Notice: Function _load_textdomain_just_in_time was called incorrectly. Translation loading for the updraftplus domain was triggered too early. This is usually an indicator for some code in the plugin or theme running too early. Translations should be loaded at the init action or later. Please see Debugging in WordPress for more information. (This message was added in version 6.7.0.) in /var/www/clients/client4/web4/web/wp-includes/functions.php on line 6085 Charles Toko – Kpakpato Medias
Abdoulaye Bio Tchané et Samou Séidou Adambi n’iront pas au Parlement. Le ministre d’Etat, chargé du plan et de la coordination gouvernementale et son collègue de l’Eau et des mines, ne siègeront pas pour le compte de la 9è législature, après leurs élections aux législatives du 08 janvier dernier.
Abdoulaye Bio Tchané et Samou Séidou Adambi n’iront pas au Parlement. Le ministre d’Etat, chargé du plan et de la coordination gouvernementale et son collègue de l’Eau et des mines, ne siègeront pas pour le compte de la 9è législature, après leurs élections aux législatives du 08 janvier dernier.
A 48 heures de l’installation de la nouvelle législature, les deux élus du Bloc Républicain ont déposé leur démission au secrétariat administratif de l’institution parlementaire.
Elu dans la 14è circonscription électorale, Abdoulaye Bio Tchané cède son siège à son suppléant Assan Seibou, tandis que Samou Seidou Adambi, élu dans la 8è circonscription électorale, laisse sa place à Charles Toko.
La Commission électorale nationale autonome (Céna) a proclamé le jeudi dernier les résultats des communales et municipales du 17 mai dernier. Kpakpatomedias.com se penche dans cet article sur cinq ministres et députés qui ont été pris en flagrant délit de manque de popularité dans leurs fiefs.
La Commission électorale nationale autonome (Céna) a proclamé le jeudi dernier les résultats des communales et municipales du 17 mai dernier. Kpakpatomedias.com se penche dans cet article sur cinq ministres et députés qui ont été pris en flagrant délit de manque de popularité dans leurs fiefs.
Adambi-Gbadamassi
La grosse déculottée est venue de Parakou où ministre et député ont mordu la poussière.
Dans la citée des Kobourous, l’association Samou Adambi, ministre de l’Eau et Rachidi Gbadamassi, député à l’Assemblée a été emportée par le volcan FcBe.
Lâché par son leader Boni Yayi, le parti FcBe a toutefois réussi à remporter 17 sièges, soit la majorité absolue.
Sous les yeux de Samou Adambi et Rachidi Gbadamassi, le Bloc républicain ne sera pas le locataire de la mairie de Parakou.
Adambi et Gbadamassi n’ont donc pas été utiles au maire sortant Charles Toko.
Robert Gbian, un général sans troupe chez lui
Robert Gbian est un général sans troupe. A Bembérèkè, le Général a perdu la bataille.
En sa présence, le parti FcBe a remporté la majorité absolue avec 14 sièges.
Pire encore, le Bloc républicain formation politique à laquelle appartient le Général Robert Gbian occupe la troisième place avec 9 sièges contre 12 pour l’Union progressiste.
André Okounlola a reçu une fessée à Savè
L’autre député du Bloc républicain qui a été en difficulté lors des communales, est l’honorable André Okounlola. Sous ses yeux, le parti FcBe s’est royalement imposé à Savè avec ses 10 sièges obtenus.
Okounlola pourra toutefois mettre en avant les 6 sièges obtenus.
Edmond Agoua, beaucoup de bruits pour rien
A Glazoué, Edmonnd Agoua est, également, sorti fragilisé. Malgré le show médiatique fait sur sa personne comme s’il était candidat, son parti l’Union progressiste s’est lourdement incliné.
Les bruits médiatiques n’ont pas empêché la victoire du Br, qui prend le contrôle de la mairie de Glazoué.
Surnommé le ‘‘Kamikaze’’ par ses anciens confrères journalistes, l’actuel maire de Parakou a justifié qu’il ne portait pas ce surnom par hasard. A l’occasion du lancement de l’ouvrage « Notre combat pour la presse : il était une fois Le Matinal » tenu ce samedi 16 décembre 2017 à l’hôtel Azalaï de la plage de Cotonou, Charles Toko a usé de tout son art pour contraindre les personnalités, mais aussi et surtout les journalistes assurant la couverture médiatique de l’évènement à participer à la vente à l’américaine, que dis-je « à la vente à la Coréenne du Nord’’…
Surnommé le ‘‘Kamikaze’’ par ses anciens confrères journalistes, l’actuel maire de Parakou a justifié qu’il ne portait pas ce surnom par hasard. A l’occasion du lancement de l’ouvrage « Notre combat pour la presse : il était une fois Le Matinal » tenu ce samedi 16 décembre 2017 à l’hôtel Azalaï de la plage de Cotonou, Charles Toko a usé de tout son art pour contraindre les personnalités, mais aussi et surtout les journalistes assurant la couverture médiatique de l’évènement à participer à la vente à l’américaine, que dis-je « à la vente à la Coréenne du Nord’’.
En effet, après avoir acheté le livre à 1 million de Fcfa, et observant que la vente se faisait timidement, Charles Toko s’est levé et a arraché le micro à la personne qui assurait l’impresario.
Et là, l’actuel maire de Parakou a retrouvé tout son talent de ‘‘journaliste coupeur’’. Avec humour et intimidation, il passait de chaise en chaise. Que vous soyez anciens du Matinal, collaborateurs du Matinal, stagiaires, journalistes rédacteurs, journalistes photographes, cadreurs assurant la couverture médiatique, Charles Toko ne faisait pas de distinction. A votre chaise, il vous obligeait à mettre la main à la poche.
« Donne…Donnez, même si c’est symbolique…que personne ne sorte…Tu as trois portables, et tu vas dire… », étaient, entre autres, les gris-gris qui sortaient de sa bouche.
Mais s’inspirant de la « ruse » de Djognénou, des journalistes ont promis envoyer leurs contributions par ‘‘Mobile money’’ ou ‘‘Flooz’’. Là encore, Charles Toko trouvait quelque chose à dire. A la proposition d’envoyer par Mobile Money ou Flooz, l’homme qui s’est découvert des qualités d’impresario à la phase de la vente, demandait à prendre le nom de ces derniers.
Loin de ce jeu de « malin, malin et demi », la « vente à la Coréenne du Nord », comme dans ce pays où la dictature reste la règle d’or, aura permis d’arrondir le paquet, même si cela n’a pas été dévoilé.
Peut-être à cause de Charles Toko, lui qui après son coup, déclarait avec humour, « j’ai 10% à prendre sur les entrées ».