Guerre contre le commerce de sexe : la Police arrête sept gestionnaires de maisons closes à Parakou

Dans un élan déterminé pour restaurer les valeurs morales au sein de la société béninoise, le commissariat central de Parakou a récemment intensifié ses efforts contre le racolage. En réponse aux directives des autorités administratives et policières, une opération ciblée a été lancée le dimanche 08 septembre 2024, permettant l’interpellation d’une dizaine de travailleuses du sexe.

Cette croisade contre le commerce du sexe a suscité une réaction inattendue de la part des propriétaires de maisons closes, qui ont tenté d’organiser un conciliabule au quartier dépôt. Mal leur en a pris puisque la Police républicaine informée des faits s’est invitée à cette séance, entraînant l’interpellation de sept gestionnaires de maisons closes pour proxénétisme.

Cette action souligne non seulement l’engagement de la Police républicaine à lutter contre des pratiques jugées dévalorisantes pour la femme, mais également une volonté de la part des autorités de réaffirmer les valeurs culturelles et morales du Bénin.

En agissant de la sorte, la police envoie un message clair : le racolage et le proxénétisme n’ont pas leur place dans la société béninoise.

CCOM DGPR

Interpellation d’une cinquantaine de travailleuses de sexe à Cotonou

Dans un élan déterminé pour préserver l’ordre public et la moralité sociale, la Police républicaine aux côtés des autorités administratives de la ville de Cotonou ont récemment mutualisé et intensifié leurs efforts pour lutter contre le racolage dans les rues de la ville. Cette opération ciblée, impliquant tous les commissariats sous tutelle de la Direction départementale de la Police républicaine du Littoral, a conduit à l’interpellation d’une cinquantaine de travailleuses de sexe. Plusieurs enjeux cruciaux militent en faveur de cette lutte.

Cette opération contre le racolage s’inscrit tout d’abord dans une démarche de préservation des valeurs morales de la société. En intervenant sur le terrain, les autorités visent à promouvoir un cadre de vie respectueux des normes éthiques et familiales, fondamentales pour le bien-être collectif.

Ensuite, l’objectif visé est de contribuer à la prévention des risques sanitaires. Le racolage est souvent associé à des pratiques sexuelles à risque qui peuvent favoriser la propagation des infections sexuellement transmissibles (IST). En intervenant auprès des travailleuses de sexe, cette opération contribue à garantir la santé publique.

Par ailleurs, il est question de maintenir le cap quant à la lutte contre l’exploitation. Les travailleuses de sexe se trouvent souvent dans des situations de vulnérabilité et d’exploitation. En les interpellant, les autorités souhaitent également démanteler les réseaux proxénète qui les utilisent dans cette filière illicite et immorale.

Enfin, la lutte contre le racolage vise à renforcer la sécurité publique. La présence visible des travailleuses de sexe dans les espaces publics, induit un foisonnement de dealeurs dans les environs qui au prétexte de la protection de ces belles de nuits profitent pour écouler des produits psychotropes. En régulant cette activité, les forces de l’ordre œuvrent pour garantir un environnement plus sûr pour tous les citoyens, notamment les familles et les enfants.

En somme, cette opération de lutte contre le racolage à Cotonou ne se limite pas à une simple répression, mais s’inscrit dans une démarche globale visant à promouvoir une société plus saine et sécurisée.

CCOM/DGPR

Bénin : il passe une belle nuit mouvementée avec elle, mais paie avec un faux billet de dix mille

Dans la matinée du samedi 06 avril 2024, le commissariat du 6e arrondissement de la ville de Cotonou a été saisi par une jeune fille de ce qu’un individu, après avoir passé la nuit avec elle à Abomey-Calavi, l’a remercié avec un faux billet de banque en coupure de dix mille (10.000) francs CFA.

Dans la matinée du samedi 06 avril 2024, le commissariat du 6e arrondissement de la ville de Cotonou a été saisi par une jeune fille de ce qu’un individu, après avoir passé la nuit avec elle à Abomey-Calavi, l’a remercié avec un faux billet de banque en coupure de dix mille (10.000) francs CFA. La plaignante ajoute que cet individu détient une sacoche remplie des billets de banque apparemment de même nature. Elle précise aux forces de l’ordre, que le faussaire a pris un rendez-vous avec l’une de ses copines dans un bar à Kpondéhou dans la soirée.

Au su de cette information, une enquête a été ouverte. C’est ainsi que dans la même soirée, le mis en cause a été localisé et interpellé dans le bar indiqué en possession effectivement une sacoche remplie de faux billets de banque en coupure de dix mille (10.000) francs CFA.

Après le comptage, une somme d’un million trente mille (1.030.000) francs CFA de faux billets de banque en coupure de dix (10.000) francs CFA a été saisie. Interrogé sur l’origine de ces faux billets, il déclare les avoir reçus de l’un de ses clients à Sèkandji.

Les investigations se poursuivent.

Source : cell comm police républicaine