Pour répondre aux « attitudes apatrides » de l’Opposition: Le CJSP sort de son laboratoire le concept « la Résistance Patriotique et Populaire »

Mouvement acquis à la cause du président Patrice Talon, le Collectif des jeunes engagés pour un sursaut patriotique (CJSP) a rompu le silence ce vendredi 08 décembre, soit plus de six mois après sa dernière sortie médiatique. Un long moment de silence mis à profit par Moustapha Bashola et les siens pour sortir de leur laboratoire un concept politique pour corriger les « attitudes apatrides » de l’opposition…

Le Collectif des jeunes engagés pour un sursaut patriotique  (CJSP) lance un concept politique. Aux côtés d’autres membres du CJSP ce vendredi 08 décembre 2019 à l’Infosec de Cotonou, le président Moustapha Bashola a annoncé   le lancement du concept la « Résistance Patriotique et Populaire » dénommé « Le Patriotisme, notre seule arme au combat » pour répondre aux « attitudes apatrides » de l’opposition.

Manassé AGBOSSAGA

Mouvement acquis à la cause du président Patrice Talon, le Collectif des jeunes engagés  pour un sursaut patriotique (CJSP) a rompu le silence ce vendredi 08 décembre, soit plus de six mois après sa dernière sortie médiatique. Un long moment de silence mis à profit par Moustapha Bashola et les siens pour sortir de leur laboratoire un concept politique pour corriger les « attitudes apatrides » de l’opposition.

Moustapha Bashola aux côtés d’autres membres du CJSP lors du point de presse

En effet, s’appuyant sur les dernières actualités, notamment celles liées aux affaires 3 tonnes de cocaïne  en provenance de l’Uruguay et fermeture de la frontière du Nigéria, le président du CJSP a annoncé le lancement du concept « la Résistance Patriotique et populaire ».

Selon ses propos, ce concept dénommé « le Patriotisme, notre seule arme au combat » a pour but de susciter au sein des populations l’amour de la patrie comme la seule arme ‘pour combattre la traitrise des opposants qui de l’extérieur  agissent pour instaurer et maintenir l’instabilité dans leur propre pays ».

« Le CJSP voudrait à travers cette opération lancer un appel vibrant et patriotique à l’endroit des béninois,  surtout à l’endroit de la couche juvénile pour l’amour  de leur pays et pour ne point céder aux manipulations et aux chantages de ceux là qui n’ont l’amour du pays que leurs propres intérêts comme ils le démontrent chaque jour depuis déjà quelques années », a lancé le président du CJSP.

Dans cette lancée, Moustapha Bashola dévoile l’agenda du CJSP pour donner corps à ce concept. « Le CJSP compte mener dans les tout prochains jours une vaste campagne de sensibilisation sur le patriotisme, les devoirs de citoyenneté à l’endroit des groupes cibles », indique t-il.

Groupes cibles concernés, apprêtez donc vos stylos et cahiers !   

Politique: Moustapha Bashola et le CJSP condamnent les propos tenus par Guy Mitokpè à l’Hémicycle

Les membres de la Coalition des jeunes engagés pour un sursaut patriotique (CJSP) n’approuvent pas les déclarations tenues par l’Honorable Guy Dossou Mitokpè, à l’Hémicycle le jeudi 28 mars dernier. Pour Moustapha Bashola, Argos Adihounda, Fulbert Vodounon, Josaphat Ahokandji, Rigobert Gonçalves, Luc Mandela et consorts, les propos du secrétaire général du parti Restaurer l’espoir menacent la paix et la cohésion sociale…

Les membres de la Coalition des jeunes engagés pour un sursaut patriotique (CJSP) n’approuvent pas les déclarations tenues par l’Honorable Guy Dossou Mitokpè, à l’Hémicycle le jeudi 28 mars dernier. Pour Moustapha Bashola, Argos Adihounda,   Fulbert Vodounon, Josaphat Ahokandji, Rigobert Gonçalves, Luc Mandela et consorts,  les propos du secrétaire général du parti Restaurer l’espoir menacent la paix et la cohésion sociale. Lire l’intégralité de leur déclaration lue par le président du CJSP, Moustapha Bashola, ce vendredi 29 mars 2019 au Chant d’oiseau de Cotonou.

COLLECTIF DES JEUNES ENGAGÉS POUR UN SURSAUT PATRIOTIQUE

POINT DE PRESSE

Mesdames et Messieurs de la presse

Chers confrères et honorables invités, merci à vous de répondre une fois encore favorablement à notre invitation.

Qu’il vous souvienne, il y a exactement une semaine que le collectif des Jeunes Engagés pour un Sursaut Patriotique que j’ai l’insigne honneur de chapeauter vous a convié en ces mêmes lieux de l’INFOSEC pour se prononcer et fustiger les attitudes belligerantes de l’opposition béninoise et très peu favorables à une sortie de crise dans le cadre du consensus souhaité par le chef de l’État, le président de la République son excellence Patrice TALON pour une élection législative inclusive.

Aujourd’hui encore et plus que jamais lorsque la stabilité et la paix sociale sont menacées et que la cohésion et la solidarité nationale en arrivent à prendre un coup, le CJSP s’invitera toutes les fois dans le débat pour dire en toute liberté et en toute indépendance et donner son point de vue sur tout sujet qui affecte directement la nation.

C’est à cet exercice que nous voudrions bien nous employer une fois encore cet après midi lorsque nous vous avons fait appel.
Il y a une semaine nous disions ici même que l’opposition n’étant point prête et capable d’aller aux élections législatives du 28 Avril prochain veut juste prétexter d’une crise politique qui n’existe pas pour inciter à la violence et à des troubles sociaux pour assouvir son vilain dessein d’appeler à un soulèvement populaire contre le régime de la rupture et pour déstabiliser la gouvernance élogieuse du président Patrice Talon.

Les derniers développements à l’Assemblée Nationale ponctués de propos belliqueux incitant à la violence et à la rébellion ou à une mutinerie tenus hier jeudi à l’hémicycle par l’honorable Guy MITOKPE nous renforcent au sein du CJSP dans cette cette évidence qui est notre appréhension de la situation politique qui prévaut actuellement dans le pays telle que l’opposition le confirme chaque jour un peu plus.

« Nous sortirons, nous allons envahir la CENA, nous allons envahir le centre de traitement, nous allons envahir les 77 communes du pays au nom de l’article 66 de la constitution pour défendre la démocratie
Que 62 députés prennent en otage tout un peuple, on n’acceptera jamais »
, c’est malheureusement en ces termes que l’He Guy MITOKPE s »exprimait hier au parlement à l’occasion d’une plénière initiée par le président Adrien HOUNGBEDJI dans le cadre de sortie de crise.
Avant lui, son mentor a annoncé les couleurs la veille seulement à l’occasion d’une conférence de presse organisée par le parti Restaurer l’Espoir au Bénin Marina Hôtel lui aussi évoquant l’article 66 de notre loi fondamentale comme caution à tous les actes de vandalisme et de mutinerie qu’il projette entreprendre pour empêcher le processus électoral inébranlable.

Au président Candide AZANNAI à qui nous vouons encore au sein du CJSP tout le respect dû à une personnalité politique de son rang qui a fait un combat politique juste et exemplaire mené au prix de grands perils aux côtés d’autres acteurs politiques tout aussi vaillants et téméraires que lui dans un passé récent à l’avènement du régime de la Rupture, nous voudrions lancer un appel patriotique de paix et d’amour pour la patrie pour lui dire qu’on ne médit point du miel après s’en être servi.
Nous estimons au sein du CJSP que le combat politique du président AZANNAI a tout son sens auprès
du Président Patrice TALON pour qui , le peuple s’en souvient encore, il avait pris suffisamment de risque comme beaucoup d’autres car une sagesse populaire béninoise nous enseigne qu’on ne se rebelle pas contre le fétiche qu’on a soi même érigé, on finit toujours par s’en repentir.

Quant aux propos désobligeants incitant à la violence tenus hier à l’hémicycle par l’He Guy MITOKPE, au CJSP nous estimons que la solution à la situation politique actuelle que nous n’osons pas encore appeler au sein du CJSP comme étant une crise ne se trouve pas dans la rue.
La solution à la situation ne se trouve pas non plus dans les 77 communes ni à la CENA ni au centre de traitement qu’il projette envahir.
La solution à l’infortune se trouve bien entendu à l’Assemblée Nationale et nous invitons les députés de la minorité à à la retenue à l’humilité et à la sagesse de celui qui demande au lieu de lieu de continuer à jouer au plus malin et à la grandiloquence pour que la plénière qui se poursuit aujourd’hui et qui est encore en cours actuellement à l’Assemblée Nationale puisse nous permettre de trouver un consensus pour des élections inclusives tel étant le vœu très cher au chef de l’État, le président de la République son excellence Patrice Talon .

C’est pourquoi nous condamnons avec la dernière rigueur au CJSP les propos va t-en guerre et belliqueux de l’He Guy MITOKPE qui ne garantissent pas la paix et la cohésion sociale et nous appelons le peuple souverain à ne point céder aux manipulations de ces gens là car les béninois n’ont pas besoin de la violence avant de régler leurs problèmes comme nous l’ont enseigné nos ancêtres qui parvenaient toujours à regler leurs différend quelles que soient leur grandeur et leur taille.

Nous l’avions dit ici il y a quelques jours qu’il n’y a pas encore péril en la demeure et nous sommes confiant que le génie beninois tel qu’il avait en 1990 triomphé de la passion triomphera une fois encore de la force du mal afin que tout se passe dans la quiétude et dans la tranquillité.
Nous voudrions à cet effet dire à l’honorable Guy MITOKPE de mettre un peu de l’eau dans son vin d’étre flexible et de se rendre docile et disponible aux débats en cours actuellement au parlement pour qu’une issue favorable soit trouvée à la prétendue crise actuelle car nous réaffirmons que la solution à la situation politique actuelle ne peut être trouvée qu’au parlement et nulle part ailleurs.

Nous voudrions aussi rappeler à l’honorable Guy MITOKPE qu’il doit désormais faire une nette démarcation entre la lutte estudiantine syndicale et un combat politique, la première menée souvent avec fougue et naïveté sans objectif précis fait parfois appel à la violence et au vandalisme par manque de sagesse des acteurs mais un combat politique se mène avec méthode, discipline et dans le respect de l’autre et des lois de la République .
Qu’un élu du peuple qui plus est un honorable député à l’Assemblée Nationale appelle à la violence et à un soulèvement populaire n’honore pas notre démocratie et discrédite la fonction de député qui est déjà mise à rudes épreuves selon les commentaires pas trop favorables qui se font dans l’opinion publique face au refus des députés de la minorité de se conformer au nouveau code électoral qu’ils ont eux aussi participé à l’élaboration. Ceci dénote d’une incongruité manifeste qui démontre aisément que ces gens là roulent juste pour leurs intérêts personnels et non pour la démocratie et le peuple comme ils le font croire car c’est encore eux qui ont voté des lois à l’Assemblée Nationale pour permettre au président Talon d’entreprendre des réformes sociales comme la libération des espaces publics qui a occasionné le délogement sans trompette de nos mamans et de leurs commerces le long de nos rues à travers les grandes villes du Bénin, une réforme à laquelle celles ci
se sont pliées sans broncher.

Mais alors une question mérite bien qu’on la pose.

Pourquoi lorsqu’il s’agit d’une loi pour assainir le paysage politique en Republique du Benin nous assitons a un dechainement de passion?

Est ce que parce que nous intllectiels nous sommes plus citoyens que les bonnes dames qui ont elles aussi subi la rigueuer de la loi ou alors parce que nous avons les moyens pour organiser des marches payantes et que les autres n’en ont pas pour faire entendre leur cause?

Voilà mesdames et messeiurs de la presse autant d’interrogations que suscitent le.bras de fer de l’opposition avec la loi votée pour la republique et à laquelle tout le monde doit se soumettre.

À l’He Guy MITOKPE le CJSP recommande la sagesse, le bon sens car la violence et la désobéissance civile comme il le souhaite ne serviront à rien dans la situation actuelle, seuls l’amour de la patrie et la preseravtion de la paix y parviendront.
Mieux nous nous rendons compte qu’il ne connait pas l’histoire de ce pays qui a connu des situations politiques pires que celle ci mais a toujours triomphé du mal.

La conférence des forces vives de la nation en est une preuve irréfutable. Nous qui avions vécu les affres du marxisme Léninisme dans ce pays pendant qu’il était en Côte d’Ivoire pouvons lui apprendre la belle histoire du Bénin , un pays qui aspire toujours à la paix malgré les querelles intestines et les conflits politiques.

Il ne le savait peut être pas.

Ici, c’est le Bénin.
Il y a autre chose qu’il urge qu’il sache. Celui qui appelle à la violence n’est jamais épargné des déconvenues.
Si le Bénin doit s’écrouler nous allons tous dans les décombres de l’écroulement personne ne sera épargnée.
Face donc à la recrudescence d’appel à la violence et incitation au soulèvement populaire que prône l’oppsition béninoise, le CJSP voudrait lancer un appel vibrant et pressant au peuple béninois de ne jamais se laisser prendre à ce piège et les invite par ailleurs au calme et à la sérénité car le Bénin ne va pas s’écrouler sous le président Patrice Talon, au contraire il va continuer et même accélérer sa marche irréversible vers un peu plus de lumière , vers le progrès social et le développement durable tels que le prône le président de la République depuis son avènement au pouvoir.
À chacun et à tout le peuple conscient nous disons bravo et bon courage pour la suite du combat.

Vive le CJSPVIVE la démocratie
Vive le Bénin je vous remercie

Moustapha Bashola, président du CJSP : « La Céna a travaillé dans les règles de l’art »

Critiqués et décriés par les leaders de l’Opposition, Emmanuel Tiando et son staff viennent de bénéficier d’un soutien de taille. Pour cause, le Collectif des jeunes pour un sursaut patriotique (CJSP), en particulier son président vole au secours des membres de la Commission électorale nationale autonome (Céna). En effet à la faveur d’une sortie médiatique, le vendredi 22 mars dernier à l’Infosec, Moustapha Bashola a rejeté les péchés attribués à l’institution en charge des élections au Bénin…

Critiqués et décriés par les leaders de l’Opposition, Emmanuel Tiando et son staff viennent de bénéficier d’un soutien de taille. Pour cause, le Collectif des jeunes pour un sursaut patriotique (CJSP), en particulier son président vole au secours des membres de la Commission électorale nationale autonome (Céna). En effet à la faveur d’une sortie médiatique, le vendredi 22 mars dernier à l’Infosec, Moustapha Bashola a rejeté les péchés attribués à l’institution en charge des élections au Bénin.

Selon lui, la Céna accomplit son travail dans la transparence, sans favoritisme et avec objectivité.

« La Céna a travaillé dans les règles de l’art…La Céna n’a favorisé personne… C’est un faux problème…Je ne trouve aucune faute », a martelé le président du CJSP.

Pour Moustapha Bashola, on ne peut donc rien reprocher à Emmanuel Tiando et à toute son équipe.

Loin de vouloir se jouer les avocats défenseurs de la Céna, il a rappelé que les membres de cette institution n’ont pas été installés sous le régime de Patrice Talon, mais plutôt  sous celui de Boni Yayi.

Moustapha Bashola  fait alors savoir que c’est cette même Céna qui avait organisé les législatives de 2015 sans être traitée de tous les noms d’oiseau à l’ époque.  D’ailleurs, il se demande pourquoi ce changement d’avis quand les données changent.« Pourquoi au Bénin quand on n’est  dans une position,  et ça ne nous arrange pas on commence par parler ? », s’interroge le président du CJSP.

Il invite alors les leaders de l’opposition à cesser alimenter la polémique sur des intoxications.

‘‘Bash’’, comme on l’appelle affectueusement ,  a parlé !

Manassé AGBOSSAGA

Demandes de dissolution de la Céna, relèvement du garde des sceaux, abrogation du code,..: Le CJSP ironise et tacle l’opposition

Les membres du Collectif des jeunes engagés pour un sursaut patriotique (CJSP) n’approuvent pas les propositions de l’opposition pour sortir de l’impasse. A l’occasion de leur première sortie officielle sous le thème ‘Crise préélectorale et la problématique d’un consensus pour une sortie de crise, ils ont sans ambages signifié ce message au peuple béninois…

Le Collectif des jeunes engagés pour un sursaut patriotique (CJSP) s’est prononcé sur les propositions des forces de l’Opposition pour sortir de l’impasse. A l’occasion d’une sortie médiatique effectuée ce vendredi 22 mars 2019, à l’Infosec de Cotonou, les membres du CJSP ont ironisé les demandes de dissolution de la Commission électorale nationale autonome (Céna), le relèvement du ministre de la Justice, le retour à l’ancien code électoral, et autres faites par l’Opposition pour la tenue élections inclusives.

Manassé AGBOSSAGA

Les membres du   Collectif des jeunes engagés pour un sursaut patriotique (CJSP) n’approuvent pas les propositions de l’opposition pour sortir de l’impasse. A l’occasion de leur première sortie officielle sous le thème ‘Crise préélectorale et la problématique d’un consensus pour une sortie de crise, ils ont sans ambages signifié ce message au peuple béninois.

Dans leur déclaration lue par Moustapha Bashola, ils ont jugé « tendancieuses, fallacieuses, absurdes » les propositions des forces de l’Opposition « dans le cadre du consensus prôné par le chef de l’Etat pour une élection  inclusive ».

Pour les membres du CJSP, les propositions des partis de l’Opposition relatives, entre autres,  à la dissolution de la Céna, au relèvement du ministre de la Justice de son poste, à l’abrogation du code électoral traduisent leur mauvaise foi et leur volonté de ne pas aller aux élections.

« L’exigence du certificat de conformité par certains d’entre eux comme préalable à toute négociation, il y a seulement quelques jours à l’occasion d‘une séance de travail initiée par le président de l’Assemblée nationale dans le cadre du consensus pour une sortie de crise, relève simplement du dilatoire, de la diversion et d’une volonté manifeste d’entretenir et prolonger une crise préélectorale qui n’est est nullement pas une », ont-ils ajouté.

Pour Moustapha Bashola et les siens, l’Opposition ne veut en réalité, pas  du « consensus souhaité par le président Patrice Talon ».

Pour eux, l’opposition veut plutôt « saboter le processus électoral en cours et par conséquent mettre à mal » la démocratie béninoise.

Et même s’ils ont semblé déceler les ambitions réelles des forces de l’Opposition, les membres du CJSP, invitent toutefois ces dernières à être sincère envers le peuple béninois.

« Au point où nous en sommes arrivés aujourd’hui, l’opposition doit maintenant dire clairement ses intentions afin que le peuple béninois sache à quoi s’en tenir. Veut-elle aller aux élections ou veut-elle seulement se servir d’une apparence de crise pour semer de la zizanie ou de trouble dans le pays ? Le peuple souverain veut savoir », a lancé le président du CJSP.

En attendant la réponse des forces de l’Opposition, les membres du  CJSP rappellent quelle devrait être leur attitude pour sortir de l’impasse.

Moustapha Bashola, Fulbert Vodounon, Argos Adihounda, Josaphat Ahokandji, Robert Goncalves et consorts invitent les partis de l’Opposition à saisir la main tendue du président Patrice Talon, car disent ils, « c’est eux qui sont actuellement en difficulté et que le chef de l’Etat souhaite  secourir ».  Azannaï, Ajavon, Yayi et les autres leaders de l’Opposition apprécieront ce conseil sous fond de tacle du CJSP, composé de jeunes hommes et femmes des différentes couches de la société.