Accusé de faire de la « redondance musicale » : Vano Baby réagit et ironise

« VANO BABY Officie , nous n’avons rien contre toi ni contre ton art. Et tu le sais pour avoir collaboré avec nous maintes fois. Mais Champion, Dis-nous hein… Nous les nullards là, on demande ooo, y’a quelle différence du point de vue musicalité entre les morceaux suivants : #ChérieCoCo , #Madame, #tumeritestout et #coupmonté  ? N’est-ce pas de la redondance musicale !  Nous voulons te voir dicter ta loi à l’international », a récemment écrit un média en ligne de la place à l’endroit de l’artiste.

Un commentaire qui a fait le tour des réseaux sociaux au point de parvenir aux oreilles de Vano Baby.

Et ce mercredi 22 février 2023, le rappeur a réagi à cette critique. Entre ironie et punchline, ‘‘Azéto gbè dé » a tenté de minimiser, voire désapprouver cette  remarque .

« C’est ROMAN ou bien? C’est trop long je ne peux pas lire faut faire ça en audio je vais écouter ou bien tu es JEAN PLIYA? Merci de continuer à m’écouter depuis là-bas depuis toutes ces années …

Faut me pardonner c’est dans ça qu’il y a L’argent oh . On va faire simple. Prend une calculatrice et additionne les vues de tous tes clips sur YouTube si tu arrives à dépasser les vues de COUP MONTÉ en 10 jours je laisse la musique pour devenir ton petit sûr dans broutage (GAY).  Merci pour ta force », a-t-il réagi sur sa page Facebook.

No comment …

M.A

Showbiz-Amir, « Kaysee, c’est quelqu’un qui a toujours eu un complexe, qui a toujours été jaloux, parce que… »

Amir El Présidente clash Kaysee Montejano. Reçu  sur l’émission Cultur’Art de TVC, le rappeur a pris un joli plaisir à le ridiculiser. D’abord en faisant mine de ne pas reconnaître Kaysee Montejano quand son image apparaît et qu’on lui demande s’il reconnaissait le visage.

Amir El Présidente clashe Kaysee Montejano. Reçu  sur l’émission Cultur’Art de TVC, le rappeur a pris un joli plaisir à le ridiculiser. D’abord en faisant mine de ne pas reconnaître Kaysee Montejano quand son image apparaît et qu’on lui demande s’il reconnaissait le visage.

« C’est Bob Marley ? C’est qui ? », ironise t-il avant d’avouer « Non, je rigole, c’est Kaysee ».

Le ton donné, Amir, membre du groupe Diamant Noir peut poursuivre sa diatribe. Il accuse Kaysee de « jalousie ».

« (…) J’ai rien de positifs à dire sur lui, malheureusement. C’était un très grand rappeur.  Kaysee, c’était quelqu’un que j’admirais beaucoup en tant que rappeur. C’était quelqu’un avec qui je collaborais. C’était un proche à nous. Je l’admirai beaucoup, mais c’est quelqu’un qui a toujours eu un complexe, qui a toujours été jaloux parce que nous notre carrière marchait et lui avait moins de succès », a-t-il laissé entendre.

Réagissant aux récents tacles de Kaysee contre sa personne, Amir El Présidente jure ne pas avoir compris et soutient qu’il n’a plus « aucune animosité ».

En 2021, Kaysee n’avait pas loupé Amir. Enchaînant les missiles, il a même proposé un duel.

« Amir, Hey Amiiiiiiiir!!! Ohé tu m’entends? Je propose comme à la boxe, un duel au micro sur même instru au choix (c’est le ring). Donc forcément deux rounds. Avec arbitre et ingé son dans un studio… et ce sera filmé, pour le plus grand bonheur des followers. 32 vers par Round. Si tu peux pas les écrire seul, tu peux venir avec les autres majorettes… je vais pas te fumer cette fois-ci, mais te bouffer toute crue, ma nicorette!

Et voici le freestyle!!! https://www.beninmuzik.com/product/faut-gerer/ Je mets mon titre tu mets le tien?

Kabi tu veux ouvrir les paris ? Voilà… à la loyale et dans les règles de l’art.

lors? Juste Oui…ou Non », avait il lancé.

2023, et on continue d’attendre la réponse d’Amir.

Manassé AGBOSSAGA

France: Deux ministres de Macron en seraient presque venus aux mains

Selon les informations du Parisien, des échanges très tendus ont eu lieu ce mercredi 23 juin au Conseil des ministres entre Gérald Darmanin et Éric Dupond-Moretti. Les deux hommes se sont frittés au sujet des élections régionales. Ils auraient même failli en venir aux mains.

Selon les informations du Parisien, des échanges très tendus ont eu lieu ce mercredi 23 juin au Conseil des ministres entre Gérald Darmanin et Éric Dupond-Moretti. Les deux hommes se sont frittés au sujet des élections régionales. Ils auraient même failli en venir aux mains.

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Règlements de comptes entre les ministres Éric Dupond-Moretti et Gérald Darmanin

L’ambiance n’est pas du tout au beau fixe entre le ministre de l’Intérieur et le Garde des Sceaux. En effet, selon les informations du Parisien, un énorme clash aurait eu lieu ce mercredi 23 juin durant le Conseil des ministres entre Éric Dupond-Moretti et Gérald Darmanin. Il faut dire que les hommes n’ont pas vraiment l’air de s’apprécier.

Ces échanges tendus seraient au sujet des élections régionales dans les Hauts-de-France. Le ministre de la Justice était présent dans une liste de La République En Marche qui a été vaincue à plate couture lors du premier tour. Cependant, l’avocat a reproché au ministre de l’Intérieur d’avoir félicité Xavier Bertrand qui, lui, est arrivé en tête de ce premier tour dans le nord de la France.

Ils auraient failli en venir aux mains

D’après les informations du Parisien, Éric Dupont-Morretti n’a pas hésité à montrer à Gérald Darmanin que son comportement ne lui a pas du tout plu. « Tu as bien prononcé ces mots ? C’est une trahison pour tous les colistiers » , aurait lancé le ministre de la Justice à Gérald Darmanin, avant d’ajouter. « Personne ne te demande de renier tes amis, pour autant tu ne marches pas sur tes collègues ! » .

Face à ces déclarations, le ministre de l’Intérieur n’a pas voulu se laisser faire en attaquant l’avocat. « Commence par gagner une élection » , lui aurait-il lancé, selon une source proche du gouvernement.

Mais Gérald Darmanin n’a pas très bien compris pourquoi ses paroles ont provoqué l’énervement de son collègue, en déclarant : « Depuis quand on critique quelqu’un qui a gagné une élection ? » . Éric Dupont-Morretti ne se serait pas alors gêné pour lui répondre : « Comme avocat, j’ai gagné des procès, j’en ai perdu aussi. On ne parle pas de victoires. On parle de ta loyauté ! » .

Mais ces échanges ne sont pas passés loin de virer au drame car selon une source du Parisien, les deux hommes ont failli en venir « quasiment aux mains » . Afin d’apaiser les tensions entre eux, un déjeuner ensemble devrait être prévu la semaine prochaine, selon l’entourage des ministres.

avec letribunaldunet.fr

Sport et politique: LeBron James répond au tacle de Zlatan Ibrahimovic

Polémique entre les deux stars du football et du basket-ball. Zlatan Ibrahimovic a égratigné LeBron James à propos de son engagement en dehors du sport, notamment sur le plan politique. Selon le Suédois, les sportifs ne devraient pas prendre position et se cantonner à leur rôle. Le basketteur américain, lui, n’est pas du tout de cet avis. Et il le fait savoir.

Les sportifs les plus renommés doivent-ils ne rester que des sportifs et ne pas s’engager sur le plan social et politique ? Ou bien, peuvent-ils user de leur notoriété pour prendre position sur les sujets extrasportifs qu’ils estiment importants ? Ce vieux débat, très en vogue ces derniers mois aux États-Unis avec en toile de fond la présidentielle de 2020, est revenu en lumière cette semaine. Et c’est l’un des plus célèbres footballeurs d’Europe qui a allumé l’étincelle, bien que les échanges par médias interposés restent encore cordiaux entre lui et l’icône du sport américain qu’il a critiqué.

« Reste dans ton domaine »

Zlatan Ibrahimovic, réputé pour ne pas avoir sa langue dans sa poche, a ouvert le sujet jeudi 25 février. L’attaquant de l’AC Milan s’est exprimé dans une interview à l’UEFA pour la chaîne Discovery +, en Suède. Le buteur de 39 ans estime que les sportifs célèbres font « une erreur » en s’engageant sur le plan politique. « Abstenez-vous. Faites des choses là où vous êtes bons », a-t-il déclaré.

Et le Milanais a cité l’exemple de la star américaine du basket. « J’adore LeBron James, il est phénoménal dans ce qu’il fait », a-t-il d’abord indiqué, avant de poursuivre : « Mais je n’aime pas quand des gens avec un certain statut s’impliquent en politique. Reste dans ton domaine. »

Les mots du géant suédois ont traversé l’Atlantique pour parvenir jusqu’aux oreilles de « King James ». Et après la victoire des Los Angeles Lakers face au Portland Trail Blazers, vendredi 26 février, l’ailier quadruple champion NBA a répondu à Zlatan Ibrahimovic en conférence de presse.

« Je ne me tairai jamais sur les choses qui ne vont pas »

Très engagé dans la lutte contre le racisme et pour l’éducation des jeunes, le basketteur a été l’un des leaders du mouvement imprimé en NBA l’été dernier pour plus d’égalité et pour dénoncer les violences policières aux États-Unis. Farouchement opposé à Donald Trump, il a aussi supporté Joe Biden durant la dernière présidentielle. Alors, invité à s’exprimer sur les critiques d’Ibrahimovic, James a contre-attaqué : « Je ne suis pas vraiment le genre de gars qu’il faut venir attaquer, car je fais ce qu’il faut. »

Non, le natif d’Akron dans l’Ohio n’a pas l’intention de se cantonner à jouer au basket : « Je ne me tairai jamais sur les choses qui ne vont pas. Je m’engage en faveur de mon peuple, pour l’égalité, pour l’égalité aussi en matière d’accès au vote, je m’engage contre l’injustice sociale et le racisme. Il n’est pas question que je me contente de faire du sport. Je sais à quel point ma voix est puissante. »

LeBron James et Anthony Davis, leaders des Lakers de Los Angeles, posant un genou à terre en soutien au mouvement Black Lives Matter aux côtés de coéquipiers et de rivaux des Clippers, le 30 juillet 2020 à Lake Buena Vista, Floride.
LeBron James et Anthony Davis, leaders des Lakers de Los Angeles, posant un genou à terre en soutien au mouvement Black Lives Matter aux côtés de coéquipiers et de rivaux des Clippers, le 30 juillet 2020 à Lake Buena Vista, Floride. Mike Ehrmann GETTY IMAGES NORTH AMERICA/AFP/Archives

LBJ surpris par le discours d’Ibra, lui-même victime de racisme en Suède

Soutien du mouvement Black Lives Matter, LeBron James assume sa parole, même si celle-ci divise : « Pendant longtemps, on s’est entendu dire qu’en tant que sportifs, on devait être reconnaissants de pouvoir lancer une balle, dribbler avec un ballon, frapper avec une batte de baseball. On nous disait qu’on n’était pas capable ni autorisé à parler d’autre chose. Ce n’est plus le cas aujourd’hui. Et ce ne sera plus le cas pendant un long moment. »

Et le basketteur a rajouté à propos de Zlatan Ibrahimovic : « C’est marrant qu’il dise ça, parce que je me souviens qu’en 2018, c’était le même gars qui disait que lorsqu’il était en Suède, il parlait de ces mêmes sujets. Parce que son nom de famille n’était pas commun, et qu’il ressentait parfois le racisme quand il était sur le terrain. »

🗨️ @Ibra_official : « Que font les médias suédois ? Ils me défendent ou ils m’attaquent ? (…) Si je m’appelais Andersson ou Svensson, ils me défendraient même si braquais une banque » #MaPartDOmbre pic.twitter.com/Yw57jPeoXx— Canal Football Club (@CanalFootClub) January 7, 2018

Dans le documentaire « Ma part d’ombre » diffusé en janvier 2018 sur la chaîne française Canal+, Zlatan Ibrahimovic, né en 1981 à Malmö d’un père bosnien et d’une mère croate, avait expliqué le racisme « latent » dont il est victime en Suède. « Si un autre joueur suédois faisait les mêmes erreurs que moi, ils (les médias) le défendraient. Quand c’est moi, ils ne me défendent pas. (…) C’est une histoire de racisme. Je ne dis pas que c’est du racisme affirmé, mais du racisme latent. (…) Parce que je ne m’appelle pas Andersson ou Svensson. »

En désaccord sur l’engagement des sportifs les plus connus, LeBron James et Zlatan Ibrahimovic ont au moins un point commun : leur liberté de ton. Le débat qu’ils ont rouvert en est la preuve.

Par Rfi