Entre Richard Boni Ouorou et la Donga, c’est jusqu’à la gare !

Les membres du mouvement Mouvement Ligue d’Initiative Bénévole pour l’Education, la Réflexion et l’Action Libérales (LIBERAL), section Donga, sont montés au créanau ce dimanche 28 janvier 2024. Massivement réunis à la grande salle de réunion de l’hôtel Chateau Vert à Djougou, ils sont sortis pour rétablir la vérité face aux accusations gratuites, attaques et intoxications dont est victime leur leader, Richard Boni Ouorou.

Les membres du mouvement Mouvement Ligue d’Initiative Bénévole pour l’Education, la Réflexion et l’Action Libérales (LIBERAL), section Donga, sont montés au créanau ce dimanche 28 janvier 2024. Massivement réunis à la grande salle de réunion de l’hôtel Chateau Vert à Djougou, ils sont sortis pour rétablir la vérité face aux accusations gratuites, attaques et intoxications dont est victime leur leader, Richard Boni Ouorou.

Sabotage, intoxications, injures, accusations gratuites, attaques, menaces à peine voilées, rencontres secrètes pour le discréditer, rencontres restreintes pour contraindre des militants et sympathisants à le renier,… Depuis quelques jours, des individus de mauvaise foi et s’autoproclamant détenteur unique du titre foncier de l’opposition, s’adonnent à ce vilain jeu pour tenter de ternir l’image de marque de Richard Boni Ouorou.

Mais comme pour dire que « trop, c’est trop », les populations de la Donga, du moins, les membres du mouvement Libéral dudit département, ont pris d’assaut un hôtel de la place pour rétablir la vérité.

Plus de 400 personnes se sont mobilisées pour rabattre le caquet aux détracteurs de Richard Boni Ouorou et réitérer leur soutien à leur leader. « Richard Boni Ouorou et nous, c’est jusqu’à la gare », ont ils lancé.

En langue Youm et autres dialectes, jeunes, hommes, femmes, vieux ont d’abord rappelé les différentes actions de ce philanthrope au profit des populations béninoises.

Responsables, militants et sympathisants ont ensuite mis l’action sur son soutien indéfectible à l’opposition et aux opposants en difficulté. Ils ont notamment insisté sur les initiatives personnelles de Richard Boni Ouorou pour faciliter la libération des jeunes opposants, le retour des exilés, avant d’évoquer sa consigne de vote et son appui financier lors des législatives de janvier 2023.

Et puisque c’est de la nature de l’Homme, de se montrer parfois ingrat, les populations ont invité leur leader à ne pas s’attarder sur les élucubrations des personnes en panne de vitesse et apeurées par sa montée en puissance.

Focus sur le développement du Bénin, l’attente des objectifs du mouvement Libéral, sur les échéances à venir, ont déclaré les membres Libéral, Donga.

Parlant d’échéances, les populations ont invité les détracteurs de Richard Boni Ouorou à revoir leur copie, s’ils ne veulent pas subir des revers retentissant à l’avenir

Un homme averti en vaut deux.

M.A

Intolérance face au mariage interreligieux dans le Borgou et la Donga : Terreau fertile à l’extrémisme violent !

Le mariage interreligieux est l’union entre deux personnes de confessions religieuses différentes. Très souvent dès l’annonce, les deux amoureux sont confrontés au refus de certains parents et leaders religieux. Dans les départements du Borgou et de la Donga, le mal gangrène et nourrit des intentions d’extrémisme violent.

Le mariage interreligieux est l’union entre deux personnes de confessions religieuses différentes. Très souvent dès l’annonce, les deux amoureux sont confrontés au refus de certains parents et leaders religieux. Dans les départements du Borgou et de la Donga, le mal gangrène et nourrit des intentions d’extrémisme violent.

« Evangélique, j’étais follement amoureuse d’un musulman. Il a décidé de me prendre en mariage. Un soir en assemblée avec notre pasteur, ils m’ont annoncé que notre union ne peut être possible puisque nous ne partageons pas la même foi. C’est ainsi que mon rêve s’est brisé.», affirme Dame Bernice, coiffeuse à Parakou.

Certaines religions tiennent leurs règles sur le mariage comme émanant de Dieu ce qui justifie généralement leur hostilité au mariage interreligieux. Chez les évangélistes, une personne professant une foi différente est considérée non apte au mariage. Pour Uriel M’Pinti, pasteur d’une église évangélique « tout mariage dans l’église doit être fait dans le corps du christ.

Dieu a tiré la femme de l’homme donc obligatoirement les deux doivent professer la même foi pour faciliter leur union.» Tel est également le cas en islam. Une musulmane ne peut s’unir à un non musulman. « La musulmane ne doit en aucun cas se marier à un non musulman. Ce sont les prescriptions divines qui le disent. Si cela advenait par ignorance, on l’informe, on l’éduque et le divorce est prononcé. », martèle l’islamologue Issa Awali.

Du point de vue sociologique

Le socio anthropologue Ibrahima Abdou constate et affirme que les religions modernes ne peuvent être vécues comme venues de l’occident. Selon lui, les leaders religieux devraient œuvrer à garantir la morale religieuse. De toute façon, l’intolérance des parents ou leaders religieux face au mariage interreligieux a d’énormes conséquences sur les confessions religieuses.  « Généralement lorsqu’ils s’aiment vraiment et qu’ils ne peuvent pas se séparer et qu’il n’y a pas eu de tolérance, les gens quittent les églises. Ça peut expliquer le fait que parfois les églises et les mosquées se vident. Lorsque les gens n’y trouvent plus leurs intérêts, ils n’y vont plus. », renchérit-il. Quelques jeunes rencontrés dans le Borgou et la Donga renforcent les propos du socio anthropologue. Ils estiment que les exigences et autres contraintes religieuses ne doivent pas prévaloir dans le choix du conjoint ou de la conjointe et seul l’amour devrait être privilégié. « Je suis désolé pour eux. Si jamais mes parents avancent comme raison la religion pour m’empêcher d’aimer un homme je ne pense pas pouvoir obéir.

S’ils tiennent mordicus, je suis capable de les renier», déclare Précieuse Adjalala, étudiante à l’Université de Parakou. « Je ne serai pas d’accord avec eux. Ça dépend de la compréhension entre mon ami et moi. S’il m’accepte en tant que chrétienne, il n’y a aucun problème ! Je suis même capable de me séparer d’eux pour vivre ma vie », ajoute Perpétue Kassa résidant à Djougou.

En sa qualité de conseiller matrimonial, Clément Yargo invite les amoureux à éviter l’usage de force en cas de refus ou d’opposition des parents. « En aucun cas, il ne faut s’opposer à ses parents. Il faut chercher à leur poser beaucoup de questions et comme c’est un sujet religieux,prier beaucoup.», recommande –t-il. Quant aux parents et leaders religieux « c’est d’écouter et de conseiller et non de juger et de condamner », a-t-il conclu.

Ce que dit la loi

A en croire Dr Soumaïla Abdou Tamou Sounon, enseignant de droit privé à l’Université de Parakou « la loi ne fait aucune mention de la religion dans le processus du mariage.»

Ezéchias Biao, consultant sur les questions du droit sexuel et de la famille interprète autrement la loi. « Nous sommes dans un Etat qui prône l’égalité et qui réfute toutes formes de discrimination. Donc  le simple fait de considérer comme à part une religion dans un contexte aussi crucial qu’est le mariage, est déjà une forme de discrimination punit par la loi.», précise-t-il.

Il n’est pas facile de renoncer à l’amour certes. Il n’est pas non plus aisé de renoncer à sa religion encore moins faire violence pour prouver son amour à l’être aimé. Seule une synergie d’action concoure à une solution efficace pour la consolidation de la paix.

Yaovi Angélo HOUNDJO & Jean-Luc EZIN

Le ‘‘Padré du social au 229’’ a encore frappé ! Des équipements offerts à des femmes productrices de gari à Manigri

Le ‘‘Padré du Social au 229’’ a encore frappé ! Richard Boni Ouorou, puisque c’est de lui qu’il s’agit, vole à nouveau au secours d’une association de femmes.  Après le Groupement de femmes “Gbenondjou Affossogbé” de l’arrondissement d’Ayomi, commune de Dogbo, dans le département du Couffo, l’homme a, à travers sa fondation, doté en matériels et équipements de braves et laborieuses femmes de la commune de Manigri.

Le ‘‘Padré du Social au 229’’ a encore frappé ! Richard Boni Ouorou, puisque c’est de lui qu’il s’agit, vole à nouveau au secours d’une association de femmes.  Après le Groupement de femmes “Gbenondjou Affossogbé” de l’arrondissement d’Ayomi, commune de Dogbo, dans le département du Couffo, l’homme a, à travers sa fondation, doté en matériels et équipements de braves et laborieuses femmes de la commune de Manigri. Comme leurs consœurs de Dogbo, elles s’investissent dans la production  de gari et autres produits dérivés du manioc.

Peut être une image de 5 personnes

Les équipements offerts, le dimanche 13 avril dernier par les représentantes et représentants de la fondation Terriens-nes,  sont composés, entre autres, d’une râpeuse électrique, des tamis, des gants, des coupe-coupes, des bassines. La cérémonie de remise de don a eu lieu à Kikélé dans l’arrondissement de Manigri. A l’occasion, ces femmes productrices  de gari ont témoigné toute leur gratitude au président Richard Boni Ouorou.

Elles ont soutenu que ce geste vient réduire leurs peines et booster leurs productivités, tout en adressant d’autres doléances.

« Nous avons offert après Dogbo dans le Couffo où nous avons récemment apporté notre soutien aux braves femmes productrices de Gari, c’était le dimanche,  le tour des braves et laborieuses femmes de la commune de Manigri de recevoir une machine et plusieurs équipements pour la transformation du manioc et la production du Gari à l’instar de leurs collègues de Dogbo dans le Couffo à qui nous avons offert les mêmes équipements. La richesse comme me l’a apprise ma défunte mère, ce n’est pas avoir tout pour soi et le sourire aux lèvres seul dans son coin, mais c’est de permettre à ce que tous les visages qui croisent notre regard soient heureux d’espoir et de dignité. Je n’ai pas assez. Dieu le sait, mais je ne m’assoirai pas sur le peu qu’il m’a accordé sans le partager avec les miens, même si d’autres prennent ça comme une faiblesse » a, plus tard déclaré le généreux donateur.

Ceux qui trouvent toujours à redire sur les nombreuses actions sociales de Richard Boni Ouorou sont servis.

M.A

Géant meeting à Cobly doublé de l’installation de ses coordinations départementales : Le CCJ verrouille l’Atacora et la Donga pour le duo Talon-Talata

Nouvelle offensive du Cadre de concertation des jeunes (CCJ) pour une belle victoire de son duo au soir du 11 avril 2021 !  Après la grande kermesse politique organisée à Comè le 27 janvier dernier, les nombreux meetings célébrés dans les différentes communes du sud ; le CCJ était ce samedi 13 février 2021 dans le Nord Bénin.

Géant meeting à Cobly doublé de  l’installation de ses coordinations départementales : Le CCJ verrouille l’Atacora et la Donga  pour le duo Talon-Talata

A la maison des jeunes de Cobly, et dans une ambiance festive,  Laurent Zomaï et sa troupe ont sonné la mobilisation générale.

Députés, suppléants, conseillers communaux, autorités politico-administratives, sages  , notables et autres  étaient tous aux côtés des femmes et de la       jeunesse de toutes les communes des départements de l’Atacora et de la Donga à savoir Matéri, Cobly, Tanguiété, Natitingou, Kérou, Kouandé,   Ouassa-Péhunco, Toukountouna, Boucoumbé, Copargo, Djougou, Ouaké, Bassila.

Ensemble, ils ont appelé  à un K.O massif et retentissant autour de la candidature du duo Patrice Talon-Mariam Talata.

Pour les membres du CCJ, le succès éclatant du Programme d’actions du Gouvernement (PAG)  mérite de mouiller le maillot pour offrir une belle victoire au duo Talon-Talata dès le 1er tour.

Et pour atteindre ce résultat, Laurent Zomaï et son comité ont procédé à l’installation des coordinations départementales du CCJ dans l’Atacora et la Donga.

Le CCJ dispose désormais de son bras opérationnel dans ces deux vastes départements du Nord Bénin pour sa  belle politique de promotion des jeunes.

Manassé AGBOSSAGA

Tournée nationale : Talon marque une pause après l’étape de la Donga ce mardi

Entamée en fin de semaine dernière, la tournée nationale du président de la République se poursuit. Après les communes des départements des Collines, du Borgou, de l’Alibori, de l’Atacora, Patrice Talon se rend dans le département de la Donga ce mardi 17 novembre 2020.

Entamée en fin de semaine dernière, la tournée nationale du président de la République se poursuit. Après les communes des départements des Collines, du Borgou, de l’Alibori, de l’Atacora, Patrice Talon se rend dans le département de la Donga ce mardi 17 novembre 2020.

Il est notamment annoncé dans les communes de Djougou et Bassila.  Selon  plusieurs médias locaux, après les échanges avec les populations, Patrice Talon marquera une petite pause pour le compte de sa tournée.

Il regagnera Cotonou ce soir afin de participer au Conseil des ministres du mercredi 18 novembre 2020.

Preuve que sa tournée n’affectera pas le bon fonctionnement des activités gouvernementales.

Manassé AGBOSSAGA