Pâques : La pensée spéciale de Richard Boni Ouorou aux Béninois (ses) qui « souffrent en silence »

Les Chrétiens du Bénin, d’Afrique et du monde entier sont à l’honneur ce jour. Ils célèbrent ce dimanche 31 mars 2024 la fête de Pâques. Un événement qui n’a pas laissé Richard Boni Ouorou indifférent. 

Les Chrétiens du Bénin, d’Afrique et du monde entier sont à l’honneur ce jour. Ils célèbrent ce dimanche 31 mars 2024 la fête de Pâques. Un événement qui n’a pas laissé Richard Boni Ouorou indifférent.

Sur sa page Facebook, il a souhaité « une bonne fête de Pâques à toute la communauté chrétienne de notre pays et du monde entier ».

Conscient des difficultés que traversent les populations, le président du mouvement   Libéral Bénin a ensuite « invité chacun.e de nous à avoir une pensée particulière à tous nos frères et à toutes nos sœurs qui souffrent en silence ». « Que nos prières ravivent en eux et en elles la flamme de l’espérance et que dans la communion, nous prions tous et toutes pour notre pays le Bénin », a t-il ajouté.

M.A

Bénin : Richard Boni Ouorou appelle à une « vérification rigoureuse » des  » thèses » et « diplômes délivrés  » en Droit, la raison (Tribune)

Il m’a été donné de constater, suite à une correspondance reçue inbox dont l’auteur se reconnaîtra, lequel s’interrogeait quant à mon silence relatif à la récente réforme du code électoral. L’interrogateur s’interrogeait si le silence observé de la part était le fruit d’une satisfaction tacite quant aux termes de « l’accord de gouvernance actuellement en vigueur. »

Code électoral: jeudi 28 Mars 2024.

Salut terrien,ne,s

Il m’a été donné de constater, suite à une correspondance reçue inbox dont l’auteur se reconnaîtra, lequel s’interrogeait quant à mon silence relatif à la récente réforme du code électoral. L’interrogateur s’interrogeait si le silence observé de la part était le fruit d’une satisfaction tacite quant aux termes de « l’accord de gouvernance actuellement en vigueur. »

En toute franchise, cette interrogation m’a suscité un rire, non pas par dérision, mais du fait de l’absurdité sous-jacente. Quelle contribution puis-je raisonnablement apporter à un débat lorsqu’il est entaché par une réforme qui, à mon sens, s’écarte des principes juridiques les plus élémentaires?

Il est de notoriété publique que la rigueur juridique impose que les textes législatifs soient rédigés, ou a minima révisés, par des juristes qualifiés. Or, la structure actuelle du code électoral désormais malheureusement en vigueur semble davantage s’apparenter à un règlement intérieur qu’à une loi au sens strict, la loi se caractérisant par sa généralité et son abstraction, tandis que le règlement est, par essence, détaillé et spécifique à une situation donnée.

La question de l’intégration de l’accord de gouvernance au sein du code électoral est, en elle-même, source de perplexité. L’accord de gouvernance, de par sa nature éphémère, ne saurait être cristallisé au sein d’une loi qui se veut pérenne. Les alliances politiques sont des constructions conjoncturelles, censées répondre à des objectifs électoraux immédiats, et non à une structuration légale sur le long terme.

Il est navrant d’observer que le processus législatif puisse être influencé et peut-être dictée par des individus dont l’expertise en droit est questionnable, voire inexistante. La promulgation d’une loi ne saurait être le fruit de consultations téléphoniques improvisées et de l’implantation d’idées dénuées de fondement juridique.

L’écho de ma voix et l’impact de mes messages sont désormais si forts et importants que je me trouve dans l’incapacité morale de m’étendre davantage sur ce sujet, tant la déchéance intellectuelle et l’opportunisme qui sévissent me poussent au silence.

Cependant, je nourris l’espoir et la détermination de contribuer, dans un avenir proche, à un renversement de cette tendance, afin de restaurer l’intégrité et la propreté de notre système juridique qui est désormais sujet dérisoire.

Il apparaît, à la lumière des événements législatifs récents , que notre pays pourrait bénéficier dans un avenir proche sous notre impulsion, d’une vérification rigoureuse ou d’un rappel de certaines thèses universitaires et des diplômes délivrés, afin d’assurer la légitimité et la compétence de ceux qui façonnent nos lois.

En ces temps de jeûne, que Allah dans toute sa miséricorde veille sur notre nation et protège notre peuple.

Prenez bien de vous,
#liberal
#Prosperonsensemble
Richard Boni Ouorou [❤️]

Victoire de Bassirou Faye : Richard Boni Ouorou attire l’attention du peuple béninois sur la principale leçon à retenir

Richard Boni Ouorou s’adresse au peuple béninois après la victoire de Bassirou Faye à la présidentielle du 24 mars dernier au Sénégal 

Richard Boni Ouorou s’adresse au peuple béninois après la victoire de Bassirou Faye à la présidentielle du 24 mars dernier au Sénégal.  Lire ci-dessous son message pour en savoir plus sur le contenu.

Chers compatriotes béninois,

l’heure est venue de parler avec franchise et de tirer des enseignements de nos frères et sœurs du Sénégal. L’ascension de Faye à la présidence du Sénégal est un symbole puissant qui résonne à travers l’Afrique et qui devrait éveiller en chacun de nous un esprit de réflexion et d’action.

Faye, un jeune homme d’une quarantaine d’années, a incarné l’espoir et le désir de changement d’un peuple assoiffé de renouveau politique. Son élection n’est pas seulement la victoire d’un individu, mais celle d’un idéal, celui d’une classe politique dynamique et en phase avec les aspirations de sa jeunesse. C’est un appel retentissant à l’émancipation de la dépendance néocoloniale et à la fin des pratiques patrimonialistes qui ont trop longtemps étouffé le potentiel de nos nations.

Le cas de notre propre pays, le Bénin, est poignant. Nous observons avec inquiétude la mainmise sur nos institutions, la confection de lois sur mesure, et une inertie civique qui menace l’intégrité de notre démocratie. Trop souvent, nous avons confiné notre activisme aux commentaires sur les réseaux sociaux, négligeant ainsi la puissance de l’action collective sur le terrain.

Le peuple sénégalais a démontré que lorsque la volonté populaire est unie et déterminée, aucun obstacle ne peut entraver la marche vers le progrès. La leçon pour nous, peuple béninois, est claire : la passivité n’est pas une option. Il ne suffit pas de désirer le changement ; nous devons le manifester activement et courageusement.

Notre président, M. Patrice Talon, a exprimé sa douleur de ne pas être aimé par son peuple, mais comment peut-on aimer un dirigeant qui semble plus fidèle à une identité étrangère qu’à la sienne propre ? Comment pouvons-nous soutenir une gouvernance qui ne reflète pas nos besoins, nos désirs et notre identité en tant que Béninois ?

Il est temps de transcender les limites de la contestation virtuelle et de passer à l’action concrète. Nous devons exiger des comptes, nous réunir dans la solidarité, et, surtout, nous devons exercer notre droit démocratique de manifester notre mécontentement face à une gouvernance qui ne nous sert pas. La démocratie n’est pas seulement le droit de voter, mais aussi le droit de s’opposer, de critiquer et de proposer un chemin meilleur pour notre avenir commun.

Ainsi, je vous appelle, à vous inspirer de l’exemple sénégalais. Mettons de côté notre passivité et embrassons notre pouvoir citoyen. Engageons-nous dans le processus politique, exigeons la transparence, la responsabilité et l’intégrité de nos dirigeants. Il est temps de revendiquer une gouvernance qui reflète nos aspirations et qui tire sa légitimité non pas de l’entretien des héritages coloniaux, mais de l’adhésion aux principes de justice, d’équité et de prospérité pour tous.

Nous devons reconnaître que l’activisme numérique, bien qu’important, ne peut remplacer l’engagement civique tangible et la mobilisation sociale. Les hashtags ne peuvent seuls bâtir des nations, et les commentaires sur Facebook et whatsapp ne peuvent remplacer les actions. Nos voix doivent se faire entendre au-delà du cyberespace, dans les rues, les places publiques et les couloirs du pouvoir.

Nous devons également soutenir l’émergence de nouveaux leaders – des hommes et des femmes qui, comme Faye au Sénégal, s’engagent à servir le peuple avec intégrité et à construire un Bénin où le potentiel de chacun peut s’épanouir sans la crainte d’être étouffé par les ombres du népotisme ou de l’ingérence étrangère.

Nous ne pouvons tolérer que des lois soient fabriquées pour convenir à une seule personne ou à un groupe restreint. Nous ne pouvons accepter que notre avenir soit décidé dans l’ombre, sans le consentement éclairé et actif de la population. L’exemple de Faye doit nous inciter à une prise de conscience collective, à une mobilisation qui réclame un changement véritable et tangible.

Le moment est venu de mettre fin à l’apathie et de réclamer avec force le Bénin que nous méritons. Un Bénin où la jeunesse peut rêver d’un avenir meilleur, où l’économie est au service de tous, et où la politique est une question de service public et non de gains personnels.

Le chemin vers la liberté et la justice est souvent semé d’embûches, mais l’histoire nous enseigne que la persévérance et l’unité du peuple sont les clés de la victoire. Ensemble, bâtissons un Bénin fort, uni et démocratique. Ensemble, faisons entendre notre voix. Ensemble, prenons en main notre destin.

La victoire de Faye est notre lumière guide. Suivons cette lumière, le Bénin le mérite.

#liberal
#Prosperonsensemble
Richard Boni Ouorou

Serein, infatigable et imperturbable : Richard Boni Ouorou poursuit sa tournée nationale

Malgré les intrigues, les sabotages et plans machiavéliques pour fermer le jeu politique, Richard Boni Ouorou reste serein et imperturbable. Preuve, le président du mouvement Libéral Bénin reste fidèle à son agenda. De Thio, à Belefoungou, en passant par Grand-Popo, Il va au contact des populations depuis son retour au bercail.

Malgré les intrigues, les sabotages et plans machiavéliques pour fermer le jeu politique, Richard Boni Ouorou reste serein et imperturbable. Preuve, le président du mouvement Libéral Bénin reste fidèle à son agenda. De Thio, à Belefoungou, en passant par Grand-Popo, Il va au contact des populations depuis son retour au bercail.

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Rentré en janvier dernier, Richard Boni Ouorou parcourt rues, quartiers, villes,…bref toutes les 77 communes du Bénin. Il enchaîne les rencontres avec les militants du  mouvement Libéral et sympathisants.

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Respectueux, attaché à la tradition et homme de Culture, le président du mouvement Libéral ne pose pas ses pieds dans une contrée sans prendre la peine de recueillir les bénédictions des têtes couronnées.

C’est ainsi qu’il a, entre autres, été reçu par sa majesté roi de TOFFO, par le Roi de Parakou, ou encore par l’empereur de Nikki. Partout où il est passé, Richard Boni Ouorou a eu droit à un accueil chaleureux.

C’est le cas au Royaume de Nikki, où après son tête-à-tête avec l’Empereur, le Premier ministre du Royaume lui a rendu un vibrant hommage.

« Dans la cour impériale, nous savons que Monsieur Richard Boni Ouorou existait, parce que nous recevons ses œuvres à la cour impériale. Mais aujourd’hui, il est venu en personne, ça été toute une joie. Il est prêt à appuyer la culture de notre pays, ça nous renforce, ça nous permet de sentir qu’on a des fils du pays qui soutiennent la tradition. Je tiens à lui souhaiter la bonne santé, la longévité et le succès », a déclaré le premier ministre,  Sina Douwirou.

Des encouragements qui dopent le moral de l’homme à aller au bout de sa tournée nationale même si la fatigue où de petits soucis  de santé viennent se glisser comme ce fut le cas lors de son déplacement au Royaume de Nikki,  avec un cathéter à la main.

 » (…) avant la fin de cette année, j’irai là où il y aura un seul Béninois », a martelé Richard Boni Ouorou, comme pour signifier que dans son combat politique, seul compte, son agenda.

Manassé AGBOSSAGA

Questions-Orales sur les emprunts répétés : Les alertes de Richard Boni Ouorou trouvent écho au Parlement

Quand Gafari Adéchokan porte une préoccupation majeure de Richard Boni Ouorou au Parlement. Pour cause, le député du parti d’opposition Les Démocrates a adressé 09 questions au gouvernement du président Talon sur le recours excessif aux emprunts. Cette louable initiative de l’élu de la 15ème circonscription électorale va sans doute permettre d’en savoir plus sur la dette publique. En attendant la réponse du ministre des finances sur le sujet, la question-orale du député Adéchokan sur les emprunts prouvent, à nouveau, que le président du mouvement Libéral Bénin ne prêche pas dans le désert.

Quand Gafari Adéchokan porte une préoccupation majeure de Richard Boni Ouorou au Parlement. Pour cause, le député du parti d’opposition Les Démocrates a adressé 09 questions au gouvernement du président Talon sur le recours excessif aux emprunts. Cette louable initiative de l’élu de la 15ème circonscription électorale va sans doute permettre d’en savoir plus sur la dette publique. En attendant la réponse du ministre des finances sur le sujet, la question-orale du député Adéchokan sur les emprunts prouvent, à nouveau, que le président du mouvement Libéral Bénin ne prêche pas dans le désert.

QUESTIONS ORALES SANS DEBAT AU GOUVERNEMENT

1- Quel est l’état actuel de notre économie et de nos finances publiques et quelles sont les perspectives économiques projetées qui permettront de soutenir ce nouvel engagement pour un niveau d’endettement déjà élevé ?

2- Qu’est ce qui justifie le recours systématique aux emprunts obligataires par le gouvernement de la rupture ?

3- Le Bénin n’a-t-il plus accès aux emprunts concessionnels sur le plan international ?

4- Cet euro bond d’un montant de 750 millions de dollars, ceux déjà reçus et ceux qui suivront ne constituent-ils pas un goulot d’étranglement pour le développement harmonieux des générations futures ?

5- Concrètement à quoi sera consacrée cette nouvelle levée d’euro bond de 150 millions de dollars ?

6- La représentation nationale demande au gouvernement de mettre à sa disposition les actes d’émissions et de finalisation de cette opération.

7- Bien vouloir mettre aussi à la disposition de la représentation nationale toutes les informations et structures d’intermédiation financière qui accompagnent officiellement le Bénin dans ces opérations.

8- Pourquoi recourir en fin de mandat aux endettements contraignants comme des emprunts obligataires, dont la gouvernance de la rupture ne connaîtra pas la maturité pour assurer le remboursement ?

9- Enfin, dans cet exercice dont le Bénin semble devenir coutumier, quelles sont les garanties dont le gouvernement s’est entouré pour éviter que notre pays devienne la cible des fonds vautours spécialisés dans le rachat des dettes des pays en difficulté de payement et qui prennent en otage l’économie de ces pays ? Ce qui à terme ruinera l’espérance de lendemain économique meilleur pour les générations futures.

Fructueux échanges entre Richard Boni Ouorou et des jeunes Libéraux des 19e, 20e et 21e CE : le pacte de la fidélité et du développement scellé !

Richard Boni Ouorou est allé, samedi dernier, au contact des populations de Sèmè-Podji, Porto-Novo, d’Adjarra, de Sakété, Kétou, Pobè et autres communes des départements de l’Ouémé et du Plateau. A l’initiative du jeune leader, Frédéric Zoumènou, le président du Mouvement Libéral s’est entretenu avec des jeunes Libéraux des 19e, la 20e et 21e circonscription électorale.

Peut être une image de 1 personne, éclairage et table

Dans une ambiance détendue, Richard Boni Ouorou a partagé sa vision du Bénin, mais a aussi et surtout recueilli les propositions et attentes des jeunes présents.

Parlant de vision, il a insisté sur la nécessite de s’attarder sur les vrais problèmes de développement et de moins se concentrer sur les débats politiques stériles, comme la révision de la constitution.

Pour Richard Boni Ouorou, il urge de reformer tout le système. Il plaide notamment pour la construction des hôpitaux, l’investissement dans le leadership des jeunes, la promotion de  l’emploi des jeunes, l’investissement dans les technologies pour faciliter la création des emplois.

Face à des jeunes assidus et attentifs à son message, le président du mouvement Libéral Bénin a laissé entendre que le gouvernement doit, en amont, mettre en place des mécanismes pour booster la créativité des jeunes béninois dans divers domaines.

Peut être une image de 5 personnes, personnes qui étudient et estrade

Convaincus de la justesse de son développement et de sa vision, les participants ont juré fidélité et ont pris l’engagement de travailler main dans la main pour l’atteinte des objectifs du mouvement Libéral.

Manassé AGBOSSAGA 

Impact du surendettement de notre État sur nos vies quotidiennes : Richard Boni Ouorou sort de nouveaux arguments qui appellent à la responsabilité (Réflexion)

Je poursuis ma réflexion sur l’impact du surendettement de notre État sur nos vies quotidiennes et sur l’avenir de notre pays. Comme je l’ai souligné dans mon dernier post, la dette peut sembler abstraite et éloignée de chacun de nous, mais ses répercussions sont bien réelles et tangibles. Lorsque l’État est surendetté, il doit consacrer une part importante de ses ressources au remboursement de cette dette — ressources qui pourraient autrement être investies dans des services publics essentiels tels que l’éducation, la santé et la sécurité.

Mardi 20 février 2024

Réponses à certaines de vos questions sur la dette

Terrien,ne,s

Je poursuis ma réflexion sur l’impact du surendettement de notre État sur nos vies quotidiennes et sur l’avenir de notre pays. Comme je l’ai souligné dans mon dernier post, la dette peut sembler abstraite et éloignée de chacun de nous, mais ses répercussions sont bien réelles et tangibles. Lorsque l’État est surendetté, il doit consacrer une part importante de ses ressources au remboursement de cette dette — ressources qui pourraient autrement être investies dans des services publics essentiels tels que l’éducation, la santé et la sécurité.

Le poids des intérêts colossaux de la dette publique est comme un boulet financier qui nous entrave tous. Les taxes et impôts que l’État impose pour rembourser ses créanciers réduisent le revenu disponible des ménages. Ainsi, chaque franc supplémentaire que vous payez en taxes pour que l’état paie la dette est un franc que vous ne pouvez pas dépenser pour nourrir votre famille, éduquer vos enfants ou épargner pour l’avenir.

Je comprends ceux parmi vous qui se demandent pourquoi nous devrions nous inquiéter d’une dette que nous n’avons pas personnellement contractée. Mais voici la réalité : la dette de l’État est une dette collective, dont le remboursement repose sur l’ensemble des contribuables. Chaque citoyen en ressent les effets, même si ceux-ci sont parfois invisibles au premier regard. Les décisions prises aujourd’hui par nos dirigeants en matière de dette auront des conséquences durables sur notre économie et sur notre capacité à faire face aux défis futurs.

Plus inquiétant encore est le fait que ce fardeau de la dette peut compromettre l’avenir de nos enfants. Un État surendetté a moins de moyens pour investir dans les infrastructures et les technologies de demain, ce qui peut freiner l’innovation et la croissance économique. Les opportunités qui devraient être disponibles pour la jeune génération s’amenuisent lorsque les ressources de l’État sont absorbées par la dette.

Nous devons également être conscients du risque qu’une crise de la dette souveraine éclate si les créanciers perdent confiance en la capacité de l’État à rembourser ses dettes. Une telle crise pourrait conduire à une spirale descendante de mesures d’austérité, de récession économique et d’agitation sociale.

En tant que citoyens, nous avons un rôle à jouer. Nous devons exiger de nos gouvernants une gestion responsable et transparente des finances publiques. Cela ne veut en aucun cas dire que nous sommes contre nos gouvernants ou que nous appelons à une révolte et de toutes les façons la révolte ne règle pas la dette qui s’aggravera encore avec elle.

Nous devons donc soutenir des politiques qui favorisent la croissance économique durable et l’équité sociale. Nous devons aussi encourager des politiques qui visent à réduire le déficit budgétaire de manière responsable, sans sacrifier les investissements dans les domaines clés qui assurent notre bien-être et notre compétitivité. Il est impératif que nous soutenions des initiatives qui stimulent la création d’emplois, l’innovation et entrepreneuriat, car c’est par la croissance économique que nous pourrons à terme diminuer le poids de la dette.

Il est également crucial que nous, en tant que citoyens, soyons éduqués sur ces questions financières. L’ignorance économique peut mener à l’indifférence ou à la résignation, mais notre engagement et notre compréhension peuvent pousser à l’action saine et au changement. Nous devons questionner nos représentants sur leurs plans pour gérer et éventuellement réduire la dette, et nous devons être prêts à participer à des discussions constructives sur les sacrifices et les compromis qui pourraient être nécessaires.

Nous devons aussi veiller à ce que les mesures prises pour gérer la dette ne soient pas injustement réparties, affectant de manière disproportionnée les plus vulnérables parmi nous. Les politiques d’austérité, si elles sont mal conçues, peuvent aggraver les inégalités et la pauvreté. Nous devons donc plaider pour des solutions équitables qui protègent les services sociaux fondamentaux et investissent dans le capital humain.

Enfin, nous devons nous souvenir que la dette n’est pas seulement un défi économique, mais également un défi moral. Il est question de savoir quel type de société nous souhaitons laisser à nos enfants. Accepterons-nous de vivre avec des dettes toujours plus lourdes, ou prendrons-nous les mesures nécessaires pour inverser cette tendance ?

C’est une question qui mérite une réflexion profonde et une action déterminée de la part de tous les acteurs de la société.
L’avenir de notre pays dépend de notre capacité à gérer notre dette de manière durable.

Cela nécessite de la prudence, de la sagesse et une vision à long terme. C’est en travaillant ensemble, en tant que citoyens informés et engagés, que nous pourrons assurer un avenir plus prospère et équitable pour nous-mêmes et pour les générations à venir. Ne sous-estimons pas l’impact de nos choix d’aujourd’hui sur les décennies à venir.

Il est temps d’agir avec responsabilité et solidarité.

J’espère avoir mieux répondu aux préoccupations afin de vous responsabiliser sur l’enjeu. Une responsabilité saine et des débats sans violence ni animosité.

Prenez soin de vous et à bientôt de vous lire.

#Prosperonsensemble
Issa Boni Richard Ouorou
Président du mouvement libéral Bénin [🇧🇯]

Parrainage et code électoral : Richard Boni Ouorou trouve la panacée, gratuit et ne nécessite pas une révision de la constitution

Richard Boni Ouorou vient de faire le job pour le député Assan Séibou. Gratuitement, il vient  de trouver la bonne formule pour un toilettage du code électoral, sans une révision de la constitution, conformément aux recommandations de la Cour constitutionnelle.

Richard Boni Ouorou vient de faire le job pour le député Assan Séibou. Gratuitement, il vient  de trouver la bonne formule pour un toilettage du code électoral, sans une révision de la constitution, conformément aux recommandations de la Cour constitutionnelle.

C’est dans un message adressé au président de la République ce lundi 12 février 2024, que le président du mouvement Libéral a exposé ses propositions.  Pour sortir du piège du parrainage et pour que le processus électoral reflète la volonté populaire, fondement incontestable de la démocratie, Richard Boni Ouorou propose trois  aménagements, qui pourraient être adoptés sans nécessité de modification constitutionnelle. :

“1. Réformer le Code électoral, en particulier son article 40, pour réduire le délai prévu entre la déclaration de candidature à la Commission Electorale Nationale Autonome (CENA) et le début de la campagne électorale, passant de cinquante à trente jours. Cela permettrait d’accorder un temps supplémentaire pour l’installation des nouveaux élus, qui pourraient alors exercer leur droit de parrainage dans des conditions sereines et sans conflit d’intérêt.

  1. Établir, par le biais d’un consensus élargi incluant l’ensemble des forces politiques et la société civile, une loi complémentaire qui élargirait les prérogatives de parrainage à d’autres élus, tels que les Chefs d’arrondissement et les conseillers communaux, légitimés par leur élection dans les mêmes conditions démocratiques.
  2. Instituer, toujours dans un esprit de consensus, une loi dérogatoire temporaire pour suspendre la règle de parrainage pour l’élection présidentielle de 2026, afin que le débat sur cette question puisse se poursuivre dans un climat apaisé et de confiance mutuelle, propice à la réflexion et la concertation”, propose t-il.

“Il est impératif que nous envisagions un ordre électoral qui soutient l’efficacité gouvernementale et la stabilité. À cet égard, je propose que l’élection présidentielle précède les élections générales dans le cadre du maintien de l’année électorale. Cela permettrait d’assurer que la direction politique du pays reste alignée sur la vision présidentielle, préalablement approuvée par le peuple”, ajoute le président du mouvement Libéral .

« Risques de déstabilisation »

En l’état, le spécialiste des questions politiques soutient que le système électoral instaure par le régime de la Rupture, même si “porté par de bonnes intentions”, “présente des risques de déstabilisation pour les futurs mandats présidentiels, notamment à partir de 2026”.

Richard Boni Ouorou en veut pour preuve les “récentes dissensions au sein de partis tels que le Bloc Républicain et l’Union Progressiste, illustrées par les cas de Madame Claudine Prudencio avec l’UDBN et de Monsieur Houngbédji avec le PRD. 

Ces événements soulignent la nécessité de réexaminer et de renforcer notre système partisan pour assurer sa cohérence et sa viabilité à long terme, alerte t-il.

Pour, Richard Boni Ouorou, « il est de notre devoir collectif de veiller à la robustesse de notre tissu politique, qui doit être à même de porter des idées claires et des projets pour l’avenir de notre pays ».

Et de conclure par une formule pleine de sagesse adressée directement à l’actuel locataire de la marina : “Il est donc de notre responsabilité collective, et de la vôtre en particulier en tant que Chef de l’Etat, de prendre des mesures préventives pour éviter une telle situation”.

Talon et l’auteur de la proposition de loi portant révision de la constitution apprécieront !!!

M.A

Emprunt : Richard Boni Ouorou donne des cours au ministre des Finances et ironise,  » …un emprunteur aussi compulsif… »

analysons l’émission d’eurobonds par notre pays en mettant l’accent sur le taux d’intérêt et les implications potentielles de cette dette pour l’avenir de la population et de l’économie du pays.

Cher(e)s Terrien,ne,s

analysons l’émission d’eurobonds par notre pays en mettant l’accent sur le taux d’intérêt et les implications potentielles de cette dette pour l’avenir de la population et de l’économie du pays.

Le taux d’intérêt de 8,375% que je vois sur le site de Bloomberg est très élevé par rapport aux standards des marchés développés. Pour le Bénin, un tel taux peut refléter plusieurs facteurs, y compris mais non limités à :

1. Le risque-pays : Les investisseurs exigent un rendement plus élevé pour compenser le risque accru associé à l’investissement dans des pays en développement comme notre pays , qui peuvent avoir une histoire de volatilité économique, des problèmes de gouvernance, ou des défis structurels.

2. Les conditions du marché : Les taux d’intérêt dépendent également des conditions du marché au moment de l’émission. S’il y a une forte demande pour des actifs à haut rendement, le Bénin pourrait être contraint d’offrir un taux d’intérêt plus élevé pour attirer les investisseurs.

3. La notation de crédit : Le Bénin, comme beaucoup d’autres pays africains, ont une notation de crédit plus faible par rapport aux nations développées, ce qui entraîne des coûts d’emprunt plus élevés.

En ce qui concerne les implications de cette dette :

**À court terme**, l’émission d’eurobonds peut être vue positivement car elle fournit à notre pays des fonds nécessaires pour financer le développement, investir dans les infrastructures et stimuler la croissance économique. La sursouscription indique également un fort appétit des investisseurs pour la dette béninoise, si ce n’est pour le taux d’intérêt très alléchant, ce qui peut être interprété comme un signe de confiance dans les perspectives économiques du pays.

**À moyen et long terme**, les implications sont plus nuancées. Le service de la dette à un taux aussi élevé peut accroître la vulnérabilité financière de notre pays, surtout si la dette est utilisée pour financer des projets qui ne génèrent pas un retour économique suffisant. Si les investissements réalisés avec les fonds empruntés ne conduisent pas à une croissance économique durable, le pays pourra se retrouver dans une situation où les coûts du service de la dette limitent sa capacité à investir dans d’autres domaines essentiels, tels que l’éducation, la santé et la protection sociale.

Il est donc crucial que nos autorités gèrent cette dette de manière prudente et stratégique, en s’assurant que les fonds sont alloués à des projets à fort impact économique qui peuvent stimuler la croissance, augmenter les recettes publiques et, en fin de compte, rendre le remboursement de la dette plus gérable.

l’émission d’eurobonds à un taux d’intérêt élevé peut être perçue comme un outil double tranchant. D’un côté, elle fournit des liquidités immédiates nécessaires pour catalyser le développement économique, mais de l’autre, elle impose un fardeau financier significatif qui pourrait peser sur les générations futures.

La durabilité de la dette est donc une préoccupation majeure. Le gouvernement doit veiller à ce que les projets financés par cette dette aient un taux de rendement interne (TRI) supérieur au taux d’intérêt de la dette. Cela implique une planification minutieuse et une exécution efficace des projets d’investissement. De plus, il convient d’élaborer une stratégie de gestion de la dette à long terme pour éviter les pièges du surendettement et les crises de liquidité.

Il est également impératif de diversifier ses sources de financement et cherche à renforcer sa notation de crédit, ce qui pourrait à terme abaisser les coûts d’emprunt. Cela passe par une gouvernance économique solide, une transparence accrue, une gestion budgétaire prudente et la mise en place de réformes structurelles pour améliorer le climat des affaires et attirer davantage d’investissements directs étrangers (IDE).

Par ailleurs, nous devons être attentif aux fluctuations des taux d’intérêt sur les marchés internationaux, qui peuvent affecter le coût du service de la dette, surtout s’il y a une dépendance excessive envers les emprunts en devises étrangères.

Enfin, la société civile et les institutions de surveillance doivent jouer un rôle actif dans le suivi de l’utilisation des fonds empruntés pour s’assurer qu’ils sont dépensés de manière transparente et responsable.

En somme, l’émission d’eurobonds doit être abordée avec prudence, en prenant en compte non seulement les besoins de financement actuels, mais aussi la capacité future de notre pays à honorer ses engagements financiers sans compromettre sa stabilité économique et le bien-être de nos citoyens.

Si on peut comprendre l’exaltation du ministre des finances, la responsabilité veut qu’un emprunteur aussi compulsif fasse preuve de plus conscience que joyeux.

Issa Richard Boni Ouorou

« les tensions croissantes entre partis d’opposition et de la mouvance sont en train de fracturer notre société », déplore Richard Boni Ouorou

Je m’adresse à vous aujourd’hui non pas en tant que représentant d’un parti politique, mais en tant que défenseur passionné de notre nation unie et de son peuple. Comme l’a si justement souligné notre regretté ancien président, le général Mathieu Kerekou, le spectre de la division nous menace à nouveau.

Richard Boni Ouorou dit non à la division du peuple béninois. Dans un message, il déplore les tensions croissantes entre partis d’opposition et de la mouvance pro Talon, et appelle à l’union nationale. Lire ci-dessous son message d’union et de dialogue national.

Chers concitoyens,

Je m’adresse à vous aujourd’hui non pas en tant que représentant d’un parti politique, mais en tant que défenseur passionné de notre nation unie et de son peuple. Comme l’a si justement souligné notre regretté ancien président, le général Mathieu Kerekou, le spectre de la division nous menace à nouveau.

Il est de plus en plus évident que les tensions croissantes entre parti d’opposition et ceux de la mouvance pro Patrice Talon sont en train de fracturer notre société. Cette division grandissante menace de nous entraîner dans une scission sociale qui pourrait avoir des conséquences désastreuses pour notre pays.

Les répercussions de cette polarisation politique sont déjà visibles et douloureuses. Des familles et des amitiés se brisent, les gens s’évitent et la méfiance s’installe. Pour l’opposition, un Beninois ami avec un autre béninois qui lui est proche de la mouvance est soit un apatride qui a vendu son pays ou un espion aux mains de Patrice Talon. De l’autre côté de la mouvance, la planification de L’arrestation de citoyens sous de fausses accusations parce qu’ils seraient proches de l’opposition est un autre fléau.

Les citoyens d’un même pays ne sont plus libres de se parler, ni de s’assister. Des proches s’évitent en public, évitent de se rendre aux anniversaires de leurs amis et rendre visite à leurs amis en prison, pour ne pas être taxés les uns de vendus ou les autres de pro opposition et se retrouver en prison ou avec une facture d’impôt énorme, des sommations interpellatives et autres. Le rejet ou le non respect, du choix, de ceux qui choisissent de s’associer, avec des membres du parti au pouvoir et inversement de ceux qui choisissent de s’associer avec l’opposition, ne sont que des symptômes d’une maladie bien plus grave : la perte de notre cohésion en tant que nation.

Je vous le dis avec la plus grande fermeté : cette situation ne peut et ne doit pas perdurer. La voie de la discorde ne mène qu’à davantage de souffrances pour notre peuple, notamment pour les plus vulnérables parmi nous, qui sont déjà durement touchés par le chômage, le manque de revenus et les effets d’une inflation galopante.

La révision constitutionnelle et les débats politiques incessants ne résolvent pas ces problèmes criards. Ils détournent notre attention des enjeux véritables, comme la crise des grossesses précoces dans la région de la Donga, qui méritent notre attention immédiate et notre action concertée, celle du parti Républicain qui se vante d’une main mise sur cette région, qui pourtant…

C’est pourquoi je lance un appel solennel à tous les citoyens, quelles que soient leurs affiliations politiques, à reconnaître que notre vraie force réside dans notre unité. Nous devons travailler ensemble pour construire un avenir où la justice, la paix et la prospérité sont accessibles à tous.

Nous ne pouvons pas permettre que la politique divise nos cœurs et nos esprits. Il est temps de se lever, ensemble, contre les stratégies de division et de confrontation qui ne servent que les intérêts de quelques-uns au détriment du bien-être de la majorité.

Je vous invite à rejoindre ce mouvement pour l’unité, pour une prise de conscience collective, pour une action collaborative. Ensemble, nous pouvons surmonter ces défis et construire un Bénin où l’harmonie l’emporte sur la division, où la solidarité prend le pas sur le conflit.

Nous avons une responsabilité envers les générations futures de laisser un héritage de paix et de stabilité, non de conflit et de division. Engageons-nous à être les bâtisseurs de ce futur. Pour l’amour de notre pays et de nos enfants, nous devons repousser les forces qui cherchent à nous diviser et nous rappeler qu’avant tout, nous sommes une seule et même nation.

Nous devons reconnaître que ces conflits politiques sont un luxe que nous ne pouvons pas nous permettre. Ils détournent notre attention et nos ressources des problèmes urgents qui nécessitent notre attention immédiate et notre action résolue. Notre priorité doit être de répondre aux besoins de nos concitoyens qui luttent au quotidien pour subvenir aux besoins de leurs familles, de nos jeunes confrontés à un avenir incertain, de nos enseignants qui font face à des chantages déguisés et un traitement ridicule de la part de l’exécutif, nos maires qui ne peuvent plus fonctionner librement à cause d’une réforme qui bride leur volonté et les soumet au dictat de l’exécutif et de nos communautés qui aspirent à la sécurité et à la prospérité. Nos parents du nord dont les finances sont mises à rudes épreuves à cause de la fermeture de la frontière du Niger sur une décision mal pensée de l’exécutif. Nos transporteurs qui crient à la faillite à cause d’une situation politique et économique dangereuse avec des répercussions directes sur les foyers.

Je vous appelle donc à un dialogue ouvert et respectueux, à la recherche de solutions communes, et à l’élaboration d’une vision partagée de l’avenir de notre pays. Nous devons remettre sur les rails le débat public, le recentrer sur les politiques constructives et les mesures pragmatiques qui répondront concrètement aux préoccupations de nos concitoyens.

Il est essentiel que nous rétablissions la confiance entre les citoyens et les représentants politiques, que nous promouvions une gouvernance transparente et responsable, et que nous renforcions les institutions démocratiques de notre pays. Chaque citoyen doit se sentir écouté, valorisé et impliqué dans la construction de notre avenir commun.

En ce moment charnière de notre histoire, je vous implore de mettre de côté les rancœurs et de regarder au-delà des partis pris idéologiques. Adoptons une approche centrée sur l’humain, qui met en avant le respect mutuel, la compassion et l’entraide.

Nous devons également tendre la main aux membres de nos communautés décentralisées qui se sentent marginalisés ou ignorés. Cela implique de s’attaquer sérieusement aux problématiques telles que la crise des grossesses précoces dans la Donga, et à bien d’autres encore qui requièrent notre attention et notre dévouement.

Ensemble, nous avons la capacité de surmonter ces défis. En tant que nation, nous avons surmonté des obstacles par le passé, et je suis convaincu que nous pouvons le faire à nouveau. Mais cela ne peut se faire sans votre engagement, sans votre volonté de voir au-delà de vos différences, pour le bien ultime de notre précieux Bénin.

Je vous demande de vous joindre à moi dans cet effort vital de réconciliation et d’unité. Ensemble, réaffirmons notre détermination à faire du Bénin un exemple de démocratie, de solidarité et de progrès pour le monde entier.

Que notre engagement envers l’unité et la prospérité partagée éclaire la voie vers un avenir plus lumineux pour tous les Béninois. Nous avons la force, la sagesse et le courage nécessaires pour construire ce futur. Faisons-le ensemble

Prenez soin de vous,

Issa Richard Boni Ouorou

Président du mouvement libéral Bénin