La chambre de commerce du Niger déconseille le port de Cotonou à ses opérateurs économiques

La chambre de commerce et d’industrie du Niger boycotte le port de Cotonou. Malgré la levée de la suspension des importations à destination du Niger, l’institution a recommandé à ses opérateurs économiques de continuer à utiliser les autres ports. Lire ci-dessous le communiqué.

La chambre de commerce et d’industrie du Niger boycotte le port de Cotonou. Malgré la levée de la suspension des importations à destination du Niger, l’institution a recommandé à ses opérateurs économiques de continuer à utiliser les autres ports. Lire ci-dessous le communiqué.

Communique n°001/12/2023
à l’attention des opérateurs économiques

Par Avis n°2325/23/PAC/DOPS/DI/DAF/DAJC/DCM/SC du 27 Décembre, le Port Autonome de Cotonou informe l’opinion de la levée de la mesure relative à la suspension au Port de Cotonou, des importations de marchandises à destination du Niger.

Ce pendant, la Chambre de Commerce et de l’Industrie du Niger rappelle aux opérateurs économiques que les sanctions illégales, injustes et iniques de la CEDEAO demeurent, notamment celles relatives à la fermeture des frontières, avec pour objectifs le blocage des transactions commerciales avec notre pays.

Pour ce faire, la Chambre de Commerce et de l’Industrie du Niger invites les opérateurs économiques à continuer à utiliser les ports et les corridors qui ont permis de desservir notre pays depuis les évènements du 26 Juillet 2023.

 

 

PAC : Levée de la suspension des importations des marchandises à destination du Niger

Bingo ! La direction générale du Port autonome de Cotonou lève la mesure portant suspension des importations des marchandises à destination du Niger.

PAC : Levée de la suspensio

Bingo ! La direction générale du Port autonome de Cotonou lève la mesure portant suspension des importations des marchandises à destination du Niger.

Par Avis N°2525/23/PAC/DGPS/DI/DAF/DAF/DAJC/DCM/SC, en date du mercredi 27 décembre 2023, Bart Jozef Johan Van Eenoo a annoncé la nouvelle.

« Au regard de l’amélioration substantielle des conditions opérationnelles de traitement des marchandises au port de Cotonou, notamment à la réduction du taux de congestion, il est procédé à la levée de la mesure relative à la suspension au port de Cotonou, des importations des marchandises à destination du Niger », indique le communiqué.

La décision du 25 octobre 2023 n’est donc plus d’actualité.

M.A

Suspension des importations des marchandises à destination du Niger :  » un saut dans un abîme sans fond », selon Djènontin, lire son analyse

Le 25 octobre 2023, le Directeur Général du Port Autonome de Cotonou (DG/PAC) a par l’avis N°628/23/PAC/DOPS/DI/DAF/DCM/DAJC suspendu jusqu’à nouvel ordre pour des raisons d’ordre opérationnel et de congestion, les chargements des marchandises après le 25 octobre 2023 aux ports d’origine à destination du Niger au

SUSPENSION DES IMPORTATIONS DES MARCHANDISES A DESTINATION DU NIGER DU 25 OCTOBRE 2023 : SUICIDE VOLONTAIRE OU CHANTAGE ?

Le 25 octobre 2023, le Directeur Général du Port Autonome de Cotonou (DG/PAC) a par l’avis N°628/23/PAC/DOPS/DI/DAF/DCM/DAJC suspendu jusqu’à nouvel ordre pour des raisons d’ordre opérationnel et de congestion, les chargements des marchandises après le 25 octobre 2023 aux ports d’origine à destination du Niger au port de Cotonou.

Par ailleurs, la note circulaire N°1923/23/PAC/DG/DCM/DFAC/SC du 18 octobre 2023 propose trois régimes aux opérateurs économiques dont les cargaisons sont en instance d’enlèvement sur le territoire béninois.

Il s’agit de :

La mise en consommation au Bénin
Le changement d’itinéraire / destination
Le transbordement / la réexportation.

Cette décision unilatérale de l’autorité portuaire est un saut dans un abîme sans fond. Elle est juridiquement risquée et financièrement intenable.

Après la fermeture illégale, inique des frontières du Bénin avec le Niger sous le couvert de la CEDEAO qui a violé elle-même ses propres textes, voilà à nouveau le Bénin au-devant de la scène internationale par un avis du Directeur Général du Port Autonome de Cotonou qui interdit au pays frère du Niger de faire passer ses importations par le port de Cotonou qui est son port naturel.
A l’examen de cet avis, il se dégage que le Gouvernement béninois expose au monde sa violation récurrente des lois internes ainsi que les conventions et accords régionaux et internationaux.

Juridiquement, la décision du DG/PAC est risquée puis que le Niger est un pays de l’hinterland jouissant de solides droits couverts par des conventions internationales. Aussi, l’exploitation du port de Cotonou par le Niger est-elle encadrée par une ordonnance lui conférant des droits et privilèges officiellement reconnus par les deux pays depuis bientôt un demi-siècle.

Cette tendance du régime TALON à détricoter tous les principes universellement admis et à brouiller les relations du Bénin avec tous ses voisins coûtera chère au Bénin et aux Béninois.

Les autorités béninoises ne pourraient se permettre une telle aventure sans plonger le Bénin dans un contentieux commercial international à issue incertaine et désastreuse pour l’image et le trésor du pays !

En effet, les relations internationales entre les différents pays du monde ont, depuis la fin de la deuxième guerre mondiale connu une normalisation par des codifications contenues dans diverses conventions ou autres instruments juridiques adoptés et ratifiés par les Etats composant l’Organisation des Nations Unies.

Certaines organisations comme l’Organisation Mondiale du Commerce, l’Organisation Maritime Internationale, l’Organisation Mondiale de la Douane s’occupent des règles régissant le commerce entre les pays, la sécurité et la sûreté des transports maritimes et de fournir aux gouvernements des renseignements sur leurs besoins afin de mettre en œuvre les résultats qui pourraient découler des négociations sur la facilitation des échanges du point de vue des mesures concrètes à mettre en place.

Cette mission de régulation des divers organes des Nations Unies vise à éviter aux pays d’évoluer comme dans une jungle.
Pour utilement opiner sur l’avis du DG/PAC ci-dessus cité, nous allons interroger les différents instruments juridiques, conventions et accords auxquels le Bénin a souscrit.

L’un des principes de l’OMC, c’est de donner aux faibles les moyens de se faire entendre.

Les petits pays seraient plus faibles sans l’OMC. Les différences dans le pouvoir de négociation sont atténuées par des règles convenues, la prise de décision par consensus et la formation de coalition.

Les coalitions permettent aux pays en développement de mieux faire entendre leur voix dans les négociations. Les accords négociés obligent tous les pays, y compris les plus forts, à se conformer aux règles. La règle de droit remplace la loi du plus fort.

C’est malheureusement la posture actuelle du gouvernement béninois qui applique la loi du plus fort au lieu de la règle du droit. En effet, le Niger est un pays de l’hinterland sans façade maritime. En tant que tel, il jouit de privilèges contenus dans plusieurs conventions.

L’hinterland (l’arrière-pays) est l’aire d’attraction et de desserte continentale d’un port ou en termes économiques son aire de marché continentale.

Le port de Cotonou a un positionnement géostratégique enviable qui lui confère une fonction de port de transit par excellence sur la côte du Golfe de Guinée.

Il est à ce titre, le premier port de transit, des économies sous-régionales.

Il dessert les pays de l’hinterland, tels que le Mali, le Burkina Faso, le Tchad. Il est également le premier port de transit du Niger, pays frontalier totalement enclavé.

C’est justement ce statut de pays de l’hinterland, enclavé sans façade maritime qui confère au Niger des droits et privilèges que le Bénin ne peut violer sans conséquences graves pour l’image et le trésor du pays.

D’abord, explorons les exigences des normes internationales du commerce de transit relatives aux pays sans littoral.

Sans aller dans trop de détails, examinons simplement le préambule de la Convention relative au commerce de transit des Etats sans littoral faite à New York, le 8 juillet 1965.

Les états parties à la convention,
Rappelant qu’en vertu de l’article 55 de la charte, les Nations Unies sont tenues de favoriser les conditions de progrès économique et la solution des problèmes économiques internationaux,
Prenant acte de la résolution 1028 (XI) de l’Assemblée Générale relative aux pays sans littoral et à l’expansion du commerce international qui reconnaît « … qu’il est nécessaire que les pays sans littoral jouissent de facilités de transit adéquates si l’on veut favoriser le commerce international… », invite les gouvernements des Etats membres « … à reconnaître pleinement dans le domaine du commerce du transit les besoins des Etats membres qui n’ont pas de littoral et, en conséquence, à accorder auxdits Etats des facilités adéquates à cet égard en droit international et dans la pratique, compte tenu des besoins futurs qui résulteront du développement économique des pays sans littoral »,

Rappelant l’article 2 de la Convention sur la haute mer qui dispose que, la haute mer étant ouverte à toutes les nations, aucun Etat ne peut légitimement prétendre en soumettre une partie quelconque à sa souveraineté et l’article 3 de ladite convention qui dispose de ce qui suit : « 1. Pour jouir des libertés de la mer à l’égal des Etats riverains de la mer, les Etats dépourvus de littoral devraient accéder librement à la mer.

Ensuite, examinons les clauses de l’ordonnance régissant les relations du Bénin et du Niger au Port de Cotonou.

L’exploitation du port de Cotonou par le Niger est bien régie par l’Ordonnance N° 70-10 du 7 février 1975 portant ratification de l’Accord entre le Gouvernement de la République du Dahomey et le Gouvernement de la République du Niger sur l’utilisation du Port de Cotonou et sur le Transit signé à Niamey, le 5 janvier 1975.

L’article 1er dudit Accord dispose : « Le Gouvernement de la République du Dahomey réserve au gouvernement de la
République du Niger, dans le cadre du présent Accord, le droit d’usage du Port de Cotonou pour tout ce qui concerne le trafic des voyageurs ou des marchandises à destination ou en provenance du Niger ».

Article 2 « La République du Dahomey s’oblige à assurer aux navires nigériens, aux navires affrétés par le Niger ou aux navires assurant l’approvisionnement du Niger, à leurs marchandises ou à leurs passagers, un traitement égal à celui de ses propres navires dans le port de Cotonou, en ce qui concerne la liberté d’accès de ce Port, son utilisation et la complète jouissance des commodités qu’elle accorde à la navigation internationale et aux opérations commerciales y afférentes ».

Eu égard à ces obligations contractuelles, le Bénin est-il fondé ou pourrait-il se permettre une telle liberté en décidant unilatéralement et d’autorité d’interdire l’accès du port de Cotonou au Niger conformément à l’avis sus indiqué ou imposer aux opérateurs économiques nigériens les trois régimes mentionnés dans la note circulaire N° 1923/23/PAC/DG/DCM/DFAC/SC du 18 octobre 2023 sans courir d’énormes risques ?

La réponse est non. Les autorités béninoises font courir au Bénin un contentieux lourd de conséquences.

Par ailleurs, la décision du DG/PAC est financièrement intenable et budgétairement suicidaire pour le Bénin.
« La bonne connexion des ports avec leur hinterland est l’un des facteurs clés de la croissance et du désenclavement des territoires en Afrique ». Patrick CLAES (La maîtrise de l’hinterland, clé de voûte du versant terrestre).

Avant d’examiner les conséquences budgétaires de la décision du DG/PAC, examinons rapidement la portée des trois régimes proposés aux importateurs nigériens pour les marchandises en attente d’enlèvement au port de Cotonou.

La mise à consommation désigne le régime douanier d’un produit dont on peut disposer librement sur un territoire. Seuls les produits mis à la consommation peuvent faire l’objet d’un commerce. La TVA et les autres taxes nationales sont, en règle générale, dues dès la mise à la consommation.

Les produits commandés par les opérateurs économiques nigériens et livrés au port de Cotonou sont en transit avec les règles y afférentes. Au nom de quel droit le Bénin pourrait-il contraindre le Niger à mettre à la consommation au Bénin les produits commandés par lui pour ses besoins locaux et dont souffre sa population depuis plus de trois mois du fait de la décision unilatérale de fermeture des frontières avec le Niger ?

Qui va supporter les charges de dédouanement des produits nigériens à mettre à la consommation au Bénin ?

Le changement d’itinéraire/destination. Le commandant d’un navire possède, en outre, la faculté d’interrompre une croisière, d’en modifier l’itinéraire pour des raisons de force majeure, des raisons opérationnelles ou pour des exigences de sécurité des passagers ou du navire.

Alors que les marchandises des importateurs nigériens sont bloquées depuis des mois dans le port de Cotonou en raison de la fermeture des frontières par le Bénin, en demandant à ces derniers un changement d’itinéraire alors que les navires avaient atteint leur destination finale qui était Cotonou, qui prendrait en charge le réembarquement des conteneurs ainsi que leur acheminement vers un autre port où ils pourraient être récupérés par les clients nigériens ?

Le transbordement / la réexportation.

Le transbordement est l’expédition de marchandises ou de conteneurs vers une destination intermédiaire, puis vers une autre destination.

La réexportation, également appelée commerce d’entrepôt, est une forme de commerce international dans laquelle un pays exporte des marchandises qu’il importait auparavant sans les modifier.

Dans le cas d’espèce, le port de Cotonou étant le port de transit du Niger qui est un pays de l’hinterland dont les produits sont en transit, à qui incombera le surcoût que va engendrer cette décision unilatérale du Bénin imposée aux importateurs nigériens de reprendre leurs produits vers une autre destination ?

Sur le plan budgétaire, les conséquences de la suspension des chargements des marchandises aux ports d’origine à destination du Niger au port de Cotonou seront désastreuses pour l’économie et les finances béninoises. En effet, le Niger est un partenaire stratégique de premier ordre au port de Cotonou. Il n’est pas exagéré de dire comme le Président YAYI en avait l’habitude que le port du Bénin est également le port du Niger.

Environ 50 à 60 % des flux de marchandises importées au Bénin sont destinées aux pays de l’hinterland. Corrélativement, presque 50% des recettes douanières du Bénin proviennent de la Recette Douane Port. Par quelle alchimie le Trésor public pourra -t- il compenser ce manque à gagner ?

En raison de la mal gouvernance, de la chasse aux opérateurs économiques nationaux prospères, le bâillonnement des libertés publiques en cours depuis 2016, la plupart des commerçants jadis installés au Bénin ont migré dans les pays de la sous-région : Togo, Côte d’Ivoire, Ghana, Nigéria. Du coup, pour faire tourner l’Etat, une pression fiscale s’exerçait déjà sur les particuliers, les artisans et petits commerçants en place. Faut-il davantage les surcharger au point de les asphyxier pour compenser le manque à gagner qui résulterait du départ du Niger du port de Cotonou ? Le Bénin joue gros.

Au total, cette mesure irréfléchie et irresponsable de suspension des chargements des marchandises aux ports d’origine à destination du Niger prise par les autorités portuaires vient compliquer la posture du gouvernement béninois dans la crise de fermeture des frontières avec le Niger.

Cette décision de suspension créera au Gouvernement béninois deux difficultés : l’une juridique et l’autre budgétaire.
La première difficulté est juridique parce que la décision est illégale. Le Bénin fera face à un gros contentieux qui naîtra de cette décision unilatérale qui viole les conventions internationales et l’ordonnance relative à l’usage du port de Cotonou par le Niger. Le Bénin doit se préparer à faire face à un contentieux commercial international.
La seconde difficulté est d’ordre budgétaire.

Sur le plan budgétaire, cette décision malencontreuse du DG port est suicidaire pour le gouvernement à bien d’égard. Lorsqu’on sait que la moitié du trafic de marchandises au port de Cotonou est destinée aux pays de l’hinterland et particulièrement au Niger et que 50% des recettes douanières du Bénin proviennent de la Recette Douane port, renoncer délibérément de recevoir au port de Cotonou les importations du Niger, c’est réduire considérablement l’assiette des droits de douane du Bénin et par conséquent une importante part de ressources budgétaires.

Fort de ce qui précède, quelles seraient les ressources compensatoires envisageables pour combler le déficit évident que laisserait l’absence du Niger au port de Cotonou ?

Quelle alternative possible pour compenser le manque à gagner que va induire La suspension des chargements des marchandises aux ports d’origine à destination du Niger qui transitent par le port de Cotonou ?

Il urge que les autorités béninoises changent de posture, fassent profil bas et négocier la reprise des relations bilatérales avec le Niger sinon les mois à venir seront difficiles à tenir en raison de la diminution drastique du trafic au port de Cotonou et par ricochet de recettes douanières.

D’un autre point de vue, à examiner de près la décision du DG/PAC, elle frise le chantage et cache une difficulté de trésorerie du port, de Bénin Control, de la douane et par conséquent du trésor béninois puisque le principal pourvoyeur de trafics au port de Cotonou n’a pas accompli les formalités de transit et d’enlèvement des marchandises commandées qui séjournent depuis trois mois dans l’enceinte portuaire.

La suspension des chargements des marchandises aux ports d’origine à destination du Niger apparaît comme un chantage et un jeu de cache-cache puisque depuis la fermeture des frontières du Bénin à Malanville bloquant du coup les camions contenant des marchandises en transit, le Niger avait déjà commencé à délaisser petit à petit le port de Cotonou au profit des ports voisins en l’occurrence le port de Lomé qui capte désormais le trafic naturel du Bénin.

Monsieur le Président Patrice TALON, la balle est dans votre camp. A vous de bien la jouer !

Que Dieu sauve le Bénin du pire.

DJENONTIN-AGOSSOU Valentin
Ancien Ministre de l’Economie Maritime,
des Transports Maritimes et des Infrastructures Portuaires.

Le Port de Cotonou suspend les importations des marchandises à destination du Niger

Une décision qui va renforcer la tension entre la junte militaire au Niger et les autorités béninoises. A travers une note en date du 25 octobre 2023, la direction générale du Port autonome de Cotonou a annoncé la suspension des importations à destination du Niger

Une décision qui va renforcer la tension entre la junte militaire au Niger et les autorités béninoises. A travers une note en date du 25 octobre 2023, la direction générale du Port autonome de Cotonou a annoncé la suspension des importations à destination du Niger.

Pas pour des raisons politiques suite au coup d’état du 26 juillet qui a renversé Mohamed Bazoum.

« pour des raisons d’ordre opérationnel et de congestion, les chargements des marchandises, après le 25 octobre au port d’origine à destination du Niger sont suspendus au port de Cotonou jusqu’à nouvel ordre », peut on lire dans la note signée du dg Bart Jozef Van Eenoc.

Le DG du Port de Cotonou rappelle toutefois que par note circulaire du 18 octobre 2023, « trois régimes assortis de facilité ont été proposés aux opérateurs économiques dont les cargaisons sont en instance d’enlèvement sur le territoire béninois ».

Il s’agit : « la mise en consommation au Bénin, le chargement d’itinéraire/destination, le transbordement/la réexportation, », précise t-il.

Les opérateurs économiques béninois, sans doute, touchés par cette décision apprécieront.

Manassé AGBOSSAGA

Le PAC lance un Avis de Demande de Renseignements et de Prix

Cet Avis de Demande de Renseignements et de Prix (ADRP) fait suite au Plan de Passation des Marchés Publics du Port Autonome De Cotonou (PAC) publié sur le portail web des marchés publics le 26/04/2023.

Section I – Avis de demande de renseignements et de prix

(ADRP) (Téléchargez le fichier : avis-elaoration-du-shema-directeur

Avis n° : 02.2023/PAC/DG/DPRMP/SP-PRMP/DPMP/SAP du .05. 23

Objet : Élaboration du schéma directeur informatique du PAC

 

Référence de la DRP : S_DSI_76434

 

  1. Cet Avis de Demande de Renseignements et de Prix (ADRP) fait suite au Plan de Passation des Marchés Publics du Port Autonome De Cotonou (PAC) publié sur le portail web des marchés publics le 26/04/2023.

 

  1. Le Port Autonome de Cotonou (PAC) a obtenu dans le cadre de l’exécution de son budget des fonds et a l’intention d’utiliser une partie de ces fonds pour effectuer des paiements au titre du Marché relatif à l’Élaboration du schéma directeur informatique du PAC.

 

  1. Le Port Autonome de Cotonou (PAC) sollicite des offres sous pli fermé de la part de candidats répondant aux qualifications requises pour :

Faire l’état des lieux et le diagnostic du Système d’Information du PAC;

Faire l’analyse des processus métiers du PAC (en se basant sur le manuel des  processus du PAC);

Évaluer les initiatives IT lancées / en cours de lancement (applications, réseaux, sécurité etc.);

Faire le benchmark des initiatives IT lancées par les meilleurs Ports au monde

(aux six ports seront choisis en Europe, en Afrique et en Asie);

Établir les besoins actuels et futurs pour pouvoir définir leur impact sur

l’existant;

Mettre en place un cadre d’architecture d’entreprise futur pour le PAC en se

basant sur l’existant et en s’alignant sur le Framework TOGAF ;

Élaborer le Schéma Directeur du Système d’Information sur trois ans (2024- 2027);

Concevoir et organiser les transformations des processus métiers du PAC ;

Définir des programmes de transformation digitale et proposer un plan

opérationnel de sa mise en œuvre.

Les prestations sont en lot unique et s’exécuteront sur une durée contractuelle de

quatre (04) mois.

 

  1. Les exigences en matière de qualification sont :

 

  1. Pour les anciennes entreprises

Exigences techniques:

 

> Être une entreprise régulièrement constituée justifiée par l’original ou la copie

légalisée du Registre de Commerce et du Crédit Mobilier ou les statuts si requis;

> Avoir exécuté au cours des cinq (05) dernières années (2017 à 2022) et de l’année

en cours au moins une (01) mission de réalisation de schéma directeur de SI dans

un port d’un montant minimal de trente-cinq millions sept cent mille (35 700

000) FCFA ;

 

➤ disposer du personnel nécessaire pour l’élaboration de la stratégie IT, la

gouvernance des SI, la transformation digitale, l’élaboration de schémas directeurs

des systèmes d’information et la mise en place de cadre d’architecture d’entreprise.

Exigences d’ordre financier :

 

➤ Disposer d’avoir liquide ou d’une ligne de crédit d’un montant minimum

quinze millions trois cent mille (15 300 000) F CFA justifié par une

attestation d’une banque ou d’une institution financière agréée au Bénin ;

Ou

Avoir réalisé au cours des trois dernières années (2019 à 2022) un chiffre

d’affaires moyen annuel au moins égal à soixante-seize millions cinq cent

(76 500 000) FCFA justifié par des états financiers présenté par le comptable

employé de l’entreprise et attesté par un membre de l’Ordre des Experts

Comptables et Comptables Agréés et portant la mention du DGI.

 

  1. Pour les entreprises naissantes

Exigences techniques :

➤ Être une entreprise régulièrement constituée justifiée par l’original ou la

copie légalisée du Registre de Commerce et du Crédit Mobilier ou les

statuts;

Fournir une attestation d’assurance de risque professionnel couvrant un

risque contractuel d’un montant de trente-six millions (36.000.000) F CFA ;

 

➤ Disposer du personnel nécessaire pour l’élaboration de stratégie IT, la

gouvernance des SI, la transformation digitale, l’élaboration de schémas

directeurs des systèmes d’information et la mise en place de cadre d’architecture d’entreprise.

Exigences financières :

➤ Disposer d’avoir liquide ou d’une ligne de crédit d’un montant minimum de

quinze millions trois cent mille (15 300 000) F CFA justifié par une

attestation d’une banque ou une institution financière agréée.

Et

Fournir les bilans d’ouverture pour les entreprises naissantes et les bilans des

années d’existence pour les entreprises n’ayant pas encore trois (03) ans d’âges.

Voir le document de Demande de Renseignements et de Prix pour les informations

détaillées.

  1. La participation à cette demande de renseignements et de prix telle que définie dans

la loi n°2020-26 du 29 septembre 2020 portant Code des marchés publics en

République du Bénin concerne tous les candidats éligibles et remplissant les

conditions définies dans le présent dossier de Demande de Renseignements et de

Prix et qui ne sont pas frappés par les dispositions des articles 61 et 121 de ladite

loi.

  1. Les candidats intéressés peuvent obtenir des informations auprès du Port Autonome

de Cotonou (PAC), Monsieur Félix Dieudonné ADAHE VIGBE, Personne

Responsable des Marchés Publics (PRMP) du (PAC), Email:

fadahevigbe a pac.bj et prendre connaissance des documents de la demande de

cotation à l’adresse mentionnée ci-après : Direction de la Personne Responsable des

Marchés Publics (DPRMP) du Port Autonome de Cotonou, Rez de Chaussée au

Bureau 111 PAC, Route de la Marina, Tel 21 31 28 90 Cotonou (République du

Bénin) de 8 heures à 12 heures 30 minutes et de 14 heures à 17h 30 minutes

(GMT+1).

  1. Les candidats intéressés peuvent obtenir gratuitement un dossier complet de la

Demande de Renseignements et de Prix à l’adresse mentionnée ci-après : Direction de la Personne Responsable des Marchés Publics (DPRMP) du Port Autonome de

Cotonou, au Rez-de-Chaussée Bureau 111 du PAC, Route de la Marina, Tel 21 31

28 90 Cotonou (République du Bénin). Le dossier de Demande de Renseignements et de Prix en version papier sera immédiatement remis aux candidats intéressés sur présentation de ces derniers au Secrétariat Permanent de la Personne Responsable des Marchés Publics ou adressé aux candidats à leurs frais. Ce dossier peut aussi être remis aux candidats en version électronique sous le format PDF ou envoyé par voie électronique, sous réserve des dispositions relatives à la dématérialisation.

Ce retrait est matérialisé par une fiche1 établie selon un modèle mis à disposition par l’Autorité de Régulation des Marchés Publics.

 

  1. Les offres sont rédigées en langue française et devront être déposées en deux (02) exemplaires physiques à savoir un (01) original et une (01) copie, ainsi qu’une (01) version électronique scannée de l’offre sur clé USB sous le format PDF le tout dans

une enveloppe unique à l’adresse ci-après : DPRMP du PAC, au Rez-de-Chaussée Bureau 111 du PAC au plus tard le ..0.5………/2023 à 10 heures 00 minute,

(GMT+1). Le défaut de présentation de l’offre suivant les modalités prévues ci- dessus est éliminatoire. Les offres qui ne parviendront pas aux heures et date ci- dessus indiquées, seront purement et simplement rejetées et retournées sans être ouvertes, aux frais des soumissionnaires concernés.

 

  1. Les offres (versions physique et électronique) seront ouvertes en présence des soumissionnaires qui souhaitent assister à l’ouverture des plis ou de leurs représentants dûment mandatés à l’adresse ci-après: Salle de dépouillement de la DPRMP le

05.06 2023 à 10heures 30 minutes (GMT+1).

 

  1. Les offres doivent comprendre une garantie de soumission d’un montant de cinq cent dix mille (510 000) FCFA.

 

En ce qui concerne les micros, petites et moyennes entreprises, la garantie de l’offre

peut prendre la forme d’une simple lettre de déclaration suivant le modèle prévu dans les formulaires du dossier d’appel à concurrence.

 

  1. Les offres seront valides pour une période de trente (30) jours calendaires à compter de la date limite de dépôt des offres indiquée ci-dessus.

Fait à Cotonou, le 17.1.0.5…2023

out

AH

ENIN

RONG

La Personne Responsable des Marchés Publics,  (PRMP)

Félix Dieudonné ADAHE VIGBE

Port de Cotonou : certaines factures payables par Momo et MoovMoney (Communiqué)

Le Directeur Général du Port Autonome de Cotonou (PAC) a le plaisir d’informer son aimable clientèle qu’il est désormais possible de payer certaines factures par Mobile Money (Momo) et Moov Money afin de bénéficier sans discontinuité de nos prestations notamment les samedis, les dimanches et les jours fériés ou chômés.

NOTE CIRCULAIRE N°0719/2023/PAC/DG/DAF/CDF/STR portant mise en service des systèmes de paiement Mobile Money (Momo) et Moov Money

A l’attention des clients du Port Autonome de Cotonou (PAC)

Le Directeur Général du Port Autonome de Cotonou (PAC) a le plaisir d’informer son aimable clientèle qu’il est désormais possible de payer certaines factures par Mobile Money (Momo) et Moov Money afin de bénéficier sans discontinuité de nos prestations notamment les samedis, les dimanches et les jours fériés ou chômés.

Les procédures de paiement ainsi que les codes marchands sont affichées à différents endroits au sein de l’entreprise. Il est indispensable de se munir de sa facture.

Le montant payé est le montant TTC de la facture + 0,5% de ce montant pour faire face aux charges des opérateurs GSM liées à ces nouveaux produits.

Le Directeur Général rappelle à son aimable clientèle, que les autres modes de paiements (chèques certifiés, virements bancaires à la caisse du PAC) continuent d’exister et qu’elle est libre de choisir le mode qui lui convient.

Pour toutes informations complémentaires, les clients sont priés de se rapprocher de la Direction de l’Administration et des Finances.

Le Directeur Général remercie l’ensemble de sa clientèle et espère que ce mode de paiement soulagera les peines des uns et des autres pour une célérité dans les opérations.

Cotonou, le 124 AVR 2023

Joris Albert THYS

Mouvement de protestation au port de Cotonou : docker réclame son jeton

Mouvement de protestation au Port de Cotonou  ce mardi 28 février 2023 ! Les dockers ont décidé de perturber les activités portuaires ce matin. A l’origine : un travail fait, mais pas payé.

Mouvement de protestation au Port de Cotonou  ce mardi 28 février 2023 ! Les dockers ont décidé de perturber les activités portuaires ce matin. A l’origine : un travail fait, mais pas payé.

Au banc des accusés : le  Bureau d’embauche unique  pour la gestion des occasionnels. Cette structure créée et   qui a commencé ses activités en ce début de mois, en toute discrétion, n’aurait  pas satisfait tous les dockers. Des dockers qui ont travaillé durant le mois de février  n’auraient pas  été payés.

Face à cette situation qui leur empêche de joindre les deux bouts et qui met à mal l’équilibre de leur famille, les dockers de la plateforme portuaire de Cotonou, ont décidé de se faire entendre. Ils ont refusé de travailler. Conséquence,  les navires étaient bloqués au port de Cotonou, en cette matinée du mardi.

Le  bureau d’embauche unique  pour la gestion des occasionnels du Port de Cotonou, qui a pris le relai de la gestion de la main d’œuvre occasionnelle, est donc interpelé.

M.A

Le Port Autonome de Cotonou recrute un(e) Chargé(e) Support Clients

La Direction Générale du Port Autonome de Cotonou envisage de recruter sur un contrat à durée déterminée, un(e) Chargé(e) Support Clients dont fiche poste ci-joint, disposant des connaissances, aptitudes, capacités techniques et expériences professionnelles avérées, capable de lui permettre d’être immédiatement opérationnel dans un Service Commercial. Le Chargé(e) Support Clients a pour mission, sous la supervision du Chef du Service Commercial, d’apporter une assistance de premier niveau aux clients et à tous les autres usagers du port de Cotonou et de veiller à la qualité de service du Service Commercial et du Port de Cotonou en général.

La Direction Générale du Port Autonome de Cotonou envisage de recruter sur un contrat à durée déterminée, un(e) Chargé(e) Support Clients dont fiche poste ci-joint, disposant des connaissances, aptitudes, capacités techniques et expériences professionnelles avérées, capable de lui permettre d’être immédiatement opérationnel dans un Service Commercial. Le Chargé(e) Support Clients a pour mission, sous la supervision du Chef du Service Commercial, d’apporter une assistance de premier niveau aux clients et à tous les autres usagers du port de Cotonou et de veiller à la qualité de service du Service Commercial et du Port de Cotonou en général.

Le dossier de candidature devra comporter:

  • Un Curriculum Vitae
  • Une lettre de motivation adressé au Directeur Général du Port Autonome de Cotonou
  • Une copie du diplôme requis.

Il devra être envoyé par mail en un seul document au format PDF, à l’adresse : recrutement@pac.bi au plus tard le mardi 25 octobre 2022 à 12 heures très précises.

FICHE DE POSTE DU CHARGE(E) DU SUPPORT CLIENTS

Le Chargé(e) Support Clients a pour mission, sous la supervision du Chef du Service Commercial, d’apporter une assistance de premier niveau aux clients et à tous les autres usagers du Port de Cotonou et de veiller à la qualité de service du Service Commercial et du Port de Cotonou en général.

  1. Tâches principales
  • assurer à la facilitation des opérations effectuées par les clients et autres usagers en collaboration avec les autres structures opérationnelles de l’entreprise ;
  • fonctionner en tant que premier point de contact pour les clients et usagers qui cherchent contact avec le port; .
  • accueillir les clients et usagers et prendre en compte leurs plaintes, doléances et tous autres préoccupations et œuvrer à leur satisfaction;
  • orienter les clients et usagers en cas de nécessité vers les services ou collègues compétents ;
  • planifier et organiser les visites guidées du port ;
  • porter assistance à tous les clients qui prennent contact avec le Port

Autonome de Cotonou, et s’assurer que chaque dossier est suivi jusqu’à la résolution ;

  • animer le Système de Management de la Qualité ;
  • traiter et/ou suivre le traitement des plaintes et réclamations émises sur la plateforme dédiée ;
  • rassembler des informations pratiques fréquemment demandées par les clients et utilisateurs et rendre cette information accessible par le site-web ou dans les communications en collaboration avec le service communication ;
  • anticiper sur les incidents en diagnostiquant les dysfonctionnements éventuels liés aux opérations portuaires, en faire un reporting et formuler des propositions en vue de leur résolution complète et satisfaisante ;
  • réaliser périodiquement des enquêtes de satisfaction auprès des différents clients, produire les rapports d’enquête et œuvrer à la mise en œuvre des recommandations issues de ces enquêtes ;
  • cocréer et supporter la mise en place du cadre méthodologique et technique spécifique au support client en collaboration avec le Chef Service Commercial;
  • faire le suivi de l’administration des comptes clients : mise à jour des données de contact, assurer que les communications sont reçues ;
  • participer à la mise en place et l’opérationnalisation d’un système CRM;
  • contribuer à l’élaboration des prévisions de trafic et du budget annuel du PAC.
  • etc.
  1. Compétences
  • avoir une bonne connaissance des enjeux et défis liés à la concurrence interportuaire et au positionnement des ports dans l’espace géostratégique ;
  • avoir de bonnes connaissances en gestion et exploitation portuaire ;
  • avoir de bonnes connaissances en marketing stratégique et opérationnel ;
  • avoir des aptitudes en analyse économique et statistique ;
  • avoir de bonnes connaissances en communication commerciale ;
  • avoir de bonnes connaissances en intelligence économique ;
  • avoir une connaissance du macro et du micro l’environnement du port de

Cotonou et avoir une bonne connaissance des acteurs du Port de Cotonou et des acteurs de la chaînes des opérations portuaires est un atout;

  • etc.
  1. Savoir faire

Téléchargez le fichier pour la suite : corres-1679-22-Avis-dappel-a-candidature-Charge-Support-Clients-DRH

Le Port Autonome de Cotonou recrute un(e) chargé(e) de Communication

Le Port Autonome de Cotonou envisage de recruter un(e) chargé(e) du pôle Communication Interne disposant des connaissances, aptitudes, capacités techniques et expériences professionnelles avérés, capable de lui permettre d’être immédiatement opérationnel dans un Service de Communication.

Le Port Autonome de Cotonou envisage de recruter un(e) chargé(e) du pôle Communication Interne disposant des connaissances, aptitudes, capacités techniques et expériences professionnelles avérés, capable de lui permettre d’être immédiatement opérationnel dans un Service de Communication.

Vous êtes titulaire d’un Bac + 3 en communication institutionnelle ou en ressources humaines, avec un minimum de trois (03) années d’expériences professionnelles avérées à un poste similaire ?
Rejoignez-nous en envoyant votre dossier de candidature au plus tard le mercredi 12 octobre 2022 à 12h à l’adresse email recrutement@pac.bj

Retrouvez les détails de l’offre en cliquant ici

Port de Cotonou : Des nouvelles dispositions d’accès applicable à partir du Jeudi 08 Septembre

Dans le cadre de la gestion des contrôles d’accès terrestres au port de Cotonou et en vue du renforcement des mesures de sécurité et sûreté portuaires, il est porté à l’attention de tous les usagers portuaires, les nouvelles dispositions d’accès ci-après applicable à partir du Jeudi 08 Septembre 2022:

PORT AUTONOME DE COTONOU

 

NOTE D’INFORMATION N°/1495 122/PACIDG/DOPSIDCON/DOTISSEA.

Portant nouvelles dispositions d’accès au port de Cotonou

 

Dans le cadre de la gestion des contrôles d’accès terrestres au port de Cotonou et en vue du renforcement des mesures de sécurité et sûreté portuaires, il est porté à l’attention de tous les usagers portuaires, les nouvelles dispositions d’accès ci-après applicable à partir du Jeudi 08 Septembre 2022:

 

Accès N°1

Entrée : Fermée pour les véhicules, les camions et les piétons ;

Sortie : Ouverte pour les véhicules, les camions et les piétons ;

Accès No2

Entrée : ouverte pour les véhicules, les camions et les piétons ;

Sortie : ouverte pour les véhicules, les camions et les piétons ;

Accès No5

Entrée de tous les camions au port; Sortie exclusive des camions citernes ;

Sortie des véhicules en transit ;

Entrée piétons : fermée ;

Sortie piétons : fermée ;

Accès 6

Entrée : ouverte pour tous les véhicules, les camions et les piétons ;

Sortie : ouverte pour tous les véhicules, les camions et les piétons.

Par ailleurs les accès No3, No4 et N°7 fonctionneront selon leur mode habituel.

A cet effet les usagers de la plateforme portuaires sont invités à la stricte observance des présentes dispositions.

Le Directeur des Opérations Portuaires et de la Sécurité, le Commandant du Port et le Commissaire du Commissariat Spécial du Port, sont chargés chacun en ce qui le concerne de l’application stricte de la présente note.

 

Cotonou, le 0 8septembre 2022

Le Directeur Général,

 

Joris Al vent FHYS.