Lancement de la 3ème édition des Journées nationales de la gouvernance : Jean-Baptiste Elias dévoile l’objectif des assises

Préfets, députés, maires, agents du secteur public ou privé, responsables à divers niveaux étaient tous présents au lancement de la 3ème édition des Journées nationales de la gouvernance. A leurs côtés, des délégations venues du Niger, du Burkina-Faso, du Sénégal, du Togo, du Mali, de la Guinée, de Madagascar et de l’Ile Maurice.
Face à ces derniers, le président de l’ANLC n’a pas manqué de témoigner sa gratitude, mais aussi et surtout de rappeler l’objectif de cette assise qui se tient sous le thème central ..

La 3ème édition des Journées nationales de la gouvernance (JNG) s’est ouverte ce mardi 10 décembre 2019 à l’hôtel Azalaï de la plage de Cotonou. Procédant à l’ouverture des assises, le président de l’Autorité nationale de lutte contre la corruption (ANLC), Jean-Baptiste Elias a précisé que l’objectif de cette édition qui dure deux jours est de faire prendre conscience aux décideurs et citoyens béninois des défis et enjeux liés à l’éducation à la citoyenneté afin de proposer des solutions.

Manassé AGBOSSAGA

Préfets, députés, maires, agents du secteur public ou privé, responsables à divers niveaux étaient tous présents au lancement de la 3ème édition des Journées nationales de la gouvernance. A leurs côtés, des délégations venues du Niger, du Burkina-Faso, du Sénégal, du Togo, du Mali, de la Guinée, de Madagascar et de l’Ile Maurice.

Face à ces derniers, le président de l’ANLC n’a pas manqué de témoigner sa gratitude, mais aussi et surtout de rappeler l’objectif de cette assise qui se tient sous le thème central «L’éducation à la citoyenneté : défis, enjeux et perspectives pour le développement du secteur de l’éducation au Bénin ».

Selon Jean-Baptiste Elias, l’ANLC entend à travers cette édition fait pendre conscience aux décideurs et aux citoyens béninois des défis et enjeux liés à l’éducation à la citoyenneté et de proposer des solutions adéquates.

Dans ce sens, il a ajouté qu’il s’agira « d’établir un état des lieux de l’éducation à la citoyenneté dans les trois ordres de l’enseignement au Bénin », « d’analyser les défis et enjeux de l’éducation à la citoyenneté dans les trois ordres de l’enseignement au Bénin » et de « proposer des stratégies et actions pour améliorer l’éducation à la citoyenneté dans les trois ordres de l’enseignement au Bénin ».

Pour atteindre ces différentes objectifs, le président de l’ANLC a fait savoir que le thème au centre des travaux est décliné en trois sous-thèmes à savoir « l’éducation civique à l’école primaire et dans les établissements secondaires au Bénin : expériences pratiques, défis et perspectives », « l’éducation à la citoyenneté dans les universités au Bénin ; enjeux et perspectives pour le développement du Bénin » et enfin expérience étrangères en matière de lutte contre la corruption et d’éducation à la citoyenneté dans les écoles, collèges, lycées et universités ».

C’est dire que l’ANLC, avec le soutien de ses partenaires, entend contribuer à la dynamisation et à la généralisation de l’éducation à la citoyenneté dans les trois ordres de l’enseignement.

Trois mois jour pour jour après son assassinat pendant sa garde-à-vue au commissariat de Manta: Pas d’avancée, retour sur la vie de Fidèle Combétti

L’assassinat de Fidèle Combétti dans la nuit du 07 au 08 septembre 2019 pendant sa garde-à-vue a semé tristesse, colère et désolation au près de sa famille et de nombreux béninois. Toutefois, cet assassinat a semblé réjouir ses détracteurs qui l’ont traité de tous les noms d’oiseau. Mais qui était cet homme assassiné dans la nuit du 07 au 08 septembre 2019 dans la chambre des policiers pendant sa garde-à-vue au commissariat de Manta, et dont le corps est toujours à la morgue pendant que les présumés criminels circulent comme de l’air libre, trois mois après…

Exactement trois mois que Fidèle Combétti quittait ce monde suite à son assassinat dans la chambre des policiers  pendant sa garde-à-vue au Commissariat de Manta, commune de Bounkoumbé, dans la nuit du 07 au 08 septembre 2019. Trois mois après  ce crime crapuleux  impuni et dont la famille de  la victime n’a toujours pas encore fait son deuil, Kpakpato Médias retrace la vie de Fidèle Combétti.

Manassé AGBOSSAGA

L’assassinat de Fidèle Combétti dans la nuit du 07 au 08 septembre 2019  pendant sa garde-à-vue a semé tristesse,  colère et désolation au près de sa famille et de nombreux béninois. Toutefois, cet assassinat a semblé réjouir ses détracteurs qui l’ont traité  de tous les noms d’oiseau. Mais  qui était cet homme assassiné dans la nuit du 07 au 08 septembre 2019 dans la chambre des policiers pendant sa garde-à-vue au commissariat de Manta, et dont le corps est toujours à la morgue pendant que les  présumés criminels circulent comme de l’air libre, trois mois après.

Une vie de famille accomplie

Feu Fidèle Combétti

Né en 1979, Feu Fidèle Combétti était père de 13 enfants (différentes mères) et grand père de trois garçons et une fille. En outre, il était l’aîné d’une famille de huit enfants. Des frères et sœurs, mais aussi et surtout des parents qu’il ne reverra plus jamais, suite à son assassinat. Le père et la mère de Fidèle Combétti continuent d’ailleurs de pleurer un fils aîné exemplaire, qui a su renoncer à ses intérêts pour propulser ses frères et sœurs.

« Sacrifice, Ciment »

S’il est vrai que Fidèle Combétti n’était pas un Saint, puisqu’étant humain, il avait toutefois des qualités hors du commun. Par exemple, il était un grand frère doté d’un grand esprit du sacrifice, capable de renoncer à ses intérêts pour satisfaire ceux des autres. «  Il a quitté les bancs après le Cep pour garder la maison et les traditions afin de permettre à ses frères de continuer les études, mais aussi afin de tenir compagnie à la grande mère au village qui était à l’époque vivante et seule au village », raconte son jeune frère Lucien Combétti.

Pour  un autre membre de la famille, Fidèle Combétti était celui là qui consolidait la famille. «Fidèle était le ciment de la famille,  toujours prêt à tout pour ses frères et la famille et le clan de Koubetiégou. Il était une source de joie à chaque rencontre », reconnait ce dernier.

Un vrai combattant

Fidèle Combétti se symbolisait également par l’esprit de combativité. Un battant qui après avoir abandonné les études s’est essayé au métier de chauffeur. Avec son diplôme de chauffeur en main, il fera d’ailleurs le tour de Cotonou, de Tanguiéta et du grand Nigéria, en qualité de  conducteur de Taxi.  Le temps pour lui de nourrir une autre passion.

Tenté par l’entreprenariat,  il se lance plus tard dans la savonnerie.  Il deviendra rapidement propriétaire d’une savonnerie artisanale. A Manta, Fidèle Combétti sera très tôt surnommé « savon kounti manta », qui signifie « savon rentre à Manta ».

Fidèle Combétti, c’était donc tout sauf un oisif, un fainéant  qui vivait à la charge des autres, ou qui s’adonnait à des activités illégales pour subvenir à ses besoins et  ceux de sa famille. Ce n’est donc pas pour rien que Fidèle Combétti n’avait jamais eu de démêlé avec la justice. Son casier judiciaire était vierge, comme la vierge Marie, nous confirme, son jeune frère Lucien Combétti.

Et si c’était le contraire, cela aurait été un péché pour l’Otammari, qu’il est, nous confie un autre de ses frères.

Un peu teinté USL

Sur le terrain politique, Fidèle Combétti affichait son soutien à l’Union sociale libérale de Sébastien Ajavon. Du moins, à travers son jeune frère, Ferdinand Combétti, membre du parti, candidat tête de lice aux législatives de 2011 sous la bannière de l’IPD, puis en 2015 sous l’aile de l’AND dans la 3ème circonscription électorale.

 « Il soutenait mes choix politiques ou que je sois. Et je suis USL », indique Ferdinand Combétti qui n’a pu se présenter aux dernières législatives, suite à l’exclusion des partis de l’opposition.

Et si son jeune frère ne dit pas officiellement que son frère a été assassiné  pour sa couleur politique, il confirme que son frère a été victime de sa grande foi en  l’indépendance de la justice de son pays. « Il est mort pour la justice dans son pays. Il croyait à la justice de son pays, c’est pour cette raison qu’il a fait appel à la police et s’y est rendu », souligne t-il.

Désormais, les béninois auront-ils confiance en leur justice ? La question reste posée.

Pour répondre aux « attitudes apatrides » de l’Opposition: Le CJSP sort de son laboratoire le concept « la Résistance Patriotique et Populaire »

Mouvement acquis à la cause du président Patrice Talon, le Collectif des jeunes engagés pour un sursaut patriotique (CJSP) a rompu le silence ce vendredi 08 décembre, soit plus de six mois après sa dernière sortie médiatique. Un long moment de silence mis à profit par Moustapha Bashola et les siens pour sortir de leur laboratoire un concept politique pour corriger les « attitudes apatrides » de l’opposition…

Le Collectif des jeunes engagés pour un sursaut patriotique  (CJSP) lance un concept politique. Aux côtés d’autres membres du CJSP ce vendredi 08 décembre 2019 à l’Infosec de Cotonou, le président Moustapha Bashola a annoncé   le lancement du concept la « Résistance Patriotique et Populaire » dénommé « Le Patriotisme, notre seule arme au combat » pour répondre aux « attitudes apatrides » de l’opposition.

Manassé AGBOSSAGA

Mouvement acquis à la cause du président Patrice Talon, le Collectif des jeunes engagés  pour un sursaut patriotique (CJSP) a rompu le silence ce vendredi 08 décembre, soit plus de six mois après sa dernière sortie médiatique. Un long moment de silence mis à profit par Moustapha Bashola et les siens pour sortir de leur laboratoire un concept politique pour corriger les « attitudes apatrides » de l’opposition.

Moustapha Bashola aux côtés d’autres membres du CJSP lors du point de presse

En effet, s’appuyant sur les dernières actualités, notamment celles liées aux affaires 3 tonnes de cocaïne  en provenance de l’Uruguay et fermeture de la frontière du Nigéria, le président du CJSP a annoncé le lancement du concept « la Résistance Patriotique et populaire ».

Selon ses propos, ce concept dénommé « le Patriotisme, notre seule arme au combat » a pour but de susciter au sein des populations l’amour de la patrie comme la seule arme ‘pour combattre la traitrise des opposants qui de l’extérieur  agissent pour instaurer et maintenir l’instabilité dans leur propre pays ».

« Le CJSP voudrait à travers cette opération lancer un appel vibrant et patriotique à l’endroit des béninois,  surtout à l’endroit de la couche juvénile pour l’amour  de leur pays et pour ne point céder aux manipulations et aux chantages de ceux là qui n’ont l’amour du pays que leurs propres intérêts comme ils le démontrent chaque jour depuis déjà quelques années », a lancé le président du CJSP.

Dans cette lancée, Moustapha Bashola dévoile l’agenda du CJSP pour donner corps à ce concept. « Le CJSP compte mener dans les tout prochains jours une vaste campagne de sensibilisation sur le patriotisme, les devoirs de citoyenneté à l’endroit des groupes cibles », indique t-il.

Groupes cibles concernés, apprêtez donc vos stylos et cahiers !   

Consultation Xwé-Fâ 2020: Le signe divinatoire Tula’Ablah révélé, les dispositions à prendre

Les béninois savent à quoi s’attendre pour l’année 2020. La consultation Xwé-Fâ effectuée ce jeudi 05 décembre au palais royal d’Abomey, en présence de Dada Kèfa Sagbadjou Glèglè, de plusieurs rois du Bénin, notamment ceux du département du Mono a, après consultation de l’oracle, par le collège de prêtres Fâ, révélé le signe divinatoire Tula’Ablah encore appelé Tula’bahoun…

La consultation Xwé-Fâ 2020 a livré son verdict. Ce jeudi 5 décembre 2019 au palais Royal d’Abomey en présence de Dada Kèfa Sagbadjou Glèglè et sous la supervision générale du président des Boconons du Bénin, Dah Djissa, le collège de Fâ après consultation de l’oracle a révélé le signe divinatoire Tula’Ablah pour tout le Bénin.

Manassé AGBOSSAGA

Dada Kèfa Sagbadjou Glèglè

Les béninois savent à quoi s’attendre pour l’année 2020.  La consultation Xwé-Fâ effectuée ce jeudi 05 décembre au palais royal d’Abomey, en présence de Dada Kèfa Sagbadjou Glèglè, de plusieurs rois du Bénin, notamment ceux du département du Mono a, après consultation de l’oracle, par le collège de prêtres Fâ, révélé le signe divinatoire Tula’Ablah encore appelé Tula’bahoun.

Selon Dah Djissa, président des Boconons du Bénin, ce signe divinatoire prédit  des tensions dans le pays, des mésententes entre les dirigeants ou encore des catastrophes au cas où les sacrifices ne seraient pas respectés. Dah Djissa a alors insisté sur le respect strict des offrandes à faire, notamment  à l’endroit de l’Iroko.

« Les boconons nous disent  qu’il faut respecter scrupuleusement les sacrifices de l’oracle en particulier l’arbre fétiche Loko (Iroko) qui est considéré comme l’arbre le plus géant de la forêt auquel il faut faire des sacrifices pour avoir la paix », fait savoir Dah Djissa.

En outre, il ajoute que la consultation a recommandé aux dirigeants et aux responsables à divers niveaux l’humilité, la patience,  l’amour, l’union entre tous les fils et filles du Bénin dans tous les sens pour permettre aux béninois de passer une année 2020 paisible.

Au cas contraire, le Bénin court un grand risque de basculement dans la violence, prévient le président des Boconons du Bénin.

Un homme averti, en vaut plusieurs, dit-on.

17ème édition de Tam Tam d’Afrique Awards: Aziz Abdoulaye offre une soirée inoubliable à Sèna joy, Hamed Bakayoko et Molgah Kadjaka distingués

Entre Tam Tam d’Afrique Awards et son promoteur, c’est une histoire de fidélité. Preuve, l’agenda de la 17ème édition a été honoré avec un goût sucré ce samedi 30 novembre 2019 à l’hôtel Azalaï de la plage de Cotonou. Une édition qui a d’ailleurs permis au promoteur Aziz Abdoulaye de rendre un vibrant hommage à l’artiste Sèna Joy et de distinguer plusieurs personnalités locales et étrangères dont le ministre d’Etat ivoirien, Hamed Bakayoko, la député togolaise Molgah Kadjaka Abougnima…

Entre Tam Tam d’Afrique Awards et son promoteur, c’est une histoire de fidélité. Preuve, l’agenda de la 17ème édition a été honoré avec un goût sucré ce samedi 30 novembre 2019 à l’hôtel Azalaï de la plage de Cotonou. Une édition qui a d’ailleurs permis au promoteur Aziz Abdoulaye de rendre un vibrant hommage à l’artiste Sèna Joy et de distinguer plusieurs personnalités locales et étrangères dont le ministre d’Etat ivoirien, Hamed Bakayoko,  la député togolaise Molgah Kadjaka Abougnima.

Manassé AGBOSSAGA

Dès l’entame, le promoteur a insisté sur la particularité qui caractérise  le grand prix international de récompense des meilleurs acteurs de développement africain. Aziz Abdoulaye a fait savoir à l’assistance que ce prix ne s’attribue pas sur des critères monétaires ou fantaisistes. « Ce trophée n’est pas négociable. Ce trophée n’est pas achetable », a insisté le promoteur Aziz Abdoulaye.

Il a ensuite indiqué que la fondation Tam Tam d’Afrique a fait l’option de rendre hommage de leur vivant aux personnes qui contribuent au développement de l’Afrique dans leurs secteurs. « L’homme ne doit jamais être célébré à titre posthume. L’homme doit être célébré de son vivant.  C’est notre crédo à Tam-Tam d’Afrique », a-t-il précisé.

Place aux récompenses

Des Lauréats

Après ses clarifications, place a été faite à la distinction des lauréats, mais également à la remise d’attestation de soutien aux partenaires qui accompagnent l’initiative.

A ce niveau plusieurs personnalités locales et étrangères, dont le ministre d’Etat le ministre d’Etat ivoirien, Hamed Bakayoko,  l’Honorable Molgah Kadjaka Abougnima,  l’artiste Sèna Joy  ont fait leurs entrées dans la cour des grands.

Absent pour raison d’agenda, le ministre d’Etat et maire de la ville d’Abomey, Hamed Bakayoko  a reçu la palme Diamant du Meilleur acteur de développement.

Contrairement au ministre d’Etat ivoirien, la députée Molgah Kadjaka Abougnima s’est déplacée en personne pour recevoir son prix. Elle a reçu la palme d’or de la femme leader et actrice de développement africain. « Je remercie de m’avoir honoré. Je suis surprise.  J’ai compris que ce qui se faisait était quelque chose de sérieux. Merci à ceux qui ont porté leur choix sur ma personne », a  t- elle déclaré toute émue après sa distinction.

L’autre personnalité qui a affiché son émotion après sa distinction au point de ne pas retrouver les mots est l’artiste Sèna Joy. Pour ses 50ans de carrière, l’artiste a reçu la palme d’or de reconnaissance  + une parcelle de  500m2 d’une valeur de 2 millions offert par l’entreprise Royal Services appartenant à Supplice Gbaguidi + une assurance santé + produits pharmaceutique pour ses soins jusqu’à son dernier jour sur la terre par le Dr Bouraïma Aboudou + une robe d’une valeur de 250.000 fcfa offert par le prêt à porter Point de Luxe de Djoss Kouton.

En outre, un gâteau délicieux a été coupé en l’honneur de l’artiste.

Sèna Joy n’oubliera pas, sans doute, cette 17ème  édition de Tam Tam d’Afrique Awards.

PALMARES DE LA SOIREE

1- Dr Donatien SOKOU Jeune promoteur de cultes endogènes africains

2- Hamed BAKAYOKO, Ministre d’État, Maire de la ville d’Abobo. Palme Diamant du Meilleur Acteur de Développement

3- Group Zank prix diaspora. Meilleure entreprise de production et de distribution de produits cosmétiques Afro dans le monde

4- Mme Molgah KADJAKA Abougnima  Notaire et députée à l’Assemblée Nationale du Togo. Palme d’or de la femme leader et actrice de développement Africain.

5- Sêna joy artiste chanteuse qui totalise 50 ans de carrière , (Prix hommage).Palme d’or de reconnaissance  + une parcelle de 500m2 d’une valeur de 2 millions offert  par l’entreprise royal services de Mr Sulpice Eleutère GBAGUIDI ,d’une assurance santé + produits pharmaceutiques pour ces soins jusqu’à son dernier jour sur la terre par  le Dr bouraima ABOUDOU , don ‘une robe d’une valeur de 250.000frs offert par le prêt à porter Point de luxe de Mr Djoss KOUTON,

6-;Jothan Nikora Burundais fonctionnaire de police ,tradi-praticien et président des associations des tradi thérapeute du Burundi . Palme d’or du Meilleur chercheur et promoteur de la médecine africaine .

7- Les laboratoires COPHARBIOTEC eau Kwabo. Palme d’or de la meilleure eau en qualité vitale.

8- Biou Bénin services Sté de gestion immobilière. Meilleure entreprise de vente de parcelle (crédibilité et garantie)

Culture: La consultation Xwé-Fâ 2020 se tient à Abomey ce jeudi

Abomey abrite un évènement culturel de taille demain jeudi. Pour cause, le Palais Royal d’Abomey servira de cadre à la consultation du Xwé-Fâ 2020…

Abomey abrite un évènement culturel  de taille demain jeudi. Pour cause, le Palais Royal d’Abomey servira de cadre à la consultation du  Xwé-Fâ 2020.

Cette consultation  se fera sous la houlette d’un  collège de 15 prêtres assermentés par le Xwé-Fâ, en présence du Roi d’ Abomey.

Selon   Baba Djissa Houétchénou,  président des Boconons du Bénin, prêtre du Fâ  et premier ministre du royaume, le Xwé-Fâ  est la contribution  du collège des prêtres  du Fâ au Bénin au soutien de la nation béninoise toute entière  à travers la consultation des noix et chapelets  divinatoires sur l’année 2020, les rituels de prévention des calamités, et tensions diverses  ainsi que les prières d’ouverture  des vannes de prospérités pour chacun et pour tout au  long de l’année. 

Preuve que cet événement qui est annoncé pour 08heures est très attendu de part et d’autre.

Manassé AGBOSSAGA

Défense des acquis de la Conférence nationale: L’ODACN quadrille le Couffo avec l’installation de ses Comités

Les responsables de l’Organisation pour la défense des acquis de la conférence nationale (Odacn) ont posé leurs valises le week-end dernier à l’hôtel Avamè, situé dans l’arrondissement d’Azovè. Houdou Ali, Saliou Adamou, Yèhouéssi Mireille, Audace Kingbé, Gift Danvidé, Badoussi Nicolas, Prosper Tyodeffon sont allés honorer l’étape du département du Cotonou en ce qui concerne l’installation des comités de l’ODACN…

Les responsables de l’Organisation pour la défense des acquis de la conférence nationale (Odacn) ont posé leurs valises le week-end dernier à l’hôtel Avamè, situé dans l’arrondissement d’Azovè.  Houdou Ali, Saliou Adamou,  Yèhouéssi Mireille, Audace Kingbé, Gift Danvidé, Badoussi Nicolas, Prosper Tyodeffon sont allés honorer l’étape du département du Cotonou en ce qui concerne l’installation des Comités de l’ODACN.

Des responsables de l’ODACN à l’hôtel Avamè

Dans une salle pleine comme un œuf, ils ont ainsi  procédé à l’installation des Comités des 50 arrondissements des communes du département du Couffo.

Face aux membres installés, le président de l’ODACN a rappelé les droits et devoirs du  Citoyen dans la citée. Houdou Ali a ensuite confié que cette installation est le début d’un long processus qui s’achèvera par la mise en place d’une assemblée constituante pour aller au vrai dialogue avec le président Patrice Talon.

Pour sa part, le secrétaire général de l’ODACN a  situé l’assistance sur la vision de l’organisation. Saliou Adamou a expliqué que l’ODACN est une organisation mise en place par des jeunes, hommes, femmes, vieux, vieilles de toutes tendances pour la défense des acquis de la conférence nationale.

Les militants et sympathisants venus nombreux

Plusieurs  interventions des membres de la délégation de l’ODACN, la présentation des membres des comités, l’hymne national, et autres ont mis un terme à la cérémonie qui permet ainsi  à Houdou Ali, Saliou Adamaou et consorts de quadriller les départements du Mono et du Couffo, après ceux du Borgou (Parakou), du  Littoral (Cotonou), de l’Atlantique (Abomey-Calavi). et du Couffo.

Manassé AGBOSSAGA

Persécuté, condamné et contraint à l’exil: Le cri de détresse de NANSIF ABIODOUN EHISSE

Sale temps pour l’homme d’affaire NANSIF ABIODOUN EHISSE. Face aux déboires qu’il vit depuis plusieurs mois, l’homme s’en remet au secours des organismes internationaux de préservation et de sauvegarde des Droits de l’Homme. Il rompt enfin le silence et crie à l’aide…

Sale temps pour l’homme d’affaire NANSIF ABIODOUN EHISSE. Face aux déboires qu’il vit depuis plusieurs mois, l’homme s’en remet au secours des organismes internationaux de préservation et de sauvegarde des Droits de l’Homme. Il rompt enfin le silence et crie à l’aide.

Source Externe

C’est désormais un secret de polichinelle. Les déboires qu’ont subis les convoyeurs des pèlerins du Hadj 2019 ont accouché des condamnations et des amendes au terme de procès judiciaires dont le verdict est tombé ce 19 novembre. Face à ce qu’il appelle « des persécutions », l’un d’eux n’a eu la liberté que grâce à sa fuite au-delà des frontières nationales, pour se soustraire à « cette parodie de justice » selon ses dires. En effet, de sources proches de l’homme, il leur aurait été reproché entre autres, « une prétendue surfacturation des conditions d’hébergement, et un détournement d’une quarantaine de places réservées aux guides ». Toute chose que les intéressés qualifient d’alibi mal ficelé. A en croire NANSIF ABIODOUN EHISSE, PDG du Groupe OBANI-BACHIRI les vraies raisons de cet acharnement sont ailleurs. Certaines sources renseignent même que le vrai mobile de tout cet agissement n’est que la recherche de motif pouvant justifier le retrait d’agrément machinalement orchestré pour leur prendre le convoyage. Si certains accusent l’établissement des passeports qui n’auraient pas veillé à déceler des irrégularités et un manque de certaines pièces, d’autres par contre estiment que ce sont plutôt des convoyeurs qui auraient fait preuve de mauvaise foi. Et c’est sur cette dernière base que des convoyeurs sont convoqués à la Brigarde économique et financière, et ensuite conduits en prison avec une peine de 12 mois d’emprisonnement et une amende de 100.000 Fcfa pour certains. D’autres par contre sont jugés par défaut et écopent de 24 mois d’emprisonnement et de 200.000 Fcfa d’amende.

Un appel à l’aide

Face à cet état de chose, NANSIF ABIODOUN EHISSE sentant sa sécurité menacée, n’a eu d’autres recours que de se sauver. Après avoir réussi, par ses moyens, à s’échapper pour se retrouver en terre étrangère, l’homme estime qu’il n’est victime que d’une persécution politico-économique. Il crie son ras-le-bol et appelle à l’aide. Les institutions internationales en charge des Droits de l’Homme comme Amnesty International, l’Organisation des Nations Unies, le Haut Commissariats des Refugiés, sont vivement invités à lui garantir une bonne sécurité où qu’il soit.

Politique: L’ODACN boucle l’installation de ses Comités dans tout le département du Mono

L’Organisation pour la défense des acquis de la conférence nationale (Odacn) boucle tout le Mono. Pour cause, Houdou Ali, Saliou Adamou, Yèhouéssi Mireille, Audace Kingbé, Gift Danvidé, Badoussi Nicolas, Prosper Tyodeffon ont installé les comités de défense des acquis de la conférence nationale des…

L’Organisation pour la défense des acquis de la conférence nationale (Odacn) accélère son agenda. Après les communes de Parakou, de Cotonou, et d’Abomey-Calavi,  Houdou Ali, Saliou Adamou, Yèhouéssi Mireille et les autres ont procédé à l’installation des comités de défense des acquis de la conférence nationale  des 35 arrondissements du département du Mono. C’était   ce samedi 30 novembre à l’hôtel étoile rouge à Lokossa.

Manassé AGBOSSAGA

L’Organisation pour la défense des acquis de la conférence nationale (Odacn) boucle tout le Mono. Pour cause, Houdou Ali, Saliou Adamou,  Yèhouéssi Mireille, Audace Kingbé, Gift Danvidé, Badoussi Nicolas, Prosper Tyodeffon ont installé les comités de défense des acquis de la conférence nationale  des 35 arrondissements du Mono. Ceci après l’installation des Comités des communes des départements du Borgou (Parakou), du  Littoral (Cotonou), de l’Atlantique (Abomey-Calavi).

Les membres de l’ODACN à Lokossa

Dans une salle pleine comme un œuf, ils ont, à travers cette cérémonie, réaffirmé l’engagement d’installer les 546 comités d’arrondissement afin de procéder à la mise en œuvre  des objectifs fixés par l’organisation.

Parlant d’objectifs, le secrétaire général de l’Odacn, Saliou Adamou a indiqué  que l’Odacn reste une organisation apolitique qui regroupe toutes les tendances et qui entend se battre pour la préservation des acquis de la conférence nationale, dont le pluralisme politique, les libertés individuelles, la démocratie, le consensus, la constitution de 1990.

Convaincu que l’ODACN ira au bout de cet  agenda, Houdou Ali a notamment invité le président Patrice Talon à se préparer pour le vrai dialogue avec le peuple.

En attendant, il a envoyé les membres installés en mission pour prêcher la bonne nouvelle de l’ODACN. Ceci en s’appuyant sur les trois armes de l’organisation à savoir la prière, la constitution, et  la parole de Dieu.

Des milliers de militants et sympathisants ont répondu à l’appel

Distinctions: Tam Tam d’Afrique Awards rend hommage à Sèna Joy ce samedi

Pour l’ensemble de son œuvre, l’artiste Sèna Joy sera honorée ce samedi 30 novembre 2019. Ce sera en marge de la 17ème édition du Grand prix international des récompenses des meilleurs acteurs de développement africain, qui se tiendra à…

Pour l’ensemble de son œuvre, l’artiste Sèna Joy sera honorée ce samedi 30 novembre 2019. Ce sera en marge de la 17ème édition du Grand prix international des récompenses des meilleurs acteurs de développement africain, qui se tiendra à l’hôtel Azalaï de la plage de Cotonou. Abdoulaye Aziz, promoteur de Tam Tam d’Afrique Awards entend ainsi rendre un vibrant hommage à la vedette de la musique béninoise de son vivant  pour ses 50 ans de carrière.

Cette distinction fait suite à celle rendue à l’artiste Nel Oliver lors de la 16ème édition du Grand prix international  récompenses des meilleurs acteurs de développement africain. A cette édition, plusieurs acteurs de développement intervenant dans différents secteurs d’activés avaient été honorés.

Des sources proches du comité d’organisation annoncent, à cet effet, 15 identifications, avec la participation de 300 personnalités venues de 12 pays différents.

Amis, parents, proches, curieux, venez donc soutenir  les lauréats le samedi prochain à partir de 19h30.

Manassé AGBOSSAGA