Bénin-Cybercriminalité : Les mises en garde du Gouvernement aux parents des cybercriminels

Le Porte-parole du gouvernement se prononce à nouveau sur la lutte contre la cybercriminalité. Face à la presse, Wilfried Léandre Houngbédji a réitéré l’engagement du gouvernement à traquer sans relâche les cybercriminels.

Le Porte-parole du gouvernement se prononce à nouveau sur la lutte contre la cybercriminalité. Face à la presse, Wilfried Léandre Houngbédji a réitéré l’engagement du gouvernement à traquer sans relâche les cybercriminels.

Dans cette optique, il a interpellé les parents de ces derniers. «  (…) s’il y a des enfants dont les parents sont au courant de leurs activités illicites et en bénéficient impunément, ces parents, je veux croire qu’il n’en existe pas,  parce que je crois que tous les parents sont responsables et inculquent les valeurs à leurs enfants, je veux croire qu’il n’y en a pas, mais s’il y en avait, ces parents doivent savoir qu’ils sont à tout le moins complices du crime et receleurs du fruit du crime. Ce qui est tout aussi répréhensible », a fait savoir le porte-parole du Gouvernement.

D’un ton ferme, Wilfried Léandre Houngbédji a soutenu que la justice n’hésitera pas à mettre la main sur les parents qui bénéficient consciemment  de l’activité illicite de leurs enfants. «    Il n’y aura aucun répit dans la lutte  contre le phénomène, contre le crime et les complicités où qu’elles se trouvent, si elles sont épinglées, elles seront sanctionnés », a-t-il martelé.

Répondant à ceux qui défendent les cybercriminels ou trouvent de circonstances atténuantes, mettant en avant le chômage, il a laissé entendre que « rien ne justifie le crime ». « Personne n’a si faim au point d’aller dépouiller les autres pour vivre », s’est défendu le porte-parole du gouvernement.

Pour Wilfried Léandre Houngbédji, il faut plutôt  « indexer les questions d’éducation, les questions de valeur, d’éthique dans nos familles et ensuite  la dimension individuelle ».

Et de lancer pour clore le débat « Il n’y a pas lieu de faire l’apologie du crime. Ce n’est pas le rôle du gouvernement. Le rôle du gouvernement, c’est de promouvoir les valeurs, c’est de sanctionner le crime ».

M.A

Cybercriminalité : L’OCRC va se rapprocher de sa clientèle dans le septentrion

Mauvaise nouvelle pour les cybercriminels exerçant depuis le nord Bénin.  Pour cause, l’Office Central de la Répression de la Cybercriminalité (OCRC) arrive dans le Borgou.

Mauvaise nouvelle pour les cybercriminels exerçant depuis le nord Bénin.  Pour cause, l’Office Central de la Répression de la Cybercriminalité (OCRC) arrive dans le Borgou.

Selon les informations rapportées par Fraternité Fm, la police de l’Internet est en train de prendre quartier dans la troisième ville à statut particulier du Bénin. La Direction Départementale de la Police Républicaine du Borgou pourrait accueillir l’équipe de l’OCRC.

Gayman résidant dans Parakou et environs, vous êtes donc prévenus !!!

M.A

Traque des cybercriminels : les réserves de l’ODHP (déclaration)

Depuis quelques mois et particulièrement au cours de ce mois de mars, on assiste à une campagne tous azimuts de la police à travers le pays pour traquer les cybercriminels appelés communément « GAYMANS ». Il n’y a presque pas de jours où on ne parle de descente de la police dans tel ou tel quartier de telle ou telle ville à cet effet. Ainsi, on entend ou on lit que l’Office central de répression de la cybercriminalité (OCRC) a mis la main sur 10 présumés cybercriminels à Akpro-Missérété, Cotonou et Abomey-Calavi, 13 présumés cybercriminels arrêtés à Atchoukpa et Porto-Novo, ou 17 jeunes gens et femmes arrêtés à Agoué, ou encore escroquerie de cybercriminels : 4 policiers dont 2 commissaires et un avocat devant la brigade criminelle, etc. Pire, on annonce l’arrestation de plus de 130 jeunes dans ce cadre, il y a quelques jours; la zone du village universitaire d’Abomey-Calavi serait systématiquement assiégée par la police qui y opèrerait des rafles quotidiennes sur fond de brutalité et de violence contre ces jeunes. Au moins deux centaines de jeunes seraient en prison à l’heure actuelle et la campagne se poursuit.

DECLARATION A PROPOS DE LA CAMPAGNE EN COURS CONTRE LA CYBERCRIMINALITE

ORGANISATION POUR LA DEFENSE DES DROITS DE L’HOMME ET DES PEUPLES (ODHP)

Depuis quelques mois et particulièrement au cours de ce mois de mars, on assiste à une campagne tous azimuts de la police à travers le pays pour traquer les cybercriminels appelés communément « GAYMANS ». Il n’y a presque pas de jours où on ne parle de descente de la police dans tel ou tel quartier de telle ou telle ville à cet effet. Ainsi, on entend ou on lit que l’Office central de répression de la cybercriminalité (OCRC) a mis la main sur 10 présumés cybercriminels à Akpro-Missérété, Cotonou et Abomey-Calavi, 13 présumés cybercriminels arrêtés à Atchoukpa et Porto-Novo, ou 17 jeunes gens et femmes arrêtés à Agoué, ou encore escroquerie de cybercriminels : 4 policiers dont 2 commissaires et un avocat devant la brigade criminelle, etc. Pire, on annonce l’arrestation de plus de 130 jeunes dans ce cadre, il y a quelques jours; la zone du village universitaire d’Abomey-Calavi serait systématiquement assiégée par la police qui y opèrerait des rafles quotidiennes sur fond de brutalité et de violence contre ces jeunes. Au moins deux centaines de jeunes seraient en prison à l’heure actuelle et la campagne se poursuit.

L’ODHP dénonce et condamne la brutalité et la violence dont la police fait usage contre les jeunes ainsi que les conditions de détention dégradantes et inhumaines qui leur sont imposées.

Lors de la Semaine des libertés initiée par l’ODHP en mai 2022, il est apparu que les droits économiques, sociaux et culturels sont le dernier souci du Gouvernement qui les viole royalement. Le jeune étudiant qui finit sa formation, le jeune ouvrier « libéré » n’a aucune garantie d’emploi décent, aucune prise en charge pour la santé, aucune structure de prévoyance sociale pour lui venir en aide en cas de nécessité, pratiquement pas de soutien professionnel ou technique.

Cette campagne et les dérives qu’elle provoque suscitent des débats et des déballages sur les réseaux sociaux. Des gens vont jusqu’à affirmer que si le phénomène de la cybercriminalité ou de gayman est réel, il a été entretenu et encouragé par des acteurs politiques et /ou hommes d’affaires, etc. Dans le fond, la gouvernance du pouvoir de Talon n’offre aucune perspective aux jeunes. Mais à la vérité, il faut s’interroger justement sur ces perspectives pour la jeunesse.

A l’analyse, il apparait que les révélations et les déballages illustreraient une profonde crise de faillite de la gouvernance du Président Talon aux dimensions multiples : politique, économique, sociale et culturelle, même morale. Cette crise révèle ceci que des gens dits de la société civile qui ont fait campagne aux slogans de gouverner par l’exemple (entendre par la probité et le respect des droits humains en l’occurrence) sont rapidement devenus des chantres de la ruse et de la rage comme mode opératoire de la gouvernance politique avec son corollaire, l’arbitraire par la confiscation des libertés élémentaires, la fabrication de lois anti peuple et donc la violation de tous les droits souverains du peuple allant jusqu’à livrer le pays à l’occupation de troupes militaires étrangères (Barkhane), la confiscation du droit de participer et de désigner ses représentants avec des lois, dispositions administratives et financières exclusives des travailleurs, des artisans, des paysans et des jeunes notamment. De sorte qu’aujourd’hui, le pays est pris en otage par une classe politique avec des clans qui pillent et ruinent l’économie nationale, avec des trafics de tout genre (drogue notamment dont le pays serait devenu la plaque tournante, le blanchiment d’argent pour lequel le Nigeria indexe le Bénin et en interdit le dépôt dans ses banques), le tout dans l’incapacité de satisfaire les besoins d’instruction, d’emploi et de bien-être social à la jeunesse et au peuple. Au contraire, place nette est faite aux amis de clan avec par exemple les Toboula et autre Dassigli de qui peuvent bénéficier des faveurs de la justice et s’offrir pour l’un une évacuation sanitaire fantaisiste pendant qu’on torture ou qu’on maintient des centaines de jeunes en prison. En somme, l’impunité pour les hommes des clans au pouvoir.

Alors, l’odhp considère que la violence et la brutalité sur les jeunes détenus pour cybercriminalité doit cesser et que le gouvernement devrait réfléchir plutôt sur les causes de la crise multidimensionnelle décrite en vue de solutions idoines pour toute la société et surtout pour la jeunesse.

Et ce ne sera que justice, sinon, le pouvoir pousse la jeunesse abusée à la légitime défense.

Cotonou, le 16 mars 2023

Le Bureau Exécutif National

 

Gayman, policiers, gouvernants: Richard Boni Ouorou met chacun devant ses responsabilités, lire sa pertinente analyse sur la lutte contre la cybercriminalité

D’un côté, nous avons un crime justifiable et à l’opposé, nous allons inéluctablement vers des crimes excusables.

Mardi 21-03-2023 sur le phénomène dit de Gayman ou cybercriminalité.

Terrien,ne,s Bonjour.

Il me Plait de discuter avec vous Concernant le phénomène ci-dessus mentionné et de la répression subséquente.

De mon point de vue, Nous allons vers deux crimes de natures différentes.

D’un côté, nous avons un crime justifiable et à l’opposé, nous allons inéluctablement vers des crimes excusables.

Toutefois, si le premier est encore, dans le contexte des arrestations rapportées, un crime absolument présumé malgré la nature de la répression à laquelle les sujets sont soumis, le second lui est définitif et définitivement perçu comme tel. Le délit de faciès étant un crime discriminatoire, nous conviendrons que les faits sur lesquels se basent les policiers pour procéder aux arrestations, sont discriminatoires et que la répression peut constituer un délit en ce que les arrestations, dans les contextes rapportés, reposent uniquement sur le comportement, l’aspect social et la nature physique des personnes inculpées.

Cela dit, sur le fond, devrait-on céder au fait que de telles arrestations n’enfoncent plus davantage les populations et la jeunesse surtout dans un état de psychose permanent, ne détruise encore plus le tissu social déjà fragile, pour laisser le germe s’implanter définitivement?

A l’évidence, ce phénomène s’il n’est pas éradiqué, produira des effets multiples et divers sur non seulement l’économie qui manquera de forces productrices, mais en se professionnalisant comme le phénomène tant à l’être ; C’est-à-dire, en constituant et étant considéré pour des familles, comme une source de revenu d’emploi, le phénomène de Gayman sera dès lors perçu par une partie de la population comme une activité lucrative dont un emploi permanent avec l’illusion que chaque gain est mérité car étant une —*rémunération*—

Dès lors, que la pratique s’installera dans la perception générale comme une profession et chaque gain comme une rémunération, sans des mécanismes efficaces d’insertion en
Amont ou de réinsertion après ou pendant que le sujet soit entrain de purger une peine pour ce délit, la répression sera perçue comme une méthode brutale visant d’autres objectifs et les forces de répression seront prises à partie ce qui par extension peut amener à un désaveu des politiques.

Donc, il ne faut pas seulement réprimer, mais il faut que l’état prévienne, anticipe en orientant ou réorienter.

Attention ça risque d’être long, mais si vous avez déjà commencé la lecture il vaut mieux la finir.

En attendant de parler de l’orientation ou de la réorientation, voyons pourquoi le crime (le gay) est un délit ou un crime justifiable comme discuté plus haut.

A l’évidence, aucun crime ni délit n’est justifiable me direz vous.

Mais vous avez tout faux et je ne cherche pas des circonstances atténuantes , parce que je devrais pour ça, pouvoir vous convaincre qu’en commentant le délit, que les prévenus n’avaient pas l’intention de nuire ou porter atteinte diversement. Mais ce serait faux, ils savent ce qu’ils font.

Cependant, pourquoi le crime est quand même justifiable ?

A partir de maintenant, si vous me lisez attentivement, vous percevrez l’idée de l’orientation et de la réorientation.

Le délit ou le crime d’abus de confiance et ce spécifiquement ce qui concerne le gayman, est justifiable au sein de notre société sous deux angles.

Le premier constat est lié a l’orientation scolaire et à l’insertion professionnelle.

Il faut dire tout de suite et sans ambages, que le parcours scolaire dans notre pays est trop long et n’aboutit généralement à rien ou pas à grand chose. Il est temps de revoir le processus de « diplomation » afin de réduire le parcours scolaire de certains qui pourront très rapidement aller sur le marché de l’emploi.

Mais plus important encore, il faudra réduire l’accès à certaine filière telle que le droit par exemple ou à peine 2% de la population ont recours aux services d’un juriste. Il y a aussi les disciplines linguistiques ( espagnol et autres) dont le nombre d’apprenant augmente à chaque année, mais qui ne fournit aucun emploi à la fin et la liste est longue.

Le second constat est l’absence de professionnalisation des méthodes de production et de transformation de nos ressources de consommation, car, les filières agricoles générales ne répondent pas aux besoin spécifique. Nous avons beaucoup de produits à la consommation, mais dont les méthodes de transformation ne sont pas professionnalisées pour ouvrir de nouveaux marchés et de nouveaux emplois. Par conséquent, il devient urgent compte tenu de l’augmentation démographique, de mettre en place des mécanismes d’orientation scolaire, de fixer un quota annuel pour l’accès à plusieurs autres formations académiques et professionnaliser nombre de méthodes de production et de transformation des ressources à la consommation en interne. Là, il s’agit de l’orientation.

Concernant la réorientation et permettez moi de limiter les détails, il est 2:52 mn ici à Montréal donc j’essaie d’aller plus vite pour pouvoir rentrer dans les bras de ma femme qui ronfle déjà à côté de moi et m’endormir. Elle me tuera si elle sait que j’ai écrit ça (lol).

Pour que la répression soit efficace et si c’est la seule méthode qui est choisie par le régime en place qui adore la brutalité pour ne pas trop réfléchir à des solutions durables, pour que la répression soit efficace, il faut des mécanismes d’insertion sociale pendant et après l’emprisonnement, pour éviter la récidive spontanée et même le besoin de récidive obligatoire.

Mais en dehors des mécanismes sociaux spécifiquement mis en œuvre pour les sujets inculpés, il faut des mécanismes sociaux d’équilibre économique ou d’accompagnement social, de façon à éviter la croissance du phénomène par l’implication de plusieurs autres sujets sociaux.

Tout ce qui précède, rend le délit ou le crime justifiable socialement, politiquement et économiquement.

Concernant le caractère excusable du crime, ce dernier est lié aux forces de l’ordre qui se verront excusées de leurs crimes, malgré, que la répression sans fondement juridique pourrait être la cause de plusieurs effets sociaux négatifs comme la psychose généralisée, le discrédit sur l’Etat de droit, et même qu’une répression brutale et incontrôlée pourrait juste suspendre le mal sans l’endiguer.

Mais vu que l’Etat est le seul qui a le droit d’exercer la violence qui devient légitime à son actif, tout crime commis par les forces de l’ordre pourraient être excusées sans que les populations n’aient aucun moyen de recours et c’est à déplorer.
Ceci doit faire l’objet d’un rapport de plusieurs pages afin de développer aussi le lien entre le phénomène de gay et la corruption d’agent, mais permettez-moi d’être concis et de vous promettre d’espérer que nous le ferons au moment venu.

Prenez soin de vous et excellente journée de travail.

#Prosperonsensemble.

Issa Boni Richard Ouorou❤️

Lutte contre la cybercriminalité : encore de nouveaux clients pour la CRIET

Encore de nouveaux présumés ‘‘gayman’’ choppés. Le commissariat d’Agoué a mis la main sur 17 jeunes hommes et femmes suspectés d’activités cybercriminelles, le mardi dernier.  

Encore de nouveaux présumés ‘‘gayman’’ choppés. Le commissariat d’Agoué a mis la main sur 17 jeunes hommes et femmes suspectés d’activités cybercriminelles, le mardi dernier.

« Suite à des informations persistantes faisant état de ce qu’un groupe d’individus installé dans une maison s’adonne à la cybercriminalité, le commissariat d’arrondissement d’Agoué y a effectué une descente dans la journée du 01er mars 23 au cours de cette opération, 17 individus ont été interpellés dont 04 femmes », explique une note policière.

Selon ladite note, la  « perquisition effectuée dans les chambres qu’ils occupent a permis de saisir 18 téléphones portables Androïd, un ordinateur portatif contenant des informations compromettantes, et 07 motocyclettes neuves »,

Les 17 présumés cybercriminels arrêtés seront présentés au procureur de la République dans les prochains jours.

M.A

Chasse au gayman : « C’est un chantier qui va être permanent pour notre quiétude collective », assure le gouvernement

Au Bénin, les cybercriminels vivent un cauchemar depuis quelques jours. Ils sont traqués partout par la Police républicaine. Mais loin des critiques et encouragements, le porte-parole  du Gouvernement, Wilfried Leandre Houngbédji a, au cours d’une rencontre avec la presse, assuré que la lutte contre la cybercriminalité est un « chantier qui va être permanent  pour le  bien de la société ».

Au Bénin, les cybercriminels vivent un cauchemar depuis quelques jours. Ils sont traqués partout par la Police républicaine. Mais loin des critiques et encouragements, le porte-parole  du Gouvernement, Wilfried Leandre Houngbédji a, au cours d’une rencontre avec la presse, assuré que la lutte contre la cybercriminalité est un « chantier qui va être permanent  pour le  bien de la société ».

Avis aux cybercriminels ou soutiens de ces derniers !  Malgré les critiques et appels à la clémence de certains artistes, le gouvernement de la rupture n’entend pas diminuer la pression dans sa lutte contre la cybercriminalité. Interrogé sur les nombreuses interpellations de plusieurs jeunes présumés cybercriminels et le mécontentement observé chez certains, Wilfried Léandre Houngbédji a soutenu que le « chantier sera permanent ». Et ce pour le « bien de la société », a précisé le porte-parole du gouvernement.

« C’est un chantier qui désormais va être permanent,  parce que tant que les réseaux existent, il y aura toujours des gens pour se comporter  autrement que les textes l’autorisent, exactement comme la police existe parce qu’il faut  assurer l’ordre et la sécurité puisqu’il y aura toujours des gens pour se mettre en délicatesse  avec les lois et règlements. De la même façon  sur les réseaux sociaux, on entend bien qu’il n‘y aura pas de répit, et parce qu’il n’y aura pas de répit,  il s’entend aussi que la police ne puisse pas dormir sur ses lauriers.

Donc chaque fois qu’il va y avoir nécessité de faire des opérations, soit parce que les informations parviennent, soit parce que les indices probants permettent de remonter une filière, la police fera son travail. Et j’ajouterai toujours pour notre quiétude collective, pour le bien de notre société », a-t-il déclaré.

Wilfried Léandre Houngbédji a soutenu que « l’action de la police pour déloger ces réseaux   n’est « dirigé contre personne ».

 L’appel de Vano

Dans un direct, Vano Baby s’était fait l’avocat-défenseur des jeunes présumés cybercriminels arrêtés, proposant une réduction de peine. Le porte-parole du Gouvernement a été interpelé sur cet appel du rappeur au chef de l’Etat.

Wilfried Léandre Houngbédji a indiqué que c’est son « appel » à lui, mais que le gouvernement se contentera de faire son « travail », celui d’assurer la « sécurité des béninois et béninoises ».

« Le gouvernement n’a rien à dire. Il a lancé son appel en tant qu’artiste, peut-être pour ses amis où la jeunesse, c’est son appel à lui. Le gouvernement fait son travail, celui d’assurer la sécurité de tous les béninois », a-t-il réagi.

Gayman et autres sont donc prévenus !!!

Manassé AGBOSSAGA

Bénin- Neuf présumés cybercriminels déposés en prison

De nouveaux clients pour la prison. 9 présumés cybercriminels séjournent en prison depuis ce mercredi 11 mai 2022.

En réalité, ils ont été placés en détention préventive après leur présentation  au procureur spécial de la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (Criet), ce mercredi 11 mai. Ils étaient 11   présumés cybercriminels à être auditionnés par le ¨Procureur spécial de la Criet.

Après audition, neuf ont été déposés en prison. Ils sont poursuivis pour des faits d’escroquerie via internet.

Manassé AGBOSSAGA

Bénin- Six présumés cybercriminels déposés en prison

Encore des présumés cybercriminels déposés en prison au Bénin. Ce jeudi 28 avril 2022, six présumés cybercriminels ont été placés sous mandat de dépôt.

Encore des présumés cybercriminels déposés en prison au Bénin. Ce jeudi 28 avril 2022, six présumés cybercriminels ont été placés sous mandat de dépôt.

Poursuivis pour des faits d’escroquerie en ligne,  prêt fictif  et don imaginaire via internet, les six présumés cybercriminels ont été présentés au Procureur spécial de la cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (Criet), Mario Mètonou, ce jeudi.

C’est après leur audition, qu’ils ont été déposés en prison en attendant leur procès.

Les mis en cause ont été conduits à la Criet par l’Office central de répression de la cybercriminalité (OCRC), le mardi 26 avril dernier.

Manassé AGBOSSAGA

Bénin: 7 présumés cybercriminels déposés à la prison civile d’Akpro-Missérété

Au Bénin, les autorités continuent de marquer à la culotte les cybercriminels. Preuve, 7 nouveaux présumés cybercriminels viennent d’être interpellés par les autorités policières et judiciaires du pays.

 

 

Au Bénin, les autorités continuent de marquer à la culotte les cybercriminels. Preuve, 7 nouveaux présumés cybercriminels viennent d’être interpellés par les autorités policières et judiciaires du pays.

Les mis en cause sont  de nationalité béninoise et nigériane.  Ils ont été déposés à la prison civile d’Akpro-Missérété, ce mercredi 23 février 2022.

D’après Frissons Radio, les 7 présumés cybercriminels  trompent la vigilance de leur victime à travers des prêts et dons fictifs.

Placés sous mandat de dépôt, ils seront jugés dans les prochains mois.

 Manassé AGBOSSAGA

Bénin : 13 présumés cybercriminels arrêtés à Tohoué, six autres à Agblangandan

Au Bénin, la Police républicaine accentue la lutte contre la cybercriminalité. Elle vient de mettre la main sur de présumés pratiquants dans la commune de Sèmè-Podji, située dans le département de l’Ouémé.

Pour cause, le  mercredi 11 août 2021,   une équipe du commissariat d’arrondissement de Tohoué a procédé,  sur renseignements à l’interpellation de 13 individus suspects qui ont loué une chambre au quartier au quartier Glogbo.

Selon une note policière, ces derniers ont été « surpris attablés chacun devant son ordinateur en pleine activité de cybercriminalité ».

Bénin : 13 présumés cybercriminels arrêtés à Tohoué, six autres à Agblangandan
Les : 13 présumés cybercriminels arrêtés à Tohoué

La perquisition effectuée a permis de saisir neuf ordinateurs portatifs, 17 téléphones portables dont 11 androïde  et six à touches, 2 modem wifi mtn et moov, neuf cartes bancaires de zenith bank et first bank et un montant de 26 mille naïras puis 11 mille 250 fcfa, renseigne la note.

Toujours dans la journée du mercredi 11 août 2021, le commissariat d’arrondissement d’Agblangandan a procédé sur renseignements à l’interpellation de six individus suspects , dans une maison sise au quartier Agblangandan.

La perquisition effectuée a permis de saisir 13 ordinateurs portables , dix téléphones portables dont 8 androïde et 2 à touches , trois modems wifi mtn et moov, sept cartes bancaires de diverses structures, quatorze plaquettes sim de différents réseaux et autres accessoires

Dans les deux cas, la Police républicaine poursuit les enquêtes.

Manassé AGBOSSAGA