Justice: Un homme de 44 ans condamné à 18 mois de prison pour avoir couché avec sa fille de 16 ans

En France, précisément dans une commune du sud de la Drôme, un homme est appelé à passer le reste de ses jours en prison. Du moins, pendant 18 mois. Ce dernier qui a couché avec sa fille de 16 ans, a été a été déclaré coupable, ce jeudi 11 juin 2020 de relations sexuelles incestueuses…

En France, précisément dans une commune du sud de la Drôme, un homme est appelé à passer  le reste de ses jours en prison. Du moins, pendant 18 mois. Ce dernier qui a couché avec sa fille de 16 ans, a été a été déclaré coupable, ce  jeudi 11 juin 2020 de relations sexuelles incestueuses.

Il a alors  été condamné à 18 mois de prison ferme, par le tribunal correctionnel de Valence.

D’après le site Le Dauphiné,  tout remonte à 2017, où l’adolescente avait fuit le domicile familial. Elle avait ensuite trouvé refuge chez son père qu’elle n’avait pas revu depuis une dizaine d’années.

Au lieu d’être un soutien moral, le  père a plutôt vu en sa fille une proie sexuelle. A cet instant, il entretenait des relations sexuelles avec sa fille presque tous les jours.

L’idylle entre  le père et sa fille a toutefois été dénoncée par l’épouse du père.  Cette dernière a surpris des échanges de SMS à caractère sexuel entre le père et sa fille et a informé la gendarmerie. Les deux reconnaîtront une relation incestueuse consentie. Sur le canapé, dans une chambre de la maison familiale, à travers des caresses, des pénétrations, des échanges de photos… Vous n’avez pas mal lu. Ceci se passe bien entre un père et sa fille au pays du blanc.

D’après Le Dauphiné  qui a couvert le procès, la jeune fille alors âgée de 16 ans était en conflit avec sa mère et avait fait une tentative de suicide.

Manassé AGBOSSAGA

Covid-19: Le Patronat salue les mesures prises pour soutenir les entreprises et fait une doléance au gouvernement

La position du Conseil national du Patronat du Bénin (CNP-Bénin) au sujet des mesures prises par le gouvernement pour soutenir les entreprises face à la pandémie du Covid-19 est connue. Face aux hommes des médias, ce vendredi 12 juin 2020, Eustache Kotigan et les siens ont salué la démarche du gouvernement et fait une doléance au gouvernement pour faciliter l’application des mesures.

La position du  Conseil national du Patronat du Bénin (CNP-Bénin)  au sujet des mesures prises par le gouvernement pour soutenir les entreprises face à la pandémie du Covid-19 est connue. Face aux hommes des médias, ce vendredi 12 juin 2020,  Eustache Kotigan et les siens ont salué la démarche du gouvernement  et fait une doléance au gouvernement pour faciliter l’application des mesures.

Manassé AGBOSSAGA

Sentiment de soulagement et de satisfaction du côté des Patrons des patrons après l’annonce des mesures prises par le gouvernement pour soutenir les entreprises face à la pandémie du Covid-19.

Ce 12 juin, regroupés au sein du Conseil national du Patronat,  ils ont  salué les mesures prises pour donner « un souffle nouveau aux entreprises ».

Dans une déclaration lue par son président par intérim, Eustache Kotigan, le CNP-Bénin  fait savoir  qu’Il s’agit d’actions de grandes portées qui forcent l’admiration de l’institution et de toutes les organisations d’employeurs

Pour le CNP-Bénin,  ces mesures viennent au bon moment pour donner un nouveau souffle aux entreprises et à l’économie en général.

Toutefois, le syndicat des patrons des entreprises invite le gouvernement à faire davantage pour le monde de l’entreprise et en profite pour faire une doléance afin de faciliter l’application des mesures. 

 « Le CNP-Bénin souhaite la mise en place d’un comité tripartite, gouvernement-organisations  d’employeurs-travailleurs,  pour la gestion,  la mise en œuvre des mesures de relance économique dans les meilleurs délais possibles », plaide l’institution par la voix de son président par intérim.

Face aux hommes des médias, le CNP-Bénin n’a pas manqué de rappeler les nombreuses initiatives pour amener le gouvernement à assister les entreprises. Eustache Kotigan a notamment mis en avant les multiples rencontres entre organisations patronales, organisations des travailleurs et entreprises, ainsi que la remise au gouvernement  le 21 avril dernier d’un mémorandum pour proposer quelques mesures d’atténuation, d’assouplissement,  d’accompagnement et de relance économique.

La  mise en œuvre d’un programme de soutien de 74,12 milliards de FCFA, en faveur des entreprises formelles, des artisans et petits métiers de services de l’informel, et des personnes vulnérables est donc en partie le fruit des nombreux plaidoyers du CNP-Bénin.

Justice : Le procès des présumés criminels de la petite Gracia s’ouvre lundi

Un rendez-vous judiciaire de taille s’ouvre lundi prochain au tribunal de Cotonou. Il s’agit du démarrage du procès des présumés criminels de la petite Gracia Prunelle, ..

Un rendez-vous judiciaire de taille s’ouvre lundi prochain au tribunal de Cotonou. Il s’agit du démarrage du procès des présumés criminels de la petite Gracia Prunelle, a indiqué le procureur Mario Mètonou à la radio Frissons Fm.

La petite fille seulement âgée de 7 ans avait été assassinée le 03  février dernier pour crime rituel à Cotonou.

Les présumés criminels ont été interpellés et sont poursuivis pour assassinat et pratiques de charlatanisme.

Leur procès s’ouvre dans le cadre du démarrage de la session criminelle, ce lundi 15 juin.

Manassé AGBOSSAGA

Musique: Sortie prochaine du 2è album de l’artiste Vincent Ahéhéhinnou

L’artiste Vincent Ahéhéhinnou revient sur scène. Membre du mythique groupe Poly Ritmo, il sort son deuxième album…

L’artiste Vincent Ahéhéhinnou revient sur scène. Membre du mythique groupe Poly Ritmo, il sort son deuxième album.

Vincent Ahéhéhinnou a donné l’information à nos confrères de Frissons Fm.  Il s’agit d’un album intitulé « la vie est belle », comportant douze titres.

Les fans de l’artiste devront toutefois patienter, puisque la date de lancement de l’album n’est pas encore connue.

.Manassé AGBOSSAGA

Fermeture des frontières nigérianes, mesures sociales liées au Coronavirus: Ce qui a permis au gouvernement de « tenir » et de mobiliser les fonds, selon Wadagni

Interpelé par l’envoyé spécial de kpakpatomedias.com, sur l’origine des fonds, surtout qu’il y a peu, le président Talon indiquait que le Bénin n’avait pas suffisamment de moyens, pour prendre certaines mesures face au Covid-19, le ministre des finances a révélé le secret du gouvernement Talon…

Trois ministres du gouvernement de Patrice Talon étaient face à la presse dans la matinée de ce jeudi 11 juin 2020.

A l’occasion,  Abdoulaye Bio Tchané, ministre du plan et du développement, Véronique Tognifodé, ministre des Affaires sociales, Romuald Wadagni, ministre de l’Economie et des finances sont revenus sur les mesures sociales liées à la pandémie du Covid-19 prises par le gouvernement pour soutenir les entreprises.

Interpellé par l’envoyé spécial de kpakpatomedias.com, sur l’origine des fonds, surtout qu’il y a peu, le président Talon indiquait que le Bénin n’avait pas suffisamment de moyens, pour prendre certaines mesures face au Covid-19, le ministre des finances a révélé le secret du gouvernement Talon.

Romuald Wadagni, ministre des Finances

Le ministre des Finances a notamment mis en avant les différentes reformes mises en œuvre pour assainir les finances publiques, pour amener les citoyens et les entreprises  à payer leurs impôts.

« Tout ce que nous voyons aujourd’hui, qui est en train d’être fait …c’est le prix des efforts des citoyens, des  entreprises qui paient  tous les impôts…Les reformes qui ont permis à ce qu’on change ces habitudes… Toutes les reformes de modernisation de l’administration publique…toutes les reformes qui ont permis d’assainir les finances publiques et d’avoir plus de moyens et d’agir », a-t-il répondu.

Romuald Wadagni va plus loin et indique que les différentes reformes mises en œuvre depuis 2016 ont permis au Bénin de faire face à la dévaluation du Naira, la fermeture des frontières nigérianes  et à la crise sanitaire du Covid-19.

« Vous voyez qu’en 2016, dès que le gouvernement est arrivé,  il y a eu  au Nigéria,   une dévaluation.  Le gouvernement a tenu.  L’année passée,  fermeture des frontières,  on a tenu… Cette année dans un contexte de fermeture des  frontières,  il y a une crise sanitaire, et pourtant on tient… Si on le fait,  c’est parce que les reformes et mesures ont été prises pour rendre  fortes et solides  notre économie », confie t-il.

Les béninois apprécieront !!!

Manassé AGBOSSAGA

Après avoir reçu un courrier des impôts: Takou raconte comment il a failli piquer une crise, parle de la souffrance des journalistes et fait une doléance à trois ministres

Le très populaire journaliste Aboubakar Takou était présent ce jeudi 11 mai à la sortie médiatique des trois ministres du gouvernement de Talon. Mais, le rédacteur de Béninois Libéré, récemment déchargé d’un poste pour s’être affiché en public aux côtés des leaders du Bloc républicain, n’y était pas pour entendre les explications des ministres au sujet des mesures sociales liées à la pandémie du Covid-19 prises par le gouvernement en Conseil des ministres, ce mercredi 10 juin…

Le très populaire journaliste Aboubakar Takou était présent ce jeudi 11 mai à la sortie médiatique des trois ministres du gouvernement de Talon. Mais, le rédacteur de Béninois Libéré, récemment déchargé d’un poste pour s’être affiché en public aux côtés des leaders du Bloc républicain, n’y était pas pour entendre les explications des ministres au sujet des mesures sociales liées à la pandémie du Covid-19 prises par le gouvernement en Conseil des ministres, ce mercredi 10 juin.

Manassé AGBOSSAGA

Aboubakar Takou s’est déplacé en personne pour raconter à Abdoulaye Bio Tchané, Romuald Wadagni, Véronique Tognifodé la souffrance des journalistes béninois sous la rupture.

« Nous évoluons sans moyen…Nous souffrons…Nous ne sommes pas des salariés », a-t-il, entre autres,  d’abord lancé.

Aboubakar Takou

Et pour prouver que la galère des journalistes sous la rupture touche même ceux qui sont acquis à la cause du régime de la rupture,  Aboubacar Takou n’a pas hésité à évoquer sa situation personnelle.

Selon ses confidences, il a récemment failli tomber en syncope  à cause des services des impôts. Heureusement pour lui, il a pu avaler à temps trois comprimés de diazépam.

« La dernière fois,  il y a quatre jours,  j’étais à la rédaction. J’ai reçu un courrier des impôts, Béninois  Libéré. J’ai piqué presque une crise.  Il m’a fallu trois comprimés de diazépam pour retrouver mes sens, pour me remettre de ce choc émotionnel », révèle Aboubakar Takou.

Il en profite alors pour faire une doléance aux trois représentants du gouvernement. Aboubakar Takou  plaide pour que les entreprises de presse ne soient plus soumises au paiement des impôts.

« Nous ne sommes pas une entreprise classique qui devrait être éligible au titre des autres entreprises en matière d’impôt… Nous sommes une entreprise particulière de souveraineté nationale », a-t-il notamment justifié.

Réagissant à ce plaidoyer, le ministre d’Etat, Abdoulaye Bio Tchané a dit prendre bonne note.

Espérons qu’il en soit ainsi, parce que si Takou, le grand communicateur du régime de la rupture a failli tomber en syncope, imaginez pour nous les kpakpatos qui n’avons rien oh.

Iran :« Le manque de bonne gestion peut conduire à des catastrophes irréparables »

Selon l’agence Irna, le nouveau porte-parole du ministre de la santé a annoncé le 8 juin, que « Ces derniers jours, en général, le nombre de malades du Covid-19 a augmenté dans le pays. »A Téhéran, Ali-Reza Zali, le chef du centre national de lutte contre le coronavirus (CNLC) a affirmé hier,le 8 juin,que « les malades qui se présentent aux centres et aux hôpitaux ont augmenté de 3,5% par rapport à il y a 24 heures ».

Selon l’agence Irna, le nouveau porte-parole du ministre de la santé a annoncé le 8 juin, que « Ces derniers jours, en général, le nombre de malades du Covid-19 a augmenté dans le pays. »A Téhéran, Ali-Reza Zali, le chef du centre national de lutte contre le coronavirus (CNLC) a affirmé hier,le 8 juin,que « les malades qui se présentent aux centres et aux hôpitaux ont augmenté de 3,5% par rapport à il y a 24 heures ».

Selon le site Javan,  le 8 juin dernier, dans la province du Khouzistan, le président de la faculté des sciences médicales de Jondichapour a déclaré que « On prévoit que juin sera un mois difficile et la tendance à la hausse se poursuivra pendant encore deux semaines. »

La reprise plus rapidement qu’en Europe

Ardakani, conseiller du ministre de la Santé, a reconnu la détérioration de la situation et a déclaré à l’agence Irnale 8 juin : « Le nombre de cas positifs augmente. Les gens doivent savoir que nous vivrons avec l’épidémie corona pendant un ou deux ans. En Iran, nous avons fait la reprise plus rapidement qu’en Europe. Nous pensions que la situation devenait normale alors qu’elle n’était pas. »

Dans la province de Kermanchah, le gouverneur a déclaré sur le site Hamchahri hier : « Il n’y a pas de perspective claire pour cette maladie. Le 8 juin, 620 tests ont été effectués, dont 213 positifs, indiquant un état d’alerte dans la province. »

Dans la province d’Hormozgan, un membre du conseil islamique de Bandar-Abbas a déclaré sur le site Baz-Khabar aujourd’hui : « Dans ces conditions critiques, où la situation dans la ville de Bandar Abbas empire d’heure en heure (…) le manque de bonne gestion peut conduire à des catastrophes irréparables qui mettent en danger la vie de milliers de citoyens. Les responsables en la matière n’ont pas de solution appropriée pour contrôler le flot de l’épidémie de coronavirus (…) La culpabilité des autorités devient plus lourde lorsqu’elles considèrent que ces chiffres exponentiels sont le résultat de la négligence de la population, alors qu’aucune mesure efficace n’a été prise par les autorités pour lutter contre l’épidémie. »

« La mauvaise gestion du gouvernement et le manque de surveillance et de contrôle, a déclaré Mahjoub, membre du comité de prévention du coronavirus, font partie des raisons du pic de la maladie dans les foyers précédents et dans de nombreuses régions du pays qui en étaient exemptes. Donner la priorité aux moyens de subsistance des gens avec des politiques de sécurité ou de sécurité collective a amené le pays au point où le coronavirus a atteint un sommet dans le pays aujourd’hui et la maladie n’est pas contenue, gérée ni contrôlée. » (Site RahbordMoasser, 8 juin)

Démenti de l’implication de l’ancien président dans la création d’un parti de l’opposition: Azannaï félicite le service medias de Soglo

Le service médias de Nicéphore Soglo a réagi ce mardi 09 juin à l’information relative à l’implication de l’ancien président dans la création d’un grand parti de l’opposition….

Le service médias de Nicéphore Soglo a réagi ce mardi 09 juin à l’information relative à l’implication de l’ancien président dans la création d’un grand parti de l’opposition.

Via un communiqué le service médias a qualifié l’information de « grotesques mensonges ».

De quoi rendre heureux le président du parti Restaurer l’Espoir. Dans un post lapidaire, Candide AzannaÏ a félicité l’équipe presse de Nicéphore Soglo après la publication du communiqué.

« J’adresse mes vives félicitations à toute l’équipe du service médias du président Nicéphore Soglo », a-t-il écrit, au bas du communiqué du service médias de l’ancien président du Bénin, publié sur sa page officielle.

Manassé AGBOSSAGA

Conseil des ministres: L’ancien ministre Lucien Kokou recasé !

Fin de galère pour l’ancien ministre  des Enseignements secondaire, technique et de la Formation professionnelle. Remercié à la faveur du 1er remaniement ministériel en octobre 2017, Lucien Kokou vient d’être recasé.

A la faveur du Conseil des ministres de ce mercredi 10 juin 2020, l’ancien ministre a été nommé à la présidence de la République. Lucien Kokou est désormais le Directeur de l’Agence nationale pour les prestations aux établissements scolaires publics (ANaPES).

Bonne chance à lui dans ses nouvelles fonctions !

Manassé AGBOSSAGA

Justice: Trois personnes arrêtées pour prélèvement et vente de sable marin

Il ne fait décidemment pas bon temps de tricher avec la nature, du côté de la berge lagunaire de Dantokpa. Après l’interpellation de dix personnes le lundi dernier pour avoir déversé des déchets dans la lagune depuis le pont, trois personnes viennent également d’être arrêtés pour vente de sable marin…

Il ne fait décidemment pas bon temps de tricher avec la nature, du côté de la berge lagunaire de Dantokpa. Après l’interpellation de dix personnes le lundi dernier pour avoir déversé des déchets dans la lagune depuis le pont, trois personnes viennent également d’être arrêtés pour vente de sable marin.

Selon la radio Frissons, les trois individus auraient  pour habitude de  prélever le sable marin sur la berge lagunaire, puis de le revendre.

Interpellés et présentés au procureur, les trois présumés « vendeurs » de sable sont depuis quelques jours en détention provisoire.

Ils seront plus situés sur leur sort le 24 juin prochai,n avec la tenue de leur procès,

.Manassé AGBOSSAGA