« Si le pardon n’existait pas au sein de la rupture, quelqu’un comme Bertin Koovi n’aurait pas été capable de rejoindre la rupture et… », Constantin Amoussou

Quand Bertin Koovi prend une balle perdue au cours d’une sortie politique de Constantin Amoussou. De passage sur l’émission ‘‘L’entretien du dimanche’’ de la télévision privée Eden tv, l’ancien poulain de ‘‘la nouvelle conscience’’ n’a pas trouvé autre acteur politique que le président de l’Alliance Iroko pour justifier les qualités exceptionnelles de la Rupture et de son chantre.

Pour Constantin Amoussou, « ce qui fait la beauté de la rupture au-delà de ce que les gens pensent », c’est que « le pardon est constant ».

Et de citer Bertin Koovi comme exemple : « …en plus de ça, il y a eu des gens qui ont fait pire que moi. Moi, je n’ai jamais proféré la mort du chef de l’Etat. Mais,  il y a des gens qui l’ont fait et qui ont été pardonnés par lui et qui sont les militants les plus chevronnés, aujourd’hui, autant que moi-même. Si le pardon n’existait pas au sein de la rupture, quelqu’un comme Bertin Koovi n’aurait pas été capable de rejoindre la rupture et d’être accepté ».

Comme les deux ex-opposants sont désormais engagés avec le Bloc républicain, ils vont, peut-être, discuter de la suite en famille.

 Manassé AGBOSSAGA