Bénin : Constantin Amoussou annonce son adhésion au Bloc Républicain après son retour dans la mouvance

Fin du suspense sur la chute politique de Constantin Amoussou après son come-back dans la mouvance. Invité de l’émission ‘‘L’Entretien du dimanche’’ de la télévision privée Eden Tv, ce 02 octobre 2022, il a annoncé son adhésion au Bloc républicain.

Fin du suspense sur la chute politique de Constantin Amoussou après son come-back dans la mouvance. Invité de l’émission ‘‘L’Entretien du dimanche’’ de la télévision privée Eden Tv, ce 02 octobre 2022, il a annoncé son adhésion au Bloc républicain.

Constantin Amoussou opte pour le Bloc Républicain plus d’un an après son retour dans la grande famille présidentielle. L’homme qui a fait le tour du Bénin à moto pour dénoncer les tares de la gouvernance de la Rupture, a annoncé ce dimanche 02 octobre sur le plateau d’Eden Tv, son adhésion au parti au cheval cabré.

S’il reconnaît que son retour dans la grande famille présidentielle a été facilité par le maire Luc Atrokpo et Joseph Djogbénoun, Constantin Amoussou dit préférer le parti présidé par Abdoulaye Bio Tchané après avoir « examiné les projets » de l’Union progressiste le Renouveau et le Bloc Républicain.

« Après arbitrage, j’ai décidé de galoper sur le cheval cabré…J’ai décidé de rejoindre le Bloc Républicain…ça sera ma formation politique », a-t-il indiqué.

 Mettant en avant le « capitalisme à visage humain » et les « valeurs sociales », prôné par le Bloc Républicain, il dit espérer que cette formation politique soit la dernière où il aura l’occasion d’exprimer ses idées, son talent et son potentiel.

 Manassé AGBOSSAGA

Antagonisme politique avec sa sœur jumelle Nadia ou partage de rôle : Nadine Okoumassoun dit tout

Nadine Okoumassoun parle de sa sœur jumelle Nadia Okoumassoun, qui contrairement à elle, soutient les actions du régime en place. Sur le plateau de l’émission ‘’L’Entretien du dimanche’’, de la télévision privée Eden Tv, ce 04 septembre 2022, elle a été interpellée sur ce qui la divise avec sa sœur.

Nadine Okoumassoun parle de sa sœur jumelle Nadia Okoumassoun, qui contrairement à elle, soutient les actions du régime en place. Sur le plateau de l’émission ‘’L’Entretien du dimanche’’, de la télévision privée Eden Tv, ce 04 septembre 2022, elle a été interpellée sur ce qui la divise avec sa sœur.

D’entrée de jeu, Nadine Okoumassoun, libérée de prison en juillet dernier après plus d’un an en prison, a martelé qu’elle n’a aucun « problème » avec sa jumelle.

« Nadia et moi, nous n’avons aucun problème. C’est très facile entre nous deux », a-t-elle insisté.

Par contre, l’invité de Donklam Aballo fait savoir qu’elle ne partage pas la même « conception de la chose politique » avec sa sœur.

« Elle (Ndlr : Nadia) pense qu’elle n’a pas la même conception de la chose publique. Elle ne partage pas les mêmes visions que moi. Elle pense que jamais, on ne devait s’opposer à un régime. Elle pense que jamais, on ne devait s’opposer à un gouvernement. Il faut au contraire l’encourager à travers les soutiens, les propositions », explique Nadine Okoumassoun.

Peut-être, pas satisfait pas sa réponse, notre confrère relance et lui demande s’il ne s’agit pas en réalité d’un « partage de rôle » pour permettre à la famille de ‘’bouffer’’.

Et à Nadine de répondre « Non, non. Ce que nous engageons comme opinion à nos niveaux divers, je dirai, c’est le choix, la croyance de chacune de nous ».

Nadine Okoumassoun en profite pour préciser sa « conception de la chose politique ».

« Pour elle, il ne faut jamais s’opposer à un gouvernement quoiqu’il fasse. Moi, je pense par contre, qu’il faut s’opposer quand on ne partage pas la vision. Il faut s’opposer quand on ne partage pas les convictions du régime », a-t-elle clarifié.

Voilà qui a le mérite de lever toutes les suspicions sur les deux jumelles.

Manassé AGBOSSAGA

Vivi l’Internationale: les circonstances de son décès, absence d’hommage national, lieu d’inhumation…sa fille Marlène Zinsou dit tout

Reçue sur l’émission ‘‘L’Entretien du Dimanche’’ de la télévision privée Eden Tv, ce 10 avril,  Marlène Zinsou est revenue sur le décès de sa mère Vivi l’Internationale, à l’étal civil, Victorine Agbato. Elle a notamment abordé les circonstances de la mort de sa défunte mère, le 15 février dernier, justifié l’absence d’hommage national à l’artiste, précisé le lieu d’inhumation de la défunte.

Reçue sur l’émission ‘‘L’Entretien du Dimanche’’ de la télévision privée Eden Tv, ce 10 avril,  Marlène Zinsou est revenue sur le décès de sa mère Vivi l’Internationale, à l’étal civil, Victorine Agbato. Elle a notamment abordé les circonstances de la mort de sa défunte mère, le 15 février dernier, justifié l’absence d’hommage national à l’artiste, précisé le lieu d’inhumation de la défunte.

Sur les circonstances de sa mort, Marlène Zinsou a abordé le sujet avec beaucoup d’émotions. Elle a confirmé que sa mère ne souffrait d’aucun mal avant son décès et qu’elle a quitté ce monde comme elle l’a toujours souhaité.

Marlène Zinsou a confié que sa mère est morte entre ses mains.

« Maman nous a toujours dit,  écoutez mes enfants,  je ne vous ferai pas souffrir. On ne passera pas d’hôpital en hôpital. Vous n’allez pas dépenser. Sachez que le jour où  l’éternel me rappellera, je partirai dans mon sommeil », a-t-elle d’abord confié avant de raconter « Maman n’a pas été malade.  Elle n’a souffert de rien… c’est  bizarre, moi je la taquinais le jour là même… elle me dit éteint moi la lumière.  Va prier tata mayo, parce qu’elle a l’habitude de m’appeler tata mayo… J’ai dit d’accord, mais j’étais là avec mon portable…  à peine 5 voire 10 minutes …j’ai dit pourquoi maman respire comme ça… Elle partait dans son sommeil…

Je l’ai soulevé… Je ne faisais que l’embrasser,  lui parler… J’ai dit non maman,  tu ne peux pas partir comme ça.  Il y a beaucoup de choses qu’on doit encore se dire… J’étais toute tremblante. Je suis restée 2 heures à la regarder seule… J’avais espoir qu’elle se réveille… J’étais là jusqu’à 2h voire  3 h, j’appelle ma jeune sœur. Je lui dis   écoute,  il semble que ma maman est en train de partir. Elle m’a dit,  partir comment ? Elle va sortir pour aller où ? Je lui ai dit,  l’autre partir.  Elle a crié, partir maman ?… Je lui ai dit viens…Elle est venue la nuit là…Après comme on était deux femmes dans la maison,  on regardait maman sans rien faire…c’est quand j’ai appelé FoFo (Ndlr : grand-frère),  il est venu. Il a fait un peu l’armée…  Lui,  il a dit je vais appeler un médecin.   On a appelé le médecin… il a constaté le décès »,

Les raisons de l’absence d’hommage national

Marlène Zinsou a laissé entendre que les autorités étaient prêtes à organiser un hommage national à Vivi L’Inter.

Toutefois, elle a confié que tout a été fait selon les volontés de sa mère.

« Maman,  au-delà de tout,  elle aime la sobriété. Elle  a dit qu’elle ne veut pas d’hommage….Quand les autorités étaient venues à la maison…  on a essayé de leur  expliquer ça poliment, les dernières volontés de maman.  … Elle nous a toujours dit pour mes hommages,  je ne veux pas de faste. Je ne veux pas de bling-bling…je ne veux pas de réunion sur réunion… Je voudrais que mes enfants,  c’est vous qui allez m’enterrer… La mort étant sacrée,  il faut la respecter,  ne pas prendre la mort pour un commerce. Elle ne voulait pas de veillée artistique… On a essayé de respecter le cadre minima que maman a tracé  », a avancé Marlène Zinsou,

Vivi L’Internationale inhumée à Pk 14

Au cours de l’émission, Marlène Zinsou a précisé le lieu d’inhumation de sa défunte mère. Elle a confié que Vivi L’Internationale repose au cimetière PK 14 sur décision de ses huit enfants dont trois garçons et cinq filles.

Selon elle, ce choix a été fait pour permettre à tout le monde de déposer « une fleur » sur sa tombe.

Revenant sur l’après décès de Vivi L’Internationale , Marlène Zinsou n’a pas caché sa douleur. « Sans elle,  c’est très difficile.  Elle était ma confidente, ma complice…l’épaule sur laquelle je fais pratiquement tout » a-t-elle déclaré, confiante tout de même qu’elle bénéficiera toujours de sa « protection ».

Manassé AGBOSSAGA

Louis G. Vlavonou candidat aux prochaines législatives? La réponse évasive du président de l’Assemblée nationale

Le président de l’Assemblée nationale était l’invité de l’émission ‘‘L’Entretien du Dimanche’’ de la chaîne de télévision privée, Eden Tv, ce 03 avril 2022. A l’occasion, Louis G. Vlavonou est revenu sur sa probable sa candidature aux législatives du 8 janvier 2023.

Le président de l’Assemblée nationale était l’invité de l’émission ‘‘L’Entretien du Dimanche’’ de la chaîne de télévision privée, Eden Tv, ce 03 avril 2022. A l’occasion, Louis G. Vlavonou est revenu sur sa probable sa candidature aux législatives du 8 janvier 2023.

Interpelé sur une éventuelle candidature au prochain scrutin législatif, Louis G. Vlavonou s’est montré évasif.

Moins précis, l’actuel président de l’Assemblée nationale a laissé entendre que la question de sa candidature ou non aux législatives de 2023 « n’est pas à l’ordre du jour ». Louis G. Vlavonou souligne que le positionnement et les législatives de 2023 ne sont pas « à l’ordre du jour », du côté de l’Union progressiste.

Selon ses propos, l’Union progressiste est actuellement préoccupé par les conditions de vie des populations avec la cherté de la vie.

« Pour le moment,  ce qui intéresse le parti, c’est de faire en sorte que le peuple se porte mieux d’abord. Actuellement,  c’est d’expliquer à la population que la vie est chère.  Mais comme nous sommes là pour accompagner le gouvernent, nous allons ensemble étudier les moyens  de  faire avancer les choses et de corriger le tir là où le gouvernement ne voit pas, nous étant au sein du peuple.

Au niveau de notre parti,  voir comment apaiser la population, voir comment expliquer les raisons pour lesquelles il y a cherté de la vie. C’est ça qui nous intéresse aujourd’hui », jure t-il.

C’est l’UP qui décide

S’il reconnaît que chacun militant est libre d’avoir des ambitions, Louis G. Vlavonou a toutefois souligné que le dernier mot revient au parti pour les questions de positionnement.

« C’est le parti qui décide.  Hier,  c’est l’individu qui était puissant, aujourd’hui nous avons inversé la tendance. Aujourd’hui,  c’est le parti qui décide », a avancé l’ancien Douanier.

Louis G. Vlavonou, « Ce n’est pas une fin en soi »

Et au cas où son parti l’Union progressiste (UP) ne le positionnerait pas pour les législatives, l’actuel président de l’Assemblée nationale laisse entendre qu’il ne sentira pas vexé, car dit-il « Ce n’est pas une fin en soi ».

Et d’ajouter « …c’est le parti qui peut juger si  moi je peux encore conduire  la liste, si  je peux encore être de la 9è législature ou pas…Si vous estimez que la raison d’être dans le parti, c’est d’être positionné,  c’est que vous n’êtes pas militant. Vous n’avez pas de vision ».

Dira-t-il la même chose s’il n’était pas positionné en 2023 ? Grosse interrogation d’un kpakpato.

Manassé AGBOSSAGA

« Patrice Talon est l’homme le plus ouvert », jure Jacques Ayadji

C’est l’homme qui avait promis être également candidat à la présidentielle de 2016 si l’ex magnat du coton se présentait au scrutin présidentiel qui le dit !  Hier, détracteur du candidat Patrice Talon, aujourd’hui soutien du président de la République, Jacques Ayadji  semble désormais mieux connaître le personnage.

C’est l’homme qui avait promis être également candidat à la présidentielle de 2016 si l’ex magnat du coton se présentait au scrutin présidentiel qui le dit !  Hier, détracteur du candidat Patrice Talon, aujourd’hui soutien du président de la République, Jacques Ayadji  semble désormais mieux connaître le personnage.

Et sur Eden Tv, le dimanche 20 mars dernier, l’ex syndicaliste reconverti président de parti politique a ressorti une des qualités exceptionnelles de Patrice Talon.

Interrogé par le journaliste Donklam Aballo sur  une éventuelle demande du chef de l’Etat à Moele-Bénin de se fondre dans un autre parti de la mouvance, Jacques Ayadji  a certifié que Patrice Talon n’est pas de nature à faire une telle demande.

« Vous ne connaissez pas le président Patrice Talon.  Le président Patrice Talon ne demande pas des choses comme ça », a d’abord fait remarquer le président de Moele-Bénin, avant de parler en bien de l’actuel locataire de la marina « c’est l’homme le plus ouvert…, c’est une personnalité ouverte à la discussion ».

Mais au cas où Patrice Talon en viendrait à faire cette demande, Jacques Ayadji a laissé entendre que Moele-Bénin, qui reste un « soutien fidèle et loyal au président de la République » est prêt à débattre d’une probable disparition du parti.

Manassé AGBOSSAGA