Mali : Encore une attaque repoussée, plusieurs morts des deux côtés

Enième attaque Mali. Après l’attaque de la caserne de Kati,  le vendredi 22 juillet, l’attaque du camp de la Garde nationale de Sevaré le dimanche 24 juillet 2022, l’attaque contre les bases de l’armée malienne le mercredi 27 juillet 2022, l’Etat-major annonce q’une « une attaque complexe et coordonnée des groupes armés terroristes » a été enregistrée,   « dimanche 07 août 2022 vers 15h00, », sans préciser les zones concernées.

Enième attaque au Mali. Après l’attaque de la caserne de Kati,  le vendredi 22 juillet, l’attaque du camp de la Garde nationale de Sevaré le dimanche 24 juillet 2022, l’attaque contre les bases de l’armée malienne le mercredi 27 juillet 2022, l’Etat-major annonce qu’une « attaque complexe et coordonnée des groupes armés terroristes » a été enregistrée,   « dimanche 07 août 2022 vers 15h00, », sans préciser les zones concernées.

Toutefois, l’Etat-major indique que «  les unités FAMa de Tessit ont réagi  vigoureusement » à cette « attaque complexe et coordonnée ».

Côté bilan, des pertes sont enregistrées des deux côtés..

«  05 morts et 03 motos détruites», dans le rang des ennemis et  « 04 morts et 02 blessés parmi les FAMa, plus 03 véhicules détruits, 02 morts et 02 blessés parmi les civils », précise le bilan provisoire présenté par l’Etat-major.

Les groupes terroristes sont donc décidés à perturber le sommeil de Goïta.

Manassé AGBOSSAGA

Abomey-Calavi : Avec ‘‘We Go For Change’’, l’association JFAD veut décourager les violeurs et lutter contre les violences sexuelles

Face à la presse ce samedi 07 août 2022, l’association Jeunes filles actrices de développement (JFAD), a présenté sa nouvelle trouvaille pour lutter contre les violences sexuelles. Dénommé ‘‘We Go For Change’’ en Français, ‘‘Nous allons pour le changement’’, le projet vise à sensibiliser les jeunes et populations d’Abomey-Calavi, les étudiantes et étudiants sur les conséquences des Violences basées sur le genre (VBG), mais également à promouvoir une culture de tolérance zéro face aux violences basées sur genre.

Face à la presse ce samedi 07 août 2022, l’association Jeunes filles actrices de développement (JFAD), a présenté sa nouvelle trouvaille pour lutter contre les violences sexuelles. Dénommé ‘‘We Go For Change’’ en Français, ‘‘Nous allons pour le changement’’, le projet vise à sensibiliser les jeunes et populations d’Abomey-Calavi, les étudiantes et étudiants sur les conséquences des Violences basées sur le genre (VBG), mais également à promouvoir une culture de tolérance zéro face aux violences basées sur genre.

Jeunes filles actrices de développement (JFAD) apporte sa contribution à la lutte contre les violences sexuelles au Bénin. L’association vient de sortir de son laboratoire le projet ‘‘We Go For Change’’.

Lors de sa présentation aux hommes des médias ce samedi 07 août 2022 à Cotonou, Chancelline Mèvowanou a fait remarquer que ce projet est parti du constat de l’enregistrement de plusieurs cas de violences sexuelles, de viols sur mineures en 2021 dans la commune d’Abomey-Calavi, avec à la clé, la banalisation de ces violences, la non-protection des survivantes, la normalisation du règlement à l’amiable face à ces violences, le mauvais traitement aux victimes, …

Elle ajoute que cela s’observe également à l’université d’Abomey-Calavi (UAC), plus grand centre universitaire du Bénin.

Tout ça, malgré le renforcement  des lois contre les violences sexuelles, malheureusement ignorées.

Chancelline Mèvowanou indique que le projet ‘‘We Go For Change’’ vient donc combler ce vide avec en ligne de mire : sensibiliser les jeunes et populations de Calavi, les étudiantes et étudiants sur les conséquences des Violences basées sur le genre, l’importance de dénoncer, les dangers du règlement à l’amiable et l’urgence de promouvoir une culture de tolérance zéro face aux violences basées sur genre ; Sensibiliser les jeunes et populations de Calavi, les étudiantes et étudiants sur le consentement, les droits et santé sexuels et reproductifs, les dangers des avortements clandestins et la culture de tolérance zéro face aux VBG ; vulgariser les nouvelles lois sur les VBG au Bénin et accompagner la mise en place d’espace santé ; Mener des formations et plaidoyers auprès des commissariats de la commune sur l’importance de croire les victimes, réceptionner leurs plaintes et ne pas les intimider ;

La présidente de JFAD a ajouté que ce projet qui est prévu pour durer dix mois, a pour cibles, les jeunes femmes, jeunes hommes de la commune d’Abomey-Calavi ; les commissariats de la commune et autorités communales et autorités de l’université, les activistes et agents sociaux.

Au total, ce projet entend toucher 1500 personnes, a-t-elle précisé.

Le travail abattu et les perspectives

Avant ça, Mariamar Conon a levé un coin de voile sur les activités menées en 2021 et les perspectives avec pour objectif prioritaire, le renforcement des droits des filles, l’élimination des violences basées sur le genre et du sexisme, pour les droits et santé sexuels et reproductifs.

Elle a précisé que ces actions ont été structurées en diverses interventions, initiatives, divers projets et diverses collaborations, citant ‘‘les Conversations Let’s talk about it’’, ‘‘Le programme Académie de Leadership pour les Filles’’, le  ‘‘lancement de l’initiative girl lead change’’, ‘‘Partenaire à la mobilisation pour le programme Girl Talk au Bénin’’,…

Abordant les perspectives, Mariamar Conon a annoncé que JFAD continuera avec le programme ‘’Académie de leadership des jeunes filles’’.

Elle a expliqué que ce programme de leadership et de mentorat vise à outiller les jeunes filles activistes, qui débutent ou souhaitent s’engager dans un travail d’organisation communautaire et de plaidoyer en faveur de leurs droits.

Pour finir, elle a rappelé que JFAD est une organisation féministe, dirigée entièrement par de jeunes femmes militantes féministes.

Manassé AGBOSSAGA

Bénin : Un homme tué au cours d’une bagarre dans une affaire de femme et d’infidélité

Une bagarre liée à une affaire d’infidélité qui se termine en bain de sang. A Bembérèkè, précisément à Guerakali,  un homme, la trentaine environ aurait été tué, mercredi par son cousin dans une affaire de femme, rapporte Fm Nonsina.

 Une bagarre liée à une affaire d’infidélité qui se termine en bain de sang. A Bembérèkè, précisément à Guerakali,  un homme, la trentaine environ aurait été tué, mercredi par son cousin dans une affaire de femme, rapporte Fm Nonsina.

Selon une source sécuritaire contactée par la radio locale, la victime a donné rendez-vous à son cousin, qu’il soupçonnait d’entretenir une liaison amoureuse avec sa femme, loin des hameaux tard dans la nuit du mardi à Mercredi.

Au cours de la bagarre, le cousin donne deux coups de machette sur la tête du mari. Il finit par rendre l’âme, laissant une femme qu’il soupçonne d’infidélité et deux enfants, précise FM Nonsina.

Pendant ce temps, le cousin a pris la tangente. Actuellement en fuite, il est recherché par la Police républicaine.

 

Manassé AGBOSSAGA

Chavirement d’une barque à Dangbo : 4 personnes portées disparues

Un drame est survenu dans la commune de Dangbo, mercredi 04 juillet 2022. Une barque qui transportait des personnes et des marchandises a chaviré sur le fleuve Ouémé. 4 personnes sont, pour l’heure, portées disparues.

Un drame est survenu dans la commune de Dangbo, mercredi 04 juillet 2022. Une barque qui transportait des personnes et des marchandises a chaviré sur le fleuve Ouémé. 4 personnes sont, pour l’heure, portées disparues.

Selon les premières informations rapportées par Frissons Radio, la barque aurait chaviré après avoir heurté un système de filtrage de déchet.

Dans la foulée, les personnes et les marchandises notamment des patates douces se sont retrouvées dans l’eau.  Et sur les 9 personnes qui se retrouvaient dans la barque, 5 personnes ont été sorties de l’eau grâce à l’intervention des riverains avant l’arrivée des sapeurs pompiers.

Il s’agit du conducteur de la barque, un enfant, un garçon de dix ans, une fillette âgé d’un an et une revendeuse.

Les fouilles sont en cours pour retrouver les 5 disparus.

Manassé AGBOSSAGA

Tribunal de Cotonou : Un homme condamné à 10 ans de prison pour avoir violé sa propre fille

Un homme qui force pour ‘‘gratter’’ le ‘‘trou’’ de sa propre fille et qui à l’arrivée, écope d’une lourde peine. Pour cause, un père de famille, la soixantaine, environ, a été condamné, mercredi 03 août 2022, à 10 ans de prison pour viol sur sa propre fille de 14 ans, par le tribunal de Cotonou lors de la session criminelle.

Un homme qui force pour ‘‘gratter’’ le ‘‘trou’’ de sa propre fille et qui à l’arrivée, écope d’une lourde peine. Pour cause, un père de famille, la soixantaine, environ, a été condamné, mercredi 03 août 2022, à 10 ans de prison pour viol sur sa propre fille de 14 ans, par le tribunal de Cotonou lors de la session criminelle.

Les faits remontent à 2017 à Akpakpa. Il aurait menacé sa fille avec un couteau et un fétiche pour satisfaire sa libido.

Mais à la barre ce mercredi 03 août 2022, il a d’abord nié les faits avant de reconnaître son crime. Le père a confié avoir violé sa fille sous l’effet de l’alcool.

Un argument qui n’a pas convaincu le juge, qui dans son verdict, a prononcé une condamnation ferme à 10 ans de prison.

Manassé AGBOSSAGA    

Un corps sans vie et emballé dans un sachet découvert à Cotonou

Découverte macabre à Cotonou. Le corps d’un homme charcuté a été retrouvé près du stade René Pleven à Akpakpa. Le corps sans vie a été emballé dans un sachet.

Découverte macabre à Cotonou. Le corps d’un homme charcuté a été retrouvé près du stade René Pleven à Akpakpa. Le corps sans vie a été emballé dans un sachet.

D’après les premières informations rapportées par Frissons Radio, cette découverte macabre a eu lieu le dimanche 31 juillet dernier.

Le chef quartier a rapidement alerté la police.

Aux dernières nouvelles, une enquête est ouverte pour élucider cette affaire.

M.A  

Côte d’Ivoire : 21 morts dans un grave accident de la route

Deuil national en Côte d’Ivoire ! Un très grave accident de la circulation s’est produit ce lundi 1er août 2022 sur l’axe Abidjan-Alépé.

Deuil national en Côte d’Ivoire ! Un très grave accident de la circulation s’est produit ce lundi 1er août 2022 sur l’axe Abidjan-Alépé.

Selon le bilan provisoire présenté par le Groupement des sapeurs pompiers militaires (GSPM), l’accident survenu dans la commune d’Abobo, dans le quartier Biabou entre un mini car communément appelé « Gbaka » et un poids lourd, a fait 26 victimes dont 21 décès.

Les blessés ont été transportés à l’hôpital.

M.A

Installation des troupes Françaises au Bénin ? Emmanuel Macron répond et lance «… Si la demande était formulée…

Lors de la conférence de presse conjointe animée avec Patrice Talon, mercredi 27 juillet au palais de la marina, Emmanuel Macron a été interpellé sur l’arrivée, des Forces Françaises au Bénin pour lutter contre le terrorisme. Sur la question, l’hôte du président Béninois a d’abord fait remarquer que l’armée Française est en redéploiement après son retrait du Mali.

Lors de la conférence de presse conjointe animée avec Patrice Talon, mercredi 27 juillet au palais de la marina, Emmanuel Macron a été interpellé sur l’arrivée, des Forces Françaises au Bénin pour lutter contre le terrorisme. Sur la question, l’hôte du président Béninois a d’abord fait remarquer que l’armée Française est en redéploiement après son retrait du Mali.

Il a ensuite levé un coin de voile sur les conditions d’installation des troupes Françaises dans un pays pour « seulement lutter contre le terrorisme ».

Emmanuel Macron a précisé que le déploiement des Forces Françaises se fait sur demande des autorités de ce pays dans le cadre d’une coopération bien définie, citant au passage quelques pays.

« Nous avons redéployé notre dispositif et nous poursuivons ce travail. Je salue la mobilisation de nos forces armées qui le font avec un grand professionnalisme en quittant le territoire malien, car le cadre politique qui présidait à notre présence n’est plus là… Nous nous redéployons donc dans plusieurs pays à la demande de ces pays pour lutter contre le terrorisme et pour cela seul. Le Niger au premier chef.

Puis, nous avons des coopérations avec plusieurs pays, certains en, développant des académies ou des formations de leurs forces spéciales ou de lutte contre le terrorisme qu’il s’agisse du Sénégal ou de la Côte d’Ivoire avec d’ailleurs des vocations régionales de ces écoles avec des déploiements qui datent de plusieurs années comme en Côte d’Ivoire ou des coopérations nouvelles comme celles que nous avons bâti avec le président Talon, de formation, d’accompagnement, de renseignement que nous allons compléter par des livraisons d’équipement ».

Une nouvelle philosophie

Emmanuel Macron a évoqué une nouvelle « philosophie » dans la coopération militaire avec les pays africains pour lutter contre le terrorisme.

Il a laissé entendre que cette nouvelle politique doit être au service des États africains en s’appuyant sur la formation, l’équipement, l’accompagnement, et sans mettre en avant les militaires Français dans les pays concernés.

« La philosophie maintenant que nous allons suivre qui sera parachevée par le travail que j’ai demandé au ministre des Armées et le chef d’état-major des armées pour la fin de l’été doit être au service des États africains, pour strictement lutter contre le terrorisme et venir en appui sur le plan de la formation, de l’équipement de l’accompagnement, mais en aucun cas de nous substituer et en aucun d’avoir une présence qui est pas trop visible ou un dispositif, si je pus m’exprimer ainsi poser avec des unités françaises qui ne serait en quelque sorte, en soutien ou en intimité avec des unités africaines », a-t-il expliqué, insistant « c’est comme ça qu’il faut travailler. Et donc c’est comme ça, qu’il faut paramétrer ».

Le dernier mot revient donc à Patrice Ta lon.

Manassé AGBOSSAGA

Terrorisme : Talon fait une demande spéciale à Macron

Patrice Talon a fait une demande particulière au président Français lors de son passage à Cotonou, mercredi 27 juillet 2022, dans le cadre de sa tournée africaine. Face à la presse, le président Béninois a ouvertement plaidé pour une ouverture dans l’achat des équipements militaires, tout en saluant la contribution de la France dans les domaines de la formation et du renseignement.

Patrice Talon a fait une demande particulière au président Français lors de son passage à Cotonou, mercredi 27 juillet 2022, dans le cadre de sa tournée africaine. Face à la presse, le président Béninois a ouvertement plaidé pour une ouverture dans l’achat des équipements militaires, tout en saluant la contribution de la France dans les domaines de la formation et du renseignement.

Patrice Talon a indiqué qu’il n’a « pas encore obtenu gain de cause auprès des autorités militaires françaises pour une certaine donnée de la coopération, notamment la fourniture d’équipement et de matériel militaire ».

« Je salue l’engagement de la France à nos côtés en ce qui concerne les renseignements. Il y a une bonne coopération entre nos deux pays dans ce domaine ainsi que ce qui concerne le renforcement des capacités, mais nos hommes ont beau être bien formés, on a beau avoir les renseignements, on a beau être brave, on a besoin d’armement. On a besoin d’équipement militaire et en cela nous attendons un effort de votre part », a lancé Patrice Talon à l’endroit de son homologue Français.

Le chef d’Etat Béninois a juré que son pays dispose des « moyens financiers d’acquérir ces équipements », déplorant que « les tensions qu’il y a dans le monde » compliquent l’acquisition de ces équipements.

Toutefois, Patrice Talon s’est dit heureux de l’engagement du président Macron à aider le Bénin dans ce sens.

 Emmanuel Macron répond favorablement à la demande de Patrice Talon

Réagissant à cette demande, Emmanuel Macron s’est dit prêt à accompagner le Bénin pour une lutte efficace contre le terrorisme.

Reconnaissant que cette doléance est « légitime », il a promis la livraison d’équipement dans les prochains, mois ou prochaines années.

« Nous serons aux côtés des autorités béninoises pour faire face à cette menace. Nous allons répondre à vos demandes », a d’abord rassuré le président Français, avant d’expliquer « notre appui sera d’abord civil, s’inscrira en appui au développement des zones les plus vulnérables et les plus exposées aux tentatives d’implantation des groupes terroristes. Et sur le plan sécuritaire conformément à la réorganisation que nous avons adopté de l’ensemble de la région, nous serons au rendez-vous pour répondre à vos demandes en termes de formation. Nous serons aussi au rendez-vous de ces demandes ».

Et d’annoncer «  Aussi en répondant à vos besoins en termes d’équipement. C’est pourquoi des pick-up, des équipements de déminage, des gilets par balle, …demandés…vous seront livrés incessamment. Mais au-delà de ça, le président m’a demandé des équipements plus sophistiqués de drones, de surveillance sur lesquelles nous allons aussi là dans les prochaines semaines avancer pour répondre à la demande qui est légitime mais aussi aider le Bénin à structurer cette partie de votre défense qui est nécessaire, si nous voulons collectivement répondre à vos besoins ».

Les terroristes sont donc prévenus.

 Manassé AGBOSSAGA

« La junte au pouvoir au Mali n’a plus comme priorité, la lutte contre le terrorisme », selon Emmanuel Macron

Face à la presse ce mercredi 27 juillet 2022 à Cotonou, le président Français a lancé une pique au président de la Transition du Mali et consorts. Emmanuel Macron a laissé entendre que la lutte contre le terrorisme n’est plus dans l’agenda des militaires au pouvoir.

Face à la presse ce mercredi 27 juillet 2022 à Cotonou, le président Français a lancé une pique au président de la Transition du Mali et consorts. Emmanuel Macron a laissé entendre que la lutte contre le terrorisme n’est plus dans l’agenda des militaires au pouvoir.

« La junte au pouvoir au Mali n’a plus comme priorité la lutte contre le terrorisme », a déclaré le président Français ajoutant, qu’elle a désormais « comme priorité sa préservation avec la complicité de la milice Wagner ».

Emmanuel Macron dit être affecté par cette situation car dit-il, «  malheureusement pour la population malienne, elle est en train de souffrir ».

Emmanuel Macron n’a pas manqué de rappeler les raisons du retrait des forces Françaises du Mali.

« Nous avons redéployé notre dispositif…. en quittant le territoire Malien car le cadre politique qui présidait à notre présence n’est plus là… Nous étions là sur demande d’un Etat souverain …après deux coups d’Etat, ce n’est plus le cas. Ensuite, le cadre politique n’est plus là… et puis parce que la sécurité même de nos forces armées n’était plus assurée…il n’y avait plus de coopération et je le rappelle, ce sont les autorités maliennes qui unilatéralement ont décidé de mettre fin aux accords qui présidaient à cette relation ».

Assimi Goïta appréciera sans doute

Manassé AGBOSSAGA