#violence – Kpakpato Medias

Participez au 1er Forum des étudiant.e.s de l’UAC pour l’élimination des Violences Basées sur le Genre, le lien pour s’inscrire

Dans le cadre de l’initiative We Go For Change pour la prévention des violences basées sur le genre dans la commune d’Abomey Calavi, Jeunes Filles Actrices de Développement (JFAD) a initié le Forum des Étudiant.e.s de l’UAC pour l’élimination des violences basées sur le genre en milieu universitaire.

Dans le cadre de l’initiative We Go For Change pour la prévention des violences basées sur le genre dans la commune d’Abomey Calavi, Jeunes Filles Actrices de Développement (JFAD) a initié le Forum des Étudiant.e.s de l’UAC pour l’élimination des violences basées sur le genre en milieu universitaire.

Le Forum des étudiant.e.s de l’UAC pour l’élimination des violences basées sur le genre en milieu universitaire a pour objectif d’informer, de sensibiliser et engager la communauté estudiantine pour l’élimination des VBG.

La première édition du Forum va se dérouler du 27 au 28 Juillet 2023 dans l’enceinte de l’Université d’Abomey-Calavi. Le thème de cette édition est : Agir collectivement pour éradiquer les violences sexistes et sexuelles en milieu universitaire

L’objectif du Forum à travers ce thème est de co-créer une feuille de route/plan d’action ensemble avec plusieurs acteurs et actrices agissant pour l’élimination des violences basées sur le genre en milieu universitaire et pour le bien-être des étudiant.e.s. En créant ce plan d’action collectif, nous espérons créer plus d’alliances et renforcer les synergies pour accélérer le démantèlement des violences sexistes et sexuelles en milieu universitaire. Le Forum est une mobilisation dirigée par les étudiant.e.s, principales personnes touchées par les VBG.

Inscrivez-vous via ce formulaire pour participer au Forum. Les personnes inscrites recevront plus d’infos dans les prochains jours.

Inscrivez-vous : https://forms.gle/TqN5SNVGYY7eRMYV8

Sénégal : Sadio Mané déplore les décès enregistrés et lance un appel à tous les acteurs

Le Sénégal renoue avec la violence. Depuis jeudi, plusieurs manifestations mortelles ont été enregistrées à Dakar et Ziguinchor suite à la condamnation de l’opposant Ousmane Sonko à deux ans de prison ferme. Sadio Mané n’est pas resté insensible à cette triste actualité qui secoue son pays.

Sur son compte Instagram, le capitaine des Lions de la Teranga a déploré les nombreux décès enregistrés.

« Trop de sang a déjà coulé depuis 2 ans », a-t-il décrié.

Sadio Mané a ensuite lancé un appel à tous les acteurs pour la préservation de la paix.

« Il est essentiel que toutes les parties prenantes de la nation unissent immédiatement leurs efforts pour retrouver la paix. Attention Nous devons préserver notre Jeunesse, c’est notre première richesse », a-t-il lancé, avant de conclure « J’aime le Sénégal ».

M.A

Sénégal : 09 morts dans les manifestations après la condamnation de Sonko, les regrets du gouvernement

Au Sénégal, 09 personnes ont été tuées depuis le déclenchement des manifestations contre la condamnation de l’opposant Ousmane Sonko à deux ans de prison ferme pour corruption de la jeunesse, jeudi 01er juin 2023. Le ministre de l’intérieur a annoncé avec regret la triste nouvelle devant les hommes des médias

Au Sénégal, 09 personnes ont été tuées dans les manifestations contre la condamnation de l’opposant Ousmane Sonko à deux ans de prison ferme pour corruption de la jeunesse, jeudi 01^er juin 2023. Le ministre de l’intérieur a annoncé avec regret la triste nouvelle devant les hommes des médias

« Nous sommes au regret d’annoncer 9 décès lors des manifestations. Pour des mesures de sécurité, l’État du Sénégal a pris la décision de suspendre certaines applications d’où sont véhiculés des messages haineux », fait savoir Antoine Félix Diom accompagné par ses collègues de la communication et de celui du commerce et porte-parole du gouvernement, rapporte DakarActu.

Ces décès sont enregistrés à Dakar et Ziguinchor.

Le ministre de l’Intérieur a également annoncé que le gouvernement a « décidé de suspendre temporairement l’usage de certaines applications digitales ».

M.A

Sénégal : Le parti de Sonko dénonce sa « condamnation sur commande » et appelle à la mobilisation générale

Au Sénégal, Ousmane Sonko a été condamné, ce jeudi par le tribunal de Dakar, à deux ans de prison ferme pour corruption de la jeunesse dans l’affaire qui l’oppose à la masseuse Adji Sarr. Dans la foulée, son parti a réagi à cette condamnation qui rend difficile sa participation à la prochaine présidentielle.

Pour le bureau politique du Pastef Les Patriotes, « ce verdict sur commande est l’ultime étape du complot ourdi Macky Sall et ses sbires à l’encontre du principal opposant » au Sénégal.

Le parti de Ousmane Sonko dénonce, sans surprise « ce verdict indigne d‘un Etat de droit » et soutient que « jamais la République du Sénégal et les institutions n’ont autant été bafouées, souillées et sacralisées ».

S’opposant fermement à cette condamnation, le Pastef appelle à « la mobilisation de tous les patriotes sénégalais dès maintenant, partout au Sénégal, et dans la diaspora », pour dit-il « combattre par tous les moyens cette voyoucratie ». « Peuple sénégalais, arrêtez toute activité et descendez dans la rue pour faire face aux dérives dictatoriales et sanguinaires du régime Macky Sall jusqu’à son départ de la tête de l’Etat », lance le bureau politique.

Les responsables du parti invitent « les forces de l’ordre à désobéir aux ordres illégaux et antirépublicain ».

Le Sénégal risque de virer à nouveau dans la violence.

Manassé AGBOSSAGA

France : Le petit-neveu de Brigitte Macron agressé, Emmanuel Macron en courroux

Jean-Baptiste Trogneux, 29 ans, petit-neveu de Brigitte Macron et patron d’une chocolaterie qui porte son nom, a été « tabassé » devant l’une de ses boutiques en centre-ville d’Amiens, lundi.

Jean-Baptiste Trogneux, 29 ans, petit-neveu de Brigitte Macron et patron d’une chocolaterie qui porte son nom, a été « tabassé » devant l’une de ses boutiques en centre-ville d’Amiens, lundi.

Selon le père de la victime et neveu de la première dame, son fils « a une ou deux côtes cassées », un « hématome » cérébral et « trois doigts foulés » après son agression, rapporte LCI.

Emmanuel Macron dénonce une agression « inacceptable »

Depuis l’Islande où il est en déplacement, Emmanuel Macron a réagi à l’agression du petit-neveu de sa femme, Brigitte Macron. Le président français a exprimé sa colère. Il a notamment dénoncé un acte « inacceptable » et « inqualifiable ».

« Il a été agressé parce que c’est notre petit neveu », a fustigé Emmanuel Macron, avant d’ajouter « Il a été confronté à la brutalité, à la violence et à la bêtise ».

Si le président français a soutenu que « la violence n’a pas place en démocratie quelle qu’elle soit, et en particulier »en France, il a toutefois indiqué que « c’est la justice qui aura à se prononcer ».

Huit personnes ont été interpellées et placées en garde à vue.

M.A

Sèmè-Podji : Affrontement entre forces de l’ordre et populations après le décès d’un motocycliste : un policier sauvé in extrémis

C’était chaud à Sèmè-Podji dans l’après-midi de ce jeudi 26 janvier 2023. Forces de l’ordre et populations ont livré une rude bataille. A l’origine, le décès d’un motocycliste.

Les populations en voulaient aux policiers présents, accusant ces derniers d’avoir provoqué la mort du motocycliste.

Et dans une vidéo, on peut apercevoir un agent de la Police républicaine pris à partie par des individus en furie. Il n’a eu la vie sauve que grâce à l’audace d’un civil.

Il aura ensuite fallu le déploiement d’un fort détachement de la police républicaine pour ramener le calme.

A l’heure où nous mettons cet article en ligne, la Police Républicaine n’’a toujours pas réagi à cet incident.

M.A

Tchad- Mahamat Déby Itno : « Ce qui s’est passé témoigne de la volonté manifeste de déclencher une guerre civile »

Au Tchad, des manifestations contre la prolongation de la durée de la transition, ont fait 50 morts dont une dizaine de membres des forces de l’ordre, selon le Gouvernement. Et pour la première fois, le Général Mahamat Déby Itno s’est exprimé après le drame du jeudi 20 octobre dernier.

Au Tchad, des manifestations contre la prolongation de la durée de la transition ont fait 50 morts dont une dizaine de membres des forces de l’ordre, selon le Gouvernement. Et pour la première fois, le Général Mahamat Déby Itno s’est exprimé après le drame du jeudi 20 octobre dernier.

Dans un message à la Nation, ce lundi 24 octobre 2022 diffusé sur la télévision nationale, le président de Transition a indiqué qu’il s’agissait d’une « vraie insurrection minutieusement planifiée pour créer le chaos dans le pays ».

« Ce qui s’est passé témoigne de la volonté manifeste de déclencher une guerre civile », soutient le Général Mahamat Déby Itno, accusant les organisateurs.

Le ton ferme, le président de la Transition a dit qu’il n’acceptera pas « que le Tchad replonge dans d’autres crises dangereuses à connotations religieuses, ethniques et régionales ».

« Je n’accepterai pas que la nation soit divisée, le pays fragmenté et notre unité hypothéqué. J’utiliserai tous les moyens légaux à ma disposition pour empêcher ces projets néfastes dans notre pays », a-t-il prévenu.

En attendant, il a confié qu’il a « instruit le gouvernement de transition pour que cette crise soit gérée dans la justice en toute transparence et responsabilité »

Le Général Mahamat Déby Itno a également annoncé un deuil de 7 jours à compter de ce mardi 25 octobre 2022.

« Nous allons enterrer nos morts dans la douleur mais dans la dignité. Nous devons soigner nos blessés dans la solidarité. Un deuil de 7 jours sera observé sur toute l’étendue du territoire national à compter du mardi 25 octobre en mémoire de nos compatriotes morts au cours des évènements tragiques et regrettables », a t-il déclaré.

Mahamat Déby Itno a enfin promis « œuvrer pour un consensus national dans la gestion des affaires publiques en gardant toujours une ouverture aux acteurs aux acteurs politiques et mouvements armés ».

Manassé AGBOSSAGA

Bénin : Richard Boni Ouorou fait une importante mise au point

Au Bénin, Richard Boni Ouorou monte dans l’estime de ses compatriotes. Ses incomptables actions en faveur de la jeunesse et des couches les plus défavorisées ne sont pas étrangères. Et depuis que le Politologue socio économiste a dévoilé ses ambitions de s’engager en politique, ils sont très nombreux, ces jeunes, hommes et femmes, qui tentent à le rencontrer.

A ces derniers, mais également à ceux qui discutent avec lui, Richard Boni Ouorou a fait une importante mise au point via son canal préféré.

Il s’est dit homme de paix, soucieux de la cohésion et de l’unité nationale. Tout en étant prêt à discuter avec chaque béninois peu importe sa couleur politique, le Politologue a prié les uns et les autres à ne pas l’écrire pour une « action de violence » encore moins des « mouvements non pacifiques de masse ».

« Je reçois beaucoup de sollicitations surtout d’ordre politique ces temps-ci et je parle très peu avec les personnes pour le moment.

Mais avant d’aller plus loin, je voudrais juste, puisque je tiens la majorité de mes propos politiques ici, dire que je suis ouvert à écouter toutes les personnes qui me sollicitent quelques soient leurs obédiences à la seule condition qu’on ne me sollicite pas pour des actes de violence du genre ‘‘on veut donner de l’argent à des femmes pour marcher contre la cherté de la vie et ce sera pour vous ‘’.

Ce genre de personne nous savons qui vous envoie.

Pour ma part, le pays dans lequel je compte revenir est un pays où règne la paix et la Concorde entre les personnes et les institutions.

Je ne finance ni ne participe soit en personne ou même pas procuration ou intermédiaire, à aucune action de violence ni aux mouvements non pacifiques de masse, ni ne m’implique dans aucun acte conspirationniste à l’encontre de l’autorité de l’Etat. Actes qui finalement ne profitent qu’aux initiateurs et non aux populations.

Je suis entièrement du côté des populations et je ne ferai rien qui soit à leur désavantage.

A bon entendeur… », a-t-il clarifié sur sa page Facebook.

Un homme averti en vaut deux, dit-on…

Manassé AGBOSSAGA