Le septième dossier de la session criminelle du tribunal d’Abomey- Calavi, ce jeudi 3 mars 2022, a connu d’un cas de viol sur une mineure de 17 ans. Le principal accusé a, à la fin d’un procès en rebondissement, écopé de 10 ans de prison, mais retrouve sa liberté.
D’après le point fait par Frissons Radio, les faits remontent à 2016. L’homme, un architecte de profession, âgé de 40 ans rencontre dans la rue une jeune fille âgée de 17 ans. Cette dernière est une revendeuse de bonbons et autres.
L’homme propose alors la jeune de voler à son secours. Il propose notamment à cette dernière de l’aider à suivre une formation en couture auprès de son père à la maison.
La jeune fille est heureuse et croit tomber sur un ange tombé du ciel.
Elle accepte la proposition, et suit son ‘‘bienfaiteur’’ pour rencontrer les parents de l’architecte.
Après la rencontre, il dévoile ses vraies intentions. Alors qu’ils arrivent dans une rue cachée, il bouscule la fillette et abuse d’elle sexuellement.
Et à l’occasion du procès de ce jeudi 3 mars 2022 où il a été victime d’une crise d’épilepsie, l’homme a reconnu les faits.
Il a été condamné à 10 ans de prison dont 5 ans ferme.
Mais en détention depuis 2016, il retrouve la liberté puisqu’il a fini de purger sa peine. Petit bémol, il sera conduit au centre psychiatrique de jacquot pour une prise en charge.
Manassé AGBOSSAGA