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Voilà une information que Kpakpato Medias adore. Dans la commune d’Adjohoun, un collégien a été chassé pour avoir montré la force de frappe de son ‘’bangala’’.
Voilà une information que Kpakpato Medias adore. Dans la commune d’Adjohoun, un collégien a été chassé pour avoir montré la force de frappe de son ‘’bangala’’.
Loin de s’illustrer dans les études, le jeune élève a réussi une performance XXL en enceintant trois collégiennes depuis le début de la rentrée scolaire.
Selon Infau Zénith, son exploit sexuel a été dévoilé le jeudi dernier par les responsables du collège d’enseignement général.
Ces derniers n’ont d’ailleurs pas souhaité prendre de risque face à un élève très actif sexuellement. Ils ont exclu l’élève du collège.
D’une manière ou d’une autre, il aura certainement marqué son passage dans le collège en laissant trois collégiennes enceintes de lui.
C’est réagissant à la condamnation à 5 ans d’emprisonnement d’un enseignant pour avoir eu des relations sexuelles avec son élève, que la ‘‘charmante’’ journaliste a fait cette confidence. Sur son compte méta, Angela Kpeidja a révélé les raisons pour lesquelles une élève, une étudiante ou une employée cède parfois aux avances de son enseignant ou de son employeur.
C’est réagissant à la condamnation à 5 ans d’emprisonnement d’un enseignant pour avoir eu des relations sexuelles avec son élève, que la ‘‘charmante’’ journaliste a fait cette confidence. Sur son compte méta, Angela Kpeidja a révélé les raisons pour lesquelles une élève, une étudiante ou une employée cède parfois aux avances de son enseignant ou de son employeur.
Et à en croire ses propos, les raisons ne sont pas toujours à voir du côté du cœur.
« … il est bon de savoir que quelles que soient vos intentions, bonnes ou mauvaises, dès que vous draguez votre apprenant, votre employée, elle rentre dans une tourmente. Généralement pour elle, la question principale s’énonce ainsi qu’il suit : si je dis non, qu’est ce qui va se passer ?
La peur de perdre son boulot, la peur de ne pas s’épanouir dans son milieu professionnel, la peur de recevoir des mauvaises notes, la peur d’échouer vont guider la réponse des plus faibles. Et le « oui » qui va ensuite faire sourire votre cœur peut ne pas en être un ! », a-t-elle confié.
Toutefois, Angela Kpeidja reconnaît qu’il y a celles qui, sont dans la provocation du professeur ou de l’employeur pour réussir.
« Elles sont les plus dangereuses car elles peuvent aussi retourner leur veste quand ça se complique », prévient la journaliste spécialiste des questions de santé.
L’amour, c’est sucré, mais attention. Il faut savoir quand, comment et surtout où le faire. Sinon ça peut virer au drame. L’actualité qui défraie la chronique au pays de Paul Biya depuis quelques en dit long. Kpakpatoya !!!
L’amour, c’est sucré, mais attention. Il faut savoir quand, comment et surtout où le faire. Sinon ça peut virer au drame. L’actualité qui défraie la chronique au pays de Paul Biya depuis quelques en dit long. Kpakpatoya !!!
Un couple qui a cru que l’acte sexuel peut se faire partout vient de l’apprendre à ses dépens. En effet, selon le site Directinfo, une femme, âgée de 34 ans et mère de 3 enfants, est décédée en faisant l’amour à côté d’une fosse.
La scène se déroule le week-end du 5 mars, lors d’une veillée à Babadjou dans le département des Bamboutos, région de l’Ouest Cameroun.
Elle fait la rencontre d’un homme qui serait son ex petit ami alors qu’elle se rend village pour assister à un deuil. Et là, les choses de l’amour et surtout les histoires d’ex, vous-mêmes, vous connaissez…
Le couple décide de passer la soirée ensemble. Et après une soirée bien arrosée, avec plusieurs verres d’alcool au menu, les deux tourtereaux se sont laissés emportés. Entre jeux de caresse, bisous et autres, le désir se fait sentir. Ils ne peuvent plus se retenir. Et tout ça se passe alors que le couple d’un soir, est sur un puits.
Le drame finit par se produire. Alors qu’ils ont transformé le puits en chambre de passage et sont en plein acte sexuel, les deux se retrouvent dans le puits.
C’est ainsi que la population, alertée nuitamment, les a secouru. L’homme est repêché vivant mais s’en sort avec les deux jambes amputées. La femme aura moins de chance. Elle est décédée plus tard dans un hôpital de la place.
Vivement que ce fait serve de leçon à tous ceux et celles qui ne savent pas retenir leur libido ou pulsions sexuelles.
Ça chauffe entre Wallys Zoumarou et Abdoulaye Bio Tchané. A travers plusieurs sorties médiatiques enchaînées en l’espace de quelques jours, le député de la 13è circonscription électorale a directement bombardé le secrétaire exécutif national du parti Bloc républicain. Et sur son compte méta où il s’adonne à la veille citoyenne, Simon Narcisse Tomèty a semblé s’inviter dans cette guerre qui oppose deux fils de Sèmèrè, mais aussi et surtout deux membres de la même famille politique.
Ça chauffe entre Wallys Zoumarou et Abdoulaye Bio Tchané. A travers plusieurs sorties médiatiques enchaînées en l’espace de quelques jours, le député de la 13è circonscription électorale a directement bombardé le secrétaire exécutif national du parti Bloc républicain. Et sur son compte méta où il s’adonne à la veille citoyenne, Simon Narcisse Tomèty a semblé s’inviter dans cette guerre qui oppose deux fils de Sèmèrè, mais aussi et surtout deux membres de la même famille politique.
Pour l’institutionnaliste de reformes publique, ce désaccord traduit l’échec de la reforme du système partisan au Bénin.
« J’ai écouté religieusement un audio du député ZOUMAROU et sa déclaration confirme bien mon analyse sur l’échec de la réforme du système partisan au Bénin… Un jour, ils auront le courage d’avouer leurs échecs », constate t-il, avant de saluer l’audace du député de la 13è circonscription électorale « J’ai bien reconnu sa voix et je reconnais aussi la sincérité et le courage de monsieur ZOUMAROU ».
L’ancien directeur de l’Ecole de la Nouvelle conscience dit ne pas être surpris par cette crise puisque la reforme du système partisan opérée par le régime de la rupture n’a pas ouvert la voie à « un fonctionnement démocratique du Bloc Républicain » et des partis.
Le vestiaire parisien se serait transformé en un ring après le fiasco sur la pelouse du Réal Madrid. Renversé par le Réal Madrid lors du match retour des 8è de finale de la ligue des champions de football (3-2 sur l’ensemble des deux matchs), le PSG aurait vu de deux de ses joueurs en venir aux mains dans les vestiaires. Du moins si on en croit aux informations révélées par Marca.
Le vestiaire parisien se serait transformé en un ring après le fiasco sur la pelouse du Réal Madrid. Renversé par le Réal Madrid lors du match retour des 8è de finale de la ligue des champions de football (3-2 sur l’ensemble des deux matchs), le PSG aurait vu de deux de ses joueurs en venir aux mains dans les vestiaires. Du moins si on en croit aux informations révélées par Marca.
Selon Marca, Neymar et Gianluigi Donnarumma se sont battus dans les vestiaires !
Neymar aurait fait des reproches à Donnarumma au sujet de son erreur sur le but égalisateur du Real Madrid.
Mais ce qui n’aurait pas été du goût de l’ex portier du Milan. Comme dans une logique, de ‘‘tu dis pour moi, je dis pour toi’’, Donnarumma aurait, à son tour, signifié au Brésilien qu’il n’est pas exempt de tout reproche dans cette élimination puisqu’il avait perdu le ballon sur le deuxième but de Karim Benzema.
Le ton serait ensuite monté. Et il a fallu l’intervention des autres joueurs et de l’encadrement technique pour éviter le pire.
Si cette information est à prendre avec des pincettes, puisque seul Marca a fait cas de cet incident, pour l’instant, il faut reconnaître que les parisiens n’ont pas digéré leur piteuse élimination et l’ont prouvé dans les faits.
L’incident avec Nasser Al-Khelafi et Léonardo dans le vestiaire des arbitres avec l’intervention de l’a Police était déjà révélateur.
Jeune fille, sachez à qui partagez vos secrets ! Le cas d’une mineure qui a été violé par un guérisseur alors qu’elle cherchait conseil et réconfort auprès de ce dernier mérite cette mise en garde.
Jeune fille, sachez à qui partagez vos secrets ! Le cas d’une mineure qui a été violé par un guérisseur alors qu’elle cherchait conseil et réconfort auprès de ce dernier mérite cette mise en garde.
Les faits remontent au 16 juin 2018. Une adolescente âgée de 14 ans tombe enceinte après s’être adonnée au jeu de ‘‘tchoki tchoki’’. Elle partage son secret avec un guérisseur pour sans doute trouver une solution.
Ce dernier propose à la jeune fille de le suivre à son domicile. Mais une fois là, le guérisseur a autre chose en tête.
A son tour, il décide de ‘‘goûter le piment’’ de la jeune fille et la viole.
Mais le lendemain, en raccompagnant la jeune fille, il est interpelé par les voisins. Il est conduit au Commissariat avan d’être jeté en prison.
Jugé ce mercredi 9 mars 2022 lors de la session criminelle du tribunal de première instance d’Abomey-Calavi, il a été condamné 10 ans de prison dont 5 ferme pour viol sur une mineure.
Connu pour ses prises de position en faveur du Gouvernement, Roger Gbégnonvi s’invite dans le débat ‘‘Komi Koutché-Lionel Zinsou’’. Interrogé sur les propos tenus par l’ancien ministre de l’Economie et des finances à l’endroit de l’ex-premier ministre sur les antennes de Rfi, il a ouvertement désavoué le président du mouvement ‘‘S’engager pour le Bénin’’. Et ce, tout en lui trouvant des circonstances atténuantes…
Connu pour ses prises de position en faveur du Gouvernement, Roger Gbégnonvi s’invite dans le débat ‘‘Komi Koutché-Lionel Zinsou’’. Interrogé sur les propos tenus par l’ancien ministre de l’Economie et des finances à l’endroit de l’ex-premier ministre sur les antennes de Rfi, il a ouvertement désavoué le président du mouvement ‘‘S’engager pour le Bénin’’. Et ce, tout en lui trouvant des circonstances atténuantes…
Sur la chaîne de télévision E-Télé, l’ancien ministre de l’alphabétisation de ‘‘courte durée’’ dans le gouvernement de Boni Yayi a désapprouvé les propos de Komi Koutché à l’endroit de Lionel Zinsou.
« J’ai le sentiment et même la certitude que le ministre Komi Koutché n’a pas le bon discours, n’a pas la bonne méthode », a d’abord fait remarquer l’Universitaire, avant d’ajouter d’un ton presque, ironique, « mais je le comprends ».
En effet, Roger Gbégnonvi met en avant la situation politique de l’ex argentier national pour justifier sa posture ou ses frasques, lui qui est en exil aux Etats-Unis.
Dans un jeu de comparaison, où il compare la prison à l’exil, l’Universitaire fait remarquer que la prison même si ce « n’est pas la joie », donne des raisons d’espérer à une sortie de prison, sans oublier que le détenu peut recevoir la visite de ses proches.
Par contre, poursuit il « quand vous êtes exil et que ça dure et que ça a l’air de ne pas pouvoir s’arrêter, l’exil devient un tourment ».
Et de conclure « Je comprends que Komi Koutché soit aujourd’hui un homme tourmenté ».
Quand une femme veut quelque chose, elle est prête à tout. Confirmation avec ce fait divers qui nous vient tout droit de la Géorgie.
Quand une femme veut quelque chose, elle est prête à tout. Confirmation avec ce fait divers qui nous vient tout droit de la Géorgie.
Là bas, une femme a usé de stratagème hors du commun pour obtenir un congé maternité.
Comme le rapporte The Mirror, ce samedi 05 mars 2022, une jeune femme de 24 ans a réussi à berner tout le monde avec un faux ventre.
Elle a mis un faux ventre et a pu obtenir un congé maternité de sept mois.
Les faits remontent à octobre 2020. Pendant plusieurs semaines, la jeune femme va faire croire à son employeur qu’elle attend un enfant pour obtenir des congés.
Et pour donner du crédit à son mensonge, elle va jusqu’à mettre un faux ventre de grossesse.
Et si sa stratégie marche pendant plusieurs jours, elle sera toutefois prise la main dans le sac.
Comme tout finit par se savoir, le pot-aux-roses est dévoilé. Et ce au bureau.
Son faux ventre choisit le mauvais pour la trahir. Alors qu’elle marche jusqu’à son bureau, son faux ventre tombe. Ses collègues sont étonnés…fin du mensonge.
Kpakpato Medias, vous laisse, imaginez sa tête à cet instant !!!
Au Bénin, la prochaine élection législative se tiendra le 08 janvier 2023. Conséquence de la décision DCC 22-065 du 24 février 2022.
Au Bénin, la prochaine élection législative se tiendra le 08 janvier 2023. Conséquence de la décision DCC 22-065 du 24 février 2022.
Saisie d’une requête en date du 14 février par laquelle le président de la Céna « forme un recours aux fins d’avis de la Cour sur la date légale des élections législatives de 2023 », les ‘‘sept sages’’ ont « dit que l’élection des députés à l’Assemblée nationale doit se tenir le « le 8 janvier », suivie de l’entrée en fonction des députés élus le 12 février.
Dans sa décision, la Cour constitutionnelle a, dans un premier temps, déclaré irrecevable la requête du président de la Céna « pour défaut de qualité », avant de considérer que « compte tenue de l’incertitude de la date d’organisation du scrutin ayant pour objet la dévolution du pouvoir législatif qui est l’un des fondements de la démocratie béninoise dans laquelle se trouve la Céna, source de dysfonctionnement latent des institutions de la république, il appartient à la cour en vertu de l’article 114 de la constitution qui fait d’elle « l’organe régulateur du fonctionnement des institutions et de l’activité des pouvoirs publics de se prononcer d’office sur la difficulté soulevée ».
Me Fatiou Ousmane désavoue
Un argument qui ne convainc pas Me Fatiou. Pour l’avocat au barreau de Dijon, la Cour aurait dû s’arrêter à sa première décision.
« Il faut d’abord regretter que la cour ne se soit pas simplement contentée de constater l’irrecevabilité de sa saisine et son incompétence à statuer sur une telle demande émanant de la CENA et non de celui qui doit convoquer le corps électoral », fait il d’abord remarquer, avant d’expliquer « La cour aurait pu, compte tenu de l’absence d’urgence, inviter l’organe compétent soit le Président de la République à se pourvoir devant elle. En se substituant à l’organe constitutionnel de saisine et se saisissant d’office de cette question, la cour a confirmé qu’elle n’était plus le recours indépendant créé en 1990 ».
Me Fatiou Ousmane rappelle que dans un passé récent cette même cour Constitutionnelle est allée au-delà de ses fonctions d’organe régulateur, ouvrant ainsi la voie à une « crise politique qui perdure depuis ».
« En poussant le raisonnement, on peut regretter que cette même cour n’ait pas joué ce rôle de régulateur lorsqu’en 2019 elle était saisie des difficultés d’application du nouveau code électoral et qu’elle a opté pour un dépassement de ses fonctions en créant un acte administratif dit certificat de conformité.
Il lui aurait pourtant suffi, à l’époque, de constater que la loi votée manquait de précision et méritait un second vote, ce qui induisant alors le report du scrutin législatif d’avril 2019.
Mais à ce moment, la Cour des miracles a préféré déréguler et se porter complice d’une crise politique qui perdure depuis… »
L’affaire devient sérieuse. Très sérieuse même. La ‘‘dieue de Banamè’’ exige de la part de ses fidèles un effort financier et spirituel pour se soigner, elle qui dit avoir des ennuis de santé.
L’affaire devient sérieuse. Très sérieuse même. La ‘‘dieue de Banamè’’ exige de la part de ses fidèles un effort financier et spirituel pour se soigner, elle qui dit avoir des ennuis de santé.
Daagbo revient à la charge quelques jours après son appel à l’aide. Dans un audio où elle s’exprime en langue fon avec un ton injurieux et menaçant, la ‘‘dieue’’ autoproclamée sur terre demande incessamment à ses fidèles, connus sous le sobriquet ‘‘daagbovis’’ de cotiser 1200 Fcfa pour faire face à ses ennuis de santé où plutôt à leurs ennuis de santé.
Très en courroux, elle a indiqué qu’un dieu ne tombe pas malade et qu’elle porte en réalité leurs problèmes, souffrances et charges. Elle a également ajouté que c’est une marque d’honneur et de considération qu’un dieu demande à des humains de cotiser pour sa santé.
Cette mise au point faite, Daagbo dénonce le comportement de ses fidèles et traite de tous les noms d’oiseau ses détracteurs.
Elle a dénoncé le comportement de ses fidèles qui selon elle, sont restés indifférents à son SOS, donnant une occasion aux ennemis, détracteurs ou « kalétas » de critiquer ou de se moquer de leur dieu.
Face à cela, elle invite incessamment les ‘‘dagboovi’’ à laver leur honneur en mettant la main à la poche pour faciliter la mobilisation des fonds.
Veut ou pas, ‘‘Parfaite de Banamè’’ demande à chaque ‘‘daagboovi’’ de cotiser 1200 fcfa et en plus d’acheter un foulard qui coûterait également 1200 Fcfa.
Dans son audio qui fait le tour des réseaux sociaux, elle demande aux uns et aux autres de regagner dès 19 heures leur église ou chancellerie pour commander une messe en son honneur afin qu’elle sorte gagnante de cette « épreuve ».
Parfaite Daagbo a demandé aux prêtres et autres responsables de suivre de près ce dossier. Elle a d’ailleurs menacé de s’en prendre à eux en cas d’échec.
Enfants, jeunes, vieux, vieilles, hommes ou femmes, tout le monde devra y apporter sa contribution, a-t-elle insisté.
Et de prévenir : « J’attends celui qui va rater ».
Si un ‘‘daagbovi’’ veut savoir à quoi ça ressemble la colère d’un dieu sur terre, il peut donc continuer à ignorer le cri de cœur de Daagbo.