Allada: Le corps sans vie d’un puisatier retiré d’un puits après deux jours de fouilles

Le corps sans vie d’un puisatier a été retiré d’un puits ce jeudi 04 décembre à Wadon, arrondissement d’Agbanou, dans la commune d’Allada, après deux jours de fouilles. La victime, Jacob Agnanhomè,  âgée de 24 environs était en pleine activité, rapporte l’ABP.

A l’origine,  16 buses qui avaient été  mal entreposées dans ce puits inachevé de 55 mètres de profondeur et d’un mètre de diamètre.

Alertés, les sapeurs pompiers se sont rendus sur les lieux du drame. Mais d’après le Sch, Philippe Houéhou, les fouilles ont été vaines durant toute la première journée du mercredi. Il a confié que c’est seulement au deuxième jour que le corps  a été remonté à la surface.

Ce qui a permis aux sapeurs-pompiers du Centre de secours d’Allada, appuyés par un foreur de  retirer le corps  hier jeudi 03 décembre.

Après constat de l’infirmier major du centre de santé d’Agbanou,  le corps de la victime a été remis à ses parents en présence de la police républicaine, et du chef quartier de Wadon, a précisé l’ABP.

Manassé AGBOSSAGA

Lagune de Dantokpa : Trois personnes sauvées in extremis de la noyade

Le pire a évité de justesse ! Trois personnes ont failli laisser leur peau dans la lagune de Dantokpa, ce lundi 01 décembre 2020.

Le pire a évité de justesse ! Trois personnes ont failli laisser leur peau dans la lagune de Dantokpa, ce lundi 01 décembre 2020.

Lagune de Dantokpa : Trois personnes sauvées in extremis de la noyade

Selon Frissons Radio, un homme de 66 ans, accompagné de ses petits fils (4 et 5 ans) ont vu leur pirogue entrer en collision avec une barque motorisée.

Leur barque a chaviré, mais l’intervention rapide des sapeurs pompiers a permis de les sauver de la noyade et de limiter les dégâts.

C’est ça on dit y a Dieu dedans !!!

Manassé AGBOSSAGA

Dimanche mortel au 229 : Trois femmes tuées dans un accident de la route à Banikoara et deux morts calcinés à Cotonou

Triste bilan sur les routes béninoises ce dimanche 29 novembre 2020. Plusieurs accidents mortels ont été enregistrés notamment à Banikoara, et à Cotonou.

Triste bilan sur les routes béninoises ce dimanche 29 novembre 2020. Plusieurs accidents mortels ont été enregistrés  notamment à Banikoara, et à Cotonou.

A Banikoara, dans le Nord Bénin, précisément  dans l’arrondissement de Gomparou, un camion berne chargé de gravillons a percuté et tué  trois femmes circulant sur une moto  »Bajaj », rapporte  l’ABP.

Les trois victimes se sont retrouvées sous le camion et deux sont mortes sur place.  Conduite à hôpital de zone de Banikoara pour des soins d’urgence, la troisième victime a également succombé dans la soirée.

Le conducteur du camion   s’est volontairement porté au commissariat de police de Banikoara pour signaler les dégâts.

Quant à l’accident mortel de Cotonou, il s’est produit aux environs de 2 heures du matin à Houénoussou.

Un véhicule qui transportait de l’essence de contrebande a heurté un camion en stationnement, rapporte Frissons Radio. Face à l’intensité du choc, le véhicule a pris feu. Le conducteur et un autre passager n’ont pu s’échapper. Ils sont morts calcinés.

Des drames qui appellent les uns et les autres à la vigilance.

Manassé AGBOSSAGA

Ouèssè: Une femme retrouvée morte dans le champ de son frère

Découverte macabre le dimanche 22 novembre dernier, dans un village de l’arrondissement de Djègbé, commune de Ouèssè, dans le département des Collines.  Le corps sans vie d’une femme, âgée de 28 ans et mère de 3 enfants  a été découvert dans un champ.

Selon Frissons Radio, il s’agit du champ de son frère.

Les pleurs de son enfant de 2 ans avec qui elle était dans le champ ont permis aux habitants de se rendre sur les lieux pour malheureusement découvrir le corps sans vie de la jeune maman.

Une enquête a été  ouverte et plusieurs personnes ont été interpelées, avec les conclusions de l’analyse faite par le médecin qui révèle qu’elle a été tuée à l’aide d’un objet tranchant.

Affaire à suivre donc !!!

Manassé AGBOSSAGA

Bénin : Ivre, il bat à mort sa femme

Violences contre les femmes, sa fin n’est visiblement pas pour demain. Et ce, malgré les belles campagnes médiatiques et autres initiatives de sensibilisation. Le drame survenu dans la commune de Banikoara, département de l’Alibori est évocateur.

Violences contre les femmes, sa fin  n’est visiblement pas pour demain. Et ce, malgré les belles campagnes médiatiques et autres initiatives de sensibilisation. Le drame survenu dans la commune de Banikoara, département de l’Alibori est évocateur.

En effet, une femme, âgée de 40 environs et mère de 8 enfants a été battue à mort par son mari.

Selon Frissons Radio, l’incident s’est produit le mardi 24 novembre dernier dans un village de la commune.

 L’homme armé de gourdin et ivre de surcroit a frappé à mort sa femme. Coutumier des faits, il a même été aidé par l’un de ses beaux frères, précise la même source.

Les raisons de son acte inexplicable sont pour l’heure inconnues.

L’homme et son beau frère ont été interpellés ce jeudi 26 novembre 2020.

Ils seront présentés au procureur de la République près de Kandui dans les jours à venir.

Pour avoir gâté le nom des garçons, ils risquent gros dans cette affaire.

Manassé AGBOSSAGA

Sorcellerie féminine : Une mère de 24 ans jette ses deux enfants (3 ans et 1 an) dans des latrines après une dispute avec son conjoint

Méchanceté féminine ! Une mère de famille de 24 ans jette ses propres enfants dans des W.C. Le drame s’est passé dans la commune d’Allada, précisément à Togoudo, le vendredi 20 novembre dernier.

Sorcellerie féminine ! Une mère de famille de 24 ans jette ses propres enfants dans des W.C. Le drame s’est  passé dans la commune d’Allada, précisément à Togoudo,  le vendredi 20 novembre dernier.

D’après plusieurs médias locaux, dont Frissons Radio, la jeune mère a jeté ses deux enfants, une fille, âgée de 3 ans  et un garçon, âgé de 1 an et demi dans des latrines (17 mètres et 20 mètres de profondeur) différentes après une dispute avec son conjoint.

« Ma fille m’a appelé soi-disant que les forces de l’ordre sont venues dans la maison avec une dame et que cette dernière leur a fait comprendre  qu’elle a jeté son enfant dans notre WC. Je ne réside pas à Allada, ce sont mes enfants qui sont ici pour les études…  le vendredi matin, je suis venu dans la maison,… la maison n’a pas de clôture… les forces de l’ordre et les policiers sont venus… ils ont cassé le WC d’un côté, ils ont vu un enfant d’un an et demi, c’est un garçon », a raconté l’un des propriétaires de l’une des maisons où le garçon a été jeté dans le WC à nos confrères de Frissons Radio.  

Les corps sans vie des âmes innocentes ont été repêchés par les sapeurs pompiers et ensuite déposés à la morgue.

La mère est gardée à vue et sera présentée au procureur jeudi, pour sans doute, répondre de son acte criminel.

Manassé AGBOSSAGA

Drame: 10 décès enregistrés en 7 jours sur toute l’étendue du territoire national

Triste bilan la semaine dernière ! Les sapeurs pompiers ont enregistré plusieurs pertes en vies humaines sur toute l’étendue du territoire national. En 7 jours

Triste bilan la semaine dernière ! Les sapeurs pompiers ont enregistré plusieurs pertes en vies humaines sur toute l’étendue du territoire national. En 7 jours

Faisant le point des interventions du Groupement national des sapeurs pompiers pour le compte de la semaine   du 02 au 8 novembre, le Capitaine Nestor Dangbégnon a indiqué à nos confrères de Frissons Fm que 10 décès ont enregistrés.

Il a précisé  que 4 ont été enregistrés lors des interventions en profondeur , tandis que les 6 autres décès ont été enregistrés lors des interventions  sur la voie publique, comme les accidents.

En outre, il a fait savoir que le Groupement national des sapeurs pompiers  a effectué 216 interventions, dont 160 victimes évacués vers les centres hospitaliers.

Occasion pour lui d’insister à nouveau sur le respect du code de la route.

Manassé AGBOSSAGA

Enième cas de suicide au Bénin : Un homme se donne la mort par pendaison et laisse un émouvant message

C’est presque devenu un pain quotidien. A chaque jour, semaine ou mois son lot de suicide au Bénin.

C’est presque devenu un pain quotidien. A chaque jour,  semaine ou mois  son lot de suicide au Bénin.

Dernier en date, un homme, la cinquantaine environ, qui s’est suicidé par pendaison ce 31 Octobre 2020 au quartier Souinrou Kpassagambou dans la commune de  Parakou. D’après Matin Libre, il est  un ancien enseignant communautaire, qui a ensuite  abandonné le métier pour se consacrer à la cuisine.

Contrairement aux autres cas de suicide, l’homme originaire de la commune de Matéri a laissé une note avant de passer à l’acte.

Dans la lettre écrite à la main la veille et découverte après sa mort, il remercie ses sœurs pour leur soutien durant sa vie et demande à ces dernières de laver son honneur en soldant  une dette de 30.000 Fcfa auprès d’une dame, qu’il a pris soin de bien indiquer.

Loin de ce dernier vœu, c’est  la répétition des cas de suicide  qui doit interpeller les autorités. Du 1er janvier au 31 août 2020, 18 cas de suicides par pendaison ont été enregistrés, rien que   dans le département de l’Atacora.

Manassé AGBOSSAGA

A Bohicon, un homme de 65 ans menace de se suicider : Il est ensuite retrouvé mort dans un bain de sang dans sa chambre

C’est désormais devenu un pain quotidien. A chaque semaine ou journée, son lot de suicide au Bénin. Et cette fois, c’est la commune de Bohicon qui nous offre cette triste actualité.

C’est désormais devenu un pain quotidien. A chaque semaine ou journée, son lot de suicide au Bénin. Et cette fois, c’est la commune de Bohicon qui nous offre cette triste actualité.

Ce mercredi 21 octobre 2020, un  homme de 65 ans a mis fin à ses jours. Selon Frissons Radio, l’homme  avait confié à son épouse qu’il allait se suicider vers 0 heures du matin.

 Il a alors mis sa menace à exécution. L’homme s’est enfermé seul dans sa chambre. Et aux environs de 10 heures, il a été retrouvé mort dans un bain de sang dans sa chambre.

Il se serait servi d’un couteau et d’une paire de ciseau pour précipiter son départ sur terre.

Alertés, les sapeurs pompiers n’ont pu faire grande chose.

 Manassé AGBOSSAGA

Scène surréaliste au CEG 1 Natitingou, Huit élèves filles entrent en transe

Scène surréaliste ce lundi 19 octobre 2020 2 au Collège d’enseignement général de Natitingou 1 ! Huit élèves filles de différentes classes sont entrées en transe peu avant 8 heures. De quoi semer la panique chez les élèves, apprenants et responsables du collège à divers niveaux.

Scène surréaliste ce lundi 19 octobre 2020 2 au Collège d’enseignement général de Natitingou 1 ! Huit élèves filles de différentes classes sont entrées en transe peu avant 8 heures. De quoi semer la panique chez les élèves, apprenants et responsables du collège à divers niveaux.

Face à ce fait étrange, les responsables du collège ont fait appel aux sapeurs pompiers, à un guérisseur, au directeur départemental de la santé, ainsi que celui de l’enseignement secondaire.

Les activités pédagogiques ont même été suspendues.

« Nous avons observé une fille qui a senti un malaise.   Nous avons pensé que c’est le vertige,  ce matin peu avant 8 heures. On s’occupait de cette fille quand brusquement d’autres phénomènes du genre se sont manifestés  dans les classes …Au total,  on enregistré huit cas.  Le premier cas,  nous avons pensé à un vertige du à un paludisme, nous l’avons renvoyé chez ses parents lorsque nous avons constaté que c’est un phénomène général.

Moi,  je viens de prendre service,  mes collaborateurs m’ont dit que ce n’est pas un phénomène nouveau, cela aurait déjà prévalu.  J’ai aussitôt alerté le directeur départemental de la santé qui n’a pas tardé à venir…ensemble nous avons appelé les sapeurs pompiers qui ont évacué les enfants…nous avons aussi reçu la visite du directeur département de la santé. Nous étions tous à l’hôpital pour une meilleure prise en charge des enfants.

Le directeur département de l’enseignement a estimé qu’il fallait suspendre les activités pédagogiques ce matin », raconte SaÏbou Tabsoba, directeur du CEG 1 de Natitingou à Nanto Fm repris par Frissons Fm.

Aux dernières nouvelles, les huit élèves filles se portent bien et sont hors de danger.

Manassé AGBOSSAGA