Le match Sierra-Léone# Bénin reporté une seconde fois

Le match Sierra-Léone #Bénin comptant pour la dernière journée des éliminatoires de la Can n’a finalement pas eu lieu ce lundi 14 juin 2021. Comme le 30 mars, le Covid-19 a perturbé le bon déroulement de la rencontre.

Le match Sierra-Léone #Bénin comptant pour la dernière journée des éliminatoires de la Can n’a finalement pas eu lieu ce lundi 14 juin 2021. Comme le 30 mars, le Covid-19 a perturbé le bon déroulement de la rencontre.

Alors qu’il sonne 17h, les deux équipes tardent à se présenter sur la pelouse  du Stade Lansana Conté de Nongo à Conakry en Guinée.  Dans les coulisses, six joueurs de la Sierra-Léone seraient testés positifs au Covid 19. La Sierra-Léone proteste et refuse de jouer.

Mais après des heures de négociation, le match sera finalement reporté au  mardi 15 juin 2021 à 17h toujours au Stade Lansana Conté de Nongo à Conakry en Guinée.

Espérons que cette fois soit la bonne.

Manassé AGBOSSAGA

Canada: Arrestation de Maxime Bernier pour contravention aux règles de santé publique

La GRC a affirmé que Maxime Bernier a été accusé d’avoir contrevenu à une disposition de la loi pour s’être rassemblé dans un lieu public extérieur et d’avoir enfreint l’exigence du Manitoba de s’isoler en entrant dans la province.

Maxime Bernier a été arrêté au Manitoba après avoir assisté à un rassemblement contre les restrictions liées à la COVID-19.© Fournis par La Presse Canadienne

La GRC a affirmé que Maxime Bernier a été accusé d’avoir contrevenu à une disposition de la loi pour s’être rassemblé dans un lieu public extérieur et d’avoir enfreint l’exigence du Manitoba de s’isoler en entrant dans la province.

L’arrestation au sud de Winnipeg a eu lieu avant que Maxime Bernier n’arrive à une manifestation dans la ville.

La GRC a indiqué que Maxime Bernier serait amené devant un juge.

«Il est du devoir de la GRC d’appliquer les lois du Manitoba, et celles-ci incluent les ordonnances de santé publique», a indiqué vendredi par courriel la porte-parole de la GRC, Tara Seel.

«M. Bernier était au courant des ordonnances sanitaires et (avait) déjà reçu une contravention. La poursuite de l’infraction de violation des ordonnances de santé publique en vigueur au Manitoba a entraîné son arrestation», a-t-elle ajouté.

Dans une déclaration écrite qui ne mentionne pas le nom de Maxime Bernier, le ministère de la Justice du Manitoba a déclaré qu’un Québécois avait été arrêté pour «avoir omis de suivre les ordres de santé publique à la suite de rassemblements illégaux aujourd’hui à Niverville et à St-Pierre-Jolys et pour empêcher d’autres infractions liées à la participation et à l’organisation de rassemblements publics dans toute la province».

Maxime Bernier a publié un enregistrement vidéo de son arrestation au Manitoba, vendredi, où les autorités lui reprochent d’avoir contrevenu aux règles de la santé publique.

Dans les images diffusées sur le compte Twitter du chef du Parti populaire du Canada, on le voit sortir d’une camionnette et se faire passer les menottes.

L’agent de police lui dit qu’il est arrêté en vertu des règles sanitaires provinciales.

Au policier qui lui demande s’il a sur lui une arme ou un quelconque objet dangereux, l’ancien ministre conservateur répond: «Non, pas d’armes, seulement mes mots, seulement ma philosophie, seulement mes croyances.»

Au-dessus des images, on peut lire ce message: «Notre chef Maxime Bernier a été injustement arrêté cet après-midi par la GRC à St-Pierre-Jolys, Man., pour avoir participé à des rassemblements.»

M. Bernier s’exprimait sur Twitter tout au long de la journée de vendredi, publiant des images de chacun de ses rassemblements qui réunissaient chaque fois une poignée de participants. Le politicien titrait ses messages: «Tournée Mad Max du Manitoba».

Avant les images de son arrestation à St-Pierre-Jolys, il a diffusé des images de Niverville où il a reçu une contravention de 496 $ et où l’agent de police l’a averti qu’il pourrait être arrêté.

Le Parti populaire du Canada a rappelé que Maxime Bernier entamait une tournée de trois jours dans la province pour dénoncer les politiques de confinement, «comme il l’a fait dans six provinces différentes depuis plusieurs mois».

La formation politique a soutenu par communiqué que Maxime Bernier a été arrêté injustement «sur des accusations qui violent ses droits constitutionnels en tant que citoyen canadien».

Le droit de réunion pacifique en vertu de la Charte «n’a pas été annulé par la simple existence du virus», ajoute le PPC.

«Il ne s’agit plus de la Covid. C’est de la répression politique. C’est le genre de choses que font des pays comme la Chine et la Russie», affirme le porte-parole du PPC, Martin Masse.

«M. Bernier a été arrêté pour s’être opposé aux mesures de confinement injustifiées et non scientifiques imposées aux Canadiens par nos gouvernements fédéral et provinciaux incompétents depuis plus de 15 mois. Des mesures qui violent nos droits fondamentaux et qui auront des effets désastreux sur la santé et le bien-être des Canadiens, ainsi que sur les finances publiques du pays, pour des années à venir», poursuit M. Masse.

Le PPC a indiqué que Maxime Bernier était représenté par le Centre de justice pour les libertés constitutionnelles.

La Presse Canadienne

L’Arabie saoudite va autoriser le grand pèlerinage à la Mecque à 60.000 résidents vaccinés

L’Arabie saoudite va autoriser 60.000 de ses résidents vaccinés contre le coronavirus à effectuer le hajj, grand pèlerinage musulman à La Mecque qui doit avoir lieu en juillet, un quota drastiquement réduit pour la deuxième année consécutive face à la pandémie de Covid-19.

L’Arabie saoudite va autoriser 60.000 de ses résidents vaccinés contre le coronavirus à effectuer le hajj, grand pèlerinage musulman à La Mecque qui doit avoir lieu en juillet, un quota drastiquement réduit pour la deuxième année consécutive face à la pandémie de Covid-19.

Ceux qui voudront effectuer le hajj devront être des résidents ou des nationaux, avoir entre 18 et 65 ans, ne pas souffrir d’une maladie chronique et avoir été vaccinés, a indiqué samedi le ministère du Hajj et de la Omra dans un communiqué relayé par l’agence officielle SPA.

Lors du dernier hajj, un des cinq piliers de l’islam, seuls une dizaine de milliers de fidèles résidant en Arabie saoudite avaient pu effectuer ce rite, contre 2,5 millions de participants venus du monde entier en 2019.

« Considérant la foule immense qui effectue le hajj, en passant de longs moments dans plusieurs endroits spécifiques, le plus haut niveau de précaution sanitaire est nécessaire », a ajouté le ministère du Hajj, précisant que les autorités compétentes continuaient de surveiller la situation sanitaire et notamment l’apparition de nouveaux variants.Des fidèles autour de la Kaaba, vers laquelle se tournent les musulmans pour prier, au milieu du patio de la Grande mosquée de La Mecque, le 9 mai 2021© Abdulghani ESSA Des fidèles autour de la Kaaba, vers laquelle se tournent les musulmans pour prier, au milieu du patio de la Grande mosquée de La Mecque, le 9 mai 2021

Le pèlerinage, que tout musulman est censé accomplir au moins une fois dans sa vie s’il en a les moyens, est habituellement l’un des plus grands rassemblements religieux du monde et présente en ce sens un risque élevé de propagation du coronavirus.

En avril, le royaume avait déjà annoncé que seules les personnes vaccinées seraient autorisées à effectuer la Omra, le petit pèlerinage musulman réalisable tout au long de l’année, à partir du début du mois de jeûne du ramadan, suscitant des mécontentements.

Le petit pèlerinage, suspendu en mars 2020 en raison de la pandémie, avait repris timidement début octobre avec des mesures de précaution drastiques dans ce pays du Golfe le plus touché par l’épidémie.

Dans un premier temps, seuls 6.000 Saoudiens et résidents étrangers en Arabie saoudite avaient été autorisés chaque jour à effectuer la Omra, avant que ce nombre ne passe à 20.000.

Quelque 60.000 personnes sont actuellement autorisées à effectuer les prières quotidiennes dans la Grande Mosquée de la Mecque, première ville sainte de l’islam.

Il n’est pas possible pour les pèlerins de toucher la Kaaba, construction cubique au centre la Grande mosquée, vers laquelle se tournent les musulmans du monde entier pour prier.

L’Arabie saoudite a officiellement recensé plus de 463.000 cas de coronavirus sur son sol, dont plus de 7.500 décès. 

Les autorités du royaume de 34 millions d’habitants ont annoncé avoir administré plus de 15 millions de doses de vaccin.

En 2020, la réduction drastique du nombre de pèlerins et les restrictions sanitaires avaient permis aux autorités de proclamer qu’il n’y avait eu aucune contamination lors du grand pèlerinage, qui n’a rien rapporté au royaume.

En temps normal, le hajj et la omra rapportent environ 10,3 milliards d’euros par an à l’Arabie saoudite, qui tente de diversifier son économie ultradépendante du pétrole. 

L’économie du royaume a été touchée de plein fouet par la baisse des prix du brut, accentuée par la pandémie qui a lourdement affecté la demande mondiale en 2020.

La tenue du hajj n’est pas qu’une question économique pour les dirigeants du royaume, gardiens des deux villes les plus saintes de l’islam (La Mecque et Médine), qui en tirent aussi une source importante de légitimité.

Une série de désastres, dont une bousculade qui avait entraîné la mort de plus de 2.300 fidèles en 2015, et la limitation des pèlerinages aux seuls résidents et Saoudiens ont toutefois entraîné des critiques sur la gestion des lieux saints par le royaume.

AFP

Vaccin : Il débranche le frigo d’une clinique pour brancher son téléphone et provoque une catastrophe

Au Kirghizistan en Asie centrale, une personne a débranché un réfrigérateur afin de pouvoir recharger son téléphone portable. Seulement son acte a eu de graves conséquences puisque 1 000 vaccins Spoutnik V contre la Covid-19 étaient dans ce frigo. En conséquence, toutes ses doses …

Au Kirghizistan en Asie centrale, une personne a débranché un réfrigérateur afin de pouvoir recharger son téléphone portable. Seulement son acte a eu de graves conséquences puisque 1 000 vaccins Spoutnik V contre la Covid-19 étaient dans ce frigo. En conséquence, toutes ses doses ont dû être jetées à la poubelle car elles étaient devenues inutilisables.

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1 000 vaccins contre la Covid-19 perdus

C’est une énorme bêtise ! Dans le pays du Kirghizistan situé en Asie centrale, une personne a débranché un réfrigérateur d’une clinique de la capitale Bichkek afin de pouvoir recharger son téléphone portable. Une idée pas très intelligente puisqu’il a provoqué la perte de près de 1 000 vaccins Spoutnik V contre la Covid-19. Ces doses étaient conservées dans ce frigo. En conséquence, l’ensemble des vaccins sont devenus inutilisables et donc ne peuvent plus être injectés aux habitants du pays.

Cet accident date du mois d’avril 2021 mais les autorités du Kirghizistan ont rendu publique cette histoire, il y a seulement quelques jours. Selon les médias locaux, ces doses provenaient d’un lot de 20 000 vaccins livrés comme une aide humanitaire par la Russie.

Le Kirghizistan frappé de plein fouet par la troisième vague du coronavirus

Les recherches pour retrouver la personne qui serait à l’origine de cet accident ont débuté. Selon le ministre de la Santé du Kirghizistan, Alimkadyr Beïchenaliïev, il serait possible qu’un agent d’entretien soit l’auteur de cette grosse bêtise. « Si l’un des employés est à blâmer, une femme de ménage ou quelqu’un d’autre, la clinique devra en répondre financièrement » , a-t-il déclaré aux journalistes.

La bourde de cette personne peut avoir de très graves conséquences puisque le pays est en train de subir de plein fouet la troisième vague de l’épidémie. Le nombre de cas positifs au coronavirus augmente très fortement ainsi que le nombre de morts. Selon Ouest-France, au vendredi 21 mai dernier, le Kirghizistan a recensé plus de 100 000 cas et 1 735 morts pour 6,5 millions d’habitants.

La campagne de vaccination commence doucement à se mettre en place dans ce territoire avec plus de 50 000 personnes vaccinées selon les autorités sanitaires du pays. C’est pour cela alors qu’il est très important pour le Kirghizistan de ne perdre aucune dose du vaccin contre la Covid-19.

letribunaldunet.fr

« Un sentiment d’injustice m’a parcouru »: le gifleur de Macron condamné à 4 mois de prison ferme

Deux jours après les faits qui ont suscité une réprobation unanime du monde politique, le verdict est tombé. Le tribunal correctionnel de Valence a condamné ce jeudi Damien Tarel à 18 mois de prison, dont 14 mois avec sursis, avec mandat de dépôt, pour avoir giflé deux jours plus tôt le président Emmanuel Macron lors d’un déplacement dans la Drôme.

L’homme de 28 ans, qui a reconnu lors de l’audience avoir donné cette gifle au chef de l’Etat, a été incarcéré.

Deux jours après les faits qui ont suscité une réprobation unanime du monde politique, le verdict est tombé. Le tribunal correctionnel de Valence a condamné ce jeudi Damien Tarel à 18 mois de prison, dont 14 mois avec sursis, avec mandat de dépôt, pour avoir giflé deux jours plus tôt le président Emmanuel Macron lors d’un déplacement dans la Drôme.

Le président Macron retourne au contact du public dans les rues de Valene le 8 juin 2021 peu après avoir été giflé par un homme
© afp.com/PHILIPPE DESMAZES Le président Macron retourne au contact du public dans les rues de Valene le 8 juin 2021 peu après avoir été giflé par un homme

Le procureur de la République de Valence avait requis 18 mois de prison pour violences volontaires sur personne dépositaire de l’autorité publique. L’homme de 28 ans, qui a reconnu avoir donné cette gifle au chef de l’Etat lors de l’audience, a été incarcéré.

Jusque-là inconnu des services de la Justice, Damien Tarel a aussi été condamné à une obligation de travail ou de formation et à une interdiction de port d’armes pendant cinq ans.

Cette gifle, « parfaitement inadmissible » est un « acte de violence délibérée », a soutenu le procureur de la République Alex Perrin face au mis en cause, cheveux longs, t-shirt vert et lunettes sur le nez, qui était jugé en comparution immédiate. Ce dernier pouvait demander un renvoi du procès pour mieux préparer sa défense mais a demandé à être jugé « immédiatement ».

Alex Perrin s’est inquiété d’un possible risque de récidive, disant percevoir « une sorte de détermination froide » chez ce résident de la petite ville de Saint-Vallier.

« Investi par les gilets jaunes »

Damien Tarel a admis lors de l’audience avoir frappé le président, d’un geste « impulsif ». « Je ne l’apprécie pas et quand il s’est dirigé directement vers moi, dans un premier temps, ça m’a surpris », a raconté celui qui s’est dit « investi par les gilets jaunes dont la voix n’est plus entendue ».

Avant de se l’expliquer. « C’est sa campagne : il essaie de cibler la jeunesse française ». « Quand j’ai vu son regard sympathique et menteur, j’ai compris », a-t-il rapporté, qu’il « voulait faire de moi un potentiel électeur ».

La présidente du tribunal s’est étonnée de ce geste, alors que le mis en cause se dit féru d’arts martiaux. « En quoi votre réaction de mardi est-elle conforme à ces principes, à la chevalerie, à la maitrise que vous enseignent les arts martiaux ? »

« Si on reste dans la réalité, j’ai juste giflé Emmanuel Macron car un sentiment d’injustice m’a parcouru. Cela n’a rien à voir avec la chevalerie ou mes activités personnelles », lui a-t-il répondu.

Damien Tarel a reconnu son ancrage à la droite du spectre politique, assurant que son cri « Montjoie Saint-Denis » prononcé avant sa gifle « fait référence au cri de ralliement historique des chevaliers français. C’est aussi un slogan patriote », a-t-il dit devant le tribunal de Valence.

« Homme lambda »

Sans emploi et vivant du RSA, le mis en cause a reconnu des difficultés scolaires dues à sa dyslexie, un bac passé en deux fois, une formation en thanatopraxie interrompue avant le diplôme national. Depuis la mort de son père, il y a deux ans, il n’a plus retravaillé.

Pour revivifier « sa petite ville de campagne mourante », il a monté trois associations : un club d’arts martiaux médiévaux, une association de jeux et un festival de manga. Et lisait beaucoup sur le Moyen-Age.

Dans sa plaidoirie, son avocate Elodie Guellier s’est émue du rôle de la presse – « ça fait 48 heures que l’entourage vit un enfer » – et a demandé au tribunal de « relativiser les faits ». « Son objectif était d’échanger avec le président », a-t-elle ajouté, reconnaissant un « geste particulièrement inadapté » venant d’un homme « lambda » « qui n’a jamais frappé quelqu’un ». « Je pense qu’il a pris conscience de la gravité des faits ».

Appelant le tribunal à ce qu’il n’y ait pas « de justice d’exception » ni de justice « pour l’exemple », elle a suggéré, en vain, des travaux d’intérêt général, car l’incarcération « ne l’amènera à rien ». « Cette décision sera observée, scrutée » et aura même « un écho médiatique international », avait pronostiqué Alex Perrin, en référence aux nombreux journalistes massés au tribunal.

La gifle infligée à Emmanuel Macron à Tain l’Hermitage avait suscité l’indignation de l’ensemble de la classe politique même si le président de la République a relativisé le geste, dénonçant des « faits isolés » commis par « des individus ultraviolents ».

Emmanuel Macron a de nouveau minimisé cet épisode jeudi, estimant que le pays n’est pas dans une situation de tension comme pendant la crise des « gilets jaunes » et préférant insister sur l’ambiance d' »optimisme » qu’il sent en France. « Il faut relativiser et ne rien banaliser » mais « ce n’est pas grave de recevoir une gifle quand on va vers une foule », a-t-il ajouté un entretien à la chaîne BFMTV.

 lexpress.fr 

Inde: test de dépistage du Covid de 28 éléphants, après la mort d’une lionne imputée au virus

Vingt-huit éléphants ont été soumis à des tests de dépistage du Covid-19 dans une réserve forestière du sud de l’Inde, ont annoncé mercredi les autorités, après la mort d’une lionne d’Asie attribuée au virus. 

Vingt-huit éléphants ont été soumis à des tests de dépistage du Covid-19 dans une réserve forestière du sud de l’Inde, ont annoncé mercredi les autorités, après la mort d’une lionne d’Asie attribuée au virus. 

La lionne de neuf ans, dont l’espère est menacée, est morte début juin dans le parc zoologique Arignar Anna à Chennai (ancienne Madras), dans l’État méridional du Tamil Nadu,, selon la presse locale. Il s’agit du premier décès d’un animal en Inde imputé au virus.

Des tests de dépistage ont révélé que la lionne et huit autres félins, dont deux dans un état préoccupant, étaient porteurs du virus, a rapporté la semaine dernière le journal The New Indian Express de Chennai. 

« Après que les lions du zoo de Vandalur (parc zoologique Arignar Anna) ont été testés positifs au Covid-19, on nous a demandé de dépister les éléphants par précaution », a déclaré mercredi à l’AFP un garde-forestier du parc national de Mudumalai, dans le sud du Tamil Nadu.Des vétérinaires effectuent un prélèvement sur un éléphant captif pour un dépistage au Covid-19le 8 juin 2021 au Camp d'éléphants de Theppakadu, au Tamil Nadu, dans le sud de l'Inde© – Des vétérinaires effectuent un prélèvement sur un éléphant captif pour un dépistage au Covid-19le 8 juin 2021 au Camp d’éléphants de Theppakadu, au Tamil Nadu, dans le sud de l’Inde

Des analyses d’échantillons prélevés mardi sur 28 éléphants, dont deux éléphanteaux, doivent être réalisées par l’Institut indien de recherche vétérinaire dans l’État d’Uttar Pradesh (nord). Les résultats sont attendus d’ici une semaine.

« Les animaux n’avaient aucun symptôme, c’était juste par précaution », a précisé le garde-forestier.

« Les prélèvements en soi n’ont posé aucune difficulté », a-t-il ajouté, comme en témoignent des images d’une vidéo de la réserve tournées pendant le processus.

Quelque 21 tigres du parc de Bhagwan Birsa, dans l’État oriental de Jharkhand, ont aussi subi des tests de dépistage la semaine dernière après la mort d’un tigre de 10 ans qui présentait une forte fièvre, selon la presse locale.

L’agence d’information indienne Press Trust of India (PTI), citant les autorités de la réserve, a rapporté qu’un test d’antigène pratiqué sur le tigre s’était révélé négatif mais qu’elles attendaient encore le résultat d’un test RT-PCR.

AFP

Covid/Vaccin: Boni Yayi fait une proposition

Boni Yayi parle à nouveau Covid ! Ce mardi 8 juin 2021, l’ancien président du Bénin a plaidé  pour la non discrimination géographique de la production et de l’accès au vaccin.

Boni Yayi parle à nouveau Covid ! Ce mardi 8 juin 2021, l’ancien président du Bénin a plaidé  pour la non discrimination géographique de la production et de l’accès au vaccin.

Dans ce sens, il fait une proposition.

« Compte tenu de la gravité de la pandémie, je propose la convocation sans délai d’une Assemblée Générale Extraordinaire des Nations Unies, car il s’agit d’une urgence sanitaire mondiale, même si le prochain sommet du G7 se propose d’en discuter », recommande t-il sur le réseau social.

Manassé AGBOSSAGA

Covid/Vaccin : Boni Yayi fait une proposition
Covid/Vaccin : Boni Yayi fait une proposition

Lire sa tribune

« L’HUMANITÉ A L’ÈRE DU COVID-19 ET NÉCESSITÉ D’ÉVITER LA DISCRIMINATION GÉOGRAPHIQUE DE LA PRODUCTION ET DE L’ACCES AU VACCIN

Je salue le leadership des dirigeants mondiaux. Je leur lance un SOS pour accélérer la vaccination des sept (7) milliards d’âmes pour éviter un naufrage.

Les États-Unis d’Amérique se proposent d’alimenter le programme COVAX de 80 millions de doses de vaccins. Tout en saluant ce geste, je considère que c’est un début, compte tenu de l’immensité des besoins en dépit des contributions en cours des autres partenaires comme l’Europe, la Chine la Russie, le secteur privé et la société civile. L’humanité a besoin de près de 14 milliards de doses.

Compte tenu de la gravité de la pandémie, je propose la convocation sans délai d’une Assemblée Générale Extraordinaire des Nations Unies, car il s’agit d’une urgence sanitaire mondiale, même si le prochain sommet du G7 se propose d’en discuter.

Les défis à relever concernent :

1- L’incitation pour la sous-traitance de la production massive des vaccins par la promotion des usines sur tous les continents.

2- Le transfert équilibré ou la distribution judicieuse des productions pour une répartition optimale des vaccins entre pays pauvres afin d’empêcher de les mettre sous influence des pays producteurs de vaccins.

3- La nécessaire reconnaissance des vaccins comme relevant du domaine public avec le transfert du savoir faire technologique. Toutes les précautions devraient être prises pour rassurer les laboratoires détenteurs du savoir faire technologique afin de poursuivre toutes leurs autres recherches scientifiques en toute quiétude. Il s’agit d’un dossier hautement politique d’où la présence des dirigeants de ces laboratoires à cette session extraordinaire de l’Assemblée Générale.

4- Le consensus volontariste pour la mise à contribution de tous les moyens financiers publics comme privés avec un rôle essentiel des Banques Centrales des puissances économiques et financières des monnaies de réserve internationale. Car nos institutions doivent être au service de l’Homme et la vie. Le projet de nouvelles émissions de DTS du FMI de l’ordre de 650 milliards dont 33 milliards pour l’Afrique ne rassure guère. Les puissances occidentales doivent céder leurs parts à titre gracieux aux pays pauvres dont l’Afrique.

L’ambition du Président Macron de porter ce montant de DTS à 100 milliards doit être amplifiée. Sans parler de la question de l’annulation de la dette des pays pauvres marquée par la question des lignes de crédit liés (l’emprunteur doit consommer les produits du préteur) ; l’impact des fluctuations de change qui alourdissent la dette, etc. C’est la raison pour laquelle je milite pour l’annulation de la dette extérieure de l’Afrique pour un nouveau départ et une mise en place d’une nouvelle technologie financière pour une meilleure gestion de la dette intérieure.

Le monde est un village planétaire que nous ne pouvons laisser chavirer si des mesures très fortes et solidaires ne sont prises. Le temps joue contre l’humanité pour tenir compte de la ténacité de ce virus enclin à des mutations perpétuelles plus mortelles .

2% des populations africaines auraient été vaccinées ( contre 42 % aux États-Unis) pour une population africaine de l’ordre de 1,2 milliards déjà exposées à des maladies endémiques. Il faut à tout pris éviter que le bilan des ODD en 2030 ne soit érodé par cette pandémie qui n’était pas attendue.

Personne ne doit être laissé sur le quai de la pauvreté et des crises pandémiques.

La prise en compte des pays pauvres constitue une garantie de sécurité de l’autre partie de l’humanité car le COVID est une arme de destruction massive sans frontière.

Plus de 173 millions de cas signalés dans le monde, trop c’est trop !! »

COVID-19/Canada : 525 nouveaux cas et 15 morts en Ontario

La province recense son plus faible nombre de nouveaux cas de coronavirus en un jour depuis le 27 septembre.

La province recense son plus faible nombre de nouveaux cas de coronavirus en un jour depuis le 27 septembre.

Des travailleurs assemblent un muret de protection en prévision de la réouverture des terrasses à Toronto.
© Frank Gunn/La Presse canadienne Des travailleurs assemblent un muret de protection en prévision de la réouverture des terrasses à Toronto.

Santé publique Ontario confirme 525 nouvelles infections et 15 morts de plus.

Il y a 114 cas à Toronto, 95 dans la région de Peel, 51 dans la région de Waterloo, 40 dans la région de Durham et 34 dans la région de York.

Il y a 2 hospitalisations de plus, pour un total de 547.

En revanche, le nombre de patients aux soins intensifs diminue à 497 (-13).

Il y a 941 nouvelles guérisons. Le nombre de cas actifs est de 7937 (-431).

Vaccination

Un peu plus de 116 800 doses des vaccins contre la COVID-19 ont été administrées dimanche.

Depuis 8 h lundi, des milliers d’Ontariens de plus sont admissibles à prendre rendez-vous pour leur deuxième dose.

Dépistage

Moins de 15 200 tests de dépistage ont été effectués au cours des dernières 24 heures.

Les laboratoires affiliés à la province peuvent analyser 70 000 échantillons par jour. Toutefois, le bilan des tests est souvent plus faible le lundi, à la suite d’une baisse durant le week-end.

 CBC/Radio-Canada

Autre cas de thrombose lié à AstraZeneca au Québec: le ministère réévalue le risque

Dans un communiqué, le ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS) a précisé que ce neuvième cas de thrombose avec thrombocytopénie (TIPIV) est survenu après l’administration d’une première dose. 

Le gouvernement du Québec a signalé mardi un neuvième cas de thrombose lié au vaccin Oxford-AstraZeneca contre la COVID-19. © Fournis par La Presse Canadienne

Dans un communiqué, le ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS) a précisé que ce neuvième cas de thrombose avec thrombocytopénie (TIPIV) est survenu après l’administration d’une première dose. 

Selon le ministère, la personne en question a été prise en charge par le réseau de la santé et «récupère présentement à son domicile et l’évolution de son état de santé est favorable». 

Risque plus élevé que prévu 

Selon les données du MSSS, les cas de thrombose reliés au vaccin AstraZeneca demeurent rares. 

Alors qu’il y a une dizaine de jours, le MSSS considérait qu’une thrombose survenait environ à chaque 100 000 premières doses administrées, le ministère indique désormais que cette complication survient environ 1 fois sur 50 000 vaccins administrés lors de la première dose.  

Lors de la seconde dose selon le MSSS, «le risque est beaucoup plus faible, de l’ordre d’un cas sur 600 000». 

Il y a une semaine, le ministère considérait que le risque lors de la seconde dose était de l’ordre «d’un cas sur un million». 

Le MSSS invite les personnes qui ont reçu ce vaccin à consulter rapidement un médecin ou Info-Santé si, dans les 4 à 20 jours suivant la vaccination, les symptômes suivants se manifestent: un essoufflement, de la douleur à la poitrine, une enflure des jambes ou une douleur au ventre, un mal de tête important ou qui dure depuis quelques jours, une vision floue ou des bleus sur la peau.

Stéphane Blais, La Presse Canadienne

Covid/Canada: Les écoles en Ontario ne rouvriront pas avant septembre, annonce Doug Ford

L’apprentissage en ligne avait été décrété en Ontario à la mi-avril, au milieu d’une troisième vague particulièrement sévère. Les bilans se sont améliorés depuis et le gouvernement a récemment dévoilé un plan de déconfinement qui devrait entrer en vigueur à la mi-juin, mais les écoles n’en faisaient pas partie.

Les écoles de l’Ontario ne rouvriront pas pour l’apprentissage en personne avant septembre prochain.© Fournis par La Presse Canadienne

L’apprentissage en ligne avait été décrété en Ontario à la mi-avril, au milieu d’une troisième vague particulièrement sévère. Les bilans se sont améliorés depuis et le gouvernement a récemment dévoilé un plan de déconfinement qui devrait entrer en vigueur à la mi-juin, mais les écoles n’en faisaient pas partie.

Plusieurs réclamaient que les écoles rouvrent pendant le dernier mois de l’année scolaire. Le médecin hygiéniste en chef de la province et la grande majorité de ses collègues régionaux et d’autres experts estimaient que les élèves devraient retourner en classe, pour leur bien-être. Indécis, le premier ministre, Doug Ford, avait demandé conseil la semaine dernière et il a passé les derniers jours à y réfléchir. Il a finalement annoncé mercredi que les écoles ne rouvriraient pas pour le dernier mois de l’année scolaire.

L’Ontario signalait mercredi 733 nouveaux cas de COVID-19 et 25 autres décès liés au virus. Des 733 nouveaux cas signalés mercredi, 173 étaient recensés à Toronto, 134 dans sa banlieue de Peel et 69 dans celle de York, ainsi que 66 à Hamilton. Ces données sont basées sur près de 31 800 tests effectués. Le ministère de la Santé indique que 708 personnes étaient hospitalisées mercredi, dont 576 aux soins intensifs et 399 sous respirateur.

Le gouvernement précise que 139 901 doses d’un vaccin COVID-19 ont été administrées depuis le rapport de mardi, pour un total jusqu’ici de plus de 9,3 millions.

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L’ordonnance de rester à domicile a été levée mercredi, mais la plupart des autres mesures de santé publique restent en vigueur. L’ordonnance, promulguée en avril, demandait aux Ontariens de ne quitter leur résidence que pour des raisons jugées essentielles, comme l’épicerie, les soins de santé ou l’exercice physique.

Mais d’autres mesures demeurent en vigueur, comme la limite de cinq personnes pour les rassemblements extérieurs et les restrictions sur les commerces et d’autres entreprises. Le gouvernement Ford souhaite commencer à «rouvrir l’économie» plus tard ce mois-ci avec des règles plus souples sur les entreprises et les activités de plein air.

La Presse Canadienne