Jamais un sans deux, dit un adage populaire. Kpakpatotiquement parlant, cet adage s’applique bien à notre dada « Madou » qui vit au pays dont la passation du pouvoir a été une affaire entre père et fils, même si c’est à titre posthume. Oui, avec elle, le combat pour le tabouret présidentiel ne va jamais au second round. Quand « Madou » supporte quelqu’un, les adversaires sont assommés d’un coup net.
Après sa contribution directe ou indirecte à l’inédit K.O en 2011 de « Yabo », quand elle était ministre de la microfinance « Madou » est, à nouveau complice, d’un Knoch out (K.O). Au 228, la conseillère spéciale a, sans doute, partagé avec le « big four », les recettes pour finir avec l’adversaire dès le premier tour. Et dans ça, « Agbé », malgré le soutien de l’esprit saint, et les autres challengers ont goûté au K.O, assaisonné « Madou ». Yakoo à eux, surtout à « Agbé » lui qui s’est autoproclamé président de la république. Un conseil. Ça ne conduit pas à quelle part. Il peut demander au plus chinois des gabonais, lui qui s’est aussi autoproclamé président du Gabon,
Pour revenir à notre Dada «Madou », on peut conclure, qu’elle qui sous feu Kérékou a fait tous les tapements, les jacassements pour protester contre la révision de la constitution a eu la conscience tranquille pour contribuer au K.O de « big four », synonyme d’un quatrième mandat après la révision de la constitution.
Femme, quand y a son intérêt dans quelque chose…
Manassé AGBOSSAGA