Triphallie : un bébé est né avec trois pénis, le premier cas connu dans le monde

Des médecins irakiens rapportent le cas d’un bébé atteint de triphallie : l’enfant est né avec trois pénis. Il s’agit du premier cas de ce type ayant été médicalement décrit et rapporté.

Triphallie : un bébé est né avec trois pénis, c’est le premier cas connu dans le monde

Il s’agit a priori du premier cas qui a été médicalement décrit et rapporté. En Irak, un bébé a été opéré du fait d’une malformation congénitale extrêmement rare : une triphallie. Il s’agit de la présence de trois pénis au lieu d’un seul.

Alors qu’il était âgé de trois mois, l’enfant a été ausculté du fait d’une hydrocèle, une accumulation d’eau dans le scrotum. Mais outre l’hydrocèle, l’examen a mis en évidence la présence de deux pénis surnuméraires, l’un au niveau de la racine du pénis d’origine, et l’autre en dessous du scrotum. Après concertation, l’équipe médicale a entrepris d’opérer l’enfant afin de supprimer l’hydrocèle et d’ôter les pénis “en trop”. L’opération s’est bien déroulée et l’enfant n’a pas connu de complications dans l’année suivant la chirurgie.

Une anomalie urogénitale congénitale extrêmement rare

« Les pénis surnuméraires sont une anomalie urogénitale congénitale extrêmement rare qui a été rapportée pour la première fois en 1609 par Wecker, après quoi environ 100 cas de diphallie ont été rapportés dans la littérature. La duplication du pénis , ou diphallie, affecterait une naissance vivante sur 5 à 6 millions”, ont précisé les auteurs du rapport de cas, lequel a été publié dans l’International Journal of Surgery Case Reports.

L’apparition d’un ou de plusieurs pénis surnuméraire peut-être génétique ou d’origine environnementale, du fait d’une exposition à certains médicaments ou polluants durant la grossesse. Ici, les médecins ignorent encore ce qui a pu causer cette triphallie, la mère de l’enfant n’ayant pas particulièrement été exposée à des substances nocives lorsqu’elle était enceinte, et la famille n’ayant aucun antécédent connu de ce type. 

Source: Santé Magazine

Elle part fêter son anniversaire pendant 6 jours et laisse son bébé mourir de faim

Cette scène surréaliste au eu lieu en Grande Bretagne en décembre 2019. A cette époque, une jeune mère, alors âgée de 18 ans va célébrer son anniversaire pendant près de six jours. La jeune mère laisse son enfant tout seul.

A son retour, la jeune mère d’origine anglaise constate le corps inanimé de sa fille. Elle s’empresse de composer le  numéro d’urgence et fait savoir son enfant « ne respirait plus ».

Alertés, les ambulanciers se rendent sur les lieux sans pourvoir faire grande chose. Transporté à l’hôpital, le bébé sera malheureusement déclaré mort.

L’autopsie avait révélé que la fillette était morte de faim.

Interpelée, la jeune maman est actuellement jugée devant une Cour de Justice en Grande-Bretagne pour la mort de son bébé.

Et comme le rapporte SudInfo,
elle a plaidé coupable d’homicide involontaire à la barre .

Le verdict est attendu le 28 mai prochain.

Manassé AGBOSSAGA

Bénin: Une mère jette son bébé dans un puits…après neuf mois de grossesse et surtout de douleur !

Incroyable, mais vrai ! Après neuf mois de grossesse et surtout de douleurs, une mère jette son propre bébé dans un puits d’environs 50 mètres de profondeur.

Cela se passe à Saklo, quartier situé dans la commune de  Bohicon, département du Zou. Le vendredi 12 mars dernier, cette mère, âgée de 21 ans a jeté son bébé de 11 mois dans un puits.

Le corps sans vie du bébé a ensuite été retiré du puits par les sapeurs pompiers et déposé à la morgue, confie Frissons Radio, qui rapporte le drame.

Qu’est-ce qui a bien pu pousser la jeune maman à agir de la sorte ? Difficile de le dire pour le moment.

En garde-à-vue, elle aura sans doute le temps de situer les uns et les autres sur les raisons de son acte.

Manassé AGBOSSAGA

Il n’y a jamais eu autant de naissances de jumeaux dans le monde

Ce pic des naissances de jumeaux dans le monde s’explique par l’extension de la PMA et l’âge plus tardif des grossesses, selon une étude publiée par des chercheurs vendredi.

Depuis les années 1980, le taux mondial d’accouchements de jumeaux a augmenté d’un tiers. (Photo d'illustration)

Boom sans précédent de jumeaux dans le monde« Plus de 1,6 million de paires de jumeaux naissent chaque année dans le monde », soit « près d’un bébé sur 40 », selon leur étude parue dans la revue spécialisée Human Reproduction, ce vendredi.

Depuis les années 1980, le taux mondial d’accouchements de jumeaux a augmenté d’un tiers, passant de 9,1 à 12,0 pour 1.000 accouchements, en seulement trois décennies, indique Gilles Pison, professeur au Museum national d’histoire naturelle et chercheur associé à l’Institut national d’études démographiques (Ined).

Ce boom des jumeaux est préoccupant car ils sont plus souvent de petit poids, prématurés, avec plus de complications lors de l’accouchement et une mortalité plus élevée que les autres, sans oublier les difficultés pour les parents de s’occuper de deux bébés en même temps.

Plus de « faux jumeaux »

L’augmentation de la fréquence mondiale des jumeaux est due uniquement à la hausse sans précédent des grossesses de ce qu’on appelle les « faux jumeaux » (provenant de deux ovules différents), qui varie d’un continent et d’une période à l’autre.

Les vrais jumeaux, dits monozygotes, naissent partout dans les mêmes proportions, avec « un taux constant – de quatre accouchements de vrais jumeaux pour mille accouchements – ne variant pas avec l’âge de la femme, ni d’une région à l’autre », relève le Pr Pison.

La procréation médicalement assistée (PMA), qui a commencé dans les pays riches dans les années 1970, a contribué à cette augmentation des naissances multiples, de même que les grossesses plus tardives.

Le taux sanguin d’une hormone qui intervient sur la maturation de l’ovule et l’ovulation, la FSH, augmente avec l’âge et explique que la probabilité d’une grossesse gémellaire augmente jusqu’à atteindre un maximum à 37 ans. Au-delà, avant l’arrivée de la PMA, le taux de faux jumeaux diminue rapidement en raison de défaillance de la fonction ovarienne et d’un accroissement de la mortalité embryonnaire, explique le chercheur.

L’Afrique rattrapée par l’Europe et l’Amérique

Les progrès techniques de la PMA permettent depuis plusieurs années d’avoir une grossesse avec autant de succès en n’implantant qu’un seul embryon et en congelant ceux en surnombre. Une précaution qui fait que « nous avons peut-être atteint un sommet en matière de taux de gémellité, en particulier dans les pays riches où la PMA s’est le plus diffusée jusqu’ici », notent les auteurs.

Les rédacteurs de l’étude, Gilles Pison, Christiaan Monden de l’Université d’Oxford et Jeroen Smits de l’Université Radboud aux Pays-Bas, ont exploité toutes les données disponibles pour estimer le taux de gémellité dans les différents pays du monde et décrire les changements survenus en trois décennies, en comparant les périodes 1980-1985 et 2010-2015.

Sur les 3,2 millions de jumeaux naissant chaque année, 1,3 million voit le jour en Afrique (soit 650 000 paires) et autant en Asie. Le reste, environ 600 000 enfants, sur les autres continents.

Si l’Asie abrite autant de naissances de jumeaux, c’est d’abord parce qu’elle rassemble 60 % de l’humanité. Le grand nombre de jumeaux en Afrique (17 % des humains) s’explique notamment par un taux de natalité bien supérieur qu’ailleurs, qui se situe entre le double et le triple de celui des autres continents ainsi que par un taux de gémellité au départ le plus élevé du monde.

Le taux de gémellité en Europe et en Amérique du Nord, il y a 30 ans était près de moitié moindre qu’en Afrique, mais il a beaucoup augmenté depuis (atteignant respectivement 14,4 et 16,9 accouchements de jumeaux sur mille) et a presque rejoint celui de l’Afrique, qui lui, n’a pas pratiquement pas changé (17,1). La diffusion de la PMA et les maternités à un âge plus avancé ont donc entraîné « un mouvement de convergence » vers le taux élevé de l’Afrique.

Ouest France avec AFP

Bénin : Un bébé retrouvé au fond d’une fosse septique dans une école

Triste découverte ce lundi 08 février 2021 dans une école publique  située dans la commune de Sinendé, dans le nord Bénin. Un bébé a été  retrouvé au fond d’une fosse septique  à l’ Ppp de Niarougando.

Selon Frissons Radio, c’est un écolier de l’école qui a fait la terrible découverte. Il a aussitôt a alerté son directeur.

A son tour, le directeur de l’école a informé le bureau des parents d’élèves et la police républicaine.

Ce qui a facilité la descente des policiers et sapeurs pompiers pour retirer le corps sans vie du bébé de la fosse septique.

La Police est désormais aux trousses de la mère.

Manassé AGBOSSAGA

Bénin : Cruauté ! Une fillette de 2 ans trois mois enterrée vivante dans un bâtiment inachevé

Terrible découverte à Nikki, dans le Nord Bénin !  Une fillette âgée de 2 ans, 3mois a été retrouvée enterrer vivante dans un bâtiment inachevé dans la journée de ce samedi 08 janvier 2021 au quartier Gah-Maro. C’est la Radio Su TII Dera qui rapporte ce drame.

Selon la source, des enfants qui s’amusaient sur les lieux où la petite Assanath, comme elle se prénomme, a été enterrée vivante,  ont curieusement fait la découverte.

Ils ont rapidement lancé l’alerte. 

Une fillette de 2 ans trois mois enterrée vivante dans un bâtiment inachevé

 Ce geste a permis de sauver  la fillette. Toutefois,  des traces de blessures allant du front au bas-ventre en passant par l’abdomen sont visibles sur son  corps. Sa bouche est également remplie de sable.

Elle a rapidement  été conduite à l’hôpital pour une prise en charge médicale.

Les recherches sont désormais lancées pour démasquer l’auteur ou les auteurs de cet acte criminel.

Manassé AGBOSSAGA