Diplomatie: Tomèty recommande la fermeture du ministère des Affaires étrangères

Le gouvernement est à fond dans la redéfinition de la carte diplomatique. Et d’ici quelques mois, le Bénin pourrait seulement se retrouver avec une dizaine d’ambassades à l’étranger. Une reforme qui n’est visiblement pas du goût de l’Institutionnaliste Simon Narcisse Tomèty, qui y voit par là, les faiblesses de notre diplomatie, et celle du ministère des Affaires étrangères en particulier…

Le gouvernement est à fond dans la redéfinition de la carte diplomatique. Et d’ici quelques mois, le Bénin pourrait seulement se retrouver avec une dizaine d’ambassades à l’étranger. Une reforme qui n’est visiblement pas du goût de l’Institutionnaliste Simon Narcisse Tomèty, qui y voit par là, les faiblesses de notre diplomatie, et celle du ministère des Affaires étrangères en particulier.

« C’est un ministère minable dans son offre de service…la diplomatie béninoise n’est pas lisible et efficace quand je la compare à celle des pays voisins », se désole t-il.

Pour lui, la refonte de la diplomatie à 8 mois de la fin du régime de la rupture est un aveu d’impuissance et traduit les lacunes en matière de reforme institutionnelle.

Face à cela, Simon Narcisse Tomèty propose la fermeture pure et simple du ministère des affaires étrangères.

« Avec dix ambassadeurs pour compter du 1er août 2020 et des ambassadeurs ambulants qui fonctionneront comme des tontiniers basés à Cotonou, je recommande la fermeture du ministère des affaires étrangères », suggère t-il.

Toutefois, il ne propose pas la  suppression définitive dudit ministère. Simon Narcisse Tomèty recommande la fusion du ministère des affaires étrangères avec  celui du plan, avec la mise sur pied d’une « direction générale des affaires ambulantes  pour un Bénin révélé ».

En attendant que sa proposition soit analysée,  l’Institutionnaliste de reformes publiques s’interroge sur la décision du gouvernement de mettre les ambassadeurs au service des mairies.

« J’ai appris que des diplomates vont être recyclés dans la diplomatie territoriale par leur affectation dans les mairies. Ça  m’a beaucoup amusé en apprenant cette pièce théâtrale, moi qui ai évalué de nombreuses expériences de coopération décentralisée dans quelques pays africains et dirigé la mission de formulation de la politique  des frontières du Bénin. Ne voulant pas être un oiseau de mauvaise augure, j’attends de voir la concrétisation de ce projet de mendicité internationale par les communes pour émettre mes commentaires », fait-il remarquer.

 Affaire à suivre donc !!!

Manassé AGBOSSAGA

Covid-19: Les décès montent en flèche dans tout l’Iran

Le directeur adjoint à la santé de la faculté des sciences médicales d’Alborz a déclaré vendredi le 19 juin au site Tabnak : « nous sommes entrés dans le deuxième pic de l’épidémie. Le nombre d’hospitalisations et de décès est à la hausse. La deuxième vague est beaucoup plus difficile à contrôler. »..

Le directeur adjoint à la santé de la faculté des sciences médicales d’Alborz a déclaré vendredi le 19 juin au site Tabnak : « nous sommes entrés dans le deuxième pic de l’épidémie. Le nombre d’hospitalisations et de décès est à la hausse. La deuxième vague est beaucoup plus difficile à contrôler. »

Massoud Mardani, membre du Centre national de lutte contre le Coronavirus (CNLC) a été repris le 20 juin par l’agence Fars agence Fars,expliquant que « La deuxième vague a commencé et il faut réfléchir à la troisième. Si la situation se poursuit de cette manière, nous en aurons pour jusqu’à la fin de l’année » (iranienne qui se termine le 19 mars).

A Bouchehr, l’agence Fars des pasdarans a rapporté le 19 juin : « La semaine dernière, 227 personnes en moyenne par jour ont contracté le virus dans la province, ce qui signifie que Bouchehr est passé du rouge au noir. » Le vice-président de la faculté des sciences médicales de Bouchehr, également cité par Fars le 19 juin précisant : « Ces derniers jours, environ 70 à 80 % des cas ont été testés positifs. »

Les vrais chiffres sont cachés

Le député d’Ahwaz au Majlis, dans la province de Khouzistan, a indiqué à l’agence de la radiotélévision le 20 juin que « le fait que les chiffres ne soient pas annoncés inquiète les gens et le fait que quelqu’un meurt près de nous chaque jour apporte un sentiment de peur et d’anxiété. »

Selon la télévision régionale du Khouzistan, le 18 juin, un membre de la faculté des sciences médicales de Jondichahpour a déclaré : « En avril, le nombre de cas positifs était en moyenne de 30 par jour pendant près d’un mois, mais il est maintenant supérieur à 600-700. Des chiffres officieux suggèrent d’autres choses, c’est-à-dire qu’il a été multiplié par vingt. »

30% de la population ont attrapé le coronavirus

L’agence Mehr a également cité le 20 juin le président de la faculté des sciences médicales de Semnan, précisant que « depuis le début de l’épidémie jusqu’à présent, 30% de la population de cette région ont attrapé le coronavirus. »

Samedi le 20 juin, lors de la réunion du centre national de lutte contre le coronavirus (CNLC), le président iranien, Hassan Rohani a déclaré : « le virus ne disparaîtra pas et ne pourra pas être éradiqué en peu de temps, et nous ne pouvons rien faire pour que notre peuple trouve une immunité complète. » Malgré cela, il a ajouté à la télévision d’État aujourd’hui : « Les restrictions dans toutes les activités économiques, éducatives, culturelles et spirituelles peuvent être levées. ».

Apparemment, le président a l’intention de faire paraître la situation normale, alors qu’il semble que nous soyons à l’aube d’une deuxième vague du virus maintenant ! », a rapporté le site d’information Khabar-Fori aujourd’hui.

 Ces 15 derniers jours les cas positifs dans la province Markazi ont quintuplé.

Le gouverneur de la province de Markazi a été repris par l’agence Mehr hier indiquant que « ces 15 derniers jours, le nombre de cas positifs et d’hospitalisations dans cette province a quintuplé par rapport aux 15 jours précédents. »

Le président de la faculté des sciences médicales de Tabriz, en Azerbaïdjan oriental, a déclaré hier à l’agence Fars que « en moyenne chaque jour, on identifie 350 nouveaux cas positifs dans la province et en ce moment 33% des tests faits dans la province sont positifs. »

Le vice-président de la faculté des sciences médicales de Chiraz, dans la province de Fars, a été cité samedi le 20 juin par les agences Irna et Isna, disant que « nous avons identifié plus de 9500 cas positifs dans la province.Le nombre de cas positifs augmente de jour en jour. Depuis la semaine dernière, nous assistons à une augmentation sans précédent de nouveaux cas. »

 Par Hamid Enayat

Covid-19: Les chiffres en Afrique à la date du 27 juin, cas confirmés et décès

Même si on est encore loin du triste bilan américain ou européen, la pandémie du Covd-19 gagne du terrain en Afrique…

Même si on est encore loin du triste  bilan américain ou européen, la pandémie du Covd-19 gagne du terrain en Afrique.

 D’après les chiffres publiés par le bureau régional de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) pour l’Afrique, le continent noir enregistre plus de 356 000 cas de #COVID19,  à la date du samedi 27 juin 2020.

Le nombre de décès lié à la pandémie est de 9100, d’après les chiffres de l’institution.

Toutefois, plus de 171 000 guérisons ont été notées au niveau de l’Afrique.

L’Egypte (2533), l’Afrique du Sud (2340), l’Algérie (885), le Soudan (559) et le Nigéria (554) sont les pays les plus touchés par le Covid, avec un nombre élevé de décès enregistré.

Manassé AGBOSSAGA

Convocation d’une rencontre politique le jour de l’inhumation de l’étudiant Théophile Djaho: Maladresse de jeunes amateurs ou acte délibéré de pseudos opposants ?

Une rencontre politique a été convoquée par de jeunes opposants le samedi 20 juin dernier. Paradoxalement cette date coïncidait avec celle de l’’inhumation de l’étudiant Théophile Djaho, décédé le 24 mars dernier après avoir reçu une balle lors des mouvements de protestations qui ont eu lieu sur le campus d’Abomey-Calavi. Maladresse de jeunes amateurs ou acte délibéré de pseudos opposants ?..

Une rencontre politique a été convoquée par de jeunes opposants  le samedi 20 juin dernier. Paradoxalement cette date coïncidait avec celle de l’’inhumation de l’étudiant Théophile Djaho, décédé le 24 mars  dernier après avoir reçu une balle lors des mouvements de protestations qui ont eu lieu sur le campus d’Abomey-Calavi. Maladresse de jeunes amateurs ou acte délibéré de pseudos opposants ?

Manassé AGBOSSAGA

Le choix de cette date laisse place à deux interrogations. S’agit-il d’une maladresse de jeunes amateurs politiques ? S’agit-il d’un acte délibéré de pseudos opposants ?

En effet, la convocation d’une rencontre politique en un jour où Théophile Djaho était conduit à sa demeure peut être,  dans un premier temps,  perçue comme une maladresse de jeunes amateurs.

Maladresse de jeunes amateurs, parce qu’il est évident que les responsables de la manifestation sont,  sans véritable expérience politique. Sans bagage politique, ils n’ont pas tenu compte de l’inopportunité de convoquer une rencontre politique le jour de l’inhumation, d’un étudiant assassiné.

Comment de jeunes et qui pour la plupart sont d’anciens étudiants, peuvent-ils manifester un tel manque de compassion ? Comment peuvent-ils manifester sur une telle indifférence? Comment au lieu d’inviter les jeunes et tout le pays à se mobiliser pour rendre un dernier hommage à un jeune étudiant assassiné, ils ont préféré appeler les jeunes à se réunir autour d’une rencontre politique sans lendemain ?

En plus de ces interrogations, imaginez un instant que de jeunes démocrates convoquaient une rencontre politique, le jour de l’inhumation de l’afro-américain Floyd, sauvagement assassiné par un policier blanc. Quel choc cela provoquerait.

C’est vrai que le Bénin n’est pas les Etats-Unis. C’est aussi vrai que l’inhumation de Théophile Djaho n’est pas la fin du monde. Mais il est aussi vrai que pour de jeunes,  qui se réclament de l’opposition et qui sont d’anciens responsables étudiants et président d’Ong d’étudiants à l’image de Habib Ahandessi, l’idéal aurait été d’accorder une priorité aux manifestations entrant dans le cadre des obsèques de Théophile Djaho.

En effet, l’urgence ce 20 juin, c’était une unicité d’actions autour d’un jeune décédé après avoir reçu balle des forces de l’ordre. Sans chercher à faire la publicité ou la récupération, ces jeunes auraient mieux fait d’apporter leur soutien à la communauté estudiantine et  la famille de la victime.

Et si ces jeunes opposants n’étaient pas en mesure de faire preuve d’un minimum de compassion, l’idéal aurait été de disparaître  ou de s’éclipser,  ne serait-ce que ce samedi 20 juin.

Fait à dessein ?

Et si ces jeunes étaient aussi matures politiquement et avaient agi à dessein ?  En effet, il n’est pas exclu qu’il s’agisse d’actes délibérés de pseudos opposants.

La composition de ce creuset de jeunes opposants donne des raisons de croire  à un acte volontaire pour détourner l’attention des populations au sujet de l’actualité liée à l’inhumation de Théophile Djaho.

Entre des gens qui changent régulièrement de veste à l’image de Loth Houénou, la forte communication faite sur la rencontre politique, le texte bancal  publié par l’un des membres pour justifier la date du 20 juin, la thèse d’un acte délibéré de pseudos opposants n’est pas à écarter.

Même si un kpakpato international n’est pas en mesure de trancher après analyse, il est évident que l’avenir nous situera. Ne dit-on pas que  le temps est le  second nom de Dieu.

Insécurité: Des voleurs opérant avec un mode opératoire bien particulier sèment la terreur à Togoudo

Insécurité grandissante à Togoudo, l’un des quartiers de l’arrondissement de Godomey, commune d’Abomey-Calavi ! Depuis quelques mois, des voleurs qui opèrent de façon particulière sèment la terreur dans la localité

Insécurité grandissante à Togoudo, l’un des quartiers de l’arrondissement de Godomey, commune d’Abomey-Calavi !  Depuis quelques mois, des voleurs qui opèrent de façon particulière sèment la terreur  dans la localité

Ces derniers pénètrent dans les chambres en prenant par l’arrière-cour, soit en escaladant les murs de la cuisine. Sans se faire remarquer, comme de véritables fantômes, ils arrivent ensuite à repartir avec les objets qui ont  de la valeur à leurs yeux.

Par exemple, un jeune couple a fait les frais de ce réseau, le mois dernier. Alors qu’ils étaient allés au service dans la matinée, ils ont constaté à leur retour que des  intrus s’étaient infiltrés dans leur chambre.

Les voisins alertés ont constaté avec le jeune couple abattu qu’il s’agissait de personnes qui ont pris par l’arrière-cour  pour dérober argent,  tissus pagnes, ordinateur portatif et autres.

A quelques mètres, un autre jeune couple a été également victime de ce même type de vol  ce mois-ci. Toujours en escaladant les murs de la cuisine, ces derniers ont pu emporter gaz, portable, argent. Ici encore, ils sont repartis sans laisser de trace. Ce qui est étonnant ici, est que le couple était à la maison et n’a constaté les dégâts qu’à leur réveil.

Ces deux cas cités ne sont que,  quelques uns,  parmi tant d’autres.

Les populations de Togoudo-Kpodhondji, Togoudo-Djoukpa sont désormais inquiètes. Face à des voleurs qui semblent opérer avec magie et audace, elles invitent les forces de l’ordre notamment les éléments du commissariat de Godomey à agir.

La Police républicaine est donc appelée au secours  pour mettre la main sur des personnes qui ont visiblement choisi le vol comme profession!!!

Manassé AGBOSSAGA

Assassiné le 24 mars dernier: L’étudiant Théophile Djaho inhumé ce jour à Djakotomey, vibrant hommage des associations estudiantines à leur « héros »

Assassiné dans des conditions non encore élucidées sur le campus d’Abomey-Calavi, le mardi 24 mars dernier, l’étudient Dieudonné Théophile Djaho est conduit à sa dernière demeure ce samedi 20 juin 2020 à Djakotomey. Main dans la main, les étudiants n’ont pas manqué de rendre un vibrant hommage à celui qu’ils appellent tous « héros ».

Assassiné dans des conditions non encore élucidées sur le campus d’Abomey-Calavi, le mardi 24 mars dernier, l’étudient Dieudonné Théophile Djaho est conduit à sa dernière demeure ce  samedi 20 juin 2020 à Djakotomey. Main dans la main, les étudiants n’ont pas manqué de rendre un vibrant hommage à celui qu’ils appellent tous « héros ».

Manassé AGBOSSAGA

Tôt ce samedi, les étudiants,  sous la houlette de leurs organes, se sont fortement mobilisés pour rendre un dernier hommage à leur « héros ». D’abord, en empêchant toutes les compositions programmées à l’Uac ce jour.

Puis en accompagnant à pied, de l’entrée du campus  à l’échangeur de Godomey, sous des chants, des ovations, des cris de révolte, la dépouille mortelle.  

Le véhicule qui conduit le corps de Feu Théophile Djaho

« Plus jamais ça à l’université ! », « Plus d’étudiants assassinés sur le campus », « Justice pour Théophile Djaho », scandaient ils entre autres.

La manifestation avait le mérite de susciter des curiosités, et des interrogations auprès des usagers. Et là, les étudiants ne se privaient pas de rappeler que le 24 mars dernier, un des leurs fut assassiné par les forces de l’ordre, alors que les étudiants demandaient l’arrêt des cours face à la pandémie du Covid-19. Des explications qui provoquaient une compassion, pouvait on remarquer.

Et quand vint l’heure de laisser le corps de leur camarade aller se reposer à son domicile à Djakotomey, ils se rassemblèrent tous pour former un cercle.

Un cercle pour demander justice à Théophile Djaho

Malgré le mécontentement de certains usagers qui se voyaient bloqués le passage,  ils eurent la force et le courage pour chanter l’hymne national et  réclamer justice.

Prenant  la parole,  l’un des frères de la victime a exprimé sa désolation de voir un étudiant sauvagement abattu sur le plus haut lieu du savoir au Bénin.  

Un dernier à dieu à Théophile Djaho qui prit ensuite départ pour sa terre natale, loin des calvaires de l’Uac et des injustices de ce bas monde.

Mais cet hommage n’a pas démarré ce samedi. Le vendredi par exemple, les étudiants ont rendu un vibrant hommage à leur camarade en participant à la veillée de prière , à l’accueil et l’exposition du corps,   au  dépôt de gerbe, de fleurs et de bougies à l’endroit où Théophile Djaho fut assassiné.

Mieux, les étudiants ont décidé de mémoriser la mémoire de leur camarade en lui dédiant une place. Le « jardin Dieudonné Théophile Djaho » porte désormais  le nom de l’ancien étudiant.

La justice humaine ou divine s’occupera du reste !

Musique/Justice: Un jeune rappeur français placé en garde à vue

Le rappeur Moha La Squale n’est plus libre de ses mouvements. Il est depuis ce vendredi 19 juin 2020 placé en garde dans le 18e arrondissement de Paris, a rapporté le site Europe 1. De son vrai nom, Mohamed Bellahmed, l’artiste a été placé en garde à vue …

Le rappeur Moha La Squale n’est plus libre de ses mouvements. Il est depuis ce vendredi 19 juin 2020 placé en garde dans le 18e arrondissement de Paris, a rapporté le site Europe 1.  De son vrai nom, Mohamed Bellahmed, l’artiste a été placé en garde à vue pour refus d’obtempérer, violence sur agent de la force publique et rébellion.

Manassé AGBOSSAGA

Selon le site Europe 1, les policiers se sont aperçus que la personne qu’ils contrôlaient faisait l’objet d’un mandat d’arrêt pour refus d’obtempérer lors d’un contrôle routier dans le 18e arrondissement. Le jeune rappeur de 25 ans, qui était accompagné d’une amie avait d’ailleurs réussi à prendre la fuite à pied avant d’être rattrapée et « difficilement menottée », précise le site.

 « En mars 2019, Moha La Squale  avait été convoqué devant le tribunal correctionnel de Saint-Pierre, à la Réunion, pour « menaces de mort avec arme », après avoir menacé un couple avec un couteau dans le bar d’un hôtel », rappelle Europe 1.

Triste destin pour l’une des grosses révélations musicales de l’année 2018, dont l’album « Bendero »  a été plébiscité par le public (disque d’or, plus de 50.000 exemplaires vendus) et qui fut également nommé aux Victoires de la musique 2019, l’artiste charismatique aux cheveux longs.

Kpakpato Sans Payer: Joël Aïvo recrute un garde du corps, des soucis pour sa sécurité ou style d’un homme qui lorgne la marina ?

C’est un fait qui n’a pas échappé au regard de Kpakpato Medias. Joël Aïvo se fait accompagner par un garde du corps, précisément un gros-bras…

C’est un fait qui n’a pas échappé au regard de Kpakpato Medias.  Joël Aïvo se fait accompagner par un garde du corps, précisément un gros-bras.

Alors en mode ‘‘kpakpato sans  payer’’, on revient sur cette actualité qui ne date pas de ces dernières 24 heures.

En effet, au lendemain de son départ à la tête de la Faculté des droits et sciences politiques (Fadesp) en février 2019, l’homme se fait toujours accompagner  dans ses déplacements par  un gros-bras. Par exemple, à  deux  activités de l’Association béninoise de droit constitutionnel (ABDC), à l’Infosec et à l’hôtel Golden Tulip, nous avons pu apercevoir ce dernier aux côtés de Joël Aïvo.

Sur cette image publiée sur sa page facebook, le garde du corps (Ndlr: l’homme costaud derrière en chemise manche longue qui a un chapeau sur la tête et qui est à l’écart ) était présent à ses côtés lors d’un déplacement dans la vallée de l’Ouémé,

En outre lors d’un déplacement dans la vallée de l’Ouémé, le garde du corps était présent à ses côtés.

Dans chacun de ces cas, le gros bras qui a tout l’air d’un agent de sécurité suivait  religieusement les mouvements de l’ancien doyen de la Fadesp.    

Ce fait suscite deux  questions.  Joël Aïvo qui critique de plus en plus le régime de la rupture craint-il pour sa sécurité ?

Ou s’agit-il simplement d’un look de quelqu’un qui lorgne le fauteuil de la marina. En effet, si Joël Aïvo n’a pas officiellement annoncé sa volonté de succéder à Patrice Talon, l’homme prend de plus en plus la posture d’un candidat à la présidentielle de 2021.

Alors Joël Aïvo a-t-il décidé d’aller à l’école de Emmanuel Macron, qui lui aussi avant son élection se faisait accompagner par un gros bras ?

Les jours prochains nous édifieront ?

Manassé AGBOSSAGA

Covid-19 in Iran :« Le nombre de décès a quadruplé, la mort de six enfants »

Selon le président de la faculté des sciences médicales de la province de Hormozgan cité par l’agence Irna mercredi le 17 juin, depuis fin mai, le nombre de décès a quadruplé. 85% des malades sous respirateur ont perdu la vie. Jusqu’à présent plus de 250 personnels médicaux et soignants de la province ont été contaminés et leurs collègues sont épuisés à l’extrême. Il y a 44 patients en USI et 22 sont dans un état grave

Selon le président de la faculté des sciences médicales de la province de Hormozgan cité par l’agence Irna mercredi le 17 juin, depuis fin mai, le nombre de décès a quadruplé. 85% des malades sous respirateur ont perdu la vie. Jusqu’à présent plus de 250 personnels médicaux et soignants de la province ont été contaminés et leurs collègues sont épuisés à l’extrême. Il y a 44 patients en USI et 22 sont dans un état grave

Cité par l’agence Mehr mardi le 16 juin, le président de la faculté des sciences médicales de la province de Golestan a affirmé : « Depuis quelques jours la courbe de l’épidémie remonte ». L’agence Irna a également rapporté mercredi le 17 juin de sa part : « Si l’épidémie de Covid-19 poursuit sa propagation, il faudra s’attendre à ce que toutes les villes tombent dans le rouge. Le nombre de morts dus au virus augmentera. Il a aussi annoncé la mort de six enfants due au coronavirus. »

Archive

IradjHarirchi, vice-ministre de la Santé, a annoncé lundi le 15 juin à ISNA que lors de la guerre de 8 ans contre l’Irak, les pertes du régime s’élevaient quotidiennement à 66 morts, alors que ces deux derniers jours, le nombre de morts du coronavirus se montait à 107 et 113. Il a ajouté que « nous n’avons pas de province où nous ne devons pas nous inquiéter de la maladie. Ces derniers jours, on a eu de nouveau un nombre de morts à trois chiffres ce qui est élevé.

Imposant la quarantaine d’urgence

Ali-Akbar Hagh-Doust, un autre vice-ministre de la Santé, a déclaré mardi le 16 à l’agence Irna qu’ « il faut décider d’urgence et sérieusement le retour des restrictions . Le ministère de la Santé a demandé officiellement, en particulier là où le degré d’épidémie est plus important, de réimposer les restrictions. »

En imposant la quarantaine, les populations affamées sans leur payer et sans subvenir à leurs besoins essentielsse révolteront inévitablement contre le régime. Par conséquent, pour échapper à ce destin fatal, la seule porte de sortie reste une immunité collective. Si les gens avaient souffert de faim en quarantaine, le régime serait tenu pour responsable, mais dans l’approche de l’immunité collective, il n’est pas responsable de la mort des Iraniens ; le virus étant blâmé.  

Les avoirs du régime iranien en espèces sont estimés dans les milieux proches du régime à environ 200 milliards de dollars.lerégime ne manque pas d’argent pour combattre le virus. Malheureusement cela est seulement utilisé au bénéfice du Guide Suprême pour son avidité du pouvoir.  

Pour une immunité collective, la société devra payer un prix énorme

Samedi le 13, au centre national de lutte contre le coronavirus (CNLC), Rohani a reconnu la situation critique dans plusieurs provinces : « Nous sommes au premier pic de l’épidémie dans certaines provinces. Dans certaines, nous avons dépassé le premier pic. Les prévisions indiquent que d’autres provinces attendent leur tour. Dans le pays, à l’exception de quelques villes, nous n’avons pas encore atteint un point où 60 à 65 % de la population a contracté le virus et l’a surmonté ».

Hamid Souri, membre du centre national de lutte contre le coronavirus, a indiqué à l’agence Irna mardi le 16juin que « En tant qu’épidémiologiste, je dois dire que pour atteindre un niveau d’immunité collective, la société devra payer un prix énorme. Certaines des choses que nous avons faites n’ont pas fonctionné assez rapidement pour obtenir de meilleurs résultats ».

Il y a eu autant de cas positifs qu’en quatre mois

Le site Aftab a rapporté hier les propos du vice-gouverneur de la province de Bouchehr disant que « la semaine dernière il y a eu autant de cas positifs qu’en quatre mois. Cette semaine, plusieurs centaines de cas positifs ont été identifiés par jour dans toute la province, dont beaucoup étaient en état grave et sont partis en soins intensifs. »

Source Externe 

Saturation du centre de traitement d’Allada/Covid-19: Le ministre Benjamin Hounkpatin contredit le journaliste-maire Malick Gomina

Le ministre de la santé prend le contre-pied de l’ex-journaliste et actuel maire de la commune de Djougou. A la faveur d’une sortie médiatique ce jeudi 19 juin 2020, Benjamin Hounkpatin a contredit Malick Gomina, qui il y a quelques jours alertait ses administrés sur la saturation du centre de traitement d’Allada.

Le ministre de la santé prend le contre-pied de l’ex-journaliste et actuel maire de la commune de Djougou. A la faveur d’une sortie médiatique ce jeudi 19 juin 2020, Benjamin Hounkpatin a contredit Malick Gomina, qui il y a quelques jours alertait ses administrés sur la saturation du centre de traitement d’Allada.

Très ferme, le ministre de la santé a martelé que le centre de traitement d’Allada dispose suffisamment de  place pour  recevoir des malades atteints du Covid-19.

« L’hôpital d’Allada n’est en aucun cas débordé », a-t-il martelé.

Le ministre de la santé Benjamin Hounkpatin

Benjamin Hounkpatin ajoute que « l’hôpital dispose d’une capacité de plus de 100 lits », de respirateurs et autres.

Dans ses explications, le ministre de la Santé a indiqué que les malades  asymptomatiques qui ne présentent pas de signes particuliers  sont suivis dans leur milieu avec une prescription de quarantaine à domicile.

Benjamin Hounkpatin fait donc comprendre que seuls les cas graves du Covid sont placés dans les centres de traitements, comme les 11 cas qui sont actuellement suivis à Allada.

Entre Hounkpatin et Gomina, qui dit finalement vrai ?

Manassé AGBOSSAGA