OMC: Un béninois vise le poste de Directeur de l’Organisation mondiale du commerce

Un béninois vise un poste international, et pas n’importe lequel. L’ancien ministre des finances…

Un béninois vise un poste international, et pas n’importe lequel. Grégoire Laourou est intéressé  par le poste de Directeur de l’Organisation mondiale de Commerce (OMC).

Manassé AGBOSSAGA

Plusieurs médias étrangers dont le site Le Temps et la radio Rfi ont dévoilé l’ambition de l’ancien ministre des finances du Général Mathieu Kérékou de succéder au Brésilien Roberto Azevêdo, dont le deuxième mandat prend fin en août 2021.

Grégoire Laourou en course pour le poste de directeur de l’OMC

La tâche ne s’annonce pas pourtant facile pour l’ancien député et ministre des finances.

 Grégoire Laourou  fait face  à plusieurs candidatures africaines, notamment nigérianes, kenyanes et égyptiennes.

L’ancien ministre des finances et ses challengers pourraient être situés en fin de semaine, où   l’Union africaine, se réunira à Addis-Abeba pour   décider du choix de son unique candidat.

La diplomatie béninoise a donc du boulot.

Pour avoir déversé des déchets et ordures dans la lagune de Dantokpa : 10 personnes en détention provisoire

Polluez votre environnement, et vous irez tout droit au youf ! Dix individus viennent de faire l’amère expérience…

Polluez votre environnement, et vous irez tout droit au youf !  Dix individus viennent de faire l’amère expérience.

En effet, d’après la radio Frissons Fm, dix personnes sont placées sous mandat de dépôt pour pollution de la berge lagunaire de Tokpa.

Ces derniers auraient pour habitude de déverser des déchets et ordures dans la lagune de Dantokpa.

Interpellés, ils ont été présentés au procureur du tribunal de Cotonou, avant d’être conduit directement à la prison civile de Cotonou.

Leur procès est prévu pour le 30 juin prochain, précise Frissons Fm.

Manassé AGBOSSAGA

Accusé par un site d’être le parrain du trafic de drogue en Côte d’Ivoire: Le ministre Hamed Bakayoko réagit et entend porter plainte

C’est l’actualité en Côte d’Ivoire ces dernières 24 heures. Le ministre d’Etat, chargé de la Défense serait le parrain du trafic de drogue en Côte d’Ivoire. L’information publiée par le site vice medias est reprise abondamment sur les réseaux sociaux, notamment par les détracteurs d’Hambak, comme on l’appelle affectueusement.

C’est l’actualité en Côte d’Ivoire ces dernières 24 heures. Le ministre d’Etat, chargé de la Défense serait  le parrain du trafic de drogue en Côte d’Ivoire. L’information publiée par le site vice medias est reprise abondamment sur les réseaux sociaux, notamment par les détracteurs d’Hambak, comme on l’appelle affectueusement.

Via un communiqué publié sur sa page officielle, ce jeudi 08 juin, le ministre d’Etat ivoirien  a réagi à la polémique.

Il qualifie l’information publiée par les journalistes Ibekwe Nicholas et Daan Bauwens. « d’insinuations extrêmement graves et diffamatoires ».

Tout en dénonçant ce qu’il qualifie d’« orchestration grossière ourdie par des commanditaires dont le dessein n’échappe à personne », il rappelle son combat acharné contre le trafic de drogue lors de son passage au ministère de l’Intérieur.  « Dans mes charges de Ministre de la sécurité en Côte d’Ivoire pendant plus de 07 ans et celles actuelles de la Défense, les résultats obtenus dans la lutte contre la drogue sont mondialement reconnus. Ces actions qui se sont soldées par de nombreuses arrestations, saisies et démantèlements de réseaux mafieux, ont valu des félicitations internationales à la Côte d’Ivoire », rappelle t-il.

Et d’annoncer sa volonté de traduire en justice les auteurs de cette information et les relais. «  Au regard de ces insinuations extrêmement graves et diffamatoires, j’ai décidé de porter plainte contre Messieurs Ibekwe Nicholas, Daan Bauwens et les relais » , prévient le ministre ivoirien.

.Pendant ce temps, le « Golden Boy », prend son café.

Manassé AGBOSSAGA

[Communiqué]

Je n’ai pas pour habitude de réagir à des allégations portées contre moi sur les réseaux sociaux.

Mais je me vois contraint de le faire aujourd’hui, suite à une publication sur une prétendue enquête de deux journalistes, Messieurs Ibekwe Nicholas et Daan Bauwens.

Ces allégations vont à l’encontre de mes principes de vie et sont de nature à jeter le discrédit sur mon pays, en raison des fonctions que j’exerce.

Au regard de ces insinuations extrêmement graves et diffamatoires, j’ai décidé de porter plainte contre Messieurs Ibekwe Nicholas, Daan Bauwens et les relais.

Dans mes charges de Ministre de la sécurité en Côte d’Ivoire pendant plus de 07 ans et celles actuelles de la Défense, les résultats obtenus dans la lutte contre la drogue sont mondialement reconnus. Ces actions qui se sont soldées par de nombreuses arrestations, saisies et démantèlements de réseaux mafieux, ont valu des félicitations internationales à la Côte d’Ivoire.

Je dénonce cette orchestration grossière ourdie par des commanditaires dont le dessein n’échappe à personne.

Cette énième cabale n’entamera pas notre détermination au service de la nation.

En Côte d’Ivoire, dans mon pays, ma réputation est faite, elle est pure et sans tache, n’en déplaise aux aigris et aux conspirateurs.

Fait à Abidjan le 08 Juin 2020

HAMED BAKAYOKO

Décentralisation: La malédiction du 2ème mandat frappe trois fils de Calavi

Trois noms qui évoquent l’échec d’une tentative pour un deuxième mandat à la tête de la mairie d’Abomey-Calavi.

Liamidi de Dravo ! Patrice Houssou-Guèdè ! Georges Bada !

Trois noms qui évoquent l’échec d’une tentative pour un deuxième mandat à la tête de la mairie d’Abomey-Calavi.

Comme s’il y avait un fétiche qui s’oppose à 2 mandats, ces trois maires, tous natifs de Calavi n’ont pu rempiler, après un premier mandat.

D’abord en 2008, avec Liamidi de Dravo, premier maire de la commune d’Abomey-Calavi depuis l’avènement de la décentralisation, éjecté par Patrice Houssou-Guèdè.

Puis en 2015 avec Patrice Houssou-Guèdè, deuxième maire dans l’histoire de la commune d’Abomey-Calavi, à son tour d’être remplacé par Georges Bada.

Enfin au tour de Georges Bada, en 2020 de vivre l’amer expérience et d’être remplacé par Angelo Ahouandjinou.

De Drava, Houssou-Guèdè et Bada  pourront se partager cette petite blague, eux qui se retrouvent curieusement dans le conseil communal, 4ème mandature.

Manassé AGBOSSAGA

Iran, Covid-19 : « Environ 20 % de la population totale de notre pays a contracté ce virus »

Minou Mohraz, membre duCentre national de lutte contre le coronavirus (CNLC), a déclaré aujourd’hui au site KhabarFori : « Actuellement, environ 20 % de la population totale de notre pays a contracté ce virus, et selon l’Organisation mondiale de la santé, au moins 40 à 70 % de la population attrapera cette maladie. » ..

Minou Mohraz, membre duCentre national de lutte contre le coronavirus (CNLC), a déclaré aujourd’hui au site KhabarFori : « Actuellement, environ 20 % de la population totale de notre pays a contracté ce virus, et selon l’Organisation mondiale de la santé, au moins 40 à 70 % de la population attrapera cette maladie. » 

Selon l’agence IRNA du 30 mai, le président de la faculté des sciences médicales de Kermânchâh a déclaré : « à présent nous sommes confrontés à une augmentation du nombre de patients, d’hospitalisations et malheureusement de décès. Il est prévu que d’ici à la mi-septembre, 47,5% de l’ensemble du pays auront été infectés par le coronavirus. »

AlirezaZali, le chef du CNLC à Téhéran, a déclaré le 5 June à l’agence de presse Daneshjou : « Il est certain qu’une nouvelle vague de coronavirus est en train de se former à Téhéran. Ces dernières 24 heures, le nombre de patients hospitalisés a augmenté de 10,1 %. »

Hier, l’agence Tasnim, a fait état d’une augmentation de 200 % du nombre de patients sur l’île de Qeshm.

En Azerbaïdjan occidental, l’agence Mehr a cité le président de la faculté des sciences médicales qui a déclaré le 5 juin : « patients qui arrivaient étaient dans un état pire que ceux du premier pic ; davantage de personnes avaient besoin de services de soins intensifs. »

Pourquoi le régime des mollahs ne prend-il pas des mesures sérieuses pour combattre le Coronavirus ? Pourquoi a-t-il annulé le confinement partiel qui a été mis en place pour quelques jours ? Pourquoi le Président, avec le soutien du Guide Suprême, a soudainement ordonné que tous retournent au travail alors que cela est susceptible de provoquer une hausse soudaine de la propagation de la maladie ?

Maryam Radjavi, la dirigeante de la Résistance iranienne (CNRI), a réitéré le 29 mai : les frais de subsistance des travailleurs et des personnes démunies auraient pu être facilement pris en charge par les grandes institutions économiques et financières sous le contrôle de Khamenei et des gardiens de la révolution afin qu’ils n’aient pas besoin d’aller travailler pendant quelques mois et ne soient pas envoyés à l’abattoir du coronavirus.  

  Cela a lieu alors même que la Société Iranienne pour l’Immunologie et l’Allergie a publié une lettre ouverte avertissant le président Hassan Rohani contre cette approche d’immunité collective, signifiant que cela causera la propagation du COVID-19 dans les deux tiers de la population et mettra 2 millions de personnes en danger de mort. Suivant l’instruction de Rohani, le Guide Suprême a dit dans un commentaire que l’histoire du genre humain a enregistré à diverses occasions des morts massives de ce genre et que ceci n’est pas sans précédent. Cet effrayant commentaire avait, en effet, pour objectif de préparer la population à accepter un nombre élevé de morts, ce qui, à l’allure où vont les choses, devrait normalement arriver. 

L’histoire de quarante ans du régime iranien montre qu’à chaque fois que le régime se trouve dans une impasse, une tuerie massive de personnes est la seule porte de sortie. C’est le principe directeur de ce régime. Aujourd’hui, le régime se trouve dans une impasse fatale. Des soulèvements consécutifs de 2017 à janvier 2020 ont secoué le régime. Pendant les protestations de novembre, les forces répressives du régime ont ouvert le feu sur de jeunes gens non armés, tuant 1500 d’entre eux, ce qui a sévèrement sapé la position du régime à la fois sur le plan national qu’à l’international. 

L’armée des affamées s’est mis en branle pour s’insurger et renverser le régime. Est-ce que le régime iranien va pouvoir utiliser les innombrables morts dus au coronavirus pour répandre le désespoir et la passivité dans la société ? Ou bien, est-ce que chaque vie perdue va ronger le régime de l’intérieur et loin de le préserver, sonne le glas de la dictature ?

Par Hamid Enayat

Affrontements entre agriculteurs et éleveurs à Malanville: L’appel du député Guy Mitokpè aux autorités compétentes

Le député Guy Mitokpè a réagi à la situation qui prévaut depuis quelques jours à Malanville Le secrétaire général du parti Restaurer l’Espoir a particulièrement exprimé ses inquiétudes au sujet des affrontements entre agriculteurs et éleveurs qui s’observent dans le village de Goungoun, et qui ont faits plusieurs morts…

Le député Guy Mitokpè a réagi à la situation qui prévaut depuis quelques jours à Malanville Le secrétaire général du parti Restaurer l’Espoir a particulièrement exprimé ses inquiétudes au sujet des affrontements entre agriculteurs et éleveurs qui s’observent dans le village de Goungoun, et qui ont faits plusieurs morts.

Sur son compte officiel, il a alors invité les autorités compétentes à divers niveaux à prendre les mesures nécessaires pour mettre fin à ces violences.

 « Nous invitons les autorités compétentes à prendre les mesures  nécessaires pour un retour au calme », a-t-il posté,  avant d’ajouter  «la vie de chaque concitoyen compte ».

Les autorités concernées apprécieront !!!

Manassé AGBOSSAGA

Iran, Covid-19 : Une stratégie de pertes humaines massives pour faire barrage au danger du soulèvement

Alors qu’un porte-parole du ministère de la Santé du régime a annoncé le 4 juin que 3574 nouveaux cas positifs ont été identifiés ces dernières 24 heures, le nombre le plus élevé de l’épidémie ces quatre derniers mois, et les médias du régime qualifient d’« effroyable » la situation dans la province de Kohguilouyeh-Boyer-Ahmad, de « propagation effrénée du Covid-19 au Guilan », d’une « nouvelle vague de coronavirus à Téhéran », de « pointe de l’iceberg au Khouzistan »…

Alors qu’un porte-parole du ministère de la Santé du régime a annoncé le 4 juin que 3574 nouveaux cas positifs ont été identifiés ces dernières 24 heures, le nombre le plus élevé de l’épidémie ces quatre derniers mois, et  les médias du régime qualifient d’« effroyable » la situation dans la province de Kohguilouyeh-Boyer-Ahmad, de « propagation effrénée du Covid-19 au Guilan », d’une « nouvelle vague de coronavirus à Téhéran », de « pointe de l’iceberg au Khouzistan ».

Face à cette situation, Maryam Radjavi, dirigeante de la Résistance iranienne (CNRI),a souligné « que la dictature religieuse en Iran a opté pour une stratégie de pertes humaines massives dans l’épidémie de Covid-19 pour faire barrage au danger du soulèvement et du renversement du régime ; mais un jour ce barrage se brisera et s’effondrera sur le régime »

Les observateurs estiment qu’il y a deux options pour contrôler le COVID-19 en Iran. La première consiste à contrôler la maladie avec une quarantaine rigide. Mais le régime sait que cela demanderait à compenser plus de 30 millions de pertes d’emploi au risque d’autres insurrections de la part des légions de personnes désœuvrées et déshéritées. Il semble que Khamenei n’a pas l’intention de payer ce prix. S’il s’engageait à soutenir la population dans le besoin, il ne pourrait pas accumuler des fortunes astronomiques.

La deuxième option est l’immunité collective. Ceci veut dire que le régime restera apathique, laissant au moins 60 % de la population courir le risque de contracter le virus avec 1 million de morts possibles. Le gouvernement a déjà demandé aux salariés de retourner au travail sans aucune mesure préventive. Dans une lettre ouverte au Président Rohani, la Société Iranienne de l’Immunologie et de l’Allergie a dénoncé le projet d’immunité collective, déclarant qu’elle provoquerait la contamination des deux-tiers de la population, jusqu’à 60 millions de personnes, avec près de 2 millions de décès.

Maryam Radjavi a déclaré le 5 avril à ce sujet : « la décision de Khamenei et Rohani de renvoyer les gens au travail va faire des victimes innombrables. Au lieu de subvenir aux besoins élémentaires de la population en puisant dans les organes économiques sous contrôle de Khamenei et de ses pasdarans qui ont pillé les richesses de la nation, le régime des mollahs envoie les gens à l’abattoir du coronavirus.  le fossé gigantesque entre les classes prennent chaque jour de nouvelles dimensions sous la dictature religieuse. »

 La pointe de l’iceberg de la maladie

Au Khouzistan, le secrétaire du Comité d’épidémiologie de la faculté des sciences médicales d’Ahwaz a déclaré à la télévision régionale le 2 juin : « Nous avons eu une augmentation toutes les semaines et il n’y a jamais eu un moment où les chiffres se sont stabilisés ou même ont diminué. Malheureusement, il y a eu une très forte augmentation ces trois dernières semaines, donc le niveau de contamination dans la société est bien plus élevé que ce que nous constatons. »

A une question du journaliste disant que « certains disent que nous devrions les multiplier par 4, d’autres disent de les multiplier par 10 », il a répondu : « Beaucoup croient qu’il faut les multiplier par plus que cela (…) les chiffres que nous voyons ne sont que la pointe de l’iceberg de la maladie. » Le président de la faculté des sciences médicales d’Abadan a rapporté à la télévision officielle le 3 juin, quelque 114 cas positifs et 6 décès uniquement pour le sud-ouest de la province du Khouzistan.

 Dans la province de Guilan, l’agence Fars, a rapporté hier une « épidémie généralisée de coronavirus ». « L’augmentation des hospitalisations ces derniers jours indique la prévalence du deuxième pic de coronavirus dans la province. Malheureusement, le taux de transmission est très élevé », a déploré le président de la faculté des sciences médicales hier sur Javan. Il a noté que « 1 000 des 4000 infirmières et 60 des 400 médecins qui soignent les malades de coronavirus au Guilan ont malheureusement été infectés par le virus ».

Situation alarmante

Le site de la télévision d’État a cité le président de la faculté des sciences médicales d’Azerbaïdjan de l’ouest qui a déclaré aujourd’hui que la situation actuelle « est un signe avant-coureur d’une nouvelle propagation du virus. En plus de la montée du nombre de patients, ceux-ci viennent dans les hôpitaux en souffrant davantage, notamment de problèmes pulmonaires ».

Dans la province de Kohguilouyeh-Boyer-Ahmad, l’agence IRNA a décrit aujourd’hui une situation « au bord de la crise du coronavirus » ajoutant : « Les nouvelles du coronavirus à Kohguilouyeh-Boyer-Ahmad sont alarmantes ». Par Hamid Enayat

Contentieux à la cour royale de Savalou: Le trône d’Arsène Ganfon désavoué

Le samedi 16 mai dernier 2020, les cinq (05) candidats à la succession du feu Dada Gandjègni Ahoyo Gbaguidi 14 ont déposé une plainte au Conseil national des Rois du Bénin (CNRB) pour exiger l’annulation systématique de la désignation du sieur Arsène Ganfon au trône royal de GBAGUIDI. Selon les membres, réunis au sein d’un collectif, la nomination du présumé nouveau roi de Savalou est faite sur fond de hold-up, de mascarade, de tripatouillage et de parodie. Pour cette cause, il réclame la reprise du processus de désignation dans son entièreté…

 Le samedi 16 mai dernier 2020, les cinq (05) candidats à la succession du feu Dada Gandjègni Ahoyo Gbaguidi 14 ont déposé une plainte au Conseil national des Rois du Bénin (CNRB) pour exiger l’annulation systématique de la désignation du sieur Arsène Ganfon au trône royal de GBAGUIDI. Selon les membres, réunis au sein d’un collectif, la nomination du présumé nouveau roi de Savalou est faite sur fond de hold-up, de mascarade, de tripatouillage et de parodie. Pour cette cause, il réclame la reprise du processus de désignation dans son entièreté.

Serges Landry GAMEDJO

Nonobstant la sommation que le chef de collectivité a reçu d’un huissier de justice assermenté au fin de suspendre le déroulement du processus de désignation du futur roi, il est allé au terme de la procédure qui n’a acquis la caution morale d’aucune famille de la dynastie parce qu’entachée à foison d’irrégularités.

Du reste, le tribunal de deuxième instance de deuxième classe de Savalou a été saisi à ce sujet pour régler le différend parce que le règlement à l’amiable n’a pas prospéré.

Le tribunal n’a pas encore délibéré et pendant que cette affaire est en examen, le chef de la collectivité est resté dans la dynamique d’imposer Arsène Ganfon comme le nouveau roi de Savalou.

Ce qui n’est pas du gout des princes savalois qui exigent la reprise de la désignation du roi Gbaguidi 15.

Présidentielle de 2020 en Côte d’Ivoire: Le fils de Gbagbo croit à une candidature de Ouattara

La question de la candidature de Alassane Dramane Ouattara est remise sur table. Malgré son annonce officielle en mars dernier de ne pas se présenter et la désignation du candidat Rhdp à la présidentielle d’octobre 2020 en Côte d’Ivoire, certains responsables politiques ivoiriens n’écartent pas la thèse d’une candidature du président sortant…

La question de la candidature de Alassane Dramane Ouattara est remise sur table. Malgré son annonce officielle  en mars dernier de ne pas se présenter et la désignation du candidat Rhdp à la présidentielle d’octobre 2020 en Côte d’Ivoire, certains responsables politiques ivoiriens n’écartent pas la thèse d’une candidature du président sortant.

Manassé AGBOSSAGA

Parmi ces derniers, le fils de l’ancien président, Michael Gbagbo. A travers un post laconique sur sa page facebook, Michael Gbagbo a martelé que le président sortant tentera de briguer un troisième mandat.

Michael Gbagbo

« Présidentielle de 2020…je mets quiconque au défi…M. Alassane Dramane Ouattara se présentera aux prochaines élections présidentielles…J’ai cette impression là, nonobstant sa déclaration solennelle », a-t-il posté.

Sa déclaration tient compte, sans doute,  des derniers évènements survenus à Abidjan, et des confidences du journal en ligne « La lettre du Continent ».

En effet, le candidat désigné du Rhdp, Amadou Gon Coulibaly  fait face à de graves soucis de santé à quelques mois de la présidentielle. Depuis début mai, il est évacué  à l’hôpital de la pitié –salpêtrière  de Paris en France.

Selon « La Lettre du Contient », le président Ouattara aurait récemment échangé avec son homologue français Emmanuel Macron sur la nécessité de se présenter à la présidentielle pour faire échec à la probable alliance Pdci-Fpi.

C’est dire que le scrutin présidentiel de 2020 n’a pas livré tout ses secrets.

Drame: Une mère et sa fille torturent un homme de 61 ans et brûle son sexe

Une mère et sa fille ont uni leurs forces pour nuire à un homme, en Belgique. Sans cœur, elles ont, dans une action commune, torturé un homme de 61 ans, avant de lui brûler son sexe…

Une mère et sa fille ont uni leurs forces pour nuire à un homme, en Belgique. Sans cœur, elles ont, dans une action commune,  torturé un homme de 61 ans,  avant de lui brûler son sexe.

Manassé AGBOSSAGA

D’après le site lameuse.be, un homme répondant au nom deJean, a été déposé dans la nuit de mercredi à jeudi devant les urgences de l’hôpital Marie Curie de Lodelinsart, en Belgique.

Ce dernier venait d’être torturé pendant des heures. Des traces de coups étaient visibles sur son corps.

Pire, la mère  pourtant sa compagne a, avec le soutien de sa fille, brûlé le sexe de son compagnon.

Le site lameuse.be précise que l’homme se trouve à présent dans un état critique, lui qui avait déjà une santé fragile.

La justice belge a toutefois réussi à mettre la main sur les deux tortionnaires.
Elles ont été interpellées et ont été inculpées pour tortures sur une personne vulnérable et tentative de meurtre et écrouées.