Quand l'anodin devient une information

Bloc Républicain : Les 03 gros mensonges distillés pour déstabiliser Faridath Naro Assouma, mais ses adversaires ont tiré à terre

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Depuis quelques jours, Faridath Naro Assouma est victime d’un lynchage et d’une cabale gratuite. Son seul péché, s’être affichée aux côtés, d’éminentes personnalités du Bloc Républicain pour lancer l’opération ‘‘Ne touche pas à mon parti’’, en réponse aux tentatives de déstabilisation du parti au cheval cabré.

Injures, calomnies, accusation gratuite, commentaires désobligeants, …Des individus usent de tout pour tenter de ternir l’image de marque de Faridath Naro Assouma. Son seul tort, s’être montrée avec des personnalités influentes du Bloc républicain pour lancer le mot d’ordre ‘‘Ne touche pas à mon parti’’.

Des individus tapis dans l’ombre qui manquent d’audace pour affronter une femme sur le ring politique, ont préféré faire recours à des militants fictifs. Manipulés, ces derniers, étalent, comme leurs commanditaires, leur jalousie, haine et leur ignorance.

1er mensonge : l’initiative ‘‘Ne Touche pas à mon parti’’

Faridath Naro Assouma n’a jamais été porteuse de l’initiative ‘‘Ne touche pas à mon parti’’. Comme elle n’a jamais cherché à s’approprier une initiative collective. A la vérité et par honnêteté ‘‘kpakpatotique’’, il faut reconnaître une incompréhension et une erreur de votre médias, qui lui a maladroitement attribué l’initiative ‘‘Ne touche pas à mon parti’’. Sur son insistance, Kpakpato Medias a donc remis à ‘‘César ce qui est à César et à Dieu, ce qui est à Dieu’’.

En effet, face aux tentatives de déstabilisation du Bloc Républicain (BR), Faridath Naro Assouma s’est jointe à Sofia Onifadé, Giles Houndolo, Roland Djossou, Romulus Biokou, Armand Affossogbé, Romaric Boco, Ulrich Gbaguidi, Fabrice Agondanou, Moubaracou Latifou et d’autres militants pour lancer l’opération ‘‘Ne Touche pas à mon parti’’, appelant tous les militants et toutes les militantes du parti au cheval cabré à dire non à tout projet de destruction du BR, de démolition de la mouvance et de remise en cause du système partisan.

Mais hantée par Faridath Naro Assouma, ils ne voient que son nom et son image sur cette initiative collective.

2è mensonge : son appel au pardon de Talon pour la libération de Madougou

Il faut à la vérité, reconnaître que les détracteurs de Faridath Naro Assouma passent leur temps à suivre ses faits et gestes. Soit parce qu’elle constitue une source d’inspiration pour eux, soit parce qu’ils doivent beaucoup s’ennuyer dans leur petit salon.

Parenthèse fermée. Ils ont alors sorti une vielle émission lors de son passage sur une télévision en ligne de la place où elle avait ouvertement imploré le pardon du chef de l’Etat pour la libération des personnalités politiques de l’opposition notamment Reckya Madougou. Un appel lancé durant le mois de Ramadan, faut-il, le préciser.

Peut-être par déficit d’humanisme, ils ont trouvé anormal que celle qui se réclame de la mouvance plaide pour la libération d’une opposante. Cela a au moins le mérite de voir qu’il y a des gens qui prient pour qu’une femme politique, une sœur, une mère croupisse en prison.

Pourtant Faridath Naro Assouma, avait indiqué que la question de la liberté d’une femme, une sœur ne peut être réduite à un combat politicien mais, mériterait une approche républicaine pacifique, humble et efficace.

Après son appel à l’endroit du chef de l’Etat, elle avait ensuite interpellé Réckya Madougou et les autres détenus politiques, proposant la démarche à suivre.

Si par malhonnêteté politique, certains ont préféré prendre un pan de son intervention pour la faire passer, pour une opposante, ils ont tapé poteau en plein midi. Son soutien au président Patrice Talon n’est plus à démontrer et est en sans ambages.

3è faux procès : député de la 9è législature

Là où ses ennemis ont encore tiré à terre et n’ont pas justifié leur ‘‘gombo’’, c’est quand ils soutiennent que sa seule présence au BR « reste son rêve chimérique de devenir députée de la 9e législature ».

Plusieurs questions méritent d’être posées à ce niveau. Pourquoi son absence aux législatives n’a pas alors émoussé son ardeur à mouiller le maillot pour le BR au scrutin du 08 janvier dernier? Pourquoi a-t-elle fait campagne pour les candidats du BR malgré son absence aux législatives ? Puisque les « les élections législatives du 08 janvier sont conjuguées au passé » et qu’il n’y a aucune chance pour elle d’appartenir à la 9è législature, pourquoi continue-t-elle à descendre sur le terrain, et à enchaîner les sorties pour défendre le Bloc républicain et le pouvoir de la Rupture ?

Mieux, qui a défendu l’ancien député Rachidi Gbadamassi après son échec aux législatives ? Qui face aux railleries a-t-elle pris la parole pour dire qu’il renaîtra de ses centres ?

En réalité, l’énergéticienne a toujours clamé que son engagement en politique était motivé par son désir de contribuer au développement de son pays

« Je ne suis pas entrée en politique pour être forcément député. Mon  ambition politique, c’est pour participer, pour apporter ma pierre à l’édifice du développement. Voilà pourquoi je me suis engagée en politique », a-t-elle toujours soutenu.

Pour le reste, Faridath Naro Assouma garde le moral haut et reste concentrée sur l’avenir de son parti le Bloc Républicain. Habituée des coups et des intrigues politiques, elle compte sur ses compétences professionnelles, son honnêteté, son amour pour le Bénin pour maintenir sa haute place en politique afin d’apporter sa contribution au développement de sa patrie.

Manassé AGBOSSAGA

1 commentaire
  1. SOUNON dit

    C’est une brave femme

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