CRIET : un simple employé de Turkish Airlines et plusieurs prévenus condamnés à 02 ans de prison, le policier libéré

La Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (Criet) a rendu son verdict dans l’affaire corruption et fausse attestation de visa et de franchises de bagages des passagers, impliquant …

La Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (Criet) a rendu son verdict dans l’affaire corruption et fausse attestation de visa et de franchises de bagages des passagers, impliquant  un agent de Turkish Airlines, un policier et une dizaine de personnes. Après plusieurs mois de procès, un simple employé de la compagnie TURKISH AIRLINES occupant le poste de Sales and Traffic a été condamné, mardi 27 juin 2023, à 02 ans de prison  dont 1 ferme, rapporte Bip radio.  5 autres prévenus ont également été condamnés à la même peine. Ils sont au total sept à être déclarés coupables pour corruption passive  dans le privé.

Quant au policier et au gérant de l’agence de voyage d’origine indienne, ils ont été relaxés au bénéfice du doute

En avril dernier, 13 personnes ont été écoutées dans ce dossier de corruption et fausse attestation de visa et de franchises de bagages des passagers dans une enquête menée par la Brigade économique et financière. 11 personnes avaient ensuite été placées en détention provisoire après présentation au procureur spécial de la Criet.

M.A

Sénégal : Ousmane Sonko risque 10 ans de prison dans une affaire de viol présumé

Au Sénégal, Ousmane Sonko n’a pas fini avec les procès. L’opposant fait déjà face à un dossier judiciaire après sa condamnation, à six (06) mois de prison avec sursis en appel, pour diffamation, injures et faux contre le ministre du Tourisme Mame Mbaye Niang le  08 mai dernier.

Au Sénégal, Ousmane Sonko n’a pas fini avec les procès. L’opposant fait déjà face à un nouveau dossier judiciaire après sa condamnation, à six (06) mois de prison avec sursis en appel, pour diffamation, injures et faux contre le ministre du Tourisme Mame Mbaye Niang, le  08 mai dernier.

Le maire de Ziguinchor est jugé dans une affaire de viol présumé. Adji Sarr, une ancienne employée, d’un salon de massage accuse Ousmane Sonko de viol. Au tribunal de Dakar, mardi 23 mai, le procureur a requis tard dans la nuit, une peine de 10 ans de réclusion criminelle pour viol ou une peine de 5 ans de prison pour « corruption de la jeunesse ».

L’opposant qui dénonce un « complot » pour l’empêcher de se présenter à la prochaine présidentielle ne s’est pas présenté au procès. Ses partisans montent la garde à son domicile à Ziguinchor. Quant à ses avocats, ils ont quitté la salle d’audience dès la mi-journée. Ils dénoncent une violation des droits de la défense.

M.A

CRIET : Le procès du journaliste Virgile Ahouansè à nouveau reporté

Nouveau report du procès du journaliste Virgile Ahouansè et ses co-accusés! Programme lundi 13 mars après sa suspension le  13 février dernier, le dossier a été renvoyé au 13 avril à la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (Criet). Motif 

Nouveau report du procès du journaliste Virgile Ahouansè et ses co-accusés! Programme lundi 13 mars après sa suspension le  13 février dernier, le dossier a été renvoyé au 13 avril à la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (Criet). Motif : absence du 2è substitut ayant en charge le dossier, hier lundi à l’audience.

Dans ce dossier, le directeur de l’information du site d’informations et de la radio en ligne Crystal News, le chef quartier de Dowa Centre et le  gardien de l’école de l’Epp Dowa,  sont accusés de « diffusion par voie électronique de fausses informations affectant la tranquillité publique, complicité de diffusion », suite à la diffusion sur Crystal News d’une enquête sur des exécutions extrajudiciaires par la police républicaine à l’Epp Dowa à Porto-Novo.

M.A

CRIET : Le journaliste Virgile Ahouansè et ses co-accusés à nouveau, à la barre lundi prochain

Sauf changement de dernière minute,  Virgile Ahouansè et ses co-accusés retourneront à la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (Criet) la semaine prochaine.

Sauf changement de dernière minute,  Virgile Ahouansè et ses co-accusés retourneront à la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (Criet) la semaine prochaine. Suspendu le lundi 13 février dernier après son ouverture, le procès reprendra le lundi 13 mars prochain.

Dans ce dossier, le directeur de l’information du site d’informations et de la radio en ligne Crystal News, le chef quartier de Dowa Centre et le  gardien de l’école de l’Epp Dowa,  sont accusés de « diffusion par voie électronique de fausses informations affectant la tranquillité publique, complicité de diffusion », suite à la diffusion sur Crystal News d’une enquête sur des exécutions extrajudiciaires par la police républicaine à l’Epp Dowa à Porto-Novo.

.M.A

Drame de Dassa : le procès du DG de Baobab Express et ses collaborateurs renvoyé

Prévu ce lundi 27 février, le procès du Dg Baobab Express et des autres responsables de la compagnie de transport de voyage  n’a plus eu lieu. L’audience a été finalement reportée au 13 mars 2023.

Prévu ce lundi 27 février, le procès du Dg Baobab Express et des autres responsables de la compagnie de transport de voyage  n’a plus eu lieu. L’audience a été finalement reportée au 13 mars 2023.

Selon les informations de Frissons Radio, le procès a été renvoyé en raison de la tenue de session criminelle du tribunal de Savalou.

Le 29 janvier dernier, un bus de la compagnie de transport de voyage Baobab Express entrait en collision avec un camion, provoquant un incendie. L’accident a fait plus de 20 morts.

Une enquête a été ouverture dans la foulée et le DG de Baobab Express et 03 de ses collaborateurs ont été interpelés et gardés à vue. Après leur présentation au procureur, ils ont été placés sous mandat de dépôt, avant de bénéficier d’une liberté provisoire le 10 février dernier.

Ils sont toutefois  poursuivis pour « homicide involontaire, faux certificat, usage de faux certificat et blessures involontaires ».

M.A

Ouverture du procès décès de patients au CNHU pour coupure de courant : Le dossier renvoyé en novembre, l’essentiel à retenir de l’audience

Comme annoncé le procès de l’affaire dite décès de 4 patients au service de réanimation du CNHU pour coupure de courant s’est ouvert ce mardi 25 octobre 2022 au Tribunal de Cotonou. Une audience marquée par des coupures de courant et les comparutions de certains prévenus et du médecin de garde le jour du drame.

Comme annoncé le procès de l’affaire dite décès de 4 patients au service de réanimation du CNHU pour coupure de courant s’est ouvert ce mardi 25 octobre 2022 au Tribunal de Cotonou. Une audience marquée par des coupures de courant et les comparutions de certains prévenus et du médecin de garde le jour du drame.

 Selon le point fait par nos confrères de Frissons Radio, l’audience a démarré à 10h34 au tribunal de Cotonou ce mardi 25 octobre 2022 avec  quatre personnes dans le box des accusés. Premier à déposer à la barre, mais sans gilet de prison, le médecin de garde la nuit du drame. Alors qu’il livrait son témoignage, le courant disparaît de la salle d’audience. Le juge prononce donc une suspension un peu avant 11h.

Après le retour du courant, le DG de la société Palutech, prestataire de service au CNHU de Cotonou a comparu. Dans sa déposition, il a martelé que les 4 décès enregistrés ne sont pas dus à son entreprise. Il a soutenu que c’est un problème électrique, ajoutant qu’un agent de l’hôpital aurait oublié d’appuyer le bouton pour réalimenter la zone où se trouve l’appareil livré au CNHU en cas de coupure de courant.

Ce que semble confirmer l’un des agents du CNHU qui a également comparu. Il admet avoir oublié de remettre le compact quand le courant a été rétabli. A la question du juge de savoir ‘‘Pourquoi avez-vous oublié’’, ce dernier balance  « c’est l’excès de travail. J’étais troublé ».

Toutefois, le médecin de garde a relativisé, soutenant que  « c’est la rupture d’oxygène qui a causé les décès ». Docteur Fernand Soton a ensuite précisé les heures de décès.

« Le premier :6h45. Le deuxième :6h55.Le troisième: 6h58.Le quatrième:7h Le courant a été rétabli à 7h19 », a indiqué le médecin de garde.

Pour sa , le représentant du ministère de la santé a soutenu que le ministère a joué sa partition pour éviter de tel drame.

Le juge a ensuite renvoyé le dossier au mardi 08 novembre.

Avant ça, il a dit non aux demandes de mise en liberté provisoire sollicitées par les avocats des quatre détenus ayant comparu, poursuivis pour homicide involontaire.

Rendez-vous est donc pris dans deux semaines, espérant cette fois-ci que les ‘‘dieux’’ de la  SBEE ne gâchent pas le procès.

M.A

Affaire décès de patients au CNHU-HKM pour cause de coupure de courant : Le procès s’ouvre ce mardi au tribunal de Cotonou

Jour J ! Le procès des 4 décès survenus au service de réanimation du CNHU/HKM le 7 octobre dernier après une coupure, s’ouvre ce mardi 25 octobre 2022 au tribunal de Cotonou. Les 4 mis en causes, placés sous mandat de dépôt depuis le 13 octobre dernier, comparaissent. Il s’agit du chef de la division électricité et trois de ses collaborateurs.

Jour J ! Le procès des 4 décès survenus au service de réanimation du CNHU/HKM le 7 octobre dernier après une coupure, s’ouvre ce mardi 25 octobre 2022 au tribunal de Cotonou. Les 4 mis en causes, placés sous mandat de dépôt depuis le 13 octobre dernier, comparaissent. Il s’agit du chef de la division électricité et trois de ses collaborateurs.

Selon les conclusions des premières enquêtes, des dysfonctionnements ont été constatés dans les tâches à accomplir en cas de coupure de courant.

M.A

Affaire évasion de Georges Bada : le procès prévu le 28 avril à la Criet

Nouvel épisode dans le feuilleton ‘‘évasion spectaculaire de Georges Bada’’. Après l’évasion de l’ex maire d’Abomey-Calavi du Centre national hospitalier universitaire Hubert Koutoukou Maga (CNHU/HKM), où il était hospitalisé, les personnes interpelées  et placées sous mandat de dépôt seront jugées,  le 28 avril prochain à la Cour de  répression des infractions économiques et du terrorisme (Criet).

Elles sont au total quatre dont 4 agents de la Police républicaine, notamment les éléments commis à la garde du détenu  et la sœur de Georges Bada.

Au moins 20 personnes ont été écoutées au lendemain de l’évasion de Georges Bada, dans la nuit du jeudi 17 au vendredi 18 Mars 2022.  Plusieurs enquêtes ont été ouvertes.

Côté Georges Bada, toujours pas de trace du fugitif même si certains médias évoquent sa présence en Europe ou au Ghana.

Manassé AGBOSSAGA

Bénin: Un homme condamné à 15 ans de prison pour avoir tué son tailleur avec une paire de ciseau

Un homme condamné  à 15 ans de prison ferme pour avoir mortellement poignardé son tailleur avec une paire de ciseau. La sentence a été prononcée ce lundi 14 mars 2022 lors de la session criminelle au tribunal d’Abomey-Calavi.

Un homme condamné  à 15 ans de prison ferme pour avoir mortellement poignardé son tailleur avec une paire de ciseau. La sentence a été prononcée ce lundi 14 mars 2022 lors de la session criminelle au tribunal d’Abomey-Calavi.

 

Ça se passe en 2017. D’après le récit de Frissons Radio, l’accusé commande une tenue à son tailleur sans lui remettre l’argent. A la livraison, et contrairement aux accords, il remet seulement 1000 fcfa à son tailleur.

Mécontent de ce paiement, le tailleur se rend chez son client pour exprimer sa déception vis-à-vis de son geste. Il ne retrouvera pas ce dernier.

Toutefois, il laisse une commission à la femme  de son client. De retour, il est informé du passage de son tailleur. Ce qui le met en courroux. Il se rend précipitamment à l’atelier de son tailleur.

Une fois sur les lieux, le ton monte et une bagarre éclate entre les deux hommes.

Le client se saisit d’une paire de ciseau, et poignarde le tailleur au bras. Le mal est fait.

La victime succombe à ses  blessures à l’hôpital.

Interpellé et en prison, depuis septembre 2017, il a été condamné à 15 ans de prison ce lundi 14 mars 2022.

Manassé AGBOSSAGA

Criet : Le procès des opposants Alexandre Hountondji et Joseph Tamégnon ouvert, puis renvoyé au 25 octobre

Le procès des opposants Alexandre Hountondji et Joseph Tamègnon, en détention depuis avril 2021, s’est ouvert ce lundi 9 août 2021 à la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (Criet). Tous deux membres mouvement ‘‘S’engager pour le Bénin’’, ils sont poursuivis pour des « actes de terrorisme » suite aux manifestations contre la prolongation de 45 jours du mandat présidentiel de Patrice Talon.

Joseph Tamègnon
Joseph Tamègnon, ancien Dg de la Sogema, l’un des accusés

A la barre, les deux opposants ont plaidé non coupables et nié les accusations portées à leurs endroits. Les avocats des mis en cause ont sollicité une remise en liberté provisoire  pour leurs clients. Le ministère public a, pour sa part, invité la Cour à se déclarer incompétente, et a renvoyé le dossier en instruction

Mais après plusieurs heures d’échanges,  le juge de la Criet a décidé de renvoyer le procès au 25 octobre 2021. A l’occasion,  la Cour sera appelée à se prononcer sur la demande de remise en liberté provisoire de Joseph Tamègnon et Alexandre Hountondji et le renvoi en instruction.

Affaire à suivre donc !!!

Manassé AGBOSSAGA