« Le grand espoir que ce régime a incarné à son avènement à fait place à l’amertume », Guy Mitokpè (Tribune)

Ce cri de cœur a capté mon attention au cours d’une conversation avec un de nos intellectuels…

Le peuple est fatigué

Ce cri de cœur a capté mon attention au cours d’une conversation avec un de nos intellectuels…

Oui le peuple est fatigué, il est fatigué de tout depuis 8 ans que ce régime a été installé à la tête de notre pays…

Le peuple avait mis tout son espoir en ce régime le 06 avril 2016…

8 ans après hélas la désillusion est énorme… les ménages sont en pannes et stressés… les suicides se multiplient… NE serait-ce qu’hier dans la partie septentrionale du pays, un de nos militaires se serait suicidé…

Le peuple est fatigué… Le grand espoir que ce régime a incarné à son avènement à fait place à l’amertume, à la colère, à la tristesse et au regret…

8 ans d’incarcérations arbitraires

8 ans de pressions fiscales

8 ans de haines contre les pauvres au lieu de lutter contre la pauvreté

8 ans d’exil forcé pour tous ceux qui ont osé dire leurs désapprobations… Tous ces abus ont poussé le peuple à l’épuisement…

Le peuple est fatigué de tout …

Fatigué de la chèrté de la vie ( le maïs, le riz, le carburant, l’électricité où nous avons le coût le plus élevé de la sous-région, etc…)

Fatigué des exclusions électorales

Fatigué des répressions sauvages et humiliantes

Fatigué du chômage galopant

Fatigué du délestage

Fatigué des abus de tout genre

Fatigué de la pression fiscale

MAIS LE PEUPLE EST DÉTERMINÉ PLUS QUE JAMAIS À EN DECOUDRE DANS LES URNES… C’EST POUR CELA IL EXIGE L’INCLUSIVITÉ ELECTORALE…
NOUS VAINCRONS ENSEMBLE AVEC LE PEUPLE…

Dr. Mitokpe Dossou Guy MDG

SNC du Parti Les Démocrates…

Pour 2026 : Tomèty définit les qualités essentielles du prochain président du Bénin

Je répondrai simplement que mon président de la république en 2026 doit être

Pourquoi la paix est-elle un facteur de stabilité de l’individu, de sa communauté et de l’Etat en Afrique?

1/ La paix est un contrat d’objectif permanent et l’indicateur le plus vital que les dirigeants politiques doivent sincèrement renseigner sans bidouillage.

2/ La paix est la plus haute expression de l’état de bien-être. Si vous ne faites pas la paix avec vous-même en surpassant vos propres contradictions internes, vous allez soumettre votre pays à un état de surchauffe permanent.

3/ Dans le processus électoral, nous nous occupons plus des candidats qui incarnent le pouvoir de l’argent et faisons par cupidité barrage aux candidats qui incarnent le pouvoir de la paix.

4/ Ne devrait-on pas préférer un Homme de paix qui incarne la justice sociale en optant pour l’éducation de ces concitoyens à la discipline collective à partir de l’exemple qu’il donne lui-même par son regard, sa parole et ses actes?

5/ Lorsqu’une autorité politique doit recourir en permanence aux forces militarisées et à une justice d’oppression avant d’obtenir la soumission à la loi et l’obéissance à sa personne, c’est ce qui fabrique les sociétés hypocrites et de grande fragilité.

6/ En 2026, quel président pour le Bénin ? Chacun est libre de son choix car personne ne doit vous imposer ce que vous ferez de votre bulletin de vote dans l’isoloir. Le débat pour ce qui me concerne n’est même pas un choix à opérer  entre un dauphin et un politicien outsider mais un seul critère prévaudra en principal : *que vaut chaque candidat dans sa vie courante par rapport à la culture de la paix?

Je répondrai simplement que mon président de la république en 2026 doit être une personne dont le  tempérament naturel est la détente afin de ramener la paix et la concorde au Bénin. Sa réputation doit être une personne qui ne traîne aucune casserole, ne s’est pas enrichie par des actes de prévarication et qui s’est illustrée comme un Homme intègre. Ce candidat ne doit pas être reconnu comme un menteur et un traître à la solde de pouvoir de l’argent qui a  occasionné des cas d’opposants exilés ou de victimes d’emprisonnements arbitraires.

Mon candidat est d’abord ce Béninois qui pense aux intérêts des Béninois et de l’Etat béninois avant de songer à ses intérêts personnels et à ceux de sa formation politique.

Le candidat dont les prédispositions naturelles témoignent d’une volonté constante de créer et d’entretenir un contexte favorable à la confiance afin que l’esprit de sacrifice proportionnel devienne le moteur du travail bien fait pour la création de la richesse, ce type de profil doit compter dans le choix des partis politiques. Chaque Béninois cette fois-ci doit fouiller et refouiller dans la vie privée et la vie publique de chaque candidat pour mettre fin à toute candidature par défaut ou par clientélisme. L’argent et les postes internationaux occupés n’ont aucune valeur pour être un bon président. Ne vous laissez pas berner par ces trompeuses prédispositions à diriger un pays. Le Bénin a expérimenté tous les profils de candidats et la seule chose qui manque c’est l’enquête de moralité conduite par les citoyens (EMCC).

En conclusion, la paix n’est  pas une faiblesse de gouvernance publique, elle est la meilleure force de travail, d’innovations, d’enrichissement et de solidarité que le prochain président de la république doit traduire dans son projet politique.

S’il vous plaît, aller dire à tous celles et ceux qui pensent qu’il faut des méthodes musclées pour discipliner les Béninois, qu’ils se trompent d’approche de gouvernance.

Le Bénin n’a pas besoin d’être un ring de boxe américaine, un goulag ou une étuve avant d’être un Etat bien gouverné et engagé pour le développement humain durable.

La terreur ne discipline pas l’Africain. Quand on oppose la terreur à l’Africain, il devient un rebelle, il se radicalise pour imposer en retour le terrorisme à l’Etat. Nous ferons désormais du désir de paix le passage obligé pour rendre le développement désirable et inclusif pour tous. Tels sont  notre rêve de gouvernance publique et le nouveau pacte social pour le Bénin réconcilié.

N’ayons pas peur, le Bénin appartient à nous tous et ne sera jamais le monopole privé d’un clan politique contre un autre.

Simon-Narcisse Tomety

« Le Nouveau Code Électoral du Bénin promulgué et Son Article 132 Nouveau n’exclut personne ! », selon Giles Gohy (Tribune)

Le Nouveau Code Électoral du Bénin, voté par l’Auguste Assemblée nationale et sérieusement contrôlé par la Cour Constitutionnelle le 14 mars 2024, a été promulgué par le Président de la République, fort de ses prérogatives constitutionnelles, le lundi 18 Mars 2024, à la jubilation de presque toute la Population du Bénin. C’est la LOI N°2024-13 DU 15 MARS 2024 modifiant et complétant la Loi n°2019-43 du 15 novembre 2019 portant Code Électoral du Bénin.

« Le Nouveau Code Électoral du Bénin promulgué et Son Article 132 Nouveau n’exclut personne ! »

Le Nouveau Code Électoral du Bénin, voté par l’Auguste Assemblée nationale et sérieusement contrôlé par la Cour Constitutionnelle le 14 mars 2024, a été promulgué par le Président de la République, fort de ses prérogatives constitutionnelles, le lundi 18 Mars 2024, à la jubilation de presque toute la Population du Bénin. C’est la LOI N°2024-13 DU 15 MARS 2024 modifiant et complétant la Loi n°2019-43 du 15 novembre 2019 portant Code Électoral du Bénin.

Comme à l’accoutumée, les orfraies et les vouvouzelas d’une certaine société civile ont tôt fait de trouver des montagnes là où il n’y a même pas de taupinières.

Article 132 nouveau: Nul ne peut être candidat aux fonctions de président de la République ou de vice-président de la République s’il :n’est de nationalité béninoise de naissance ou acquise depuis au moins dix (10) ans;

– n’est de bonne moralité et d’une grande probité;

– ne jouit de tous ses droits civils et politiques;

n’est âgé d’au moins quarante (40) ans révolus et au plus soixante-dix (70) ans révolus à la date d’entrée en fonction;

a été élu deux (02) fois président de la République et a exercé comme tel deux (02) mandats;

– n’est présent en République du Bénin lors du dépôt de sa candidature:

– ne jouit d’un état complet de bien-être physique et mental dûment
physique et mental dûment constaté par un collège de trois (03) médecins assermentés désignés par la Cour constitutionnelle;

n’est dûment parrainé par un nombre de députés et/ou de maires correspondant à au moins quinze pour cent (15%) de l’ensemble des députés et des maires et provenant d’au moins trois cinquième (3/5) des circonscriptions électorales législatives.

Un député ou un maire ne peut parrainer qu’un candidat membre ou désigné du parti sur la liste duquel il a été élu.

Toutefois, en cas d’accord de gouvernance conclu avant le dépôt des candidatures à l’élection du duo président de la République et vice-président de la République et déposé à la Commission électorale nationale autonome, le député ou le maire peut parrainer un candidat membre de l’un ou l’autre des partis signataires de l’accord.

Pr Giles Gohy

Mon discours sur la vérité : essai sur la jungle des loups (Tribune)

Tout finit par finir dès l’instant que tout ce qui vit est appelé à dépérir et tout vivant est comme la fonte des glaciers sous les effets du réchauffement climatique parce que la Nature est fatiguée des sottises de la nature humaine portées par une grandiloquence de toutes les incongruités. 

Tout finit par finir dès l’instant que tout ce qui vit est appelé à dépérir et tout vivant est comme la fonte des glaciers sous les effets du réchauffement climatique parce que la Nature est fatiguée des sottises de la nature humaine portées par une grandiloquence de toutes les incongruités.

C’est quoi la course à la beauté quand tu chasses et détruis toutes les semences de la bonté qui devraient germer en toi? Tu t’honores de ton autodestruction croyant être un redoutable microbe pour d’autres microbes. Tu finiras par savoir ce que tu ne savais pas.

Nous te voyons courir dans une agitation effrénée et stérile. Tu fais pitié à certains d’entre nous qui savent que tous les microbes finissent microbes mais tous les microbes n’ont pas la même vie aérobique et anaérobique. C’est quoi alors ton patrimoine sans patrie en définitive? De l’ignorance, je me croirais une île.

La force d’un faible c’est son inculture biologique qui l’empêche d’être un empereur qui connaît ses vraies limites. Ne perdons plus notre temps avec des microbes qui se croient supérieurs.

Nous ne sommes que des microbes qui ignorent, que nous sommes du règne de la microbiologie des sols.

Quand nous voyons des gens en train de vouloir nous prouver qu’ils sont quelque chose, nous les trouvons de gros ignares de la Loi de la Nature. Ceux-là n’ont rien compris de l’existence humaine.

Le manque d’humilité nous fait croire que nous sommes importants alors que nous ne sommes que des microbes inutiles.

Quelle que soit la hauteur de la pyramide sur laquelle tu es perché, tu n’es rien mais alors rien du tout car ton pouvoir et toi-même vous n’êtes éminemment qu’éphémères à la vitesse d’une étoile filante et de quelle étoile encore!

Ils nous font tous rire, ces gens-là qui passent leur temps à jouer aux malins et idiots pour se donner une certaine importance vaniteuse. Rien à cirer d’une foutaise.

Microbe tu es né, microbe tu évolueras et microbe tu finiras pour que d’autres microbes te consomment avant ton passage dans la chaîne alimentaire pour faire pousser des végétaux qui seront consommés par broutages sans boutades et sans bruitages.

Est-ce que tu le sais vraiment, mon pauvre gonflé? Pourquoi joues-tu au malin alors?

Ridicule, le pauvre ignorant qui se croit lucide et éclairé dans les ténèbres des idiots! Tu te venges de quoi en définitive? Pauvre inconscient d’un état  pathologique permanent, si tu pouvais savoir que l’oxygène est un prêt de la Nature, tu cesserais de te compliquer la vie en traitant les autres de microbes à traiter avec des insecticides totaux qui tuerais tous les microbes sauf toi-même et alter-égos microbiens.

Et tout ça pour ça! Soyons simples, véridiques et dignes. C’est là le seul salut de tout microbe utile.

Simon-Narcisse Tomety                                         

31 mars 2024, Jour de Pâques                                                                                       

Mon discours de Toumaï

Bénin : Richard Boni Ouorou appelle à une « vérification rigoureuse » des  » thèses » et « diplômes délivrés  » en Droit, la raison (Tribune)

Il m’a été donné de constater, suite à une correspondance reçue inbox dont l’auteur se reconnaîtra, lequel s’interrogeait quant à mon silence relatif à la récente réforme du code électoral. L’interrogateur s’interrogeait si le silence observé de la part était le fruit d’une satisfaction tacite quant aux termes de « l’accord de gouvernance actuellement en vigueur. »

Code électoral: jeudi 28 Mars 2024.

Salut terrien,ne,s

Il m’a été donné de constater, suite à une correspondance reçue inbox dont l’auteur se reconnaîtra, lequel s’interrogeait quant à mon silence relatif à la récente réforme du code électoral. L’interrogateur s’interrogeait si le silence observé de la part était le fruit d’une satisfaction tacite quant aux termes de « l’accord de gouvernance actuellement en vigueur. »

En toute franchise, cette interrogation m’a suscité un rire, non pas par dérision, mais du fait de l’absurdité sous-jacente. Quelle contribution puis-je raisonnablement apporter à un débat lorsqu’il est entaché par une réforme qui, à mon sens, s’écarte des principes juridiques les plus élémentaires?

Il est de notoriété publique que la rigueur juridique impose que les textes législatifs soient rédigés, ou a minima révisés, par des juristes qualifiés. Or, la structure actuelle du code électoral désormais malheureusement en vigueur semble davantage s’apparenter à un règlement intérieur qu’à une loi au sens strict, la loi se caractérisant par sa généralité et son abstraction, tandis que le règlement est, par essence, détaillé et spécifique à une situation donnée.

La question de l’intégration de l’accord de gouvernance au sein du code électoral est, en elle-même, source de perplexité. L’accord de gouvernance, de par sa nature éphémère, ne saurait être cristallisé au sein d’une loi qui se veut pérenne. Les alliances politiques sont des constructions conjoncturelles, censées répondre à des objectifs électoraux immédiats, et non à une structuration légale sur le long terme.

Il est navrant d’observer que le processus législatif puisse être influencé et peut-être dictée par des individus dont l’expertise en droit est questionnable, voire inexistante. La promulgation d’une loi ne saurait être le fruit de consultations téléphoniques improvisées et de l’implantation d’idées dénuées de fondement juridique.

L’écho de ma voix et l’impact de mes messages sont désormais si forts et importants que je me trouve dans l’incapacité morale de m’étendre davantage sur ce sujet, tant la déchéance intellectuelle et l’opportunisme qui sévissent me poussent au silence.

Cependant, je nourris l’espoir et la détermination de contribuer, dans un avenir proche, à un renversement de cette tendance, afin de restaurer l’intégrité et la propreté de notre système juridique qui est désormais sujet dérisoire.

Il apparaît, à la lumière des événements législatifs récents , que notre pays pourrait bénéficier dans un avenir proche sous notre impulsion, d’une vérification rigoureuse ou d’un rappel de certaines thèses universitaires et des diplômes délivrés, afin d’assurer la légitimité et la compétence de ceux qui façonnent nos lois.

En ces temps de jeûne, que Allah dans toute sa miséricorde veille sur notre nation et protège notre peuple.

Prenez bien de vous,
#liberal
#Prosperonsensemble
Richard Boni Ouorou [❤️]

Election de Bassirou Faye : Les 04 vérités d’un Citoyen au peuple béninois, « si Sonko ’était un béninois, il n’aurait personne derrière lui et … » (Tribune)

Depuis la soirée du Dimanche 24 Mars 2024, les populations de l’Afrique de l’ouest francophone et celles du Bénin en particulier jubilent après la victoire du parti d’Ousmane SONKO et de son dauphin Bassirou DIOMAFAYE. A lire les commentaires et la visualisation des vidéos sur les réseaux sociaux, on découvre le rêve et le vouloir de la jeunesse de la sous-région ouest-africaine francophone, de voir dans leurs pays respectifs ce qui se passe au Sénégal.

Depuis la soirée du Dimanche 24 Mars 2024, les populations de l’Afrique de l’ouest francophone et celles du Bénin en particulier jubilent après la victoire du parti d’Ousmane SONKO et de son dauphin Bassirou DIOMAFAYE. A lire les commentaires et la visualisation des vidéos sur les réseaux sociaux, on découvre le rêve et le vouloir de la jeunesse de la sous-région ouest-africaine francophone, de voir dans leurs pays respectifs ce qui se passe au Sénégal.

Il est légitime de vouloir et de rêver. Mais ce vouloir ne pourra devenir une réalité si aucune analyse n’est faite ! Les pays d’Afrique de l’ouest francophone n’ont pas les mêmes réalités, mais chaque réalité a une solution adaptée que chaque pays doit trouver. La preuve, la conférence nationale des forces vives a performé au Bénin, tandis qu’elle a échoué dans d’autres pays.

Néanmoins il est important de retenir qu’il y’a des éléments qui font la force des grands leaders d’une manière universelle quel que soit le temps ou le lieu, et qui constitue la boussole du Président Ousmane SONKO et du Président Bassirou DIOMAFAYE. Il s’agit

de :
1- L’incarnation de la foi inébranlable au Tout-Puissant le Créateur des Cieux et de la terre ;

2- L’incarnation de l’intérêt général ;

3- L’incarnation des valeurs morales.

C’est l’esprit de l’intérêt général et de justice qu’incarne Ousmane Sonko qui l’a conduit à faire des dénonciations en étant inspecteur des impôts. De ces dénonciations il y a eu le soutien du peuple avec lequel, il a abouti au résultat du 24 Mars passé.

Transposons ce scénario de dénonciation d’Ousmane Sonko au Bénin, s’il était un béninois il n’aurait personne derrière lui et serait en train de croupir en prison depuis 2013. On se rappelle du cas Trekpo, le forestier et du cas Aïvo.

Autre chose, comparativement au peuple béninois et à sa jeunesse en particulier, le peuple sénégalais et sa jeunesse n’ont attendu aucune contrepartie financière pour se sacrifier physiquement, financièrement et intellectuellement derrière SONKO. Le peuple béninois, plus précisément la jeunesse, attend qu’on l’achète pour agir, dans ce cas ce n’est plus du patriotisme mais une prestation de service. La fameuse expression connue de tous ‘’ta politique est lente’’ qui exige que tu donnes de l’argent pour la mobilisation politique à la place de l’exposé d’un idéal ou un projet de société. Certains ont exposé la place qu’occupe l’immoralité dans la politique béninoise en estimant que les promesses électorales n’engagent que ceux qui y croient !

La cause de cette réalité politique béninoise est l’échec de l’élite politique béninoise qui n’a pas su éduquer et conduit la population sur les vraies approches de son apport dans le fonctionnement d’un vrai parti politique. Elle est restée dans une animation de la vie politique axée sur le culte de la personnalité. La conséquence est qu’elle est corrompue et immorale. Prétendre faire la politique aujourd’hui au Bénin est comme si vous prenez le chemin de la malhonnêteté, parce qu’on peut compter les modèles politiques à l’image de Sonko au bout des doigts.

Préparer la relève exige que nous parlions un langage de vérité à nos compatriotes et à la jeunesse en particulier. Si nous attendons une contrepartie financière ou matérielle avant de nous engager en politique, la fin de notre pauvreté et de notre sous-développement n’est pas pour demain. Des tas de Sonko, il y en a dans l’ombre au Bénin, mais à défaut d’une jeunesse et un peuple prêt à sacrifier son temps, son argent et son énergie en politique, comme dans les mosquées et églises, ils ne sont pas prêts à sortir du bois.

𝐂’𝐞𝐬𝐭 𝐥𝐚 𝐯𝐢𝐬𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐮 𝐌𝐏𝐑, fédérer le peuple béninois et sa jeunesse pour un idéal politique basé sur l’intégrité, la morale, l’intérêt général et la foi en Dieu. Nous avons le choix entre préparer la relève ou périr dans la pauvreté.

Peut être une image de 2 personnes et personnes qui étudient

𝗔𝗞𝗢𝗕𝗜 𝗛𝗮𝗺𝗯𝗮𝗹

Coordonnateur National du MPR de Moïse KEREKOU

« À peine, une vingtaine anime et fait feu de tout bois dans cet hémicycle », Angela Kpeidja critique les députés de la 9è législature

Angela Kpeidja n’est pas admirative du travail abattu par la 9è législature. Réagissant à une critique faite à l’endroit des 29 femmes parlementaires, la journaliste-activiste a plutôt fait remarquer qu' »à peine, une vingtaine anime et fait feu de tout bois » au Parlement.

Angela Kpeidja n’est pas admirative du travail abattu par la 9è législature. Réagissant à une critique faite à l’endroit des 29 femmes parlementaires, la journaliste-activiste a plutôt fait remarquer qu' »à peine, une vingtaine anime et fait feu de tout bois » au Parlement. Lire ci-dessous son développement. 

« J’ai entendu dire sur une radio hier que les 29 dames élues députées à l’Assemblée nationale brillent par leur silence! Dans le dossier présenté sur la radio en question, tous les intervenants ont repris en chœur ce même constat.

Je voudrais cependant faire remarquer que les femmes ne sont pas les seules absentes au chapitre des débats à l’hémicycle au 229 !

Sur les 109 députés que compte l’Assemblée nationale du Bénin, combien participe en réalité aux débats ?

Combien sont -ils à apprécier réellement les enjeux de tel ou tel projet de loi ? À peine, une vingtaine anime et fait feu de tout bois dans cet hémicycle .

Ce sont donc les profils de façon générale de nos députés qui posent problème. Au moment de les positionner sur les listes électorales, est-ce leurs compétences, leurs convictions ou leur charisme qui nous préoccupent ou les intérêts partisans ?

Quant aux femmes béninoises, les plus appréciées sont les plus hypocrites, celles qui sont soumises, capables d’exprimer le contraire de leur vécu. Jouer les épouses exemplaires et fidèles quand bien même tout est pourri en dessous est la norme ici au 229!

Alors ne vous plaignez pas !!!

Nos députés femmes sont à l’image des autres élus hommes mais en plus, elles sont à la place où vous aimez nous voir.

Dommage ! »

#AngelaKpeidja #naiepaspeur #Brisdesilence

La nuance entre le contrôle d’un parlement et la possession d’une majorité confortable à l’Assemblée nationale (par Richard Boni Ouorou)

Il me paraît essentiel à la suite de ma vidéo explicative, de vous aider une fois encore à disséquer la distinction entre le contrôle d’un parlement et la possession d’une majorité confortable à l’Assemblée nationale pour réaliser des réformes. Cette distinction est fondamentale pour comprendre le fonctionnement et l’équilibre des pouvoirs dans un régime démocratique.

Pour mieux distinguer un parlement contrôlé d’une majorité confortable.

Cher(e) ami(e)s

Terrien,ne,s

Il me paraît essentiel à la suite de ma vidéo explicative, de vous aider une fois encore à disséquer la distinction entre le contrôle d’un parlement et la possession d’une majorité confortable à l’Assemblée nationale pour réaliser des réformes. Cette distinction est fondamentale pour comprendre le fonctionnement et l’équilibre des pouvoirs dans un régime démocratique.

Premièrement, le contrôle du parlement implique une supervision et une régulation des actions et des lois adoptées par le parlement. Ce contrôle peut être exercé par divers mécanismes, comme la cour constitutionnelle ou le conseil constitutionnel dans certains pays, qui vérifient la conformité des lois avec la constitution. Le contrôle parlementaire peut également se manifester à travers des questions, des enquêtes et des commissions parlementaires visant à surveiller l’action du gouvernement. Ce type de contrôle est essentiel pour maintenir l’équilibre des pouvoirs et assurer que l’exécutif rende compte de ses actions.

D’autre part, avoir une majorité confortable à l’Assemblée nationale est une question de composition politique du parlement. Cela signifie qu’un parti politique, ou une coalition de partis, détient suffisamment de sièges pour adopter des réformes et des lois sans avoir à négocier de manière significative avec l’opposition. Cette majorité permet à un président et à son gouvernement de mettre en œuvre plus facilement le programme pour lequel ils ont été élus, en facilitant le passage des réformes législatives.

Ces deux aspects, bien que distincts, ne sont pas mutuellement exclusifs dans un régime démocratique. La séparation des pouvoirs, principe fondamental de la démocratie, implique une distinction claire et une indépendance entre les branches législative, exécutive et judiciaire. Toutefois, cette séparation n’empêche pas, et pourrait même encourager, qu’un président cherche à obtenir une majorité confortable au parlement pour réaliser son programme.

En effet, cette aspiration à une majorité solide est cohérente avec le principe même démocratique.

Lorsqu’un président est élu sur la base d’un programme spécifique et soutenu par un parti politique ou une coalition de parti politique, il est logique qu’il souhaite disposer des moyens législatifs pour le mettre en œuvre en œuvre son programme. Cela reflète la volonté du peuple exprimée lors des élections. Avoir une majorité confortable permet une gouvernance plus stable et efficace, en réduisant le besoin de compromis constants qui pourraient diluer l’orientation et les objectifs du programme élu.

Bien que la séparation des pouvoirs soit essentielle pour empêcher l’abus de pouvoir et garantir la liberté et les droits des citoyens, elle n’implique pas que le pouvoir exécutif ne puisse ni ne doive chercher à obtenir une majorité législative pour mettre en œuvre son agenda. Au contraire, dans un système démocratique, la capacité d’un gouvernement à réaliser les réformes promises est cruciale pour respecter le mandat confié par les électeurs. Ainsi, la recherche d’une majorité confortable à l’Assemblée nationale par un président et son parti est non seulement légitime mais également fondamentale pour la mise en œuvre efficace de leur programme politique.

Cependant, il est important de noter que cette majorité ne doit pas conduire à une érosion du processus démocratique comme lors de la précédente législature ou à une réduction de la surveillance et du contrôle nécessaires des actions gouvernementales. Là, il ne s’agit plus d’une majorité confortable, mais d’une majorité contrôlée ce qui peut contrevenir gravement aux réalités démocratiques et on en a fait l’expérience. La majorité parlementaire doit donc être utilisée dans le respect des principes démocratiques, en veillant à ce que les lois et réformes adoptées soient dans l’intérêt général et respectueuses des droits fondamentaux.

Par ailleurs, le système de checks and balances (contrôles et équilibres) est là pour veiller à ce que la majorité au pouvoir ne puisse pas agir de manière arbitraire. Les mécanismes de contrôle constitutionnel, les instances judiciaires indépendantes, la liberté de la presse et l’activité des partis d’opposition sont autant de garde-fous qui garantissent que l’utilisation de la majorité parlementaire reste alignée avec les principes démocratiques.

En résumé, la séparation des pouvoirs dans un régime démocratique n’est pas un obstacle à la réalisation des réformes promises par un président élu. Au contraire, elle doit fournir un cadre dans lequel la recherche d’une majorité confortable à l’Assemblée nationale pour mettre en œuvre ces réformes peut se faire de manière responsable et équilibrée. Ce processus reflète la volonté du peuple tout en préservant les principes fondamentaux de la démocratie et en garantissant que l’exercice du pouvoir reste juste, équilibré et soumis à un contrôle adéquat. Ainsi, la séparation des pouvoirs et la quête d’une majorité solide ne sont pas contradictoires mais sont plutôt complémentaires dans le fonctionnement sain d’un régime démocratique.

C’est à cette nuance nécessaire et absolue que je voudrais appeler la classe politique toute entière, les membres de la société civile et surtout nos éminences telles que les professeurs Robert Dossou et Abraham ZINZINDOHOUE.

Prenez soin de vous.

#prosperonsensemble
Issa Boni Richard Ouorou [❤️]

Droit dans ses bottes, Richard Boni Ouorou adresse une cinglante réplique à ses détracteurs

A travers un post publié sur sa page Facebook, Richard Boni Ouorou répond à ses détracteurs qui tentent de le discréditer avec des arguments fallacieux. Droit dans ses bottes, il a apporté une cinglante réplique.

A travers un post publié sur sa page Facebook, Richard Boni Ouorou répond à ses détracteurs qui tentent de le discréditer avec des arguments fallacieux. Droit dans ses bottes, il a apporté une cinglante réplique.

« À nos amis internaute,s

Je me souviens du moment où mon frère Joel a entrepris une série d’interventions à travers notre pays pour sensibiliser le public aux risques d’une hyper-présidentialisation de notre démocratie. Certains l’ont alors taxé d’être le « plan B » du chef de l’État.

Lorsque Madame Madougou a exprimé son désir de s’engager dans le débat politique à son retour, ces mêmes personnes ont argué qu’elle venait d’un régime dictatorial et n’avait pas sa place.

Pourtant, dès que les deux ont été arrêtés, ils sont soudainement devenus des héros et des figures de l’opposition. Il semble que pour vous, nos concitoyens doivent être en difficulté pour mériter votre amitié.

Mais sachez que cela ne fonctionnera pas avec moi ! Ce que vous pensez être votre engagement et ce que vous attendez de moi, assumez-le vous-mêmes !

Faites-le à visage découvert et n’attendez pas que les autres assument vos positions.

Nous sommes pour le développement de notre pays et resterons toujours aux côtés du peuple.

Prenez soin de vous »

Issa Richard Boni Ouorou

« Le refus de pardonner est un acte de méchanceté délibéré », Simon-Narcisse Tomèty

Le refus de pardonner est un acte de méchanceté délibéré parce que le pardon soulage et libère, et celui qui est pardonné et la personne qui accorde le pardon. Le refus du pardon entretient la vengeance interminable et des haines enfouies qui alimentent les conflits historiques. C’est un point important à ne pas sous-estimer avant de prendre une position radicale de ne pas pardonner.

Le pardon est-il un acte de purification de l’égrégore national ?

Le refus de pardonner est un acte de méchanceté délibéré parce que le pardon soulage et libère, et celui qui est pardonné et la personne qui accorde le pardon. Le refus du pardon entretient la vengeance interminable et des haines enfouies qui alimentent les conflits historiques. C’est un point important à ne pas sous-estimer avant de prendre une position radicale de ne pas pardonner.

Le pardon est le haut acte spirituel consacrant le don de soi pour résoudre non pas que des crises majeures, même celles mineures qui ont aussi leur importance puisqu’elles peuvent se transformer en un accumulateur de frustrations pour devenir un danger sociétale durable.

L’essentiel dans une crise est de sortir des rapports de force pour des rapports de flux. Bien évidemment, quand le rapport de force est à votre avantage momentané et vous profitez pour criminaliser le pardon, une telle rigidité comportementale peut vous être appliqué le jour où vous serez en position de faiblesse au nom de la loi naturelle de MONTER- BRILLER- DESCENDRE.

Personne ne pouvant indéfiniment rester perché au sommet de la pyramide de Maslow, au moment de la chute, vous aurez besoin de secours. Mais quand vous refusez de pardonner, la compassion ne se déclenchant pas aussitôt, vous bénéficierez d’un secours tardif.

La vie est un échange de compromis et l’important pour rester dans l’art de l’éducateur exemplaire est d’expliquer pourquoi on pardonne et on doit pardonner absolument.

Personne n’est ni un sain ni un Saint, et la vie quotidienne est faite autant de merveilles que de dérapages du fait de nos insanités connues ou dissimulées. L’essentiel c’est se souvenir d’un seul mot qui nous épargne des maux : *éthique*. Pas facile mais l’effort de tous les jours à faire est de ne pas escalader la barrière éthique qu’elle soit visible ou invisible, que la personne incriminée le soit par une condamnation fondée sur des faits justifiés ou sur la base d’un règlement de comptes enfouie dans une pure malhonnêteté.

Mais alors, *si le pardon n’est pas le chemin obligé de la réconciliation, les pays qui ont vécu l’expérience des pratiques génocidaires ou de l’apartheid continueraient de s’entretuer à l’infini en entretenant un cycle de violences. On ne s’amuse pas avec le refus de pardonner. C’est un couteau à double tranchant.*

La loi d’attraction ou la loi des rattrapages enseigne tel vous traitez vos semblables, tel vous serez traité quand le moment viendra. Ne ratez aucune occasion de faire le deuil d’une crise en pardonnant si telle est la demande sociale.

Il n’y a rien de plus lâche dans la vie d’un homme que de déconsidérer la valeur symbolique du pardon. Répétons-le encore, le pardon est le meilleur purificateur de l’état d’esprit de tout homme pour accéder à la grâce divine.

Simon-Narcisse Tomety

Staséologue