Une Indienne coupe le ‘‘zizi’’ de son mari, la raison

Attention à la colère d’une femme ! En Inde, une femme, âgée de 36 ans n’a pas hésité à couper le pénis de son mari alors qu’il aurait tenté de violer sa jeune fille, mercredi dernier.

Attention à la colère d’une femme ! En Inde, une femme, âgée de 36 ans n’a pas hésité à couper le pénis de son mari alors qu’il aurait tenté de violer sa jeune fille, mercredi dernier.

De retour du travail, elle a trouvé son petit ami avec qui elle est en concubinage depuis deux ans, en train d’attaquer sa fille de 14 ans.

« J’étais en train de travailler [on] la ferme au moment de l’incident. Heureusement, je suis rentrée chez moi juste à temps et je l’ai pris en flagrant délit », a-t-elle déclaré au Temps de l’Inde.

Après cette découverte, elle se dirige, sans se poser des questions, vers la cuisine et s’empare d’un couteau.

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« Il m’a même attaqué alors que j’essayais de sauver ma fille, alors j’ai sorti un couteau de la cuisine et lui ai coupé les parties intimes pour lui donner une leçon », a-t-elle poursuivi, indiquant qu’elle ne regrette pas son acte.

Tellement qu’elle aura bien ‘‘cisaillé le zizi’’ du bourreau de sa fille, que ce dernier se retrouve actuellement dans un état critique. Il a d’ailleurs été hospitalisé pour suivre des soins.

Malgré tout ça, un officier du poste de police de Lakhimpur a déclaré que l’homme avait été condamné pour viol en vertu de la loi sur la protection des enfants contre les infractions sexuelles (POCSO), une loi sur les abus sexuels sur les enfants en Inde, rapporte Le Temps de l’Inde.

Quant à la femme, rien n’a filtré sur son inculpation ou non.

Manassé AGBOSSAGA

Il demande le divorce parce que sa femme ne sait pas préparer

Femme attention, un homme a beau vous aimez, mais si vous n’arrivez pas à ‘‘satisfaire son ministère de l’intérieur’’, il n’hésitera pas à vous mettre dehors. Ce divorce rapporté par le journal indien The New Indian Express, donne entièrement raison à Kpakpato Medias.

Ça se passe en Inde. Un homme a demandé le divorce parce que sa femme ne sait pas préparer. Cette dernière lui servait à chaque repas, des nouilles instantanées.

Femme attention, un homme a beau vous aimez, mais si vous n’arrivez pas à ‘‘satisfaire son ministère de l’intérieur’’, il n’hésitera pas à vous mettre dehors. Ce divorce rapporté par le journal indien The New Indian Express, donne entièrement raison à Kpakpato Medias.

Le journal rapporte qu’un juge aux affaires familiales de la ville de Bellary, dans l’État du Karnataka a confié qu’’un homme qui ne supportait plus les mêmes repas préparés par son épouse, a préféré demander le divorce.

Dans le dossier remis au juge, le mari explique que son épouse ne lui prépare que des nouilles instantanées, et ce, au petit déjeuner, au déjeuner et au dîner.

L’homme s’est également plaint que sa femme ne sait pas préparer autre chose et ’à chaque fois qu’elle allait faire les achats pour la cuisine, elle ne revenait qu’avec sa spécialité, les nouilles instantanées.

Et comme se nourrir fait partie des 5 besoins fondamentaux de l’Homme, il a finalement demandé le divorce.

A sa grande joie, le divorce a bien  été prononcé par consentement mutuel. Le juge a renommé « l’affaire Maggi », du nom d’une marque de nouilles instantanées.

En Inde, les couples sont obligés de rester au moins un an ensemble avant tout divorce officiel.

Manassé AGBOSSAGA

Inde- Furieux après sa défaite, un lutteur frappe l’arbitre… la réaction de sa Fédération

En Inde, la Fédération nationale de lutte a   banni à vie un lutteur. Ce dernier est accusé d’avoir   donné un coup de poing à l’arbitre avec des menaces de mort après sa défaite, mardi 17 mai, à New Delhi

En Inde, la Fédération nationale de lutte a   banni à vie un lutteur. Ce dernier est accusé d’avoir   donné un coup de poing à l’arbitre avec des menaces de mort après sa défaite, mardi 17 mai, à New Delhi

Un lutteur qui n’arrive pas à retenir sa colère et qui s’en prend physiquement à l’arbitre.

Le mardi 17 mai dernier  Satender Malik, lutteur de la catégorie des plus de 125 kg, disputait un combat  qualificatif  pour les prochains Jeux du Commonwealth prévus  à Birmingham (Royaume-Uni). Mais  quand l’arbitre a accordé la victoire à son adversaire, le lutteur a complètement perdu son sang-froid.

Il  a traversé le tapis en injuriant l’arbitre, Jagbir Singh, avant de le frapper au visage, rapporte l’AFP, repris par Ouest France.

L’arbitre se sent humilié

Frappé par le lutteur, l’arbitre parle d’offense.  « Je suis profondément offensé qu’il m’ait insulté et frappé devant tout le monde alors que je ne faisais que mon devoir », a dénoncé   M. Singh, cité par le quotidien Indian Express.

Le lutteur a été banni à vie

Un responsable de la Fédération nationale de lutte a dénoncé le comportement de l’athlète. Vinod Tomar, parle d’un fait historique et inacceptable dans le monde du sport.

« Jamais auparavant une telle chose n’était arrivée… Il a non seulement frappé l’arbitre mais a également menacé de le tuer », a dénoncé Vinod Tomar dans un entretien accordé à l’AFP.

Ce haut responsable de la Fédération indienne de lutte a indiqué  qu’une« plainte a été déposée auprès de la police » et que Satender Malik a été « banni à vie ».

Un autre lutteur, Vishal Kalliraman, qui n’a pas également digéré sa défaite, a lui frappé à coups de poings le mur de la salle. La police a dû intervenir en raison d’échauffourées dans le public.

Siméon AKOGBE