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Terrible nouvelle ! Au Cameroun, Martinez Zogo a été retrouvé mort ce dimanche 22 janvier 2023.
Terrible nouvelle ! Au Cameroun, Martinez Zogo a été retrouvé mort ce dimanche 22 janvier 2023.
Le directeur de la radio Amplitude FM et animateur de l’émission “Embouteillages“ était porté disparu depuis le 17 janvier. Selon plusieurs médias locaux, Martinez Zogo avait été enlevé devant la gendarmerie de Nkol-Nkondi, en banlieue de Yaoundé.
A la découverte de la dépouille du journaliste, le ministre de la Justice s’est empressé de laisser un commentaire à polémique, tout en appelant à la justice.
« Inacceptable si c’est avéré. Nul n’a besoin de ça. Et c’est nous qu’on va accuser!!!! On ne tue pas les journalistes ni personne parce qu’elle parle! Moi-même je serais déjà passé de vie à trépas. Toute la lumière doit être faite », a écrit Jean De Dieu Momo, sur sa page Facebook.
Vivement que la lumière soit faite sur cette triste affaire.
Les procès sont les moments pour entendre les histoires les plus imaginables. En témoigne, le dossier évoqué ce mardi 5 juillet 2022 au tribunal de Cotonou lors de la session criminelle.
Le tribunal de Cotonou a condamné à 30 ans de prison un jeune homme, ce mardi 05 juillet 2022. L’accusé avait tué son père en 2016 pour une histoire de convocation et de dette.
Les procès sont des moments pour entendre les histoires les plus imaginables. En témoigne, le dossier évoqué ce mardi 5 juillet 2022 au tribunal de Cotonou lors de la session criminelle.
En effet, un jeune homme de 25 ans soupçonné d’avoir tué, de sang froid, son propre père a comparu ce mardi. Selon les explications de Frissons Radio, le jeune homme aurait asséné plusieurs coups de pilon à son géniteur en décembre 2016 qui en meurt.
Convocation et une dette de 50.000 Fcfa
A l’origine, une histoire de convocation à répétition et de dette. A la barre, le jeune homme a confié que son papa l’a plusieurs fois fait convoquer au commissariat pour des différends alors qu’il lui devait 50 mille Fcfa.
Seulement les explications du prévenu sont à prendre avec pincette car les tests psychologiques ont révélé qu’il est atteint de troubles psychiques.
D’ailleurs sur cette base, son avocate va plaider la clémence afin que son client soit envoyé dans un centre psychiatrique pour suivre un traitement.
Mais cet argument n’émeut pas le juge, qui condamne le jeune homme à 30 ans de prison.
Lundi 9 août au matin, un prêtre a été assassiné dans la commune de Saint-Laurent-sur-Sèvre. Gérald Darmanin a déclaré dans la foulée qu’il se rendait sur place.
Drame près de Cholet, en Vendée. Lundi 9 août au matin, le corps sans vie d’un prêtre d’une soixantaine d’années a été découvert à Saint-Laurent-sur-Sèvre. Après que cela a été confirmé par le diocèse et la gendarmerie de Mortagne-sur-Sèvre, le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin a déclaré sur Twitter qu’il s’agissait d’un assassinat et qu’il se rendait sur place. « Tout mon soutien aux catholiques de notre pays après le dramatique assassinat d’un prêtre en Vendée », a également écrit le patron de la Place Beauvau.
Selon les précisions de France 3 Pays de la Loire, un homme se serait déjà rendu auprès des gendarmes. « Un homme s’est présenté en milieu de matinée à la brigade de gendarmerie de Mortagne-sur-Sèvre et a dit avoir tué un ecclésiastique », a précisé une source proche du dossier à l’Agence France-Presse. L’homme avait été placé sous contrôle judiciaire dans le cadre de l’enquête sur l’incendie de la cathédrale de Nantes en juillet 2020, a précisé cette source.closevolume_off
Le suspect, responsable de l’incendie de la cathédrale de Nantes ?
Selon les informations de Valeurs actuelles, l’homme qui s’est présenté aux autorités serait un réfugié rwandais arrivé sur le territoire français en 2012. L’hebdomadaire indique qu’il aurait été hébergé dans la communauté des Montfortains de la commune vendéenne. Le suspect serait connu des autorités : il serait à l’origine de l’incendie subi, en juillet 2020, par la cathédrale de Nantes. BFMTV précise qu’il aurait par ailleurs reçu une obligation de quitter le territoire français en 2019, mais celle-ci était inapplicable du fait du contrôle judiciaire dont il fait l’objet depuis les faits survenus à Nantes l’été dernier.
Peu de temps après les faits, les réactions politiques ont commencé à arriver. La première à réagir à cet assassinat a été Marine Le Pen, dénonçant sur Twitter une « gravité sans précédent », et « la faillite complète de l’État », s’en prenant directement à Gérald Darmanin. Après avoir annoncé son déplacement, le ministre de l’Intérieur n’a pas tardé à lui répondre : « Quelle indignité ! Plutôt que de dire sa compassion aux catholiques qui ont accueilli ce meurtrier, Mme Le Pen polémique sans connaître les faits. »
Un projet d’assassinat du président malgache Andry Rajoelina a été déjoué et six personnes arrêtées, dont deux Français, ont annoncé la justice et le gouvernement à Madagascar.
Un projet d’assassinat du président malgache Andry Rajoelina a été déjoué et six personnes arrêtées, dont deux Français, ont annoncé la justice et le gouvernement à Madagascar.
« Plusieurs ressortissants étrangers et malgaches ont été interpellés mardi dans le cadre d’une enquête pour atteinte à la sûreté de l’État », a déclaré mercredi soir la procureure générale Berthine Razafiarivony, devant quelques médias invités.
« Selon les preuves matérielles en notre possession, ces individus ont échafaudé un plan d’élimination et de neutralisation des diverses personnalités malgaches dont le chef de l’État », a affirmé la procureure, sans autre précision ni sur ces preuves, ni sur le plan échafaudé, ni sur les circonstances de ces arrestations.
Le ministre de la Sécurité publique, Fanomezantsoa Rodellys Randrianarison, a précisé jeudi que six personnes avaient été arrêtées dans le cadre de cette affaire, « dont un étranger, deux bi-nationaux et trois Malgaches ». Et que « la police avait des renseignements sur cette affaire depuis plusieurs mois ».
« Des armes et de l’argent ont été saisis » lors de ces interpellations qui ont eu lieu « au même moment, mais dans des endroits différents ». « Il y a aussi des documents officiels qui prouvent leur implication », a-t-il déclaré.
« L’étranger », a-t-il ajouté sans l’identifier, « a caché derrière son activité économique ses projets malsains », a-t-il accusé.
L’opposition a condamné « toute tentative d’assassinat que ce soit contre les dirigeants ou contre quiconque », a réagi Rivo Rakotovao, ancien président par interim du pays, interrogé par l’AFP.
« Il ne faut pas non plus profiter de cette situation pour mettre à mal la démocratie à Madagascar », a-t-il aussitôt mis en garde, alors que le président actuel a la mainmise sur tous les leviers politiques du pays et fait l’objet de critiques concernant notamment la liberté de la presse.
– Mainmise politique –
Sur l’identité des deux Français arrêtés, l’agence malgache Taratra, sous tutelle du ministère de la Communication, fait savoir que Philippe F. et Paul R. seraient d’anciens officiers à la retraite.
Selon leurs profils LinkedIn et le fichier des entreprises à Madagascar, Philippe F. serait aussi gérant d’une entreprise d’investissement et de conseil pour les investisseurs internationaux à Madagascar.
Paul R., un Franco-malgache, a été un conseiller de l’actuel président Andry Rajoelina jusqu’en 2011. Il est présenté comme un conseiller actuel de l’archevêque d’Antananarivo.
Fin juin, la gendarmerie avait déjà annoncé avoir déjoué une tentative d’assassinat du secrétariat d’État chargé de la gendarmerie, le bras droit du président, le général Richard Ravalomanana.
L’un des pays les plus pauvres du monde, Madagascar a connu depuis 20 ans de nombreuses et graves crises politiques. La grande Île est quasi-verrouillée depuis la pandémie de Covid-19, et la famine qui accable l’extrême sud du pays.
En 2009, le président Marc Ravalomanana, lâché par l’armée, avait été contraint de démissionner en transférant les pleins pouvoirs à un directoire militaire, qui les avait remis à Andry Rajoelina. La communauté internationale avait dénoncé un « coup d’Etat ».
Après de nombreux autres épisodes et soubresauts, la justice validait en janvier 2019 la victoire de M. Rajoelina à la présidentielle.
Surnommé « TGV » pour son côté fonceur, ce patron de sociétés publicitaires, jusque-là plus connu comme disc-jockey et organisateur de soirées en vue, était apparu en politique en 2017 quand il avait remporté la mairie d’Antananarivo.
En décembre dernier, M. Rajoelina, 47 ans, a obtenu la mainmise sur l’ensemble des leviers politiques à Madagascar, en remportant une victoire aux élections sénatoriales, boudées par l’opposition.
Par ailleurs, pressions, intimidations et menaces se sont multipliées contre les journalistes dans l’Ile, notamment autour de la pandémie de coronavirus et la famine dans le sud, a dénoncé Reporters sans frontières.
Neuf émissions de télé et de radio avaient notamment été suspendues en avril sous prétexte qu’elles étaient « susceptibles de troubler l’ordre et la sécurité publiques et nuire à l’unité nationale ».
Le président béninois n’est pas longtemps resté indifférent à l’assassinat de son homologue d’Haïti. Ce mardi 13 juillet 2021 sur son compte officiel, Patrice Talon a réagi à l’assassinat de Jovenel Moïse, tué le lundi 5 juillet dernier, à sa résidence par un commando.
Le président béninois n’est pas longtemps resté indifférent à l’assassinat de son homologue d’Haïti. Ce mardi 13 juillet 2021 sur son compte officiel, Patrice Talon a réagi à l’assassinat de Jovenel Moïse, tué le lundi 5 juillet dernier, à sa résidence par un commando.
Il a fermement condamné cet acte, évoquant un crime crapuleux. En attendant d’interpeler les auteurs, Patrice Talon a également lancé un appel aux différents acteurs.
« Le Gouvernement béninois condamne fermement ce crime odieux et invite les Autorités haïtiennes à œuvrer pour la préservation de la paix, de la sécurité et de la stabilité du pays », a-t-il écrit après avoir adressé ses condoléances « .J’ai appris avec consternation, la nouvelle de l’assassinat du Président de la République d’Haïti, Jovenel MOISE, le 05 juillet 2021.
En cette circonstance particulièrement douloureuse, j’adresse au nom du Gouvernement du Bénin, du Peuple Béninois et en mon nom personnel, mes sincères condoléances et l’expression de ma solidarité au Gouvernement et au Peuple haïtiens ».
« Vers une heure du matin, dans la nuit du mardi 6 au mercredi 7 juillet 2021, un groupe d’individus non identifiés, dont certains parlaient en espagnol, ont attaqué la résidence privée du président de la République et ainsi blessé mortellement le chef de l’État », a annoncé le chef du gouvernement dans un communiqué. « Condamnant cet acte odieux, inhumain et barbare », le Premier ministre appelle « la population au calme » et assure que « la situation sécuritaire du pays » est « sous contrôle ».
L’épouse du président a été blessée dans l’attaque et hospitalisée, a précisé Claude Joseph.
Venu du monde des affaires, Jovenel Moïse, 53 ans, avait été élu président en 2016 et avait pris ses fonctions le 7 février 2017. Haïti, pays des Caraïbes et nation la plus pauvre du continent américain, est gangrené par l’insécurité et notamment les enlèvements contre rançon menés par des gangs jouissant d’une quasi impunité. Une situation qui valait à Jovenel Moïse, accusé d’inaction face à la crise, d’être confronté à une vive défiance d’une bonne partie de la société civile.
Dans ce contexte faisant redouter un basculement vers l’anarchie généralisée, le Conseil de sécurité de l’ONU, les États-Unis et l’Europe appelaient à la tenue d’élections législatives et présidentielle libres et transparentes d’ici la fin 2021.
Jovenel Moïse avait annoncé lundi la nomination d’un nouveau Premier ministre, Ariel Henry, avec justement pour mission la tenue d’élections.
Joe Biden a toutefois adopté une approche diplomatique plus souple. Vendredi dernier, les États-Unis, l?Union européenne et le Canada ont déclaré être disposés à « revoir » les sanctions à l?encontre du pays caribéen si des progrès étaient réalisés dans le cadre de négociations entre le gouvernement et l?opposition en vue de la tenue d?élections locales, législatives et présidentielle « crédibles, inclusives et transparentes ».
« Joe Biden a-t-il autorisé le plan visant à m’assassiner ? » s’est interrogé Nicolas Maduro, président du Venezuela, en commentant vendredi 2 juillet les visites du directeur de la CIA, William Burns, et du chef du commandement Sud (Southcom), l?amiral Craig Faller, en Colombie et au Brésil. « Qu’ont-ils fait ? Nos sources en Colombie nous assurent [?] qu?ils sont venus pour préparer un plan visant à attenter à ma vie et à celle d’importants dirigeants politiques et militaires [?] Le président Joe Biden a-t-il autorisé le plan visant à m’assassiner ainsi que d’importants dirigeants politiques et militaires du Venezuela ? Oui ou non ? » a-t-il demandé.
Nicolas Maduro, qui ne présente aucune preuve de ses accusations, dénonce régulièrement des projets de coup d?État, invasion militaire ou assassinat, imputant la responsabilité sur les États-Unis et leurs alliés régionaux comme la Colombie ou le Brésil, qui n?ont pas reconnu sa réélection en 2018.
Pour Joe Biden, le président du Venezuela est Juan Guaido
Comme Donald Trump avant lui, le président Joe Biden considère l?opposant Juan Guaido comme président par intérim du Venezuela et ne reconnaît pas Nicolas Maduro comme président légitime. Depuis trois ans, les États-Unis ont multiplié les pressions diplomatiques et les sanctions économiques pour chasser ce dernier du pouvoir, mais sans succès.
Joe Biden a toutefois adopté une approche diplomatique plus souple. Vendredi dernier, les États-Unis, l?Union européenne et le Canada ont déclaré être disposés à « revoir » les sanctions à l?encontre du pays caribéen si des progrès étaient réalisés dans le cadre de négociations entre le gouvernement et l?opposition en vue de la tenue d?élections locales, législatives et présidentielle « crédibles, inclusives et transparentes ».
Crime crapuleux à Nikki, commune située dans le Nord Bénin. Mama Gô-Bori, âgé d’environ 70 ans a été retrouvé assassiné dans son champ au camp peulh de Gouré-Djadji, dans la localité de Gnel-Sanan, arrondissement de Ouénou.
D’après la radio locale Su Tii Déra de Nikki, le septuagénaire se serait rendu au champ dans la matinée du jeudi 04 février 2021 pour ses activités champêtres mais n’est plus rentré à la maison jusqu’au lendemain.
Sans nouvelle, sa famille s’est alors lancée à sa recherche.
Malheureusement, la famille retrouvera le corps sans vie du septuagénaire dans son champ.
Su Tii Déra de Nikki indique que la victime a été charcutée et gisait dans le sang.
Le corps a été remis à sa famille pour inhumation après le constat du délégué de Gnel-Sanan, du chef d’arrondissement de Ouénou et de la police républicaine. Manassé AGBOSSAGA
L’opposant Ganiou Sogo et candidat à la présidentielle du 11 avril 2021 a été victime d’une attaque par balles dans la nuit du vendredi 05 février 2021. Plusieurs partis et mouvements de l’opposition ont réagi à cette actualité.
A travers un communiqué, Les Démocrates, l’USL, et le Front unie pour la restauration de la démocratie (FRD) ont condamné cet acte et exigé l’ouverture rapide d’une enquête pour identifier les auteurs.
Lire les communiqués du parti Les Démocrates, de l’USL et du FRD !!!
COMMUNIQUE DU PARTI USL : TENTATIVE D’ASSASSINAT DE GANIOU SOGLO
« C’est avec beaucoup de consternation que l’#USL a appris la tentative d’assassinat dont Ganiou Soglo a été victime dans la nuit du 05 février 2021.
Le parti condamne vigoureusement cet acte barbare et invite les autorités compétentes à prendre toutes les dispositions pour identifier et punir les auteurs, co-auteurs et complices à la hauteur de leur forfaiture.
Le parti lui souhaite un prompt rétablissement et un retour rapide sur le champ de la lutte pour la restauration totale de notre démocratie.
L’USL exprime toute sa sollicitude à la famille SOGLO.
Vive USL
Vive la paix
Vive le Bénin »
FRONT POUR LA RESTAURATION DE LA DEMOCRATIE (FRD)
COLLECTIF DE L’OPPOSITION
COMMUNIQUÉ
« Dans la soirée du vendredi 5 février 2021, Monsieur Ganiou Daouda SOGLO, ancien Député à l’Assemblée Nationale du Bénin, ancien Ministre et candidat à l’élection présidentielle de 2021 a été victime d’une tentative d’assassinat.
Face à cet acte d’une gravité innommable qui vient alourdir l’actualité politique déjà délétère et le Climat de peur qui règne dans notre pays depuis plusieurs mois, la Conférence des Présidents du Front pour la Restauration de la Démocratie (FRD) Collectif de l’oppositon, s’est réunie en urgence ce samedi 6 février 2021.
Après analyse de la situation, le Front :
– dénonce cette tentative d’assassinat et condamne avec fermeté ces actes barbares d’une autre époque ;
– exprimé au Ministre Galiou Daouda SOGLO sa compassion et lui formule ses voeux de prompt rétablissement ;
– assure sa famille de son soutien pendant cette épreuve difficile ;
– exige du Gouvernement l’ouverture d’une enquête indépendante et la poursuite des auteurs, co-auteurs et commanditaires de cet acte ignoble qui ternit l’image de notre pays ;
– rappelle au Gouvernement sa responsabilité principale d’assurer la sécurité des personnes et des biens sur l’ensemble du territoire national.
Dans ces circonstances graves, le Front pour la Restauration de la Démocratie (FRD) appelle tous les acteurs politiques à la retenue et exhorte tous nos concitoyens à demeurer vigilants et persévérants dans notre lutte commune pour la restauration de la démocratie ».