Candidat déclaré à la présidentielle de 2021, avant de jeter son dévolu sur Joël Aïvo, Simon Narcisse Tomèty est définitivement sous le charme du Constitutionnaliste. Dans une tribune intitulée, « Frédéric Joël AIVO, l’homme de l’audace et de l’espérance pour le Bénin », l’Institutionnaliste de reformes publiques a exprimé toute son admiration pour l’ancien Doyen de la Faculté des droits et sciences politiques.
Candidat déclaré à la présidentielle de 2021, avant de jeter son dévolu sur Joël Aïvo, Simon Narcisse Tomèty est définitivement sous le charme du Constitutionnaliste. Dans une tribune intitulée, « Frédéric Joël AIVO, l’homme de l’audace et de l’espérance pour le Bénin », l’Institutionnaliste de reformes publiques a exprimé toute son admiration pour l’ancien Doyen de la Faculté des droits et sciences politiques.
Morceaux choisis :« Tu as surpris plus d’un par ta méthode scientifique d’approche du territoire et ta pédagogie de communication politique et sociale… J’ai fortement admiré ta capacité d’écoute des populations que tu imprimes à ton dialogue itinérant inédit. Une réelle humilité de l’homme au coeur apprenant se dégage de ton être…Je constate que ton orientation idéologique est de rendre le peuple béninois digne, les institutions de la république fortes et résolument tournées vers l’intérêt général afin que le Bénin redevienne un Etat fréquentable qui est respecté sur l’échiquier international… Une chose qui me plaît en toi, c’est que tu n’es ni un homme complexé ni un homme qui fond comme la graisse du canard devant les valisettes d’argent que les gens trimballent pour mochement mobiliser les populations partout dans le pays. La différence de qualité fait la moralité de l’homme…. C’est la preuve d’un homme organisé qui a appris le droit pour rester dans la vertu et non pour la clochardisation de son esprit et de sa profession pour devenir un homme vulgaire. Homme de principe, je ne t’ai jamais vu te comporter comme un griot bas de gamme qui utilise la science juridique pour torpiller ton peuple en vue de rendre service à des individus. C’est cette attitude digne de respect que je tiens à saluer… »
Puis d’insister sur ce qui le différencie des autres hommes de droit : « Tu n’es pas un homme de droit manipulateur et là aussi c’est toute notre fierté pour dire que tu mérites vraiment ton titre de professeur titulaire de droit public, expert constitutionnaliste d’excellence… ».
Pour l’ancien directeur de l’Ecole de la Nouvelle conscience, le Bénin a besoin de ce profil de dirigeant. Simon Narcisse Tomèty reste d’ailleurs persuadé que Joël Aïvo, qui n’a toujours pas déclaré sa candidature fera un excellent président : « Demain, dans ta pédagogie de chef de bataillon pour libérer notre peuple, tu sauras marquer la différence en respectant et en valorisant l’intellectuel béninois… Demain avec toi, la gouvernance participative sera possible dans tous les secteurs ».
No comment !!!
Manassé AGBOSSAGA
Frédéric Joël AIVO, l’homme de l’audace et de l’espérance pour le Bénin
Je t’adresse cette mélodie poétique de René CHAR :
« Impose ta chance
Sers ton bonheur
Vas vers ton risque
A te regarder
Ils s’habitueront »
Tu as surpris plus d’un par ta méthode scientifique d’approche du territoire et ta pédagogie de communication politique et sociale. Ce n’est plus de la blague mais du scientifiquement sérieux sans bruitage, sans démagogie, sans corruption, sans peur et arrogance. J’ai fortement admiré ta capacité d’écoute des populations que tu imprimes à ton dialogue itinérant inédit. Une réelle humilité de l’homme au coeur apprenant se dégage de ton être. Je l’affirme!
Oui, beaucoup te sous-estimaient parce que tu ne viens pas à la cheville de nos milliardaires mais chemin faisant, tout le monde découvre sur le parcours de la méthode, que tu surpasses de très loin ceux-là par ton intelligence situationnelle et prospective. Je constate que ton orientation idéologique est de rendre le peuple béninois digne, les institutions de la république fortes et résolument tournées vers l’intérêt général afin que le Bénin redevienne un Etat fréquentable qui est respecté sur l’échiquier international.
Une chose qui me plaît en toi, c’est que tu n’es ni un homme complexé ni un homme qui fond comme la graisse du canard devant les valisettes d’argent que les gens trimballent pour mochement mobiliser les populations partout dans le pays. La différence de qualité fait la moralité de l’homme. C’est la preuve d’un homme organisé qui a appris le droit pour rester dans la vertu et non pour la clochardisation de son esprit et de sa profession pour devenir un homme vulgaire. Homme de principe, je ne t’ai jamais vu te comporter comme un griot bas de gamme qui utilise la science juridique pour torpiller ton peuple en vue de rendre service à des individus. C’est cette attitude digne de respect que je tiens à saluer.
Tu n’es pas un homme de droit manipulateur et là aussi c’est toute notre fierté pour dire que tu mérites vraiment ton titre de professeur titulaire de droit public, expert constitutionnaliste d’excellence. J’étais très fier des témoignages émouvants d’un écrivain nigérien qui fut ton étudiant à Ouagadougou. Ce jeune talentueux à la plume facile et intelligente saluait la qualité des cours de son professeur Aivo et la manière de faire en sorte que chaque étudiant soit un partenaire de coconstruction de la réflexion avec lui. Cet esprit pédagogique libère les ingéniosités et fait grandir l’homme au lieu de l’abaisser par l’humiliation. Demain, dans ta pédagogie de chef de bataillon pour libérer notre peuple, tu sauras marquer la différence en respectant et en valorisant l’intellectuel béninois.
Tu es une lumière qui éclaire déjà le Bénin du Nord au Sud et heureusement pour notre pays qui doit mettre fin à des mythes qui détournent les citoyens d’un rêve partagé. Demain avec toi, la gouvernance participative sera possible dans tous les secteurs.
Le peuple souverain du Bénin ne veut plus vivre dans un État voyou, dans un système oppresseur et d’immoralité institutionnelle. Et pour cela, il a besoin d’un chef serviteur car la grandeur d’une nation est dans le sacrifice proportionnel de ses filles et fils, le travail acharné, la solidarité, la discipline collective sans animosité et la propagation de la paix.
Ensemble, nous allons libérer le Bénin et nous sommes sur le chemin de non retour et notre commune patrie sera bientôt une cité des femmes et des hommes libres. Ce parcours de restauration de la constitution de 11 décembre 1990 et de notre processus démocratique n’est plus négocié. Le peuple Béninois va récupérer bientôt la plénitude de sa souveraineté pour une nouvelle ère d’État de droit. Avec tous mes encouragements et prières pour toi et ta famille, cher frère. Nous vaincrons! »