les yeux et elle transpirait. Je me suis précipité dans mon bureau pour appeler la police», a-t-il décrit dans des propos rapportés par le Daily Mail.

Elle a été ensuite transportée par les forces de l’ordre dans un hôpital proche où elle a été prise en charge. Les médecins ont confirmé sur place qu’elle donnait des signes de vie.

Toutefois, Rosa Isabel Cespede Callaca va finalement connaître la vraie mort.

Quelques heures après avoir été hospitalisée, elle a finalement rendu l’âme des suites de ses blessures.

Mystère !!!

Manassé AGBOSSAGA

Pérou: une ministre démissionne en raison d’un scandale de vaccination secrète

LIMA — Une ministre péruvienne a démissionné dimanche au milieu d’un tollé entourant la vaccination secrète de responsables gouvernementaux contre la COVID-19 avant que le pays ne reçoive récemment 1 million de doses pour les travailleurs de la santé.© Fournis par La Presse Canadienne

La démission d’Elizabeth Astete, ministre des Affaires étrangères, a été confirmée par le président Francisco Sagasti.

Ce départ suit celui de la ministre de la Santé Pilar Mazzetti, vendredi, après que les législateurs l’ont accusée d’avoir dissimulé des informations.

Le scandale a éclaté jeudi lorsque l’ancien président Martín Vizcarra, limogé par le Congrès le 9 novembre pour une allégation de corruption, a confirmé un article de journal selon lequel lui et sa femme avaient secrètement reçu des injections d’un vaccin de la société pharmaceutique d’État chinoise Sinopharm en octobre.

Sur Twitter, M. Sagasti a relaté que pendant l’administration de Vizcarra, 2000 doses supplémentaires du vaccin avaient été reçues de Sinopharm et «certains hauts fonctionnaires avaient été vaccinés».

Elizabeth Astete, qui a dirigé les négociations péruviennes pour acheter les 1 million de doses du vaccin chinois, a indiqué dimanche dans une lettre qu’elle avait reçu une première dose le 22 janvier.

«Je suis conscient de la grave erreur que j’ai commise. C’est pourquoi j’ai décidé de ne pas recevoir la deuxième dose.»

Selon le nouveau ministre de la Santé, Oscar Ugarte, le président a ordonné la démission de tous les responsables qui avaient secrètement reçu le vaccin chinois. M. Ugarte a précisé qu’une enquête est en cours pour identifier les responsables qui ont été secrètement vaccinés en septembre.

Le Pérou a acheté les vaccins début janvier à un prix qui est tenu secret en vertu du contrat. Les médecins et les infirmières ont protesté, car ils n’étaient pas inclus dans les listes des premières personnes à être vaccinées avec les doses reçues de Sinopharm.

La pandémie a causé la mort de 306 médecins et 125 infirmières, et plus de 20 000 médecins et infirmières ont été infectés. Le Pérou a enregistré plus de 1,2 million de cas d’infections au coronavirus avec 43 491 décès liés au COVID-19, selon le décompte des cas de l’Université Johns Hopkins dans le monde.

LA PRESSE CANADIENNE