Bachir Adewale Adeniyi, directeur des douanes du Nigéria en visite de travail à Cotonou ce lundi

Un hôte de marque à Cotonou  ce lundi 24 juillet 2023. Le directeur général des douanes du Nigeria Bachir Adewale Adeniyi foule le sol béninois dans le cadre d’une visite de travail de 24 heures.

Un hôte de marque à Cotonou ce lundi 24 juillet 2023. Le directeur général des Douanes du Nigeria Bachir Adewale Adeniyi foule le sol béninois dans le cadre d’une visite de travail de 24 heures.

Un programme alléchant concocté pour réfléchir sur les stratégies à mettre en place pour promouvoir et développer les échanges commerciaux entre le Bénin et le Nigeria et définir les moyens pour lutter efficacement contre la fraude. Dans la matinée de ce lundi, le directeur général des douanes nigérianes recevra les honneurs militaires à la Direction générale des douanes du Bénin à Cotonou. Cette étape sera suivie d’un tête-à-tête entre Bachir Adewale Adeniy et Alain Hinkati, accompagnés de quelques directeurs techniques centraux.

Le directeur général des douanes du Nigéria sera ensuite à Webb Fontaine au Guichet unique du commerce extérieur (Guce).  Il va également visiter le système de scanning et de tracking des marchandises à Benin control, avant de descendre au Port autonome de Cotonou.

Au cours de son séjour à Cotonou, le patron des douanes nigérianes sera reçu en audience par le ministre d’Etat, chargé de l’Economie et des finances, Romuald Wadagni.

Une conférence de presse entre les deux directeurs des douanes est annoncée pour faire le récapitulatif.

S.E

Législatives 2023 : Joseph Djogbénou craint la fraude et déplore l’absence « d’honnêteté dans la compétition politique » au Bénin

Joseph Djogbénou écrit à nouveau aux militants et militantes de l’Union progressiste le Renouveau. Dans sa traditionnelle lettre, publiée ce dimanche 13 novembre, il a notamment lancé un appel à la vigilance pour la sécurisation du scrutin du 08 janvier 2023.

Joseph Djogbénou écrit à nouveau aux militants et militantes de l’Union progressiste le Renouveau. Dans sa traditionnelle lettre, publiée ce dimanche 13 novembre, il a notamment lancé un appel à la vigilance pour la sécurisation du scrutin du 08 janvier 2023.

Et là-dessus, le président démissionnaire de la Cour constitutionnelle a déploré l’absence  « d’honnêteté dans la compétition politique » au Bénin et semblé afficher une crainte au sujet de la fraude électorale.

« La sécurisation du scrutin à un moment où les esprits nouveaux d’honnêteté dans la compétition politique n’ont pas encore habité tous les corps anciens, et où les pratiques anciennes offrent encore une résilience intolérable préoccupe, légitiment de nouveaux citoyens », confie-t-il, jurant au passage que  « Partout les plaintes montent à maints égards ».

Face à cela, il s’est empressé de lancer un appel aux militants et militantes de l’UP le Renouveau pour la « sécurisation du scrutin ».

« …la meilleure assurance en faveur de la sécurité et de la sincérité du scrutin est la présence massive, ponctuelle et continue de l’électeur à son poste de vote. La participation élevée est la plus grande essentielle de sécurité du scrutin. Si la présence est dissuasive, l’absence est nuisible. Nous devons alors à présent chacun et chacune, tous et toutes, nous mettre en mouvement vers  l’électeur… », a-t-il alors lancé.

Quand le président d’un parti présidentiel et auteur du ‘‘certificat de conformité’’, à l’origine de l’exclusion des partis de l’opposition en 2019, parle de « sécurité » et « sincérité » du scrutin, on est bien tenté de se demander si ce « n’est pas l’hôpital qui se fout de la charité ».

Manassé AGBOSSAGA

 

Un Anglais s’est enveloppé la tête de bandages pour frauder à l’examen de conduite

Une fraude plutôt originale. À Londres, un homme a été condamné à deux ans et quatre mois de prison pour avoir passé les examens théoriques de conduite à la place d’autres personnes en s’enroulant des bandages autour de la tête, rapporte The Independent dans sa rubrique Indy100. Izmir Senaj, 28 ans, s’est fait passer pour plusieurs personnes sur différents sites de la Driver and Vehicle Standards Agency (DVSA), l’agence du ministère britannique des transports qui s’occupe des permis, avant d’être arrêté en janvier 2019 à Swindon, à l’ouest de Londres.

Une fraude plutôt originale. À Londres, un homme a été condamné à deux ans et quatre mois de prison pour avoir passé les examens théoriques de conduite à la place d’autres personnes en s’enroulant des bandages autour de la tête, rapporte The Independent dans sa rubrique Indy100. Izmir Senaj, 28 ans, s’est fait passer pour plusieurs personnes sur différents sites de la Driver and Vehicle Standards Agency (DVSA), l’agence du ministère britannique des transports qui s’occupe des permis, avant d’être arrêté en janvier 2019 à Swindon, à l’ouest de Londres.

L’homme, originaire du quartier d’East Ham, a finalement plaidé coupable de quatre chefs d’accusation de fraude devant le tribunal. Face aux enquêteurs, il a affirmé qu’il devait de l’argent, des dettes de jeu plus particulièrement, à au moins deux des personnes dont il a usurpé l’identité.

«Vos actions montrent un mépris cruel pour le système conçu pour garantir que seules les personnes qualifiées pour conduire en toute sécurité prennent le volant d’une voiture, a déclaré le juge Jason Taylor QC lors du procès, selon Metro. Cela aurait pu avoir des conséquences importantes tant pour les usagers de la route que pour les piétons.»

Connu de la police et des tribunaux

Entre fin 2018 et début 2019, Izmir Senaj s’est rendu dans quatre centres d’examen dans le sud de l’Angleterre. À chaque tentative de fraude, il trouvait des excuses différentes pour justifier ses blessures, et donc ses bandages. Le 11 octobre 2018, il s’est présenté au centre d’Eastbourne vêtu d’un gilet de sécurité, d’un bandage sur la tête et d’un sparadrap sur le nez, prétextant qu’il avait été frappé à la tête en travaillant sur un chantier, précise le quotidien d’information britannique gratuit.À lire aussiAu Japon, des repas à prix réduits pour les seniors qui renoncent à leur permis

Il avait déjà été condamné pour sept infractions de fraude au permis de conduire. | Daisy Anderson via Pexels
© Il avait déjà été condamné pour sept infractions de fraude au permis de conduire. | Daisy Anderson v… Il avait déjà été condamné pour sept infractions de fraude au permis de conduire. | Daisy Anderson via Pexels

Après avoir remis un permis de conduire provisoire au nom d’un Albanais, il a pu passer le test et l’a réussi. Cinq jours plus tard à Hastings, il a prétendu être tombé d’une échelle, mais malheureusement pour lui, la personne à l’accueil était la même qu’au centre d’Eastbourne. Le fraudeur a finalement pris la fuite. Il a ensuite été refusé à Harlow, car le personnel n’était pas convaincu qu’il était bien la personne figurant sur le permis provisoire.

L’escroquerie a finalement pris fin à Swindon, lorsque des membres du personnel l’ont reconnu à la suite d’un appel à témoins qui circulait en interne et ont appelé la police. Izmir Senaj était déjà connu des services de police. En 2014, il a été condamné à onze mois de prison, pour sept infractions de fraude au permis de conduire. Il a également écopé d’une peine de trois ans pour sept autres infractions, en 2017. Au total, il a été condamné à cinq reprises pour vingt-huit infractions.

Slate.fr

Etats-Unis : Un grand jury constitué pour statuer sur un éventuel procès Trump

Un grand jury a été constitué pour déterminer si le dossier du procureur de Manhattan sur Donald Trump et son groupe peut justifier la tenue d’un procès, rapportent mardi plusieurs médias américains. Un porte-parole du procureur Cyrus Vance s’est refusé à tout commentaire. Pour Donald Trump, aujourd’hui domicilié en Floride, ce nouveau développement est « la poursuite de la plus grande chasse aux sorcières de l’histoire des Etats-Unis », a réagi l’ancien chef de l’Etat, dans un communiqué.

Il s’agit d’affaires concernant la gestion de la Trump Organization, pas de sa présidence des Etats-Unis

Un grand jury a été constitué pour déterminer si le dossier du procureur de Manhattan sur Donald Trump et son groupe peut justifier la tenue d’un procès, rapportent mardi plusieurs médias américains. Un porte-parole du procureur Cyrus Vance s’est refusé à tout commentaire. Pour Donald Trump, aujourd’hui domicilié en Floride, ce nouveau développement est « la poursuite de la plus grande chasse aux sorcières de l’histoire des Etats-Unis », a réagi l’ancien chef de l’Etat, dans un communiqué.

Selon le Washington Post, les jurés ont été sélectionnés récemment et vont se réunir trois jours par semaine durant six mois pour examiner les pièces du dossier. En droit pénal américain, les affaires d’importance sont souvent soumises par l’accusation à un grand jury, constitué de personnes issues de la société civile, comme les jurés d’un procès ordinaire. Le grand jury examine, au secret, le dossier et peut aussi demander des pièces complémentaires ou à entendre un ou plusieurs témoins.

Gongler les actifs, sous évaluer les déclarations fiscales

A l’issue de l’examen, il détermine, à la majorité, mais pas nécessairement à l’unanimité, s’il y a matière à inculpation, préambule à un procès. La constitution du grand jury indique que le procureur Vance estime avoir suffisamment d’éléments pour aller jusqu’au procès. Cyrus Vance, dont le mandat s’achève fin décembre, enquête depuis 2019 sur de possibles manipulations comptables de la Trump Organization, la holding de Donald Trump qui gère l’ensemble de ses intérêts.

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Le procureur de Manhattan cherche principalement à déterminer si le groupe a artificiellement gonflé la valeur de ses actifs pour obtenir des prêts plus importants et les a, dans le même temps, sous-évalués dans ses déclarations fiscales pour réduire ses impôts. L’enquête se penche aussi sur la rémunération des principaux dirigeants de la Trump Organization, selon le Washington Post. S’il s’agit bien pour Cyrus Vance d’obtenir une inculpation, il n’est pas établi qu’il s’agisse de Donald Trump lui-même. Il pourrait viser la Trump Organization en tant que personne morale ou des collaborateurs de l’ancien président américain au sein de cette holding.

Les fameuses déclarations de revenus de Trump dans l’affaire

Parmi les documents rassemblés par Cyrus Vance, figurent les déclarations de revenus de Donald Trump sur huit ans, de 2011 à 2018, obtenues de haute lutte après dix-huit mois de bataille judiciaire. La procureure de l’Etat de New York, Letitia James, avait elle lancé ses propres investigations sur la Trump Organization. La semaine dernière, elle a envoyé un premier signal en indiquant que son enquête, initialement au civil, avait désormais un volet pénal, mené conjointement avec les services de Cyrus Vance.

Donald Trump lors de son discours à la conférence conservatrice CPAC, à Orlando en Floride le 28 février 2021.
© Joe Marino/UPI//SIPA Donald Trump lors de son discours à la conférence conservatrice CPAC, à Orlando en Floride le 28 février 2021.

« C’est purement politique et un affront aux presque 75 millions d’électeurs qui m’ont soutenu lors de l’élection présidentielle », a commenté Donald Trump, « avec deux procureurs démocrates très partisans à la manoeuvre ». « New York, la ville et l’Etat, souffrent des taux de criminalité les plus élevés de leur histoire », a-t-il poursuivi, une affirmation fausse, « et plutôt que d’aller chercher les meurtriers, les trafiquants de drogues et d’êtres humains, ils s’en prennent à Donald Trump. »

20 minutes/AFP

Kpakpato Sans Payer: Un ancien candidat au poste de maire alerte sur une technique de fraude et invite les préfets à la vigilance

L’heure est à l’installation des conseils communaux et à l’élection des maires, adjoints au maire et chefs d’arrondissement, après la proclamation des résultats des élections communales et municipales du 17 mai dernier par la Céna. Moment choisi pour Prince Sonon Aligbonon, ancien candidat malheureux au poste de maire à Bohicon d’alerter sur une technique de fraude et d’inviter les préfets à la vigilance…

L’heure est à l’installation des conseils communaux et à l’élection des maires, adjoints au maire et chefs d’arrondissement, après la proclamation des résultats des élections communales et municipales du 17 mai dernier par la Céna. Moment choisi pour Prince Sonon  Aligbonon, ancien candidat malheureux au poste de maire à Bohicon d’alerter sur une technique de fraude et d’inviter les préfets à la vigilance.

Kpakpatomedias.com en mode ‘‘Sans Payer’’ vous propose l’intégralité de son témoignage, intitulé « Non aux faux scrutins ».

« [NON AUX FAUX SCRUTINS]

Je dénonce ! oui je dénonce ! je dénonce comme l’avait fait la douce ANGELA, mais moi je le fais pour réveiller l’attention des différents Préfets lors des installations des nouveaux maires de la Rupture

En 2015 ,selon les informations de sources crédibles, un supposé fait aurait marqué la procédure lors des élections qui ont consacré à l’installation du Maire Luc ATROKPO où j’étais le seul Candidat contre ce dernier, c’est plus tard que les informations se sont relevées à mes oreilles!

De quoi s’agit-il chers compatriotes:

Saviez -vous que la loi n’a pas prévu un bulletin unique de vote pour les élections des Maires,des Adjoints aux Maires, et les Chefs d’Arrondissement en République du Bénin???

Saviez-vous que les votes s’opèrent à l’aide de petits bouts de papiers?

Saviez vous que certains candidats, en occurrence les plus forts donnent des codes, ou des signes spécifiques à certains conseillers pour en faire usage lors du vote, et après le scrutin, ces bulletins(bout de papier) de votes sont passés à une certaine forme d’inspection pour s’assurer de l’engagement pris par X conseiller de voter pour un candidat Y serait-il respecté ???

Saviez-vous que cette pratique enlève tout le caractère confidentiel du scrutin tant prôné par la loi et ouvrant la porte aux achats de conscience ???

J’en appelle alors à la vigilance des préfets pour garantir la confidentialité de ces différents scrutins.

Tout ne devait pas être faux sous la rupture! J’ai dit!

« Père, Pardonne les »

Prince Sonon ALIGBONON
Paix et Joie à tous ».