Sécurité, protection des personnes et des biens: Le Grap milite pour une participation citoyenne collective

A l’initiative du Groupe de réflexions alternatives et perspectives (GRAP), le Général Célestin Guidimè a entretenu jeunes, hommes et femmes de diverses couches sur une question d’actualité. Pour cause, l’ancien directeur adjoint de la Police nationale a, face à des interlocuteurs qui ont bravé la pluie ce 1 er juin, développé le thème « Sécurité et participation citoyenne à l’œuvre collective de protection des personnes et des biens ».

En collaboration avec la Chaire Unesco, le Groupe de réflexions alternatives et perspectives (GRAP) a organisé le samedi 1er juin dernier à l’Université d’Abomey-Calavi, une conférence publique sur le thème «Sécurité et participation citoyenne à l’œuvre collective de protection des personnes et des biens ». Le Grap présidé par le Doyen Roch David Gnahoui entend ainsi mettre l’accent sur la participation citoyenne collective à l’œuvre  de protection des personnes et des biens.

Manassé AGBOSSAGA

A l’initiative du Groupe de réflexions alternatives et perspectives (GRAP), le Général Célestin Guidimè a entretenu jeunes, hommes et femmes de diverses couches sur une question d’actualité. Pour cause, l’ancien directeur adjoint de la Police nationale a, face à des interlocuteurs qui ont bravé la pluie  ce 1 er juin,  développé le thème « Sécurité et participation citoyenne à l’œuvre collective de protection des personnes et des biens ».

De la définition des concepts, à la politique sécuritaire en passant par les dispositions légales, le Général Célestin Guidimè a martelé que la sécurité reste une question préoccupante pour les Etats modernes. Si l’Etat se doit d’assurer la sécurité des personnes et des biens, le conférencier a toutefois insisté sur la participation individuelle et collective.

Et là-dessus, l’expert Consultant en matière de sécurité et de sureté a fait savoir qu’il existe un cadre légal qui permet aux citoyens de participer à l’œuvre collective de sécurité. Il a mis en avant les Comités locaux de sécurité, qui constituent un cadre formel de coproduction de sécurité.

Aussi a-t-il cité, les populations, les élus locaux, les médias, les chasseurs, les leaders religieux, les brigades civiles de sécurité, qui constituent des acteurs civils. D’ailleurs pour le conférencier,  l’Etat ne peut pas  se passer de ces différents acteurs.

« La sécurité de nos populations et de leurs biens ne peut pas se faire  sans la participation des populations… C’est une donnée fondamentale de toute stratégie de sécurité. Notre système de sécurité ne peut pas  se passer de cette grande armée civile de 10 millions d’habitants.  C’est essentiel », a-t-il soutenu.

Le Général Guidimè recommande alors à l’Etat de mettre en place un système de sécurité qui s’appuie sur la participation active des populations.

« Il faut que notre stratégie de sécurité s’appuie sur la coproduction de la sécurité de services régaliens,  ensemble dans des modalités bien étudiées où les services régaliens s’appuient sur les populations et vice-versa…Certes,   l’Etat  est conservateur, l’Etat ne veut pas se départir de ses attributions en matière de sécurité, mais il faut qu’on évolue, sinon ça ne peut pas marcher », souligne t-il.

En attendant, le président du Grap confie que le choix de cette thématique n’est pas anodin. Roch David Gnahoui a mis en avant les enlèvements de touristes français à Cotonou et autres. Pour lui, la sécurité est donc une préoccupation majeure qui touche notre modèle démocratique.

Tout comme le conférencier, le doyen de la Fadesp a insisté sur la participation collective à l’œuvre de sécurité des personnes et des biens.

«La sécurité, c’est une question de droit de participation collective. Il ne faut pas que les gens restent en retrait de cette sécurité… chacun doit pouvoir participer à la sécurité du pays. C’est vrai,  que c’est la mission principale de l’Etat,  mais il ne faut pas attendre l’Etat pour que la sécurité soit un élément », a-t-il soutenu.

Vue partielle des participants

Un message visiblement compris par les personnes présentes à la conférence publique,  au vue des questions et réponses.

Journées portes ouvertes PAC: Le Dg Hervé Zongo approuve et salue le dynamisme des nouveaux dirigeants

Le Dg du Groupe CMA CGM approuve l’organisation des journées portes ouvertes du Port de Cotonou. Interrogé en marge de la cérémonie de lancement, Tuwendaabo Hervé Zongo, dont la société intervient dans le transport maritime et dans tout ce qui est offre de solution logistique, s’est réjouit de la tenue de cet évènement historique, les 24 et 25 mai derniers…

Le Directeur général (Dg) de la Société CMA CGM approuve la Journée porte ouverte du Port de Cotonou. Présent à la cérémonie de lancement de ladite journée, ce vendredi 24 mai 2019, Tuwendaabo Hervé Zongo a salué l’initiative, louant au passage les mérites de la nouvelle administration portuaire avec à sa tête, Jorys Thys.

Manassé AGBOSSAGA

Le Dg du Groupe CMA CGM approuve l’organisation des journées portes ouvertes du Port de Cotonou. Interrogé en marge de la cérémonie de lancement, Tuwendaabo Hervé Zongo, dont la société intervient dans le transport maritime et dans tout ce qui est offre de solution logistique, s’est réjouit de la tenue de cet évènement historique, les 24 et 25 mai derniers.

Pour le Dg de la société CMA CGM, cet évènement permet de mettre en lumière le monde maritime. Tuwendaabo Hervé Zongo soutient  que les journées portes ouvertes permettent de mettre en relation les acteurs et de reprendre contact avec la population pour signifier à cette dernière que le « transport logistique est au cœur de tous les métiers ». Il ajoute que ce type d’évènement permet d’amener les profanes à s’approprier le langage maritime.

Faisant d’une pierre deux coups, le Dg CMA CGM s’est prononcé sur la gestion de la nouvelle administration portuaire. Il a adressé un satisfécit à la nouvelle équipe dirigeante. Selon Tuwendaabo Hervé Zongo, il y a un changement positif depuis 1 an.

« Depuis un an,  nous remarquons qu’il y a des efforts.  Il y a plus d’efforts. Il y a une bonne  collaboration.  Il y a une dynamique », a-t-il soutenu.

Le choix de Patrice Talon s’avère donc payant !

‘‘Forum Bénin Belgique Forum’’ : Théophane Ayi salue l’initiative

Il se tient depuis le mercredi 27 mars 2019 à l’hôtel Golden Tulip de Cotonou un rendez-vous d’affaires dénommé ‘‘Forum Bénin-Belgique’’, initiative de l’Apiex. Présent à l’ouverture des travaux, Théophane Ayi, président de l’Uatm Gasa- Formation et Président directeur général du Groupe AHYI SA a salué l’initiative.

Il se tient depuis le mercredi 27 mars 2019 à  l’hôtel Golden Tulip de Cotonou un rendez-vous d’affaires dénommé ‘‘Forum Bénin-Belgique’’, initiative de l’Apiex. Présent à l’ouverture des travaux,  Théophane Ayi,  président de l’Uatm Gasa- Formation et Président directeur général du Groupe AHYI SA  a salué l’initiative.

Manassé AGBOSSAGA

Le président du Groupe Gasa-Formation et membre du Conseil des investisseurs privés salue l’organisation du ‘‘Forum Bénin-Belgique’’ qui se tient pendant trois jours Cotonou. Interrogé en marge des travaux, Dr Théophane Ayi est optimiste sur les retombées de ce rendez-vous d’affaires. Selon lui, tous les acteurs pourraient trouver leur compte à l’issue de ce forum, qui réunit des entrepreneurs béninois et belges intervenant dans plusieurs secteurs.

Il a indiqué que toutes les mesures ont été prises pour que les entrepreneurs anciens, comme nouveaux trouvent des interlocuteurs  crédibles à l’étranger et booster notre exportation.

A titre d’exemple, il a signifié que dans le secteur de l’éducation et de l’enseignement supérieur, des dispositions sont prises par les autorités béninoises pour faciliter l’accès aux équipements.

Dans le même sens, il a salué les différentes reformes en cours. Si Théophane Ayi  reconnait que ces reformes ne sont pas faciles, il a toutefois expliqué qu’elles sont nécessaires pour permettre au pays de changer de cap. Il reste d’ailleurs persuadé que l’effet de ces différentes réformes se fait déjà ressentir.   

Quitus fiscal-Certificat de conformité : Homéky clarifie et tacle les partis de l’Opposition

Aux côtés de ses collègues du ministère des Affaires étrangères et de la Justice lors de la rencontre avec le corps diplomatique accrédité au Bénin, Oswald Homéky ne s’est pas privé de placer un mot sur le processus électoral en cours. Répondant aux inquiétudes du corps diplomatique, le ministre de la Culture a tenté d’apporter des clarifications au sujet des polémiques relatives au quitus fiscal et au certificat de conformité. Il a justifié la pertinence de ces deux pièces à joindre au dépôt de dossier de candidature…

Loin de l’actualité liée à  son département ministériel, le ministre de la culture et des sports s’est prononcé sur le processus électoral. A l’occasion d’une rencontre entre des membres du gouvernement et le corps diplomatique accrédité au Bénin, ce mardi 05 mars 2019, Oswald Homéky a tenté d’apporter des clarifications au sujet du quitus fiscal et du certificat de conformité, deux pièces à joindre au dépôt de dossiers de candidature pour les législatives du 28 avril 2019. Il en a profité pour donner des coups aux partis de l’Opposition.

Manassé AGBOSSAGA

Aux côtés de ses collègues du ministère des Affaires étrangères et de la Justice lors de la rencontre avec le corps diplomatique accrédité au Bénin, Oswald Homéky ne s’est pas privé de placer un mot sur le processus électoral en cours. Répondant aux inquiétudes du corps diplomatique, le ministre de la Culture a tenté  d’apporter des clarifications au sujet des polémiques relatives au quitus fiscal et au certificat de conformité. Il a justifié la pertinence de ces deux pièces à joindre au dépôt de dossier de candidature.

Sur la question du quitus fiscal, Oswald Homéky a fait savoir qu’il s’agit d’une simple disposition légale.      

« Vous avez entendu parler ici de quitus fiscal. Cette expression est apparue ici dans notre pays et même les enfants l’ont  prononcé comme si c’était un problème. Il s’agissait simplement de respecter une  disposition de la loi qui ne date pas d’aujourd’hui, qui dit tout simplement que tout candidat a le devoir de payer ses impôts, d’être en règle vis-à-vis du fisc », avance t-il.

Pour le ministre de la Culture, tout candidat sérieux qui aspire porter le costume de représentant du peuple ne peut s’opposer à cette disposition.

« Vous ou certains…, vous venez de pays où les impôts des contribuables permettent de donner l’aide au développement à nos pays. Quelle peut être la réaction de vos concitoyens s’ils apprennent que dans les pays où une partie de leur impôt contribue à l’aide au développement,  les personnes qui aspirent à gouverner ne veulent pas payer leurs impôts.

Nous ne pouvons admettre dans une République que quelqu’un qui aspire à être le chef, le porte parole des populations, l’élu des populations refuse de payer les impôts,  pendant que nous demandons au petit artisan d’honorer le paiement de sa patente », commente le ministre des Sports, avant de conclure  «  Vous avez observé une polémique autour de ça,  alors que c’était une question simple».

Quant au débat sur le certificat de conformité, Oswald Homéky a laissé entendre que deux institutions, à savoir le ministère de l’Intérieur et la Cour constitutionnelle ont fait leur travail.

« Le débat qui se fait sur ce qui s’appelle le certificat de conformité. Les choses sont tout à fait simples. Il y a une institution de l’Etat, un démembrement de l’Etat, le ministère de l’Intérieur qui est  chargé de s’assurer que ceux qu’ils veulent compétir sont en règle vis-à-vis des nouvelles dispositions. C’est ce qui s’appelle s’assurer qu’ils sont en conformité avec les textes. 

Et puis,  il y a une autre institution, la plus haute, la plus sérieuse qui elle dit puisque je ne fais pas le travail technique, puisque  je ne suis pas celui qui regarde les dossiers des partis, puisque je ne suis pas celui qui regarde à quel point chacun s’est conformé aux nouvelles dispositions,  j’ai besoin que celui qui fait le travail technique me produise un document par lequel ;  je suis sûr que le candidat  à la compétition est conforme aux textes.  C’est aussi simple que cela », a expliqué le ministre de la Culture.

Coup de pied à l’opposition

Oswald Homéky a plutôt condamné les partis de l’opposition. Selon lui, ces derniers ont fait preuve d’amateurisme, de manque de sérieux pour ensuite alarmer l’opinion publique nationale et internationale.

« Les acteurs politiques au lieur d’aller sur le terrain, au lieu d’aller travailler sur leur projet de société sèment’ la panique…

Le jour même où le chef de l’Etat les as reçu à leur demande,  une formation politique dont je tais le nom,  est allée en congrès extraordinaire,  le jour même où ils ont fait leur déclaration de presse,   une formation politique, peut être la plus grande est allée en congrès extraordinaire, est allée compléter ces dossiers.

 Lorsque la Céna fixe les délais pour déposer les dossiers et qu’un parti qui sait très bien qu’il n’a pas  réussi à se mettre en conformité vient déposer en espérant,  en priant que la Céna dise,  ce parti n’est pas conforme,  est ce que nous sommes en train de faire de la      politique.

Si vous savez pertinemment que vous n’avez pas eu les 83 candidats titulaires et suppléants, que vous avez des dossiers irréguliers,  mais que avant minuit,  vous franchissez le portail de la Céna pour déposer  sachant pertinemment que vous n’êtes pas en règle parce que vous espérez que la commission va rendre son verdict et va dire que votre liste ne peut pas compétir et donc que vous allez pourvoir vous servir de ça et dire sur les médias internationaux qu’on vous a écarté de la compétition », a-t-il lancé  

Oswald Homéky a alors invité les partis de l’opposition à assumer leurs responsabilités.

Primée dans la catégorie entreprise la plus dynamique de l’Uemoa : ESA enchaîne les reconnaissances internationales

Décidément, entre l’Ecole supérieure des affaires (ESA) et les récompenses, c’est une histoire d’amour. Après les nombreux prix remportés au plan national, africain et international, l’ESA a été couronnée dans la catégorie d’entreprise la plus dynamique de l’Union économique et monétaire ouest africain (UEMOA) par le cabinet Eco-Finances. C’était à l’occasion d’une soirée riche en couleur tenue ce samedi 10 novembre 2018 à Bénin Royal Hôtel de Cotonou, où le Fondateur de l’ESA,  Docteur Charles B. B. BIRREGAH n’a pas caché son émotion.

Manassé AGBOSSAGA

Le cabinet Eco-Finances vient confirmer tout le bien que l’on pense de l’Ecole supérieure des affaires (ESA). En effet, le cabinet Eco-Finances a, au détour d’une cérémonie de récompense des 100 meilleures entreprises de la zone UEMOA, reconnu les mérites de l’ESA L’université du Docteur Charles B. B. BIRREGAH  a reçu la couronne d’entreprise la plus dynamique dans la zone UEMOA.

Cet  énième prix vient s’ajouter à des multiples prix déjà reçus. En effet, l’ESA a,  à son actif, plusieurs récompenses dont celles  reçues au Togo, en 2016 comme entreprise la plus dynamique dans le domaine de la formation, en Allemagne, à Londres…

fon dé esa

Selon les indiscrétions du Docteur Charles B. B. BIRREGAH, de nombreux prix attendent ESA à New York, à Oxford, à Bruxelles, Barcelone dans les tous prochains jours.

Rien d’étonnant

La reconnaisse nationale et internationale dont bénéficie l’ESA n’a rien d’étonnant. Pour cause, sous la houlette de son directeur général, expert agrée près les cours et tribunaux du Togo, Charles B. B. BIRREGAH, accompagné d’une jeune équipe et dynamique, ESA  a confirmé son leadership et sa notoriété  avec des outils qui ont pour nom: sérieux, rigueur, discipline, confort, entraide.

Située à Lomé, l’Esa à travers ses installations (deux immeubles hauts standings) offre un cadre adéquat pour ses milliers d’étudiants qui sont formés dans les métiers tertiaires et techniques, avec des diplômes reconnus par le CAMES.

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Ce qui fait aujourd’hui de l’ESA,  une grande famille élargie avec plus de 26 nationalités et près de 300 employés.

« Objectif : zéro chômage »

S’il y a une chose, qui fait la singularité du promoteur de l’ESA, c’est  l’attention qu’il porte à ses étudiants. Avec beaucoup d’amour,  Docteur Charles B. B. BIRREGAH se soucie de la formation de ses étudiants, mais aussi et surtout de leur insertion professionnelle. Il s’est alors donné pour mission de trouver un emploi à chaque étudiant qui sort de son université.

« Je me suis donné comme tâche de les trouver de l’emploi. Ce n’est pas un vain mot. Ce n’est pas de la flatterie.  Je me suis donné comme objectif zéro chômage pour mes étudiants », rassure t-il.

Docteur Charles B. B. BIRREGAH  ajoute que cet objectif sera réalisé avec l’aide du Tout puissant. « Je compte sur Dieu qui va nous ouvrir les portes », lance le Fondateur de l’ESA.

Et comme si les portes s’ouvraient déjà, il  nous a mis au parfum de l’Association internationale  des diplômés de l’Esa, créé en  septembre 2018. Aussi, nous a-t-il mis au parfum de l’organisation d’un grand colloque autour de la recherche de l’emploi d’ici la fin de ce mois. A en croire ses propos, ce colloque sera animé par un expert de haut niveau et spécialiste de la question de la recherche de l’emploi.

L’amour qu’il porte à ses étudiants, le promoteur de l’ESA l’a aussi pour les veuves et  orphelins. En effet à travers sa fondation qui existe depuis 23 ans, il vole au secours de ces derniers.  Il dit être guidé par les versets bibliques Jean 1 :  27, et Psaumes 68 : 6.

Dieu aux commandes

Et lorsqu’on demande à Docteur Charles B. B. BIRREGAH  quel est son secret ou sa baguette magique, il répond avec humilité et se montre très croyant.

« C’est Dieu. Dieu a impacté ma vie. Je  suis un croyant. Tout ce que j’ai réussi,  c’est à travers la prière de Dieu. Dieu dans sa grâce bénit mes actions non pas,  parce que je suis parfait, mais parce que je crois en lui  », confesse t-il.

Au Tout Puissant envers qui il se montre très reconnaissant, le Directeur en science de gestion affiche cette même reconnaissance à son épouse, ses enfants et ses collaborateurs. Dans l’entretien qu’il nous a accoré en marge de la cérémonie de récompense, il a remercié son épouse pour ses conseils et prières, ses enfants pour leur encouragement et ses collaborateurs pour leur dévotion.

Quel bel exemple de gratitude !

Célébration ce jour de la 73ème journée du Système des Nations Unies: Siaka Coulibaly et les siens sacrifient à la tradition

La section béninoise du Système des nations unies ne restera pas en marge de la célébration, ce mercredi 24 octobre 2018, de la 73è journée du Système des Nations unies. Le coordonnateur résident du Système des nations unies au Bénin, Siaka Coulibaly a, au cours d’un déjeuner de presse tenue ce mardi 23 octobre 2018 à l’hôtel Bénin marina, annoncé les activités prévues pour honorer l’évènement.

Manassé AGBOSSAGA

Ce 24 octobre n’est pas un jour anodin pour le système des Nations unies. En effet, cette date est synonyme du 73è anniversaire de l’organisation internationale. Et à l’occasion d’un déjeuner de presse ce mardi 23 octobre, qui a aussi connu la présence du ministre d’Etat, Abdoulaye Bio Tchané, le Coordonnateur résident du système des nations unies au Bénin, Siaka Coulibaly a dévoilé les activités prévues pour honorer l’évènement.

Selon le Coordonnateur résident du système des nations unies au Bénin, cet évènement se tient dans un premier temps au Canal Olympia. A l’occasion, Siaka Coulibaly a annoncé la tenue d’une  séance plénière, mais aussi et surtout la projection  d’un film documentaire sur les réalisations des agences du système des Nations unies dans  le cadre de la  coopération passée avec le Bénin sur la période 2014-2018.

Il a aussi annoncé, toujours au Canal Olympia,  la  présentation des différentes agences à travers des stands.

Selon le coordonnateur résident du système des Nations unies au Bénin, les activités se poursuivent dans l’après-midi de ce mercredi 24 octobre 2018 avec la remise d’équipement et de matériel aux malvoyants et personnes en situation d’handicap du centre de malvoyant de Sègbéya.

Les assurances au gouvernement du Bénin

Au cours du déjeuner de presse  organisé sous le thème « les reformes des nations unies et la réalisation des Objectifs pour le développement durable ainsi que la mise en œuvre du Plan cadre d’assistance des Nations unies  (Undaf)  sur la période  2019-2023 », Siaka Coulibaly a, aux côtés, du ministre d’Etat, Abdoulaye Bio Tchané, rassuré  l’engagement du système des Nations à accompagner le Bénin.

« Je voudrais réitérer la disponibilité et l’engagement de l’ensemble des Agences du système des nations unies à travailler avec le gouvernement  dans le cadre de la mise en œuvre du prochain plan cadre d’assistance des Nations unies sur la période 2019 2023 », a-t-il rassuré.

Il a dans ce sens rassuré que les reformes initiées par l’actuel secrétaire général des Nations unies  Antonio Guterres visent un repositionnement du Système des Nations unies dans le cadre de la mise en œuvre de l’agenda de développement 2030 et des ODD tels qu’adoptés par les chefs d’Etats et de gouvernement en 2015.

Parlant du plan cadre des nations unies pour l’assistance au développement, le ministre d’Etat Abdoulaye Tchané a salué les mérites de ce  plan, insistant sur le caractère innovateur,  inclusif, et l’alignement sur les priorités du gouvernement.

Mieux, il a salué l’action du Système des Nations unies dans les domaines de la lutte contre la faim, de  l’accès à l’eau potable à tous, de la  construction des cantines scolaires…

De quoi lui faire dire que l’ONU, à l’image de son feu secrétaire général Koffi Annan, compte des personnes courageuses et emblématiques.

Serge Prince Agbodjan : « Au Bénin, les défenseurs des droits humains ne sont pas protégés »

Serge Prince Agbodjan a déploré la situation des défenseurs des droits humains dans son pays. Pour le Juriste, les   défenseurs des droits humains sont la cible d’acte de répression en raison de leur engagement  en faveur des droits humains et des libertés publiques…

Les défenseurs des droits humains ne bénéficient pas d’une protection au Bénin. Le réquisitoire est signé du juriste et président de la Coalition des défenseurs des droits humains, Serge Prince Agbodjan.

Manassé AGBOSSAGA

Présent au lancement du Rapport 2017 d’Amnesty International par la section Bénin sur les condamnations à mort et exécution tenu ce jeudi 12 avril 2018 au siège de l’organisme, Serge Prince Agbodjan a déploré la situation des défenseurs des droits humains dans son pays. Pour le Juriste, les   défenseurs des droits humains sont la cible d’acte de répression en raison de leur engagement  en faveur des droits humains et des libertés publiques. Se faisant, le  président de la Coalition des défenseurs des droits humains fustige les campagnes de diffamations, et de dénigrements orchestrés contre ces derniers sur les réseaux sociaux ou dans les médias.

Dans son réquisitoire, Serge Prince Agbodjan a aussi mis en avant les menaces de mort, les mauvais traitements  dont sont victimes les défenseurs des droits humains.

Et de lancer « Au Bénin, les défenseurs des droits humains ne sont pas protégés »

Le président de la Coalition des droits humains  invite les pouvoirs publics et politiques à corriger le tir en adoptant des lois qui protègent les défenseurs des droits humains.

Son appel sera t-il entendu ?

Soutien aux initiatives de jeunes : Gatien Adjagboni appuie les étudiants de l’AISEC

 Je suis devant vous aujourd’hui parce que vous m’avez considéré comme un modèle. Je ne sais pas si je le suis, mais dans tous les cas vous m’obligez par cette marque de considération à rester dans une dynamique …

Inlassable,  le président du creuset MITCHITE a  donné les clés du succès aux jeunes  de l’Organisation internationale des étudiants en science économique et commerciales (AIESEC). Au détour d’une séance d’échanges tenue  ce samedi 7 avril 2018  à l’hôtel Bel Azur de Grand-Popo, Gatien Adjagboni a partagé ses expériences avec ces derniers.

Mais avant, Moïse Sedokin a, à l’ouverture des débats, adressé ses remerciements aux invités. Il a ensuite convié ses collègues à être un modèle pour la jeunesse à l’instar du parrain de l’évènement, Gatien Adjagboni.

Honoré par ses propos,  le président du creuset MITCHITE n’a pas hésité à livrer  à la  centaine de jeunes présents les secrets du succès.

Dans sa communication intitulée  « Jeune leader d’impact d’aujourd’hui, agent de changement positif de demain », Gatien Adjagboni a utilisé les mêmes recettes pour passer son message. Dans une approche participative, il a démontré à son auditoire que la jeunesse est l’épicentre du développement.

Gatien Adjagboni a invité la jeunesse à s’approprier le mot d‘ordre, ‘‘Servir autrement la communauté’’. Ce faisant, il a exhorté les jeunes à se débarrasser  des mauvaises pratiques d’enrichissement et à faire dos aux mauvais comportements.

« Je suis devant vous aujourd’hui parce que vous m’avez considéré comme un modèle. Je ne sais pas si je le suis, mais dans tous les cas vous m’obligez par cette marque de considération à rester dans une dynamique », a-t-il déclaré  avec modestie.

Séduit par ces enseignements, les participants ont promis aller à l’école du président du creuset MITCHITE

Manassé AGBOSSAGA

JIF 2018: Le parti Restaurer l’Espoir sacrifie à la tradition

Les femmes du parti Restaurer l’Espoir étaient à l’honneur ce dimanche 8 avril 2018 à Majestic Cadjèhoun. ..

Les femmes du parti Restaurer l’Espoir étaient à l’honneur ce dimanche 8 avril 2018 à Majestic Cadjèhoun. Aux côtés des responsables du bureau exécutif national, elles ont commémoré  en différé la Journée internationale de la femme (Jif).

Manassé AGBOSSAGA

Les femmes du parti Restaurer l’Espoir ont commémoré  avec une touche singulière l’édition 2018 de la  JIF. Avec  un imprésario et un   présidium 100% féminin, les femmes du parti  RE ont fait de cette journée, un moment festif et de réflexion. Ouvrant le bal des allocutions, Caroline Azon a salué l’organisation de cet évènement, qui selon elle, est une source de motivation à leur engagement politique. A sa suite Guy Mitokpè a rassuré l’intérêt que le parti Restaurer l’Espoir accorde aux femmes.

« Au parti RE,  nous n’avons jamais considéré la femme comme un ingrédient,  mais comme un acteur majeur de nos politiques de développement », a-t-il précisé. Dans cette lancée, Guy Mitokpè a rappelé que l’actuel bureau de 17 femmes compte quatre femmes, contre 2 sur 19 dans le précédant bureau.

Et là-dessus, la secrétaire générale adjointe du parti RE, Dr Akouésson a, dans sa communication, intitulé « femme et militantisme politique, quels enjeux pour les femmes de l’espoir », invité les unes et les autres à  prendre conscience     et à saisir l’opportunité qu’offre le parti pour émerger.

Pour sa part le président du parti RE, Candide Azannaï a indiqué qu’il est nécessaire de réhabiliter la femme au cœur de l’action publique.

Pourvu que les pouvoirs publics en tiennent compte.

Transports: Alihassan Baboni déshabille Rabiou Garba

Fin de la sournoiserie  du Secrétaire général du Syndicat des transporteurs et importateurs nouveaux associés du  Bénin (Syntra-Inab). Son collègue  secrétaire général du Patronat des entreprises de transports des marchandises du Bénin (Petrans-Bénin) a révélé sur le plateau de l’émission ‘‘Zone Franche’’ les raisons de ses agitations…

Invité de l’émission ‘‘Zone Franche’’ de la télévision Canal 3 Bénin de ce dimanche 18 février 2018, Alihassan Baboni n’est pas passé par quatre chemins pour révéler les réelles raisons des agitations du secrétaire général du Syndicat des transporteurs et importateurs nouveaux associés du  Bénin (Syntra-Inab). Dans un discours franc et sincère, il a confié que Garba Rabiou est en mission commandée.

Manassé AGBOSSAGA

Fin de la sournoiserie  du Secrétaire général du Syndicat des transporteurs et importateurs nouveaux associés du  Bénin (Syntra-Inab). Son collègue  secrétaire général du Patronat des entreprises de transports des marchandises du Bénin (Petrans-Bénin) a révélé sur le plateau de l’émission ‘‘Zone Franche’’ les raisons de ses agitations.

Droit dans ses bottes, Alihassan Baboni a confié que l’homme, tel un véritable ‘‘klébé’’ est en réalité au service des importateurs nigériens et nigérians. « Ce n’est pas lui (Rabiou Garba). C’est les nigériens qui représentent les importateurs nigériens et nigérians au Bénin. Ils sont derrière,  ils tirent les ficelles. Garba Rabiou n’est que la partie visible de l’iceberg. Garba Rabiou est en mission et il fait bien sa mission », déclare sans détour l’invité de Canal 3 Bénin.

Le secrétaire général du Patronat des entreprises de transports des marchandises du Bénin a ensuite déploré l’enrichissement dans le dos des transporteurs béninois et nigériens de Rabiou Garba avec un seul syndicat.

Puis d’annoncer comme pour siffler la fin de la récréation « Nous disons,  sa mission qu’il est temps qu’elle prenne fin ».