Recrutement de 1300 élèves agents de Police : Trois candidats admis invités « à rejoindre impérativement » la formation, sinon…

Le ministre de l’Intérieur et de la sécurité publique interpelle trois candidats admis au concours de recrutement de 1300 élèves agents de Police. A travers un communiqué en date du mardi 06 décembre 2022, Alassane Séidou invite

Le ministre de l’Intérieur et de la sécurité publique interpelle trois candidats admis au concours de recrutement de 1300 élèves agents de Police. A travers un communiqué en date du mardi 06 décembre 2022, Alassane Séidou invite Victor Codjo Affokou, Gaspard Dossa, et Akinlola Mahugbé Melchisedeck Ganhoui « à rejoindre impérativement le Centre de formation militaire de Bembérèkè au plus tard le mercredi 07 décembre 2022 »

Le ministre de l’Intérieur et de la sécurité prévient qu’en cas d’absence, les trois concernés « seront considérés comme démissionnaires et remplacés ».

Un homme avertit en vaut deux, dit-on.

M.A

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Bénin – Important Communiqué du ministre de l’Intérieur Alassane Séidou à l’endroit des 1300 élèves agents de Police recrutés

A travers un communiqué en date du mercredi 16 novembre, le ministre de l’Intérieur Alassane Séidou informe les 1300 élèves agents de Police admis au concours de recrutement au titre de l’année 2022, qu’ils seront mis en formation le mercredi 23 novembre prochain.

A travers un communiqué en date du mercredi 16 novembre, le ministre de l’Intérieur Alassane Séidou informe les 1300 élèves agents de Police admis au concours de recrutement au titre de l’année 2022, qu’ils seront mis en formation le mercredi 23 novembre prochain.

Les concernés sont à cet effet attendus le mardi 22 novembre 2022 à 06 heures précises, à plusiuers points de regroupement pour être convoyés au Centre de Formation militaire de Bembèrèkè (CFMB).

Il s’agit de :

1) Commissariat de l’arrondissement d’Allada: pour les candidats résidant dans les départements de l’Atlantique, du Littoral du Mono et de l’Ouémé; 

2) Commissariat de l’arrondissement de Sodohomè (Bohicon): pour les candidats résidant dans les départements du Couffo, du Plateau et du Zou ; 

3) Direction départementale de la Police républicaine des Collines: pour les candidats résidant dans le département des Collines; 

4) Direction départementale de la Police républicaine de la Donga: pour les  candidats résidant dans les départements de l’Atacora et de la Donga; 

5) Direction départementale de la Police républicaine de l’Alibori : pour les candidats résidant dans les communes de Banikoara, Kandi, Karimama, Malanville et Ségbana; 

6) Commissariat de l’arrondissement de Bembèrèkè: pour les candidats résidant dans les communes de Bembèrèkè, Gogounou et Sinendé. 

7) Commissariat de l’arrondissement de N’dali: pour les candidats résidant dans les communes de Kalalé, Nikki, N’dali et Pèrèrè; 

8) Direction départementale de la Police républicaine du Borgou: pour les candidats résidant dans les communes de Parakou et Tchaourou. ».

Téléchargez le fichier pour plus de détails. Communiqué radio n°021-MISP_Mise en framation 1300 EAP_2022-1

M.A

 

Bénin-Politique : « Catégorisation fantaisiste alimentée et entretenue à dessein aux fins de déstabilisation de l’opposition dans l’opinion  publique », selon le parti GSR

 

CATEGORISATION FANTAISISTE DE PARTIS POLITIQUES  ALIMENTEE ET ENTRETENUE A DESSEIN AUX FINS DE  DESTABILISATION DE L’OPPOSITION DANS L’OPINION  PUBLIQUE : 

 LE PARTI GRANDE SOLIDARITE REPUBLICAINE (GSR-La  Main dans la Main) réagit. 

C’est par correspondance, N°021-S2/2022/VP1/Pt/GSR/SA du 07 Septembre  2022, que le Président du GSR, Monsieur Antoine GUEDOU VISSETOGBE, a  appelé l’attention, du ministre de l’Intérieur et de la Sécurité Publique (MISP) sur  l’obligation qui lui est faite par l’article 6, 2e tiret de la Loi N° 2019-45 du 25  Novembre 2019 portant statut de l’opposition, nous citons: << transmettre dans  un délai ne pouvant excéder deux (02) mois au journal officiel en vue de sa  publication >> l’enregistrement Année 2022/N°050/MISP/DC/SGM/DPPAE/SA  du 19 Juillet 2022 par lequel, acte lui a été donné de l’appartenance du GSR à  l’opposition conformément à la résolution N°1 de la Conférence des Instances  Dirigeantes du Parti tenue le 12 Février 2022.

Téléchargez les fichiers ci-dessous pour plus de détails

CATEGORISATION FANTAISISTE

Lettre Publication de l’enregistrement

 

Terrorisme au Bénin : Le ministre de l’Intérieur Alassane Séidou nuance et cite les communes à risque

Lors de son passage sur l’émission  »Gouvernement en Action’’ diffusée ce vendredi 3 juin 2022, initiée dans le cadre du bilan de l’An 1 Talon 2, le ministre de l’Intérieur et de la sécurité publique est revenu sur les attaques enregistrées dans le nord Bénin. Mais pour Alassane Séidou, le terrorisme n’est pas installé au Bénin même s’il reconnaît que certaines communes sont à risque, du fait de leur proximité avec les pays où le terrorisme est installé.

Lors de son passage sur l’émission  »Gouvernement en Action’’ diffusée ce vendredi 3 juin 2022, initiée dans le cadre du bilan de l’An 1 Talon 2, le ministre de l’Intérieur et de la sécurité publique est revenu sur les attaques enregistrées dans le nord Bénin. Mais pour Alassane Séidou, le terrorisme n’est pas installé au Bénin même s’il reconnaît que certaines communes sont à risque, du fait de leur proximité avec les pays où le terrorisme est installé.

Le « terrorisme n’est pas installé au Bénin ». Et ce Malgré les nombreuses attaques enregistrées sur son territoire. C’est du moins ce qu’il faut retenir des propos du ministre de l’Intérieur et de la sécurité publique lors de son passage dans le Magazine  »Gouvernement en Action’’.

Pour Alassane Séidou, le terrorisme n’est pas installé au Bénin, mais « est à nos frontières ».

Le ministre de l’Intérieur fait remarquer que le système de riposte et les services de renseignement empêchent les terroristes de s’installer sur le territoire béninois. Ces derniers sont alors obligés d’opérer des incursions dans certaines localités du pays, a-t-il ajouté.

Les communes menacées par le terrorisme

Le ministre de l’Intérieur et de la sécurité publique a indiqué que « toutes les communes qui ont de frontières avec le Burkina-Faso » où le terrorisme est installé « sont concernées ».

« Il s’agit des communes qui sont au nord ouest et parmi ces communes, nous avons, la commune de Karimama, la commune de Banikoara, la commune de Kérou, la commune de Tanguiéta, la commune de Matéri, la commune de Cobly.

Et lorsque nous venons au nord est, vous avez la commune de Malanville, la commune de Ségbana, la commune de Kalalé, la commune de Nikki un peu.

Et quand vous remontez dans les Collines, vous avez la commune de Savè, la commune de Ouèssè.

Et plus au sud, dans le plateau, vous avez la commune de Kétou », a précisé Alassane Séidou ajoutant « voilà les communes qui aujourd’hui ont des frontières avec des pays où il y a le terrorisme. La menace est au niveau des frontières de ces communes ».

Alassane Séidou a toutefois rassuré que les forces de défense et de sécurité sont présentes à ces endroits pour « constituer un rempart » afin « d’empêcher que le terrorisme puisse entrer dans notre pays ».

Il dira d’ailleurs que c’est cette présence qui « oblige » les terroristes « à faire des incursions et à replier aussitôt ».

« C’est parce qu’il y a des ripostes. S’il n’y avait pas de réaction, ils se seraient installés », a-t-il martelé.

Pas de panique donc…

Manassé AGBOSSAGA

Police républicaine : Le ministre de l’Intérieur Alassane Séidou justifie les désertions et cite trois raisons

Des désertions sont enregistrées dans le rang des Forces de défense et de sécurité du Bénin, notamment au niveau de la Police républicaine. Lors de son passage sur l’émission ‘‘Gouvernement en Action’’ diffusée ce vendredi 3 juin 2022, initiée dans le cadre du bilan de l’An 1 Talon 2, le ministre de l’Intérieur et de la sécurité publique Alassane Séidou a justifié cet état de choses, évoquant trois raisons.

Des désertions sont enregistrées dans le rang des Forces de défense et de sécurité du Bénin, notamment au niveau de la Police républicaine. Lors de son passage sur l’émission ‘‘Gouvernement en Action’’ diffusée ce vendredi 3 juin 2022, initiée dans le cadre du bilan de l’An 1 Talon 2, le ministre de l’Intérieur et de la sécurité publique Alassane Séidou a justifié cet état de choses, évoquant trois raisons.

Dans un franc-parler, le ministre de l’Intérieur et de la sécurité publique a justifié les désertions enregistrées dans le rang de la Police républicaine. Alassane Séidou a notamment mis en avant trois raisons pour expliquer ce phénomène. Il a cité les contraintes liées à la profession, l’arrêt du rançonnement et les opportunités.

Les trois raisons

Alassane Séidou a indiqué que les opportunités constituent la première raison. « … Aujourd’hui, pour être recruté à la Police, il faut avoir le Bac. Et parmi les recrues, il y en à qui ont le Master, parfois même dans des spécialités très pointues. Quelqu’un par exemple qui a la Licence ou plus, qui intègre la Police, il a l’ambition d’appartenir aux groupes des Officiers. Il veut évoluer dans le corps. C’est une ambition tout à fait légitime. S’il constate qu’il ne peut pas arriver dans la classe des Officiers en moins de dix ans ou même plus, s’il trouve une opportunité ailleurs, il déserte. Il s’en va. Et on constate qu’il est parti. Ça arrive il y en à qui partent pour trouver mieux », a expliqué le ministre de l’Intérieur. Seconde raison avancée par Alassane Séidou, c’est l’arrêt des rançonnements.

« La seconde raison, c’est qu’il y a des gens qui viennent à la Police parce qu’ils pensent qu’à la Police, on peut vite s’enrichir comme cela se faisait par le passé, les rançonnements qui étaient la règle. Tout le monde le sait. C’était devenu la norme », fait d’abord remarquer le ministre, avant de poursuivre, « mais aujourd’hui, ce n’est pas possible. Je ne peux pas dire que c’est au niveau zéro, mais de toute façon, aujourd’hui c’est très compliqué de le faire ».

En dernier point, le ministre de l’Intérieur a cité les contraintes liées à la profession. « La troisième raison, c’est qu’aujourd’hui à la Police, il y a du boulot. La Police républicaine est basée sur la mobilité. Vous devez bouger. Vous devez aller partout, sur les routes, dans les quartiers. Donc, il y a beaucoup de contraintes », a dit Alassane Séidou, avant de conclure « ce sont les trois raisons fondamentales qui amènent certains à déserter ».

Manassé AGBOSSAGA

Bénin-Des individus qui simulent leur enlèvement avec de faux ravisseurs : Le ministre de l’Intérieur Alassane Séidou dénonce et met en garde

Le ministre de l’Intérieur et de la sécurité publique était face aux hommes des médias ce mardi 31 mai à Cotonou. A l’occasion, Alassane Séidou a dénoncé la multiplicité des cas de faux enlèvements avec la complicité de faux ravisseurs.

Le ministre de l’Intérieur et de la sécurité publique était face aux hommes des médias ce mardi 31 mai à Cotonou. A l’occasion, Alassane Séidou a dénoncé la multiplicité des cas de faux enlèvements avec la complicité de faux ravisseurs.

Dans sa déclaration, ce mardi, le ministre de l’Intérieur et de la sécurité a d’abord rappelé que le Bénin enregistre depuis 2019, « une nouvelle forme de criminalité qui consiste à procéder à l’enlèvement de proches, de responsables politico-administratifs ou de personnes fortunées avec exigence de paiement de rançon avant leur libération ».

Mais si une « tendance baissière » de ces cas s’observe, Alassane Séidou a fait remarquer que « l’orchestration des enlèvements par la plupart des prétendues victimes pour tirer un profit financier en partageant la rançon payée par leurs parents avec des ravisseurs factices » gagne du terrain.

Avec fermeté, l’autorité a mis en garde les auteurs et complices de ces actes. « La police républicaine en liaison avec les autorités judiciaires ne ménagera aucun effort pour débusquer les citoyens indélicats qui s’adonnent à de telles pratiques » a assuré le ministre de l’Intérieur, invitant « les populations à une franche collaboration avec les forces de sécurité publique ».

Alassane Séidou a notamment  invité les populations à   dénoncer « tous comportements suspects en ce domaine afin que leurs auteurs subissent la rigueur de la loi ».

Les populations sont donc interpellées

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Manassé AGBOSSAGA

Bénin: Des braqueurs souhaitent la bienvenue au nouveau ministre de l’intérieur Alassane Séidou, braquages à Djèffa et Bohicon

Patrice Talon a nommé un nouveau ministre de l’Intérieur et de la sécurité. Alassane Séidou est depuis ce mardi 25 mai, le nouveau patron des ‘‘flics’’ en remplacement de Sacca Lafia.

Patrice Talon a nommé un nouveau ministre de l’Intérieur et de la sécurité. Alassane Séidou est depuis ce mardi 25 mai, le nouveau patron des ‘‘flics’’ en remplacement de Sacca Lafia.

Le nouveau ministre de l’Intérieur et de la sécurité a d’ailleurs pris fonction ce mercredi 26 mai apr-s la passation de charges avec le ministre sortant. Et c’est ce jour choisi par des braqueurs pour signaleur leur présence souhaiter la bienvenue au nouveau patron des ‘‘flics’’.

Deux braquages pour souhaiter la bienvenue

Ce mercredi 26 mai, des braqueurs ont opéré à Djèffa, peu après le pont  péage d’Ekpè en allant à Porto- Novo. Ils ont attaqué une boutique de divers.

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« On était à 0,5 mètre de l’endroit où ils sont venus braquer . Ils avaient un pistolet en main.  Personne ne savait que c’était un  pistolet. En ce moment là, ils avaient un sachet autour du pistolet, ils ont sorti ça.  Ils ont fait croire qu’ils veulent acheter du maïs…   Pendant que le patron discutait avec ses employés, ils ont fait sorti le pistolet…Ils ont tiré en l’air pour que tout le monde sorte… avant de partir, ils  ont tiré partout…ils ont tiré sur une petite fille de 5 ans. C’est une cousine à moi. Elle saignait …il y avait aussi un zémidjan qui les suivait , ils ont tiré sur son pied », a confié une témoin du braquage à nos confrères de Frissons Radio.

Outre Djèffa, un autre braquage a également eu lieu ce mercredi où le nouveau ministre de l’Intérieur était à son premier jour de prise de fonction.    Du moins, un braquage déjoué.

Alassane Séidou et Sacca Lafia lors lors de la cérémonie de passation de service ce mercredi 26 mai 2021

En effet, des individus qui  auraient pour habitude de se  pointer à la banque pour surveiller les grosses transactions et ensuite suivre les clients afin  accomplir leur forfait dans un endroit isolé  auraient tenté de récidiver. Mais mal leur en a pris.

Les éléments de la Police républicaine de Bohicon ont été vigilants et ont réussi à abattre deux  présumés braqueurs  à Zakpo  et  au carrefour Dako.

Alassane Séidou peut donc compter sur ses éléments face à à des braquers qui ont tenté de gâcher sa première journée en tant que ministre de l’Intérieur.

Manassé AGBOSSAGA

Décentralisation : Alassane Séidou lève sa mesure de suspension et autorise les nominations dans les Mairies

Le ministre de la Décentralisation vient de lever sa décision  de suspension de nomination dans les mairies. Ceci  à travers une  note en date du 04 juin 2020. Nous vous proposons la décision en image.

En un jour ouvrable : Sacca Lafia, Alassane Séidou, et Samou Adambi abandonnent leurs postes pour un pseudo séminaire politique

Sous le fallacieux prétexte d’un séminaire sur les reformes politique en République du Bénin, organisé par le groupe politique ‘‘Dynamique unitaire’’,  les ministres de l’intérieur, Sacca Lafia, des transports Alassane Séidou, de l’Eau Samou Adambi,  ont abandonné leurs postes en un jour ouvrable. Contrairement aux horaires dans l’administration publique, Sacca Lafia, Alassane Séiydou, Samou Adambi ont préféré participer à un évènement politique, entre 15heures et 18 heures.

Patrice Talon a, beau, prôné la rupture, les mauvaises  pratiques observées sous le régime du changement puis de la refondation de Boni Yayi perdurent toujours.  Ceci avec l’aide des membres de l’écurie du Nouveau départ. Des ministres en fonction, des directeurs de société et autres agents de la fonction publique en ont donné l’exemple ce mercredi 27 juin 2018 à l’hôtel Azalaï de la plage de Cotonou.

En effet, sous le fallacieux prétexte d’un séminaire sur les reformes politique en République du Bénin, organisé par le groupe politique ‘‘Dynamique unitaire’’,  les ministres de l’intérieur, Sacca Lafia, des transports Alassane Séidou, de l’Eau Samou Adambi,  ont abandonné leurs postes en un jour ouvrable. Contrairement aux horaires dans l’administration publique, Sacca Lafia, Alassane Séiydou, Samou Adambi ont préféré participer à un évènement politique, entre 15heures et 18 heures.

Pourtant c’est connu de tous, que  dans l’administration les agents sont appelés à être à leur poste de 8 heures à 12 heures, dans la matinée, et de 15 heures à 18 heures dans l’après-midi

Il est évident qu’à cet instant,  Sacca Lafia, Alassane Séidou, et Samou Adambi qui ont préféré écourter leurs journées de travail après le conseil des ministres, étaient moins préoccupés par les dossiers liés à leurs secteurs respectifs.

Tout comme eux, des directeurs de société d’Etat, des maires, des chefs d’arrondissement de la mouvance, des agents de l’administration publique  ont aussi abandonné leurs postes pour se retrouver à Azalaï.

Si ce n’est le goût élevé pour la paresse, comment expliquer la programmation d’un rendez-vous politique en un jour ouvrable.

Manassé  AGBOSSAGA