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A Adja-Ouèrè, deux agents de santé ne sont plus libres de leurs mouvements depuis le 28 mars 2022. Soupçonnés d’avoir ‘dja man’’….
A Adja-Ouèrè, deux agents de santé ne sont plus libres de leurs mouvements depuis le 28 mars 2022. Soupçonnés d’avoir ‘dja man’’, ou si vous préférez, d’avoir détourné l’argent Covid destiné aux crieurs publics, ils ont été interpellés, suite à une plainte de la communauté, avant d’être jetés en prison.
Frissons Radio fait savoir qu’il est reproché à ces deux agents en service au Centre de santé d’Adja-Ouèrè’’ d’avoir détourné un financement covid destiné aux crieurs public dans le cadre du premier tour de la campagne de vaccination.
Enième cas de décès liés au Covid 19 au Bénin. D’après les derniers chiffres publiés, le pays vient d’enregistrer9 nouveaux décès.
Le Bilan s’alourdit donc. À la date du 22 mars 2021, le Bénin compte un total de 7100 cas confirmés dont 6452 guéris et 90 décès.
Les autorités appellent donc les uns et les autres à la vigilance et au respect des gestes barrières (port de masque obligatoire, distance sociale de 1 mètre minimum entre personnes, se laver régulièrement les mains à l’eau et au savon ou avec du gel hydro alcoolique… etc.).
Le tribunal de Cotonou va connaître d’une affaire bien particulière ce mardi 26 janvier 2021. 20 personnes arrêtées le mardi 26 janvier 2021, puis cinq autres arrêtés plus tard, dans une affaire de faux test Covid seront jugées ce jour.
Les mis en cause sont soupçonnés de délivrer des faux tests, mais également des voyageurs qui présenteraient des faux test à l’aéroport de Cotonou, précise Frissons Radio.
Ce samedi 23 janvier 2021, le Président de la République, Monsieur Patrice TALON, a pris part, par visioconférence, à la 58ème session ordinaire de la Conférence des Chefs d’État et de Gouvernement de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO).
Au cours des travaux de cette session, les Chefs d’Etat et de Gouvernement ont échangé sur les questions relatives à l’état de la Communauté en cette période de recrudescence de la pandémie de Covid-19. Les Chefs d’Etat et de Gouvernement ont saisi l’occasion pour examiner plusieurs dossiers de grande importance notamment le rapport annuel 2020 du Président de la Commission de la CEDEAO, le rapport de la 45ème session ordinaire du Conseil de Médiation et de Sécurité et celui de la 85ème session ordinaire du Conseil des Ministres de la CEDEAO.
Il est à noter qu’au cours de cette rencontre virtuelle des Chefs d’Etat et de gouvernement de la CEDEAO, les rapports sur la situation au Mali et le programme de la monnaie unique de la CEDEAO ont fait également l’objet de discussions.
Rappelons que cette 58ème session ordinaire de la Conférence des Chefs d’État et de Gouvernement de la CEDEAO a été précédée de la 45ème session ordinaire du Conseil de Médiation et de Sécurité le 19 janvier 2021 ainsi que de la 85ème session ordinaire du Conseil des Ministres de l’Organisation, les 20 et 21 janvier 2021.
« Pour nous, la présence à l’école est un service essentiel, surtout au primaire, dit Nicolas Prévost, président de la Fédération québécoise des directions d’établissement (FQDE). L’enseignement à distance, c’est une solution de rechange, mais ça rapporte peu sur le plan pédagogique. Ça va devenir dramatique pour nos élèves. »
Le premier ministre François Legault envisage de prolonger l’enseignement à distance d’une semaine au niveau primaire (jusqu’au 18 janvier) et de deux semaines au niveau secondaire (jusqu’au 25 janvier). Il doit en faire l’annonce mercredi lors d’un point de presse.
L’Association des pédiatres du Québec s’oppose à ce reconfinement et croit que les élèves du primaire et du secondaire doivent retourner en classe le 11 janvier, comme prévu. Le regroupement « réaffirme que la lutte primordiale et acharnée contre la COVID-19 ne doit pas se faire au détriment de toute une génération de jeunes qui ont droit au maintien d’une éducation de qualité en présentiel », est-il écrit dans une lettre au gouvernement Legault, dont Le Devoir a pu prendre connaissance.
Les pédiatres font valoir que les « écoles ne constituent pas les principaux lieux d’éclosion » et que la « grande majorité des éclosions en milieu scolaire comptent cinq cas et moins ». Ils soulignent que des « impacts majeurs » sont « déjà perceptibles sur le parcours scolaire et développemental des enfants ».
Échecs à l’horizon
Yvon Boucher, qui a occupé une série de postes en éducation depuis 33 ans, prévoit un taux d’échec alarmant des élèves en raison des confinements successifs de cet hiver et du printemps dernier. « C’est inévitable : les élèves auront eu une deuxième fin d’année tout croche à cause de la pandémie. Les retards ne se résorberont pas comme par magie », dit cet enseignant à la formation continue de l’Université de Montréal qui a été professeur, directeur d’école et cadre des services éducatifs dans le réseau public d’éducation. Ce spécialiste de l’évaluation des apprentissages propose une solution hors de l’ordinaire : prolonger l’année scolaire jusqu’à la fin du mois d’octobre 2021 (tout en maintenant les vacances d’été) pour permettre aux enseignants et aux élèves de rattraper la matière prévue au programme.
Ce n’est qu’en novembre que se ferait le changement d’année scolaire, sauf pour les élèves de cinquième secondaire, qui passeraient au cégep comme d’habitude à la fin du mois d’août. Le fait de garder le même enseignant deux mois de plus aiderait les élèves à mieux digérer la matière, estime ce vétéran du réseau scolaire.
Yvon Boucher suggère aussi de diminuer la pondération du premier bulletin scolaire, dont la remise est prévue le 22 janvier. Le ministère prévoit que les deux bulletins (celui-ci et le bulletin final) vaudront chacun pour 50 % de la note finale. Compte tenu du taux d’échec anticipé, il vaut mieux réduire le poids du premier bulletin à 20 % de la note finale pour éviter de décourager les élèves en difficulté, selon lui.
Catherine Beauvais St-Pierre, présidente de l’Alliance des professeures et des professeurs de Montréal, rappelle que les syndicats réclament eux aussi un changement à la pondération des bulletins en raison des bouleversements dus à la pandémie. « Le reconfinement que s’apprête à annoncer le gouvernement aura un impact sur le reste de l’année scolaire. Il faut planifier la suite rapidement », dit-elle.
Avec Marie-Eve Cousineau et Marco Bélair-Cirino/Le Devoir
À cinq semaines de la présidentielle, Donald Trump et Joe Biden se sont affrontés pour la première fois mardi soir lors d’un duel télévisé qui a viré à la cacophonie.
À cinq semaines de la présidentielle, Donald Trump et Joe Biden se sont affrontés pour la première fois mardi soir lors d’un duel télévisé qui a viré à la cacophonie.
Un affrontement chaotique. À 35 jours de l’élection présidentielle, le premier débat ayant opposé Donald Trump et son adversaire Joe Biden a tourné au règlement de comptes, entre railleries, attaques ad hominem et invectives. Les candidats se sont affrontés sur six thèmes : leurs bilans politiques, l’intégrité du scrutin, les questions raciales, l’épidémie de Covid-19, la nomination de la nouvelle juge à la Cour suprême, et l’économie du pays. Voici les temps forts de ce face-à-face où les petites phrases ont parfois éclipsé le fond.
« Allez-vous la fermer ? » : Biden s’emporte contre Trump
Fidèle à ses habitudes, le locataire de la Maison Blanche a interrompu, à de nombreuses reprises, le candidat démocrate. Agacé, ce dernier a fini par lâcher : « Allez-vous la fermer ? ». Est-ce là le futur slogan de la campagne ? L’équipe de Biden a déjà lancé un t-shirt arborant cette punchline. Un peu plus tard, le candidat démocrate a traité le président de « menteur » puis de « clown ».
« Il n’y a rien d’intelligent en vous », a de son côté lancé Donald Trump, en mauvaise posture dans les sondages. Il a accusé son rival d’être une marionnette de la « gauche radicale », que ce soit sur la santé, la sécurité ou le climat. « Êtes-vous pour la loi et l’ordre ? », a interrogé le président américain dans un échange particulièrement tendu, où il a accusé son rival d’être otage de ses soutiens au « sein de la gauche radicale ». « La loi et l’ordre avec la justice », a répondu son adversaire démocrate,
Sur la gestion de la crise du Covid-19
Les deux candidats se sont écharpés sur le bilan de la pandémie de Covid-19 aux États-Unis, pays le plus endeuillé au monde avec plus de 200 000 morts. « Vous n’auriez jamais pu faire le travail que nous avons fait, vous n’avez pas cela dans le sang », a attaqué Donald Trump, vantant son action et critiquant les « fake news » de la presse. « Je sais ce qu’il faut faire » tandis que « le président n’a aucun plan », a répondu Joe Biden, attaquant le président ainsi : « Vous devriez quitter votre parcours de golf et sauver des vies. »
Sur les résultats de la présidentielle
Joe Biden s’est engagé à reconnaître le résultat de l’élection du 3 novembre. « J’accepterai » les résultats, a assuré l’ancien vice-président démocrate. « Si ce n’est pas moi, je reconnaîtrai le résultat ». Donald Trump, lui, a botté en touche.
Les résultats de la présidentielle du 3 novembre pourraient ne pas être connus « avant des mois » en raison notamment du vote par correspondance, a martelé l’actuel président. « Il y aura des fraudes comme nous n’en avons jamais vu », a encore dit celui qui affirme depuis des semaines, sans preuves, que le vote par correspondance pourrait fausser le résultat.
Sur les suprémacistes blancs
À la fin des discussions sur la poussée de tensions raciales dans le pays à la suite de la mort de George Floyd, le présentateur Chris Wallace, a demandé au président s’il était prêt à condamner les suprémacistes blancs. Sa réponse a été pour le moins trouble. Donald Trump s’est dit prêt à le faire, sans aller jusqu’à prononcer une condamnation claire.
Il a affirmé dans la foulée : « Mais je vais vous dire, on doit faire quelque chose au sujet des antifas », au sujet de groupuscules d’extrême gauche. Il a également appelé les Proud Boys, un groupe nationaliste prônant la supériorité de la race blanche, à « reculer et à se tenir prêt ». Comme l’écrit le New York Times, l’un des membres a affirmé que des demandes d’inscriptions ont eu lieu depuis cette déclaration du président.
Sur les fils Biden
Les attaques personnelles ont aussi atteint les familles des deux candidats. Donald Trump a souvent essayé de présenter les affaires en Ukraine et en Chine de Hunter, un fils de Joe Biden, comme étant emblématiques d’une corruption supposée de la part de Joe Biden. « Votre fils arrive, et il prend des milliards de dollars », a-t-il dit mardi soir à son rival. Ce dernier a en retour laissé entendre qu’il pourrait « parler toute la nuit » de la famille Trump et de son « éthique ».
Donald Trump a aussi assuré que Hunter Biden avait été « renvoyé » de l’armée pour consommation de drogue, provoquant une réaction outrée du démocrate. « Mon fils, comme beaucoup de gens, avait un problème de drogue. Il l’a dépassé. Il l’a réglé. Et je suis fier de lui », a-t-il martelé. Et il a mentionné son fils Beau, mort d’un cancer en 2015, pour attaquer des propos rapportés du président, selon lesquels il aurait qualifié des militaires de « losers ». Beau, qui a été réserviste, « n’était pas un loser. C’était un patriote », a dit Joe Biden.
Le quotidien officiel Jahan-e-San’at a été interdit par le Conseil de surveillance de la presse après avoir cité le Dr Mahboubfar, membre du centre national de lutte contre le coronavirus, disant que le nombre de morts était 20 fois plus élevé que le chiffre annoncé par le ministère de la Santé. Or le journal Vatan Emrouz avait cité Mahboubafar le 30 mai disant : « Les chiffres actuels sur le coronavirus sont 20 fois plus élevés que ceux annoncés par le ministère de la Santé, et cela a amené les citoyens à ne pas prendre cette maladie mortelle au sérieux. »
Alavian, ancien vice-ministre de la Santé, a déclaré, en évoquant les mensonges de Rohani : « Si nous prenons de mauvaises décisions, il faudra répondre de chaque mort. Au lieu d’émerveiller le monde et de devenir un exemple, nous devons utiliser l’expérience du monde. L’une de nos limites est les tests de diagnostic. Nous avons peu de kits. N’a-t-on pas dit que nous exportions nos kits en Turquie et en Allemagne ? Des mots comme « nous ne sommes pas en retard d’un pas sur le monde dans la production du vaccin du coronavirus » sont complètement faux. Nous ne devons pas mentir aux gens. » (Chaine télévisée officielle de la santé, 8 août).
L’immunité collective au détriment de 70% de la population est affectée par la maladie ?
Mostafa Moïne, président du conseil suprême du système médical a déclaré : « 30 à 40% de la capacité du pays ont été utilisés dans la gestion de la crise du Covid-19. Bien sûr, plus de 100% du potentiel des médecins et des infirmières ont été utilisés en première ligne. Toutefois, les ressources nécessaires à la protection de la santé publique n’ont pas été utilisées.
C’est comme si nous dissimulions le secret et les faits pour des raisons politiques, économiques et idéologiques. Nous ne devons pas cacher la date d’arrivée de la maladie. Nous devons suivre la science. Nous ne devons pas aller à l’encontre de la science concernant les examens d’entrée à l’université, le deuil et d’autres questions. Si j’en avais la responsabilité, je n’autoriserai ni l’examen d’entrée ni aucune fête ou célébration de deuil. C’est un point de vue moral et humain. Quand dans une queue à la boulangerie, où il n’y a pas plus de 10 personnes, nous ne sommes pas en mesure de respecter les protocoles de santé, comment garantir que les protocoles seront suivis dans une foule d’un million de personnes (lors des examens d’entrée à l’université). Les conséquences de ces dégâts seront frustration, chaos et insécurité. Si nous attendons que 70 % de la population soit touchée en visant l’immunité collective, nous commettons une grave erreur car, d’une part, les hôpitaux débordent et, d’autre part, ces nombreuses infections entraîneront de terribles décès. » (Agence Irna, 12 août)
Le Bureau régional de l’Organisation mondiale pour la santé (OMS) pour l’Afrique a publié les chiffres liés à la pandémie du Coronavirus à la date du jeudi 02 juillet 2020 sur le continent noir. Plus de 415 000 cas de #COVID19 – avec plus de 196 000 guérisons associées et 10 200 décès ont été enregistrés. ..
Le Bureau régional de l’Organisation mondiale pour la santé (OMS) pour l’Afrique a publié les chiffres liés à la pandémie du Coronavirus à la date du jeudi 02 juillet 2020 sur le continent noir. Plus de 415 000 cas de #COVID19 – avec plus de 196 000 guérisons associées et 10 200 décès ont été enregistrés. Ci-dessous, le point de tous les pays africains avec les cas confirmés, les décès, et les guérisons.