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A travers un communiqué en date du 20 juillet, signé de son président Jacques Ayadji, le parti Mouvement des élites engagés pour l’émancipation du Bénin (Moele-Bénin) se prononce sur les dernières démissions annoncées de certains membres.
A travers un communiqué en date du 20 juillet, signé de son président Jacques Ayadji, le parti Mouvement des élites engagés pour l’émancipation du Bénin (Moele-Bénin) se prononce sur les dernières démissions annoncées de certains membres.
Le parti dit être surpris par ces annonces, car le secrétariat administratif de Moele-Bénin, « n’ayant reçu jusqu’à ce mercredi 20 juillet 2022, aucune lettre de démission des intéressés ».
« En conséquence, Ildevert Gnikpo, Léopold Ahouandjinou, Soulémane Yacoubou Thierry Faki Adjé, Souleymane Bandélé et Abdel Kawli Yola-Kpara demeurent membres du parti Moele-Bénin et se retrouvent de ce fait en situation d’appartenance à plus d’un parti politique à la fois au cas où ils auraient déjà formalisé leur adhésion à un autre parti politique », précise le communiqué.
En attendant, le bureau politique national de Moele-Bénin, réuni en session extraordinaire, le 20 juillet dernier, a décidé, face ce qui est qualifié « d’agissements », de suspendre de leurs fonctions respectives au sein des instances du parti : Ildevert Gnikpo, Léopold Ahouandjinou, Soulémane Yacoubou Thierry Faki Adjé et Souleymane Bandélé.
Ambiance de démission et de sanction au parti Mouvement des élites engagés pour l’émancipation du Bénin (Moele-Bénin) à moins de six mois des législatives de janvier 2023, donc.
Surprise générale. Joseph Djogbénou n’est le président de la Cour constitutionnelle. Il a rendu le tablier ce mardi 12 juillet 2022 au vice-président de la Haute juridiction.
Surprise générale. Joseph Djogbénou n’est le président de la Cour constitutionnelle. Il a rendu le tablier ce mardi 12 juillet 2022 au vice-président de la Haute juridiction.
« Le vice-président de la Cour constitutionnelle, Razaki Amadou Issifou a reçu ce jour mardi 12 juillet 2022, la lettre de démission de Joseph Djogbénou, en sa qualité de Conseiller et consécutivement de président de la Cour constitutionnelle », annonce Giles Badet Secrétaire général de la Cour constitutionnelle, qui ajoute que la passation de charges entre le président sortant et le vice-président aura lieu ce mercredi 12 juillet 2022.
Cette démission inattendue intervient au lendemain de la rencontre entre Joseph Djogbénou et Patrice Talon au palais de la marina.
Joseph Djogbénou a succédé à Théodore Holo en 2018 à la tête de la Cour constitutionnelle.
Premier acte dans le camp présidentiel après le verdict du second tour des législatives. Deux jours après la perte de la majorité absolue du parti au pouvoir, la Première ministre Elisabeth Borne a remis sa démission au président Emmanuel Macron ce mardi, 21 juin 2022.
Premier acte dans le camp présidentiel après le verdict du second tour des législatives. Deux jours après la perte de la majorité absolue du parti au pouvoir, la Première ministre Elisabeth Borne a remis sa démission au président Emmanuel Macron ce mardi, 21 juin 2022.
La Première ministre Elisabeth Borne a remis sa démission au président Emmanuel Macron dans la matinée de mardi 21 juin 2022. L’annonce a été faite par l’Elysée.
Toutefois, le président Français a dit non à cette démission. L’lysée a refusé la démission de la Première ministre Elisabeth Borne « afin que le gouvernement puisse demeurer à la tâche et agir en ces jours ».
Macron va consulter les chefs des autres partis
Le camp présidentiel qui a perdu la majorité absolue veut entamer des discussions. Selon la présidence, Emmanuel Macron va s’entretenir avec les chefs de parti ce mardi et mercredi à l’Elysée.
Pour l’Elysée ces « consultations politiques » sont « nécessaires afin d’identifier les solutions constructives envisageables au service des Français ».
Adolphe Djiman n’est plus membre du Conseil électoral. Il a rendu le tablier.
C’est le Secrétaire général adjoint et porte-parole du gouvernement qui a annoncé la nouvelle. Wilfried Léandre Houngbédji a annoncé le départ de Adolphe Djiman du Conseil électoral lors d’une rencontre avec la presse écrite et en ligne, ce vendredi 3 septembre 2021.
Il a été évasif sur les sources de son départ, évoquant des raisons personnelles.
Le chef de l’Etat devra donc nommer une nouvelle personne. Il est fort à parier que Patrice Talon porte son choix, cette fois-ci, sur une femme.
Les excuses n’auront pas suffi et son infidélité lui aura coûté son poste. Le ministre de la Santé britannique, Matt Hancock, a annoncé ce samedi, sur Twitter, qu’il démissionnait. Dans une photo publiée en Une par The Sun, vendredi, on voyait l’homme politique embrasser son assistante, Gina Coladangelo. Si l’image a fait polémique, ce n’est pas parce que ce père de trois enfants a été surpris en train de tromper sa femme, mais parce qu’il ne respecte pas la distanciation sociale, qui était la règle à ce moment-là, début mai.
Les excuses n’auront pas suffi et son infidélité lui aura coûté son poste. Le ministre de la Santé britannique, Matt Hancock, a annoncé ce samedi, sur Twitter, qu’il démissionnait. Dans une photo publiée en Une par The Sun, vendredi, on voyait l’homme politique embrasser son assistante, Gina Coladangelo. Si l’image a fait polémique, ce n’est pas parce que ce père de trois enfants a été surpris en train de tromper sa femme, mais parce qu’il ne respecte pas la distanciation sociale, qui était la règle à ce moment-là, début mai.
« Je reconnais avoir enfreint les consignes de distanciation sociale », avait déjà déclaré vendredi Matt Hancock dans un court communiqué. « J’ai déçu les gens et je suis vraiment désolé », a-t-il ajouté, demandant « le respect de sa vie privée sur ce sujet personnel ». Le Premier ministre a « accepté les excuses » de Matt Hancock et « considère le sujet clos », avait plus tard déclaré un porte-parole de Downing Street, mais sa position était cependant jugée « intenable » par la présidente du parti d’opposition travailliste, Anneliese Dodds.
Matt Hancock n’aura finalement pas tenu longtemps. « Ceux d’entre nous qui font ces règles doivent s’y tenir », justifie-t-il dans une vidéo postée sur Twitter, en fin d’après-midi ce samedi. « Nous nous devons d’être honnêtes envers les gens qui ont tant sacrifié pendant cette pandémie, quand nous les avons déçus comme je l’ai fait en enfreignant les consignes », a-t-il aussi écrit dans sa lettre de démission remise au Premier ministre Boris Johnson, réitérant ses excuses.
D’autres polémiques pour le ministre
D’autres accusations visaient déjà Matt Hancock, embarrassantes pour ce ministre au coeur de l’action gouvernementale face à la pandémie de Covid-19, qui a fait plus de 128 000 morts au Royaume-Uni. Lors d’une audition parlementaire en mai, l’ex-conseiller du Premier ministre Boris Johnson, Dominic Cummings, avait accusé Matt Hancock d’avoir « menti » à plusieurs reprises et jugé qu’il aurait dû être « viré ». Mi-juin, il a affirmé, capture d’écran à l’appui, que Boris Johnson avait qualifié Matt Hancock de « putain de nul » dans sa gestion de la pandémie. L’embauche de Gina Coladangelo dans son cabinet avait aussi suscité la polémique car elle n’avait pas été déclarée.
Avant cette affaire, un influent conseiller scientifique du gouvernement, Neil Ferguson, avait démissionné en mai 2020 après avoir reçu chez lui une femme, présentée comme sa maîtresse, pendant le premier confinement, imposé deux mois plus tôt. En 2004, Boris Johnson, alors député et marié à l’avocate Marina Wheeler, avait été exclu de la direction du Parti conservateur après avoir menti au sujet d’une liaison qu’il entretenait avec la journaliste Petronella Wyatt.
Le Bloc républicain (BR) enregistre un nouveau départ. Après Jean Michel Abimbola, Wilfrid Kintossou, Chams-Deen Taïrou,…un autre membre vient de prendre ses distances avec Abdoulaye Bio Tchané.
Le Bloc républicain (BR) enregistre un nouveau départ. Après Jean Michel Abimbola, Wilfrid Kintossou, Chams-Deen Taïrou,…un autre membre vient de prendre ses distances avec Abdoulaye Bio Tchané.
Lazare Sah, Membre fondateur du parti dans la 20ème circonscription électorale a annoncé son départ du parti ce jour à nos confrères de la Web Tv Guérite Tv Monde.
Selon lui, le Bloc républicain ne garantit plus un avenir politique à ses militants.
Le président et le premier ministre intérimaires du Mali ont démissionné mercredi, deux jours après avoir été arrêtés par l’armée, a déclaré un assistant du vice-président.
Le président et le premier ministre intérimaires du Mali ont démissionné mercredi, deux jours après avoir été arrêtés par l’armée, a déclaré un assistant du vice-président.
Des soldats, dirigés par le vice-président par intérim Assimi Goita, ont arrêté lundi le président Bah Ndaw et le premier ministre Moctar Ouane et les ont conduits sur une base militaire à Kati, en dehors de la capitale Bamako.
Ces arrestations, qualifiées par plusieurs grandes organisations internationales de « tentative de coup d’État », ont eu lieu quelques heures après que deux membres de l’armée ont perdu leur poste lors d’un remaniement gouvernemental.
« Le président et son Premier ministre ont démissionné. Des négociations sont en cours pour leur libération et la formation d’un nouveau gouvernement », a déclaré Baba Cissé, un assistant de Assimi Goita, dans des commentaires transmis à Reuters par les militaires.
Bah Ndaw et Moctar Ouane étaient chargés de superviser une transition de 18 mois vers le retour à un régime civil, après que l’armée a renversé le président Ibrahim Boubacar Keita en août.
Le colonel Assimi Goita a annoncé mardi avoir pris le pouvoir en assurant que la transition se poursuivrait comme prévu, avec l’organisation d’élections présidentielle et législatives l’an prochain.[L5N2NB53U]
Les démissions des deux dirigeants ont eu lieu pendant la visite d’une délégation de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (Cédéao).
Au cours d’une réunion avec Assimi Goita, tard dans la journée de mardi, la délégation dirigée par l’ancien président nigérian Goodluck Jonathan, a évoqué la possibilité de sanctions contre les officiers responsables de la prise de pouvoir, a déclaré un responsable militaire présent.
Les pays voisins du Mali et les puissances internationales craignent que cette nouvelle crise politique ne déstabilise davantage un pays que des groupes islamistes liés à Al-Qaïda et à l’État islamique utilisent comme base arrière pour des attaques dans toute la région.
La démission d’Elizabeth Astete, ministre des Affaires étrangères, a été confirmée par le président Francisco Sagasti.
Ce départ suit celui de la ministre de la Santé Pilar Mazzetti, vendredi, après que les législateurs l’ont accusée d’avoir dissimulé des informations.
Le scandale a éclaté jeudi lorsque l’ancien président Martín Vizcarra, limogé par le Congrès le 9 novembre pour une allégation de corruption, a confirmé un article de journal selon lequel lui et sa femme avaient secrètement reçu des injections d’un vaccin de la société pharmaceutique d’État chinoise Sinopharm en octobre.
Sur Twitter, M. Sagasti a relaté que pendant l’administration de Vizcarra, 2000 doses supplémentaires du vaccin avaient été reçues de Sinopharm et «certains hauts fonctionnaires avaient été vaccinés».
Elizabeth Astete, qui a dirigé les négociations péruviennes pour acheter les 1 million de doses du vaccin chinois, a indiqué dimanche dans une lettre qu’elle avait reçu une première dose le 22 janvier.
«Je suis conscient de la grave erreur que j’ai commise. C’est pourquoi j’ai décidé de ne pas recevoir la deuxième dose.»
Selon le nouveau ministre de la Santé, Oscar Ugarte, le président a ordonné la démission de tous les responsables qui avaient secrètement reçu le vaccin chinois. M. Ugarte a précisé qu’une enquête est en cours pour identifier les responsables qui ont été secrètement vaccinés en septembre.
Le Pérou a acheté les vaccins début janvier à un prix qui est tenu secret en vertu du contrat. Les médecins et les infirmières ont protesté, car ils n’étaient pas inclus dans les listes des premières personnes à être vaccinées avec les doses reçues de Sinopharm.
La pandémie a causé la mort de 306 médecins et 125 infirmières, et plus de 20 000 médecins et infirmières ont été infectés. Le Pérou a enregistré plus de 1,2 million de cas d’infections au coronavirus avec 43 491 décès liés au COVID-19, selon le décompte des cas de l’Université Johns Hopkins dans le monde.