Le ‘‘Padré du social au 229’’ a encore frappé ! Des équipements offerts à des femmes productrices de gari à Manigri

Le ‘‘Padré du Social au 229’’ a encore frappé ! Richard Boni Ouorou, puisque c’est de lui qu’il s’agit, vole à nouveau au secours d’une association de femmes.  Après le Groupement de femmes “Gbenondjou Affossogbé” de l’arrondissement d’Ayomi, commune de Dogbo, dans le département du Couffo, l’homme a, à travers sa fondation, doté en matériels et équipements de braves et laborieuses femmes de la commune de Manigri.

Le ‘‘Padré du Social au 229’’ a encore frappé ! Richard Boni Ouorou, puisque c’est de lui qu’il s’agit, vole à nouveau au secours d’une association de femmes.  Après le Groupement de femmes “Gbenondjou Affossogbé” de l’arrondissement d’Ayomi, commune de Dogbo, dans le département du Couffo, l’homme a, à travers sa fondation, doté en matériels et équipements de braves et laborieuses femmes de la commune de Manigri. Comme leurs consœurs de Dogbo, elles s’investissent dans la production  de gari et autres produits dérivés du manioc.

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Les équipements offerts, le dimanche 13 avril dernier par les représentantes et représentants de la fondation Terriens-nes,  sont composés, entre autres, d’une râpeuse électrique, des tamis, des gants, des coupe-coupes, des bassines. La cérémonie de remise de don a eu lieu à Kikélé dans l’arrondissement de Manigri. A l’occasion, ces femmes productrices  de gari ont témoigné toute leur gratitude au président Richard Boni Ouorou.

Elles ont soutenu que ce geste vient réduire leurs peines et booster leurs productivités, tout en adressant d’autres doléances.

« Nous avons offert après Dogbo dans le Couffo où nous avons récemment apporté notre soutien aux braves femmes productrices de Gari, c’était le dimanche,  le tour des braves et laborieuses femmes de la commune de Manigri de recevoir une machine et plusieurs équipements pour la transformation du manioc et la production du Gari à l’instar de leurs collègues de Dogbo dans le Couffo à qui nous avons offert les mêmes équipements. La richesse comme me l’a apprise ma défunte mère, ce n’est pas avoir tout pour soi et le sourire aux lèvres seul dans son coin, mais c’est de permettre à ce que tous les visages qui croisent notre regard soient heureux d’espoir et de dignité. Je n’ai pas assez. Dieu le sait, mais je ne m’assoirai pas sur le peu qu’il m’a accordé sans le partager avec les miens, même si d’autres prennent ça comme une faiblesse » a, plus tard déclaré le généreux donateur.

Ceux qui trouvent toujours à redire sur les nombreuses actions sociales de Richard Boni Ouorou sont servis.

M.A