Invités au palais sans connaître l’ordre du jour : les députés LD vont consulter Yayi pour la suite

Comme annoncé, les députés du groupe parlementaire Les Démocrates étaient au palais de la marina ce lundi 22 janvier 2024. Après leur tête-à-tête, ils ont effectué une sortie médiatique à Cotonou.
Nourénou Atchadé a confié que le président de la République a convié les députés du parti Les Démocrates pour connaître leur position par rapport à la décision DCC 0001 du 04 janvier 2024 portant modification du code électoral.

Comme annoncé, les députés du groupe parlementaire Les Démocrates étaient au palais de la marina ce lundi 22 janvier 2024. Après leur tête-à-tête, ils ont effectué une sortie médiatique à Cotonou.
Nourénou Atchadé a confié que le président de la République a convié les députés du parti Les Démocrates pour connaître leur position par rapport à la décision DCC 0001 du 04 janvier 2024 portant modification du code électoral.

Le président du groupe parlementaire LD a ajouté que le chef de l’Etat est à la recherche de consensus sur les modifications à apporter.

Pas de réponse sans Yayi

Selon les propos de Nourénou Atchadé, les députés LD présents à la rencontre n’ont donné aucune position officielle sur le sujet, confiant que l’ordre du jour était inconnu de leur part.

L’élu de la 14è circonscription électorale a ensuite fait savoir que les élus LD vont consulter le président du parti pour la suite des événements.

Il a laissé entendre que le parti allait se réunir sous l’égide de Boni Yayi pour trancher dans les plus brefs délais.

Pour rappel, Eric Houndété et 03 autres députés n’étaient pas de la partie.

M.A

Assemblée nationale : Le gouvernement convoqué pour s’expliquer sur 03 sujets mercredi prochain

Le gouvernement est attendu au palais des gouverneurs, mercredi 24 mai 2023. Des ministres devront s’expliquer sur trois (03) sujets.

Le gouvernement est attendu au palais des gouverneurs, mercredi 24 mai 2023. Des ministres devront s’expliquer sur trois (03) sujets.

Le président de l’Assemblée nationale invite à cet effet « les honorables députés à prendre part à la séance plénière qui a lieu mercredi 24 mai 2023 au palais des gouverneurs à Porto-Novo ».

Louis Vlavonou a précisé que l’ordre du jour de la séance porte sur l’examen des questions d’actualité, à a savoir « l’explosion à la caserne de Toffo », les « perturbations observées dans la fourniture de l’énergie électrique », « l’atténuation des effets du terrorisme  dans les zones affectées ».

Rendez-vous est pris donc !

M.A

 

« Le vrai débat est revenu à l’assemblée nationale. Ça les irrite », selon Gafari Adéchokan, député LD

Au Bénin, l’opposition a signé son come-back à l’Assemblée nationale après 04 ans de Parlement monocolore. A la faveur des législatives du 08 janvier dernier, 28 députés  du parti Les Démocrates siègent aux côtés des élus de la mouvance présidentielle.

Au Bénin, l’opposition a signé son come-back à l’Assemblée nationale après 04 ans de Parlement monocolore. A la faveur des législatives du 08 janvier dernier, 28 députés  du parti Les Démocrates siègent aux côtés des élus de la mouvance présidentielle.

Et après leur installation le 12 février dernier, l’honorable Gafari Adéchokan soutient que le débat politique est désormais de retour à l’Assemblée nationale avec la présence de l’opposition.

« Le vrai débat est revenu à l’Assemblée nationale… Les problèmes poignants sont évoqués et dénoncés. Si ça ne va pas, nous levons la voix. Nous dénonçons au sein de l’assemblée nationale », a déclaré le secrétaire national à la jeunesse, aux loisirs et aux sports du parti Les Démocrates, face aux jeunes du 03è arrondissement de Cotonou, le dimanche dernier.

Le député de la 15è circonscription électorale a ensuite laissé entendre que les députés de la mouvance, habitués au monologue, se sentent mal à l’aise par cet autre son de cloche.

« Ça les irrite », a semblé ironiser Gafari Adéchokan.

Il a reconnu que le rôle joué par les députés de l’opposition « n’est pas facile », mais est nécessaire après 04 ans d’expérience de parlement monocolore.

« (…) c’est vrai. Ce n’est pas facile. Ça les irrite. Mais, notre rôle, c’est d’évoquer ce qui ne va pas pour qu’on puisse corriger. Nous avons besoin d’apporter la voix du peuple pour corriger les mauvaises habitudes adoptées au cours de la 8è législature ».

M.A

Les députés du parti Les Démocrates chez Soglo ce mercredi

Les députés du parti Les Démocrates rendent visite à Nicéphore Soglo, ce mercredi 26 avril. Ils sont  au domicile de l’ancien président de la République, depuis quelques minutes.

Les députés du parti Les Démocrates rendent visite à Nicéphore Soglo, ce mercredi 26 avril. Ils sont  au domicile de l’ancien président de la République, depuis quelques minutes.

Selon les indiscrétions, la loi d’amnistie initiée par les élus LD  pour faciliter la libération des détenus politiques et le retour des exilés politiques sera au menu des échanges entre Nicéphore Soglo et ses hôtes.

Nous y reviendrons !!!

M.A  

Recours des Démocrates sur la constitution des commissions permanentes : la Cour constitutionnelle garde le suspense

Le dossier des députés du parti Les Démocrates était à la barre à la Cour constitutionnelle ce jeudi 2 mars 2023. Après audition des différentes parties, la cour constitutionnelle n’a pas livré son verdict, renvoyant l’audience au 9 mars prochain.

Le dossier des députés du parti Les Démocrates était à la barre à la Cour constitutionnelle ce jeudi 2 mars 2023. Après audition des différentes parties, la cour constitutionnelle n’a pas livré son verdict, renvoyant l’audience au 9 mars prochain.

La Cour constitutionnelle joue les prolongations au sujet du recours du parti Les Démocrates relatif à la répartition des postes de Présidents des cinq Commissions permanentes de l’Assemblée nationale. Si les conseillers de la haute juridiction ont dans un premier temps, auditionné Nourénou Atchadé, président du groupe parlementaire LD, Eric Houndété, le député Wassangari, puis les présidents des groupes parlementaires BR et UP-R, les présidents des commissions permanentes,  ils ont toutefois retardé le délibéré.

Sans donner le verdict, la Cour constitutionnelle a renvoyé l’audience au jeudi 09 mars prochain pour le rapport

Dans les deux recours introduits par Nourénou Atcahadé le 22 février puis Eric Houndété le 27 février, les requérants demandent notamment la recomposition des commissions parlementaires et la reprise des élections des bureaux desdites commissions.

A la barre ce jeudi 02 mars, ils ont dénoncé la violation de la loi. Ils ont accusé les députés de la majorité parlementaire de ne pas respecter la configuration de l’assemblée nationale conformément aux dispositions de l’article 5  du règlement intérieur de l’institution.

Réagissant à cette accusation Aké Natondé, Orden Alladatin et les autres ont fait savoir que le camp de la minorité a refusé le poste de secrétaire des commissions qui leur ont été proposé. Ils ont soutenu que les députés LD sont les responsables de cette situation.

Après plus de 2 heures de débats et après avoir écouté les plaidoiries des avocats des différentes parties, la Cour constitutionnelle a décidé de garder le suspense en renvoyant l’audience dans une semaine.

M.A

 

« Dans un élan de cupidité, les députés de la majorité parlementaire se sont arrogés tous les postes »

Au cours d’une conférence de presse mercredi 22 février 2023, les députés de la minorité parlementaire ont justifié leur retrait de l’hémicycle le jeudi 16 février dernier. Les élus du parti les Démocrates accusent notamment leurs collègues de « cupidité » qui se « sont arrogés tous les postes des bureaux des commissions techniques ».

Au cours d’une conférence de presse mercredi 22 février 2023, les députés de la minorité parlementaire ont justifié leur retrait de l’hémicycle le jeudi 16 février dernier. Les élus du parti les Démocrates accusent notamment leurs collègues de « cupidité » qui se « sont arrogés tous les postes des bureaux des commissions techniques ». Lire la déclaration lue l’honorable Habibou Wouroucoubou

–  Monsieur le Président du Parti Les Démocrates

–  Mesdames et Messieurs les Responsables à divers niveaux du parti Les Démocrates,

–  Mesdames et Messieurs les Députés à l’Assemblée nationale,

–  Mesdames et Messieurs les journalistes et professionnels des Médias,

–  Mesdames et Messieurs,

En vous conviant ce jour mercredi 22 février 2023, à la présente conférence de presse, nous voudrions porter à votre connaissance certaines informations et par la même occasion clarifier certaines situations.

Comme vous vous en doutez, la présente conférence de presse tablera essentiellement sur l’actualité de la première semaine consacrant l’entrée en fonction des députés de la 9ème législature. A ce propos, qu’il vous souvienne qu’après l’installation du Parlement le 12 février 2023, les députés du parti Les Démocrates, à travers une déclaration politique à la tribune, se sont constitués en groupe parlementaire portant le nom du Parti Les Démocrates.

A l’issue de l’élection des membres du Bureau de l’Assemblée nationale, le même jour la séance a été suspendue. Le Président de l’Assemblée nationale a alors convoqué les députés les mardi 14 février et jeudi 16 février 2023. Cette dernière séance était consacrée, entre autres, à l’élection des membres des bureaux des commissions techniques de l’Assemblée nationale. Au cours de cette séance plénière, les députés du Groupe Parlementaire Les Démocrates se sont retirés de l’hémicycle afin de protester contre la violation des textes par les membres de la majorité parlementaire dans le mode d’élection des membres des Bureaux des commissions techniques.

Que s’est-il réellement passé ?

L’Assemblée nationale du Bénin est composée de cinq commissions techniques dirigées par des bureaux. Après le vote et l’installation des membres du bureau de l’Assemblée nationale, les députés devraient également procéder à la mise sur pied des bureaux des commissions techniques. Conformément au principe à valeur constitutionnelle exigée dans la mise sur pied du bureau de l’Assemblée nationale, l’élection des membres des bureaux des commissions techniques doit également tenir compte de la configuration majorité/minorité.

Ainsi, la prise en compte de ce principe devrait permettre aux députés du groupe parlementaire Les Démocrates, non seulement de présider le bureau d’une commission technique, mais aussi d’avoir certains de ses députés élus parmi les membres des bureaux des autres commissions techniques.

Malgré cette exigence des textes, et dans un élan de cupidité, les députés de la majorité parlementaire se sont arrogés tous les postes des bureaux des commissions techniques.

Chers amis de la presse, voici en résumé, ce qui justifie le retrait des députés du groupe parlementaire Les Démocrates des travaux devant consacrer la mise en place des bureaux des commissions techniques le 16 février 2023.

Je vous remercie

Drame de Dassa : Les députés du parti Les Démocrates veulent voir clair et adressent 12 questions au gouvernement

Le dimanche 29 janvier 2023 notre pays, le Bénin a été endeuillé par un accident de circulation causé par une collision entre un camion et un des bus de transport en commun de la société « baobab Express ». Ce drame a coûté la vie à plus d’une vingtaine de nos compatriotes sur place et a été marqué par l’intervention tardive des sapeurs-pompiers chargés d’éteindre le feu qui a consumé le bus malgré l’existence d’une base des sapeurs-pompiers située à quelques encablures des lieux de l’accident. Dans un communiqué en date du 30 janvier 2023 le Secrétaire Général de la Confédération Syndicale des Travailleurs du Bénin (CSTB), Monsieur KASSA MAMPO a dit en substance « il est heureux d’apprendre

Le dimanche 29 janvier 2023 notre pays, le Bénin a été endeuillé par un accident de circulation causé par une collision entre un camion et un des bus de transport en commun de la société « baobab Express ». Ce drame a coûté la vie à plus d’une vingtaine de nos compatriotes sur place et a été marqué par l’intervention tardive des sapeurs-pompiers chargés d’éteindre le feu qui a consumé le bus malgré l’existence d’une base des sapeurs-pompiers située à quelques encablures des lieux de l’accident. Dans un communiqué en date du 30 janvier 2023 le Secrétaire Général de la Confédération Syndicale des Travailleurs du Bénin (CSTB), Monsieur KASSA MAMPO a dit en substance « il est heureux d’apprendre que le gouvernement a pris des dispositions pour assister et aider à sauver les victimes en détresse. Mais lorsqu’on apprend que l’accident a eu lieu à peine à cinq cent mètres (500 m) du service des sapeurs-pompiers de DASSA-ZOUME, ville capitale des collines, dont le réservoir d’eau et le véhicule de secours sont hors d’usage depuis plus d’un an et qu’il a fallu solliciter le véhicule de secours des sapeurs-pompiers de SAVALOU qui est à plus de trente kilomètres (30 km) des lieux de l’accident, on peut se demander ce qui peut justifier une telle défection d’une structure étatique aussi vitale et sensible que celle-là ».

Mieux, il ressort de nos informations que la plupart des rescapés de cet accident qui ont été conduits au Centre National Hospitalier Universitaire Hubert Koutougou MAGA de Cotonou (CNHU-HKM) sont morts dans l’intervalle d’une semaine.

En vertu des dispositions du règlement intérieur de l’Assemblée Nationale en son article 110 et ses différents alinéas, le gouvernement est invité à répondre à la représentation nationale sur les préoccupations qui suivent :

Quel est le bilan humain de ce drame à la date d’aujourd’hui ?

Quel est le point des matériels fonctionnels dont disposait la base des sapeurs-pompiers de Dassa-Zoumé le jour du drame ?

Pourquoi les sapeurs-pompiers ont-ils mis près d’une heure de temps après l’accident avant d’intervenir alors même qu’une prompte intervention aurait certainement permis de réduire le bilan humain de ce drame ?

Quel groupement des sapeurs-pompiers est intervenu pour éteindre les flammes ?

La base des sapeurs-pompiers située à Dassa-Zoumé avait-t-elle les moyens fonctionnels pour maîtriser promptement le feu ? Quels sont les moyens matériels et humains dont disposent le Groupement National des Sapeurs-Pompiers en général et chacune des bases situées sur toute l’étendue du territoire en particulier ?

Quelles sont les diligences qui ont été mises en œuvre pour la prise en charge des rescapés de ce drame ?

Pourquoi la plupart des rescapés de ce drame sont décédés au CNHU-HKM ?

Pourquoi le gouvernement n’a pas fait l’option d’une évacuation sanitaire ?

Le plateau technique adéquat existe-il au Bénin pour prendre en charge les brûlés à ce degré ?

Pourquoi malgré les réformes annoncées dans le secteur de la santé, il n’est mise en service nulle part ailleurs sur le territoire qu’au CNHU, une unité fonctionnelle de prise en charge des grands brûlés ?

Quelles sont déjà les différentes mesures prises par le gouvernement dans le cadre de la sécurité routière en général et dans le secteur des transports en commun de notre pays en particulier ?

Quelles sont les dispositions prises dans le cadre de la prévention des catastrophes plausibles sur les routes inter-Etats, au regard des passages réguliers de camions chargés de produits inflammables ou d’uranium ?

Drame de Dassa : Richard Boni Ouorou s’interroge sur le silence des députés de la 9è législature

Une minute de silence lors de la cérémonie de leur installation, le dimanche 12 février dernier à Porto-Novo! Voilà la seule réaction des députés de la 9è législature plus de 3 semaines après le drame de Dassa. Entre absence de réactions concrètes et silence,  Richard Boni Ouorou s’interroge sur …

Une minute de silence lors de la cérémonie de leur installation, le dimanche 12 février dernier à Porto-Novo! Voilà la seule réaction des députés de la 9è législature plus de 3 semaines après le drame de Dassa.

Entre absence de réactions concrètes et silence,  Richard Boni Ouorou s’interroge sur ce comportement des élus du peuple.  En effet, s’interrogeant sur la fréquence des incendies depuis 2023, le Politologue a invité le peuple à jeter un regard sur l’attitude des élus du peuple depuis l’accident mortel survenu à Dassa le 29 janvier dernier.

« Pourquoi autant d’incendie dans le pays depuis quelques temps ? Qu’est-ce qui ne marche pas ? Dans quel domaine les lois sont-elles faibles et quelles structures manquent de formation et de matériels ainsi que de prise en charge?

Il y a beaucoup de questions et une seule est pertinente, que fait notre État et qu’en pensent nos élus ? Que fera d’ailleurs ou quel sera le combat de l’élu de Dassa après l’incendie qui a détruit plusieurs familles et mis à nu la mauvaise qualité ou l’absence de matériel de prise en charge des unités de secours ? Quelqu’un a-t-il entendu l’élu de Dassa sur la question? La vie des concitoyens de Dassa est-elle une préoccupation et par extension celle des béninois et béninoises? », s’interroge-t-il.

Et de conclure avec un tacle voilé à ‘‘Agbonnon’’ : « Commençons par écouter les élus puisque nous connaissons déjà la qualité d’homme d’état que nous avons quand il s’agit de drame impliquant la vie des compatriotes ».

M.A

Bénin-Politique : Important message du SGA de l’Assemblée nationale aux 109 députés élus

Le secrétaire général administratif de l’assemblée nationale s’adresse aux députés élus à l’issue du scrutin du 08 janvier dernier. A travers un communiqué radio-télé, en date du lundi 06 février, Mariano Ogoufolou invite, avec l’accord du  doyen d’âge Cossi Barthélémy Vidjinnangni, les 109 députés au titre de la neuvième législature, à prendre part à la séance consacrant leur installation.

Le secrétaire général administratif de l’assemblée nationale s’adresse aux députés élus à l’issue du scrutin du 08 janvier dernier. A travers un communiqué radio-télé, en date du lundi 06 février, Mariano Ogoufolou invite, avec l’accord du  doyen d’âge Cossi Barthélémy Vidjinnangni, les 109 députés au titre de la neuvième législature, à prendre part à la séance consacrant leur installation.

«  En application des dispositions des articles 153-2 de la constitution 3, 6 et suivants du règlement intérieur de l’Assemblée nationale et 147 du code électoral, j’ai l’honneur d’inviter les députés élus au titre de la neuvième législature, à prendre part à la séance consacrant leur installation, le dimanche 12 février 2023 à 10 H au palais des Gouverneurs à Porto-Novo », peut-on lire dans le communiqué.

Le secrétaire général Administratif de l’Assemblée nationale a précisé que 4 points sont essentiellement inscrits à l’ordre du jour.

Il s’agit de « l’allocution d’ouverture du doyen d’âge » ; la « communication de la liste des députés élus », les « autres dossiers de communication », et « l’élection du président et des autres membres du bureau de l’Assemblée nationale », a précisé Mariano Ogoufolou.

Les députés de l’Union progressiste le renouveau, du bloc républicain et du parti Les Démocrates sont donc informés.

Manassé AGBOSSAGA

9ème législature : Les députés invités à s’enregistrer pour prendre possession de leurs attributs

Lundi décisif pour les 109 députés élus à l’issue des législatives du  08 janvier dernier. Dans le cadre de l’installation de la 9ème législature, le 12 février prochain, ils sont invités  à s’enregistrer auprès de l’administration parlementaire pour entrer en possession de leurs attributs.

Lundi décisif pour les 109 députés élus à l’issue des législatives du  08 janvier dernier. Dans le cadre de l’installation de la 9ème législature, le 12 février prochain, ils sont invités  à s’enregistrer auprès de l’administration parlementaire pour entrer en possession de leurs attributs.

Au cours d’une conférence de presse, le vendredi dernier, le Porte-parole de l’Assemblée nationale a assuré que les préparatifs en vue de l’installation des 109 nouveaux députés se déroulent bien.

« L’administration parlementaire est à pied d’œuvre pour accueillir les nouveaux députés le 12 février prochain. Toutes les dispositions sont en train d’être prises, sous le contrôle du président Louis Gbèhounou Vlavonou, afin que les 109 élus de la 9e législature trouvent rapidement leurs marques et se mettent au service du peuple qui les a mandatés pour le représenter », a assuré James William Gbaguidi.

Si les précédentes législatures comptaient 89 députés, le porte-parole de l’Assemblée nationale a juré qu’il n’y aura aucun souci à se faire par rapport à la capacité de l’hémicycle malgré l’augmentation du nombre de sièges.

Il a laissé entendre que le bureau de l’Assemblée nationale a immédiatement engagé des travaux de réaménagement technique à l’intérieur de l’hémicycle. William Gbagudi a confié que le nombre de sièges a été augmenté, assurant que non seulement, les 109 députés auront leurs sièges mais aussi les ministres qui viennent représenter le gouvernement lors des travaux parlementaires à l’hémicycle.

Il précise qu’il s’agit des travaux provisoires en attendant l’achèvement du chantier de construction du nouveau siège de l’Assemblée nationale en cours sur le site de l’ex-direction générale de la Gendarmerie nationale à Porto-Novo.

M.A