France: Il tue son fils en manipulant une arme lors d’un repas familial

Un repas familial qui vire au drame.  En France, précisément à Garéoult, dans le Var, un homme a accidentellement tué son fils lors d’un repas de famille

 

 

Un repas familial qui vire au drame.  En France, précisément à Garéoult, dans le Var, un homme a accidentellement tué son fils lors d’un repas de famille

Le drame s’est produit le dimanche 20 février dernier.

En fin de journée, l’homme âgé de 71 ans et retraité recevait ses enfants pour passer un moment convivial.
D’après France Bleu, à la fin du repas, l’homme a sorti une arme, un fusil de chasse. Mais malheureusement il a fait une mauvaise manipulation. En manipulant l’arme, il a tiré un coup de feu accidentellement.

La balle a atteint un de ses fils, âgé d’une cinquantaine d’années, sous les yeux des autres membres de la famille.
Le père a été placé en garde à vue. Une enquête pour homicide involontaire a été ouverte et confiée à la gendarmerie de Draguignan.

France Bleu précise que les autres membres de la famille, écoutés par les  gendarmes de la compagnie de Brignoles ont tous donné la même version, celle de l’accident.

Manassé AGBOSSAGA

Kpakpatotiquement parlant: Pruuuuuuuuuuuuuun, avec Talon en arbitre, le gouvernement fait recours à la Var pour la Criet

En ce début d’année, le gouvernement de Talon a décidé de s’inspirer des pratiques du football pour homologuer la Cour de répression et des infractions économiques (CRIET). Ainsi, avec le président Patrice Talon en arbitre, le gouvernement a, comme dans un match de football, fait recours à l’Assistance vidéo arbitrage (Var) pour s’assurer de la pertinence de la Criet, qui a vu le jour en 2018.

En ce début d’année, le gouvernement de Talon a décidé de s’inspirer des pratiques du football pour  homologuer la Cour de répression et des infractions économiques (CRIET). Ainsi, avec le président Patrice Talon en arbitre, le gouvernement a, comme dans un match de football,  fait recours à  l’Assistance vidéo arbitrage (Var) pour s’assurer de la pertinence de la Criet,  qui a vu le jour en 2018.

Kpakpatotiquement parlant, comme cet arbitre, le gouvernement a fait recours à la Var pour valider la Criet

En conseil des ministres ce 08 janvier, ‘‘Agbonnon en arbitre »  a, face aux contestations de plusieurs juristes, des acteurs politiques de la société civile, de la Cour africaine des droits de l’homme et des peuples et même la Cour constitutionnelle à travers la décision dcc 19-0555 du 31 janvier 2019, sifflé un long pruuuuuuuuuun pour revoir les images de la Criet. Face à la Var, Talon  a scruté, seconde par seconde, minute par minute, heure par heure,  les différentes décisions rendues par la Criet. Après visionnage, Talon et son  gouvernement  ont pris la décision de  maintenir  la juridiction, mais  acceptent faire  un rétropédalage.

Selon le point fait par l’ancien avocat de l’opposant Sébastien Ajavon, devenu plus tard soutien du régime de la rupture  et actuel ministre de la communication, le gouvernement entend désormais donner  plus d’efficacité à la Criet à travers sa composition et son organisation. Ainsi, il a confié qu’un texte a été transmis à l’assemblée nationale   pour d’une  part, affiner l’énumération indicative des infractions relevant de la compétence de la Criet   et d’autre part,  pour  instaurer le double degré de juridiction de jugement et une chambre des appels.

Une proposition d’ailleurs faite  par certains juristes, notamment Nourou Dine Saka Saley, mais jugée  inutile  à l’époque par les défenseurs du pouvoir dont l’actuel ministre de la communication, Alain Orounla et le bâtonnier  Jacques Migan.

Loin de ce rappel, kpakpatotiquement parlant, espérons que le recours à la Var permettra de rassurer les populations, pour qui la Criet, s’apparente à un instrument de traque des opposants.

Manassé AGBOSSAGA