Football : L’identité du nouveau sélectionneur de l’équipe nationale de la Belgique est connue !

C’était dans l’air depuis quelques jours, c’est désormais officiel ! Domenico Tedesco est le nouveau sélectionneur de l’équipe A de la Belgique. La fédération belge a enfin confirmé la nomination de l’ancien entraîneur du club allemand de Leipzig, âgé de 37 ans, sur le banc de touche des Diables Rouges.

C’était dans l’air depuis quelques jours, c’est désormais officiel ! Domenico Tedesco est le nouveau sélectionneur de l’équipe A de la Belgique. La fédération belge a enfin confirmé la nomination de l’ancien entraîneur du club allemand de Leipzig, âgé de 37 ans, sur le banc de touche des Diables Rouges.

« Après avoir trouvé un accord mardi soir avec Leipzig concernant les 5 derniers mois de salaire que lui devait son ancien employeur, le technicien italo-allemand (37 ans) s’est envolé ce mercredi matin vers la Belgique pour s’engager avec l’Union belge. Il a paraphé un bail qui le liera jusqu’au terme du prochain Euro, en juin 2024 », précise Le Soir.

Domenico Tedesco remplace Roberto Martinez, qui a atterri sur le banc de touche du Portugal, après sa démission le 1er décembre dernier au sortir de l’élimination des Diables Rouges dès la phase de poules de la Coupe du monde.

Manassé AGBOSSAGA

Belgique: un enfant de 11 ans obtient une licence de physique, trois ans après avoir eu le bac

Laurent Simons, à peine 11 ans, est déjà diplômé de l’université. Le jeune garçon belge est parvenu à décrocher l’équivalent d’une licence de physique tout en suivant des cours de masters. Il avait obtenu l’équivalent du bac en 2018, à l’âge de 8 ans.

Laurent Simons, à peine 11 ans, est déjà diplômé de l’université. Le jeune garçon belge est parvenu à décrocher l’équivalent d’une licence de physique tout en suivant des cours de masters. Il avait obtenu l’équivalent du bac en 2018, à l’âge de 8 ans.

Des lycéens en train de regarder leurs résultats du bac.
© RICHARD BOUHET / AFP Des lycéens en train de regarder leurs résultats du bac.

Ce 6 juillet 2021, 715 000 candidats Français ont découvert les résultats du bac. En dehors des frontières de la France, des milliers d’élèves ont également appris ces derniers jours s’ils avaient obtenu leurs examens.

Et un candidat s’est particulièrement illustré par son jeune âge. Il s’agit de Laurent Simons, un jeune garçon originaire d’Ostende, au nord ouest de la Belgique âgé de seulement… 11 ans !

Comme le rapportent plusieurs médias belges, ce jeune diplômé est parvenu à décrocher un « baccalauréat en physique », soit l’équivalent d’une licence, à l’université d’Anvers, tout en suivant des cours de master.

En France, le plus jeune candidat au bac avait 11 ans

Si cette précocité peut paraître étonnante, le succès de Laurent Simons n’a surpris personne en Belgique. En 2018, celui qui est considéré comme un enfant surdoué (avec un QI de 145) était déjà parvenu à avoir le bac à tout juste 8 ans. Entre-temps, il a commencé une licence aux Pays-Bas puis a terminé ses études à Anvers en Belgique, où il a donc décroché son diplôme avec la plus haute distinction possible.

Né d’un père belge et d’une mère néerlandaise, Laurent Simons, qui rêve de mettre au point des organes artificiels pouvant rallonger la vie, avait quatre ans lorsqu’il est entré à l’école primaire. Cinq ans plus tard, il était déjà à l’université ! Un cas extrêmement rare pour un enfant à haut potentiel.

En France, alors qu’il n’y a pas d’âge minimum pour passer le bac, le record du plus jeune candidat est détenu par un jeune homme de l’académie de Versailles : il avait 11 ans, sept mois et une vingtaine de jours au moment de passer l’examen en 2019.

Ouest France

Belgique: une femme égorgée en pleine rue alors qu’elle promenait son bébé

Alors qu’elle se promenait à Evere près de Bruxelles, une mère de 3 enfants a été égorgée en pleine rue. Le suspect a été interpellé, mais il ne permet pas de mettre les choses au clair. Retour sur ce drame.

Alors qu’elle se promenait à Evere près de Bruxelles, une mère de 3 enfants a été égorgée en pleine rue. Le suspect a été interpellé, mais il ne permet pas de mettre les choses au clair. Retour sur ce drame.

Drame sanglant à Bruxelles

Dimanche soir, Mounia, 36 ans, profite de la fin de journée ensoleillée pour se promener avec son bébé de 2 mois à Evere près de Bruxelles. Elle se rend dans un petit parc où elle est suivie par un homme. Ce dernier l’égorge en pleine rue sans blesser le bébé et prend la fuite. Malgré la mise en place d’un important dispositif policier et son arrestation, l’agresseur ne révèle pas ses motivations et l’origine de ce drame demeure pour le moment sans réponse.

À Bruxelles, une mère de famille égorgée
Belgique: une femme égorgée en pleine rue alors qu’elle promenait son bébé

Andy K. est âgé de 21 ans et est connu des forces de l’ordre pour pas moins de 25 délits, révèle 7sur7. L’homme n’a aucun lien avec la mère de famille et souffrirait de troubles mentaux. Toutefois, la police n’est pas certaine de son implication dans ce meurtre, puisque l’arme du crime n’a toujours pas été retrouvée.

Le parquet de Bruxelles réagit

Selon Sara, une proche de la famille de Mounia, « Ce meurtre est un exemple de violence gratuite ». Sous le choc, la belle-soeur de la victime apporte des précisions : « Elle ne connaissait pas l’auteur du crime. Il ne s’agissait pas non plus – comme certains l’ont dit – de son ex-mari, sachant qu’elle n’a jamais eu qu’un mari, le papa de ses trois enfants. On ne pense pas non plus qu’elle a été attaquée parce qu’elle portait le voile ».

L’entourage de Mounia se demande pourquoi quelqu’un s’en est pris à elle. Elle n’avait aucun ennemi et passait ses journées à s’occuper de ses 3 enfants âgés de 11, 9 ans et 2 mois. Le suspect sera auditionné par le juge d’instruction dans un délai de 48 heures, indique le parquet de Bruxelles.

letribunaldunet.fr

Suicide tragique d’une adolescente, après la diffusion de la vidéo de son viol

C’est un terrible drame qui s’est déroulé en Belgique. A Gand, une jeune fille de 14 ans a été retrouvée décédée après avoir choisi de se donner la mort. Ce qui aurait provoqué ce geste tragique, c’est la vidéo du viol qu’elle avait subi quelques jours auparavant par cinq individus. Ces derniers ont en effet publié la vidéo sur les réseaux sociaux. L’humiliation de trop pour l’enfant, qui n’aura donc vu que le suicide comme moyen d’échapper à ses blessures…

C’est un terrible drame qui s’est déroulé en Belgique. A Gand, une jeune fille de 14 ans a été retrouvée décédée après avoir choisi de se donner la mort. Ce qui aurait provoqué ce geste tragique, c’est la vidéo du viol qu’elle avait subi quelques jours auparavant par cinq individus. Ces derniers ont en effet publié la vidéo sur les réseaux sociaux. L’humiliation de trop pour l’enfant, qui n’aura donc vu que le suicide comme moyen d’échapper à ses blessures…

Elle se suicide à 14 ans après un viol

La ville de Gand et la Belgique elle-même sont ravagées par la tristesse. Il y a quelques jours, la nouvelle du viol en réunion de cette jeune fille de 14 ans dans le cimetière de la ville avait déjà fait beaucoup de mal. Alors quand l’annonce du suicide de la victime a été faite, beaucoup ont été choqués. « C’est atroce. Il n’y a pas de mots pour cela » , clamait sur Twitter Vincent Van Quickenborne, le ministre de la justice belge.

Le suicide de la jeune fille a forcément été provoqué par la mise en ligne sur les réseaux sociaux de la vidéo de son viol, filmé par les cinq délinquants. Ces derniers sont aujourd’hui tous derrière les barreaux en attendant d’être jugés et condamnés.

Les parents sont meurtris

« Ces images ont été la goutte d’eau qui a fait déborder le vase, tout son monde s’est effondré » , confie tristement son père, très meurtri par la perte de son enfant dans de telles circonstances.

La jeune fille aurait en réalité été prise dans un probable guet-apens, puisqu’elle s’attendait à rejoindre un seul et unique ami. Il n’y a plus qu’à espérer que justice sera faite pour elle…

Source : Le Dauphiné

Covid 19: Le premier Belge à avoir reçu le vaccin Pfizer est décédé

Jos Herman est décédé dans la nuit du 7 au 8 mai. Son nom ne vous dit peut-être rien, mais il s’agit du premier Belge à avoir reçu une dose du vaccin Pfizer dans le pays. Érigé comme un symbole, sa disparition touche le pays, rassuré que sa mort ne soit pas liée à l’épidémie de Coronavirus.

Jos Herman est décédé dans la nuit du 7 au 8 mai. Son nom ne vous dit peut-être rien, mais il s’agit du premier Belge à avoir reçu une dose du vaccin Pfizer dans le pays. Érigé comme un symbole, sa disparition touche le pays, rassuré que sa mort ne soit pas liée à l’épidémie de Coronavirus.

belge vaccin

Le premier Belge à avoir reçu le vaccin Pfizer

Vacciné devant les caméras, Jos Herman était le tout premier Belge à recevoir une dose du vaccin Pfizer le 28 décembre dernier avant 11 heures (tout comme Mauricette en France). Directement après l’inoculation du vaccin, il a déclaré : « Je me sens 30 ans plus jeune », relate Sud Info. Il avait reçu la seconde dose en janvier.

Désormais connu en Belgique, le Flamand était le plus âgé de son centre d’hébergement situé à Puurs où il vivait depuis plus de 6 ans. Le lieu de cette première vaccination n’a pas été choisi par hasard : il s’agit de la ville où se trouve l’usine Pfizer. Tout un symbole.

Le vaccin Pfizer n’est pas à l’origine de sa disparition

Âgé de 96 ans, l’homme n’est pas décédé des suites du Covid, précise la chaîne VTM Nieuws. Le média poursuit : « Il n’a jamais eu le coronavirus et a toujours suivi les mesures très strictement. Il était très motivé pour se faire vacciner ».

En réalité, à cause de son grand âge, Jos Herman avait des problèmes de santé depuis quelque temps. Suite à une hospitalisation, il a pu retourner se reposer et finir sa vie dans le centre de soins. Le bourgmestre de la commune flamande, Koen Van Den Heuvel rassure la population : « Il n’y a pas d’épidémie de virus dans le centre de soins résidentiels », relate DH Net. Une chose est sûre, le vaccin Pfizer n’est pas à l’origine de sa mort.

Letribunaldunet.fr

Belgique: des dizaines d’institutions victimes d’une vaste cyberattaque

Une attaque par déni de service a visé des plateformes officielles belges, bloquant une partie des outils numériques du pays. Des auditions parlementaires sur le sort des Ouïghours en Chine ont dû être annulées.

Les services publics en ligne belges sont nombreux à être inaccessibles ce 4 mai depuis midi en raison d’une très large cyberattaque “par déni de service”, rapporte le quotidien La Libre. Une stratégie mise en place par des hackers visant à inonder des serveurs de connexions pour les saturer et les mettre hors-service. La cible est plus précisément le réseau Belnet, utilisé par le Parlement fédéral, mais également par des universités et diverses administrations du pays.“Nos services travaillent d’arrache-pied. […] Ce n’est pas évident, car il s’agit d’un piratage à très grande envergure visant l’ensemble du réseau Belnet. Avec une attaque DDoS, un tiers envoie une gigantesque quantité de données sur des serveurs jusqu’à ce qu’ils soient surchargés” explique Davina Luyten, porte-parole de Belnet.

Auditions sur les Ouïghours annulées

Parmi les quelque 200 institutions concernées, le Parlement figure parmi les plus pénalisées. Comme le rappelle La Libre, des auditions au sujet de la situation des Ouïghours en Chine devaient être organisées en visioconférence à partir de 14 heures par la commission des Relations extérieures. Elles ont toutes dû être annulées.

L’une des intervenantes, Vanessa Frangville, chercheuse spécialiste de la Chine et enseignante à l’université libre de Bruxelles (ULB), a sous-entendu une responsabilité de la Chine dans cette attaque coordonnée dans un message publié sur Twitter.“Aujourd’hui, j’étais invitée à discuter les projets de résolutions de quatre groupes parlementaires belges sur le génocide en région ouïghoure. La rencontre au Parlement a été annulée suite à une cyberattaque massive lancée à peine une heure avant la réunion. Drôle de hasard” avance-t-elle.

Comme le rappelle le quotidien belge Le Soir, le Parlement belge avait notamment mis en place cette commission dans l’éventualité de la reconnaissance du “crime de génocide perpétré par le gouvernement de la République populaire de Chine contre les Ouïghours”. Une reflexion également entamée par le gouvernement français.

A cette heure, les responsables de Belnet n’ont toutefois avancé aucune indication concernant les initiateurs de cette attaque.

BFM TV

Tshisekedi refuse d’aller à l’école de Biya, Déby, Condé, Ouattara, … : «Je n’entends pas m’éterniser au pouvoir»

Elu en 2019, l’actuel président de la République démocratique du Congo (RDC) repousse toute idée de président à vie.

Elu en 2019, l’actuel président de la République démocratique du Congo (RDC) repousse toute idée de président à vie.

A l’occasion d’un échange avec la presse lors de sa visite de travail en Belgique, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo  a rassuré de son bref passage à la tête du pays.

« Je peux vous dire que je n’entends pas m’éterniser au pouvoir (…) », rassure le président de la RDC d’après un des journalistes présents à cette rencontre, et rapporté par le site 7SUR7.CD.

Puis d’avancer : « Il est humainement épuisant d’accomplir deux mandats à la tête de l’État ».

S’il n’a pas cité de nom, il est toutefois clair que Félix Tshisekedi refuse d’aller à l’école de Paul Biya du Cameroun, Idriss Déby du Tchad, Dénis Sassou N’Guesso du Congo Brazaville, Alpha Condé de la Guinée Conakry, Alassane Ouattara, … au pouvoir depuis plusieurs années et dont le départ n’est visiblement  pas pour demain.

Manassé AGBOSSAGA