Bénin-Tueries de Kérou: Le parti FCBE déplore et condamne une barbarie sans précédant

Dans un communiqué datant de 3 mai 2023 et signé par le Secretaire Exécutif National Paul Hounkpè, le parti Force Cauris pour un Bénin Emergent réagi au sujet des tueries qui se sont déroulées dans la nuit du 1er au 2 mai 2023 à Kérou dans le département de l’Atacora au nord du Bénin. Les militants du parti au logo cauris condamnent cet acte et saluent les Forces de défenses et de sécurité dans l’accomplissement de leur mission.

Dans un communiqué datant de 3 mai 2023 et signé par le Secretaire Exécutif National Paul Hounkpè, le parti Force Cauris pour un Bénin Emergent réagi au sujet des tueries qui se sont déroulées dans la nuit du 1er au 2 mai 2023 à Kérou dans le département de l’Atacora au nord du Bénin. Les militants du parti au logo cauris condamnent cet acte et saluent les Forces de défenses et de sécurité dans l’accomplissement de leur mission.

Consternation ! C’est le sentiment qui a pris en otage l’âme des militants et militantes du parti Force Cauris pour un Bénin Emergent une fois après être informé des tueries perpétrées par des individus armés non identifiés sur des habitants de la localité de Kabaougou à Kerou dans la nuit du 1er au 2 mai 2023. À la lecture du communiqué de presse rendu publique par le parti, c’est ce que l’on peut lire à l’entame. Ceci suivi des mots de ferme condamnation. « Le parti Force Cauris pour un Bénin Émergent déplore et condamne cette barbarie sans précédent », a laissé entendre Paul Hounkpè et les siens qui ne manquent pas d’adresser les condoléances aux familles des victimes. « En ces moments de vives douleurs, le parti FCBE présente ses sincères condoléances aux familles des victimes en particulier et à toute la population béninoise en général ».

Appel, salutation et proposition

Outre les mots de compassion et de condoléance, le parti Fcbe à travers Paul Hounkpè son secrétaire exécutif n’a pas manqué de proposer des pistes de solutions urgentes pour mettre la main sur les auteurs. À travers ce drame, « c’est tout le Bénin qui est éploré », fait-il savoir. Ainsi, à ses yeux, Il devient « impératif de renforcer notre dispositif sécuritaire notamment au niveau de la zone frontalière avec le Burkina, et de prendre toutes les mesures d’anticipation pour que ces assassins ne se réfugient dans le Parc W », propose-t-il comme piste de solution pour contrer la pègre. Pour finir, le parti « invite le gouvernement à prendre toutes dispositions immédiates pour retrouver les compatriotes Béninois enlevés, et pour éviter que de telle barbarie ne se reproduise plus jamais dans notre pays ». Il invite également « les populations béninoises au patriotisme et à une franche collaboration avec les Forces de défense et de sécurité en dénonçant la présence de tout individu suspect dans leurs localités. »

Il est à noter que l’incendie survenu dans l’enceinte de l’Ecole des Sous-officiers de Toffo le 1er mai n’a pas manqué de retenir également les attentions des militants du parti FCBE. Dans ce même communiqué le parti a profité pour dire « toutes ses compassions aux éléments des forces armées béninoises blessés et à leurs familles respectives » avant de saluer la détermination des FDS à repousser les agresseurs extérieurs.

Lire ici le MESSAGE DU PARTI FCBE

Par Christophe KPOSSINOU

Paul Hounkpè retire sa confiance au maire de Copargo et à ses deux adjoints

Désaccord entre le parti Force cauris pour un Bénin émergent  (FcBe) et le maire de Copargo et ses deux adjoints. Par décision n°188 en date du 18 avril 2023, le secrétaire exécutif national a retiré sa confiance aux trois élus.

Désaccord entre le parti Force cauris pour un Bénin émergent  (FcBe) et le maire de Copargo et ses deux adjoints. Par décision n°188 en date du 18 avril 2023, le secrétaire exécutif national a retiré sa confiance aux trois élus.

« Il est retiré au maire de Copargo, Ignace Ouorou et ses deux adjoints notamment Zacari Wiodé et Imorou Ambani, la confiance du parti FcBe, dont ils sont les élus », indique le communiqué signé du SEN Paul Hounkpè.

Le maire de Copargo et ses deux adjoints sont accusés d’avoir posé des « actes d’incitation à la démission collective des conseillers FcBe et de déstabilisation du parti ».

Reste à voir quelles seront les conséquences de cette sanction disciplinaire.

Manassé AGBOSSAGA

« Pendant 03 années, Talon n’a même pas eu cette petite courtoisie, de faire semblant de recevoir Hounkpè », les pleurs d’un membre de la FcBe après …

Le tête-à-tête entre Patrice Talon et Eric Houndété provoque un sentiment de frustration et de colère chez les cauris. En effet au lendemain de la rencontre entre le président de la République et le président du parti d’opposition Les Démocrates au palais de la marina, un membre de la Force cauris pour un Bénin émergent (FcBe) s’est offusqué.

Le tête-à-tête entre Patrice Talon et Eric Houndété provoque un sentiment de frustration et de colère chez les cauris. En effet au lendemain de la rencontre entre le président de la République et le président du parti d’opposition Les Démocrates au palais de la marina, un membre de la Force cauris pour un Bénin émergent (FcBe) s’est offusqué.

Mohamed A. Akintola fustige le fait que le chef de l’Etat n’ait pas rencontré Paul Hounkpè durant son mandat de chef de file de l’opposition. Et ce n’est pas faute d’avoir demandé.

« Pendant 3 années entières, le secrétaire exécutif national, Paul Hounkpè a été le chef de file de l’opposition. Nous sommes allés jusqu’à demander une rencontre, puisque la charte des partis politiques en instituant  ce poste a voulu qu’il y ait un cadre dans lequel,  le président de la république puisse consulter sur certaines questions, cette personnalité-là. Le chef de file de l’opposition n’a pas été consulté sur des questions d’intérêt national. Le président de la république que nous connaissons, quand même comme quelqu’un de très élégant, n’a même pas eu cette petite courtoisie, de faire semblant de recevoir le chef de file de l’opposition malgré qu’il a fait la demande », a déclaré avec frustration Mohamed A. Akintola au micro de Bip Radio.

Toutefois, il constate que Patrice Talon s’est empressé de rencontrer le président du parti Les Démocrates.

« Nous venons à peine de finir des élections. Il n’y a même pas eu un décret de nomination de Eric Houndété, mais on s’empresse de le recevoir », se désole-t-il.

Et pour lui, cette rencontre entre « deux amis » vient « clarifier aux yeux de la population »  que les gens « ont jeté à tort la pierre à la FcBe », accusant injustement le parti d’être de « connivence avec le pouvoir en place ».

Mais qu’à cela ne tienne, Mohamed A. Akintola soutient qu’en l’absence d’un autre décret de nomination, Paul Hounkpè reste le boss de l’opposition.

« Jusqu’à l’heure où nous parlons, Paul Hounkpè demeure toujours le chef de file de l’opposition », a-t-il martelé.

No comment …

Manassé AGBOSSAGA

 

Conseil municipal de Parakou : Issifou Amadou rend le tablier

Issifou Amadou ne siège plus au conseil municipal de Parakou. L’ancien premier adjoint au maire vient de rendre le tablier.

Issifou Amadou ne siège plus au conseil municipal de Parakou. L’ancien premier adjoint au maire vient de rendre le tablier.

« J’ai déposé ma démission le lundi matin à la mairie de Parakou », a confié le désormais ex-élu municipal du parti Force cauris pour un Bénin émergent (FcBe).

Dans un entretien accordé à nos confrères de Fraternité Fm, il a confié qu’il a décidé de laisser sa place à son suppléant pour que ce dernier « fasse l’expérience de la gestion locale ».

Il a soutenu que c’est ce qui a été convenu en 2020 après son élection.

Issifou Amadou a invité son suppléant qui dit-il est un jeune, à privilégier « l’intérêt de la ville de Parakou » et non ses intérêts personnels.

Et à la question de savoir si sa démission ne se justifie pas, par son échec aux législatives du 08 janvier dernier, le premier candidat titulaire du parti FcBe dans la 8ème circonscription électorale lance « qu’est-ce-que cela à avoir avec la mairie ? J’ai aussi des indemnités que je prends à la mairie. Je ne peux pas me fâcher contre moi-même. Ce qui est arrivé, j’ai connu des hauts et bas en politique. Au moment où j’allais à l’Assemblée, est-ce-que c’était ma force qui m’a amené ? Non, c’est mon destin. C’est mon destin qui a voulu que je n’aille plus à l’assemblée, peut-être Dieu me réserve encore d’autres surprises. Donc, je ne vois pas en quoi je vais me fâcher contre mon destin. J’ai voulu le faire tôt parce que je me dis il y a encore 3 ans devant …Donc ça n’à rien voir avec mon échec des baobabs sont tombés. C’est un jeu. La vie continue ».

Manassé AGBOSSAGA

 

16ème circonscription électorale : Sylvanus Aïssi remercie les populations pour avoir fait de lui, la 4ème force politique

Le processus électoral des législatives de 2023 tire à sa fin. Après l’annonce des grandes tendances par le Commission électorale nationale autonome (Céna), le candidat Fcbe de la 16ème circonscription électorale, prend acte des résultats, salue le bon déroulement du scrutin, et remercie tous ses militants qui ont cru en lui et porté sa vision._

Le processus électoral des législatives de 2023 tire à sa fin. Après l’annonce des grandes tendances par le Commission électorale nationale autonome (Céna), le candidat Fcbe de la 16ème circonscription électorale, prend acte des résultats, salue le bon déroulement du scrutin, et remercie tous ses militants qui ont cru en lui et porté sa vision.

L’heure est au bilan et aux grands enseignements au sein du parti Force Cauris pour un Bénin Emergent. Après le bureau politique national, c’est un autre baron de l’écurie qui monte au créneau. Dans une déclaration de presse rendue publique hier à Cotonou, Sylvanus Aïssi, candidat malheureux aux législatives de 2023, dans la 16ème circonscription électorale, est revenu sur le déroulement du scrutin. Au regard du climat apaisé qui a prévalu lors du processus, l’homme qui a porté la vision des verts Cauris dans la capitale économique du Bénin, remercie « le peuple béninois, les partis politiques, les organisations de la société civile, les institutions de la République qui ont œuvré pour que nous ayons des élections transparentes, crédibles et apaisées. »

Dans la même veine, celui dont la vision a été partagée et soutenue par nombre de femmes et d’hommes engagés à ses côtés, salue toute son équipe de campagne, ainsi que les coordinations disséminées dans les 7 arrondissements de la 16ème circonscription électorale.

Il les invite à maintenir l’engagement qui est le leur et à continuer à rester fidèles à leurs ambitions. « Soyez fiers d’être Fcbe », clame-t-il, avant de réitérer son entière disponibilité à poursuivre le combat pour le mieux-être de tous. « Nos projets, nos principes et nos idées germeront dans le cœur et l’esprit de tous », espère-t-il.

Pour finir, il a aussi félicité tous ses challengers qui ont réussi à tirer leurs épingles du jeu, avant de leur souhaiter « courage et succès » dans leur mission de parlementaires.

D. G. T

 

Avec seulement 4,44 % pour FcBe : affaire de chef de file de l’opposition, c’est fini

Désillusion pour Paul Hounkpè ! Le scrutin du dimanche dernier a mis le chef de file de l’opposition dans ‘‘souci’’. Son parti, FcBe n’a pas pu réunir les 10%, nécessaires pour l’attribution des sièges. Selon les grandes tendances proclamées par la Commission électorale nationale autonome, ce mercredi, les ‘‘cauris’’ n’obtiennent que 4,44 %.

Désillusion pour Paul Hounkpè ! Le scrutin du dimanche dernier a mis le chef de file de l’opposition dans ‘‘souci’’.

Son parti, FcBe n’a pas pu réunir les 10%, nécessaires pour l’attribution des sièges. Selon les grandes tendances proclamées par la Commission électorale nationale autonome, ce mercredi, les ‘‘cauris’’ n’obtiennent que 4,44 %.

Une performance qui met en difficulté Paul Hounkpè, qui ne portera que pour quelques jours le titre de ‘‘boss’’ de l’opposition au 229.

Et ça, Iréné Agossa doit bien rigoler…

Manassé AGBOSSAGA

SOS ! Besoin discours ou déclaration de ‘‘notre Boss’’ après le scrutin du 08 janvier

Dimanche, lundi et maintenant mardi, presque 3 jours que Kpakpato Medias recherche en vain la réaction du chef de file de l’opposition après le scrutin du 08 janvier. Voilà désormais plusieurs heures, que Paul Hounkpè n’a pas encore pipé mot sur les législatives. En tout cas, ‘‘nous on ne l’a pas encore attendu’’.

Dimanche, lundi et maintenant mardi, presque 3 jours que Kpakpato Medias recherche en vain la réaction du chef de file de l’opposition après le scrutin du 08 janvier. Voilà désormais plusieurs heures, que Paul Hounkpè n’a pas encore pipé mot sur les législatives. En tout cas, ‘‘nous on ne l’a pas encore attendu’’.

Pourquoi ? A-t-il un souci ? Nouvelle stratégie de communication ? Echec des législatives ? FcBe a tapé ‘‘poto’’ ? La fin du titre du chef de file de l’opposition avec garde-corps? Les Démocrates ont-ils mis le boss de l’opposition et la FcBe dans beurre ? Quel score ‘‘notre boss’’  a-t-il fait dans son Bopa natal ? Est-il satisfait du scrutin ?

Pour toutes ces interrogations et parce que Hounkpè, c’est le chef de Houndété, Azannaï, Agossa, …et donc notre ‘‘boss’’, Kpakpato Medias lance un SOS, besoin  réaction de ‘‘notre boss’’ au soir du scrutin du 08 janvier.

Merci par anticipation.

Manassé AGBOSSAGA

Hounkpè critique Yayi et Les Démocrates, parle de ses ambitions présidentielles, du probable départ de Talon en 2026, des législatives….lire l’entretien du « boss » de l’opposition sur Rfi

À l’occasion des élections législatives du 8 janvier 2023 au Bénin, entretien avec Paul Hounkpè, secrétaire exécutif du parti d’opposition Forces Cauris pour un Bénin émergent (FCBE). En mai 2021, il est devenu chef de file de l’opposition. Un statut qui lui coûte des procès en légitimité par les autres partis qui l’accusent de faire valoir.

RFI : Monsieur Paul Hounkpè, bonjour. Vous êtes le secrétaire exécutif du parti d’opposition FCBE. Les élections législatives se tiennent le 8 janvier prochain. Comment se déroule la campagne et quel niveau de mobilisation vous constatez sur le terrain ? 

Paul Hounkpè : La population en général est partagée entre les fêtes de fin d’année et les débats politiques. Ça n’a pas été un bon choix de placer la campagne en fin d’année où il y a deux fêtes majeures et l’engouement est partiel et donc la population se trouve un peu dispersée.

Qu’est-ce que vous voulez changer et qu’est-ce que vous reprochez au Parlement sortant ?

Depuis 2016, il y a une soumission des institutions et nous avons constaté que le Parlement qui a été mis en place n’a pas du tout joué son rôle en se faisant passer pour une suite du pouvoir exécutif. Et donc notre intention, c’est de restaurer notre démocratie en assurant la séparation des pouvoirs.

Qu’est-ce que les populations vous réclament et vous demandent ? 

Il y a plusieurs lois à polémiques. Il y en a véritablement qui dérangent, telle que la restriction des libertés et surtout le droit de grève. Il ne s’agira pas de dire une remise en cause systématique. Mais c’est de relire, d’assouplir, de revoir et de recadrer.

Avez-vous, lors de cette campagne, une pensée pour Joël Aïvo et Reckya Madougou, est-ce que vous demandez leur libération ?

Nous voulons véritablement que ces personnes soient libérées au plus tôt. Si le peuple nous accordait la majorité des députés, c’est d’aller à une loi d’amnistie et de pouvoir les libérer. Je crois que ce sont des choses qui sont possibles.

Sur la participation du parti Les Démocrates à ces élections. Vous dites : vive le retour de la démocratie ?

Pour nous, c’est assez positif et d’ailleurs ça fait qu’aujourd’hui, les campagnes se déroulent dans l’ambiance et la paix. C’est une grande satisfaction que de ne pas voir les engins de guerre circuler au cours donc de cette période. C’est une avancée notable, et nous ne pouvons que souhaiter ça.

En mai 2021, vous avez été fait chef de file de l’opposition. Beaucoup de partis d’opposition vous font un procès en légitimité. En clair, ces partis, ne vous reconnaissent pas comme tel. Qu’est-ce que vous répondez ? 

Nous, nous avons participé à une élection et nous avons eu des résultats. C’est au vu des résultats que le chef de file de l’opposition a été désigné. Et conformément à la loi, c’est FCBE la principale force de l’opposition.

Qu’est-ce qui vous permet de dire ça ? 

Justement parce que nous sommes représentés partout, nous avons des élus, nous avons des maires.

Vous étiez seuls ?

Nous étions seuls, mais nous n’avons empêché personne. On ne peut que juger, et ce, sur ce qui est factuel. Vous ne pouvez pas faire des extrapolations et penser que quelqu’un qui n’a jamais participé à une élection peut se permettre de dire qu’il est la principale force, ce n’est pas possible. Tout ne suffit pas d’être un ancien président pour se prévaloir d’être une force politique importante du pays.

Est-ce que vous redoutez que les Démocrates fassent mieux que vous à ces élections ? 

Ceux qui ont été obligés d’avoir des accointances avec le pouvoir – avant de sortir, d’émerger de l’eau – eh bien ils ne peuvent pas se dire véritablement autonomes, capables donc de surgir sans un coup de pouce du pouvoir. Nous n’avons peur d’aucune force.

Vous accusez les Démocrates d’avoir négocié avec le pouvoir, c’est ce que vous dites ?

Je n’accuse pas, mais je constate.

Et pourtant c’est vous qu’on accuse de faire-valoir du pouvoir. Vous êtes faire-valoir du président Talon, oui ou non ?

La question fait mal, quand j’explique, vous revenez chaque fois là-dessus ! Nous n’avons aucune relation avec le pouvoir.

Est-ce que vous serez candidat en 2026 à l’élection présidentielle ? 

Personne ne peut penser aux élections de 2026 sans d’abord réussir les élections de 2023.

Avez-vous un doute sur le départ du chef de l’État ? Il a répété plusieurs fois qu’il ne se présenterait plus.

Non, mais s’il y a une qualité que je reconnais au chef de l’État, c’est d’être direct. Si jusqu’ici il n’a fait aucune autre déclaration que celle qu’il partirait en 2026, il n’y a pas de raison d’avoir de doute.

Vous êtes prêt à l’union sacrée pour la lutte contre l’insécurité et contre le terrorisme dans le nord du Bénin ? 

Lorsqu’il s’agit, n’est-ce pas, de notre pays, aucun sacrifice ne sera de trop et nous devons nous mettre ensemble pour combattre ces forces extérieures. Ça, là-dessus, il n’y a pas opposition.

Monsieur Paul Hounkpè, merci. 

Merci beaucoup.

Source : Rfi

Bénin : Après son divorce avec Les Démocrates, Moïse Kérékou adhère au parti FcBe

C’était dans l’air, c’est désormais officiel. Moïse Kérékou rejoint le parti Force cauris pour un Bénin émergent après sa suspension du parti Les Démocrates. Via un message publié sur sa page Facebook, le colistier de Joël Aïvo à la présidentielle de 2021 a annoncé son arrivée chez les cauris ce vendredi 28 octobre 2022, date de démarrage de la réception des déclarations de candidatures pour les législatives de 2023.

C’était dans l’air, c’est désormais officiel. Moïse Kérékou rejoint le parti Force cauris pour un Bénin émergent (FcBe) après sa suspension du parti Les Démocrates. Via un message publié sur sa page Facebook, le colistier de Joël Aïvo à la présidentielle de 2021 a annoncé son arrivée chez les cauris ce vendredi 28 octobre 2022, date de démarrage de la réception des déclarations de candidatures pour les législatives de 2023 par la Céna. Lire son message.

« Chers Militants,
Chers sympathisants,
Mes chers compatriotes,

Nous sommes le 26 octobre. C’est un jour mémorable dans la conscience collective de notre peuple. Paix à l’âme du Général Mathieu KÉRÉKOU.

Qu’il vous souvienne dans la lettre que je vous ai adressée en date du 23 décembre 2021, j’annonçais ma démission du Parti Les Démocrates (LD) ; j’en ai évoqué les principales raisons.

Aujourd’hui 26 octobre 2022, j’ai le plaisir de vous annoncer mon adhésion à la Force Cauris Pour un Bénin Émergent (FCBE), notre parti d’origine. En effet, je ne fais que me conformer à la volonté de la majorité de nos militantes et de nos militants qui à plus de 98% m’ont donné le feu vert. Ainsi, je suis en harmonie avec vous et je reste cohérent avec moi-même. Et j’en assume l’entière responsabilité.

Du reste, je suis convaincu que notre choix est judicieux au regard de la stabilité du Parti Cauris, de la méthode de travail et de la cohérence de son discours politique, depuis qu’elle s’est résolument engagée à se conformer à la nouvelle Charte des Partis politiques, le 12 septembre 2019.

Chers militants et sympathisants, je voudrais vous rassurer que notre combat pour le bien-être et le vivre ensemble, aux côtés de notre vaillant et pacifique Peuple, n’a pas varié, même pas de l’épaisseur d’un cheveu, conformément aux résolutions de nos deux Congrès en 2010 et en 2015, Congrès à l’issue desquels d’ailleurs nous avions apporté tout notre soutien aux FCBE d’alors, aussi bien à Parakou, qu’à Natitingou. Ainsi, nous venons de prendre une importante décision dans la vie de notre Mouvement. Elle est conforme à la Doctrine du MPR contenue dans le livre blanc le Manifeste de la Relève pour une Révolution silencieuse.

Il va s’en dire que nous mènerons la prochaine bataille des législatives aux côtés de la Force Cauris. Et je suis d’ores et déjà rassuré, compte tenu de votre enthousiasme, de votre détermination, de votre conviction et de votre mobilisation que j’ai pu constater moi-même lors de la tournée à la base, que nous remporterons haut les mains la victoire. Assurément ! Je voudrais vous exhorter à garder constamment à l’esprit ces vieux adages populaires : le bruit ne fait pas du bien et le bien ne fait pas du bruit ; seuls les tonneaux vides font du bruit. Vous connaissez la force de notre mouvement. J’ai confiance en vous.

Enfin, gardons en mémoire que les cauris en eux-mêmes sont déjà une source de force. Ils datent de la préhistoire. Ils ont transcendé le temps et l’espace à cause de leur forte charge spirituelle qui les rend presque immortels. Une flamme peut vaciller, faiblir et si elle n’est pas constamment entretenue, elle peut même s’éteindre, mais les cauris restent immuables. À Dieu vat ! »

Bantè : Des anciens élus FcBe rejoignent l’Union progressiste

Le parti Union progressiste (UP) reçoit de nouveaux adhérents dans la commune de Bantè. Des anciens élus membres du parti Force cauris pour un Bénin émergent (FcBe) ont rejoint le parti Baobab.

Le parti Union progressiste (UP) reçoit de nouveaux adhérents dans la commune de Bantè. Des anciens élus membres du parti Force cauris pour un Bénin émergent (FcBe) ont rejoint le parti Baobab.

La cérémonie d’adhésion a eu lieu le week-end dernier dans la commune de Bantè.

D’après Gomez Elias, ils sont  34 chefs village sur 49 que compte la commune à adhérer à l’Union progressiste.

Ils disent avoir opéré ce choix politique en raison du bilan de Patrice Talon.

Manassé AGBOSSAGA