La presse Béninoise en deuil, décès du journaliste Ismaël Keko

La presse béninoise est éplorée. Le journalisteIsmaël Keko n’est plus. Il est passé de vie à trépas  ce vendredi 11 juin 2021.

La presse béninoise est éplorée. Le journaliste Ismaël Keko n’est plus. Il est passé de vie à trépas  ce vendredi 11 juin 2021.

Selon certaines sources,  Ismaël Keko est décédé  des suites d’une maladie.

Journaliste au quotidien ‘‘La Nouvelle Tribune’’, il était également le Secrétaire à l’organisation du Réseau des Journalistes Accrédités au Parlement.

Le journaliste Ismaël Keko n'est plus!
Le journaliste Ismaël Keko n’est plus!

Kpakpato Medias présente ses sincères condoléances à la famille, proches et amis du défunt !!!

Manassé AGBOSSAGA

Deuil dans la presse béninoise : Le journaliste Isidore Tony Lohou n’est plus !

Deuil dans la presse béninoise !  Le journaliste  Isidore Tony Lohou n’est plus !

D’après Inf’au Zénith, il est  décédé  des suites d’un accident de la circulation dans la nuit du dimanche 14 mars 2021.

 Avant sa mort, Isidore Tony Lohou était journaliste-rédacteur au  quotidien «  Nouvelle Expression ».

Condoléances à sa famille, à toute l’équipe de   «  Nouvelle Expression », .. !

Manassé AGBOSSAGA

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Tomèty tire à boulets rouges sur la Presse béninoise : « elle traîne trop de brebis galeuses… des journalistes sans vocation et sans respect… »

Absent ces derniers mois sur son canal préféré, Simon Narcisse Tomèty a signé son come-back ce samedi 05 décembre. Et pour ce retour, le président du Café africain des néo-philosophes a tiré à boulets rouges sur la Presse béninoise. Lancien directeur de lEcole de la nouvelle conscience parle notamment « de brebis galeuses », de « journalistes sans vocation, sans respect pour les droits de lhomme », et plaide pour une «une presse citoyenne, une presse au service du BIEN ». Intégralité de son réquisitoire.

Simon Narcisse Tomèty

La presse béninoise, une plaie puante

La presse béninoise, à l’exception de quelques rares organes et journalistes, est moralement et éthiquement au rabais.

L’urgence pour le prochain régime est d’organiser les États Généraux de la presse car les organes de presse ont été la cheville ouvrière de l’instauration de la dictature sanglante et monopolistique au Bénin depuis 2016. La promotion de la dictature est devenue un centre de PROFIT pour certains journalistes au mépris de leur propre déontologie. La désertion du PATRIOTISME dans ce milieu de la presse au profit de l’opportunisme mercantilo-politique est le moteur de tous les complots contre les acquis de la conférence nationale dont les socles moraux et institutionnels sont la démocratie et le consensus.

Oui, une presse affamée devient un outil dangereux pour la paix, la stabilité de l’État et le développement.

La presse béninoise a violé, depuis avril 2016 et en permanence, la conscience des citoyens béninois. Elle a été le moteur des clivages entre Béninois. Elle est la stratégie d’insémination de la peur aux cadres et à tout le peuple. C’est elle qui est aux ordres et payée pour répandre les humiliations sans gêne émanant du régime actuel.

Cette presse est indigne pour son rôle sadique dans la destruction de la cohésion nationale. C’est une presse de comploteurs qui a tourné le dos à la dignité humaine et à la république.

Je suis un homme révolté car rien n’égale la dignité humaine. Cette presse doit faire son mea-culpa pour son auto assainissement car elle traîne trop de brebis galeuses c’est-à-dire des journalistes sans vocation et sans respect pour les droits de l’homme.

Pour autant, nous soutenons que cette presse doit être réformée pour que les hommes et les femmes des médias professionnels puissent vivre dignement de leurs métiers afin de finir avec le griotisme de bas étage par lequel beaucoup se sont illustrés pour pouvoir jouir de la rente dictatoriale.

La presse béninoise doit redevenir une presse citoyenne, une presse au service du BIEN. Tel est mon souhait. Tout est éphémère!