Bénin : Un Procureur et un proche victimes d’une agression

Un procureur et un proche ont passé un sale quart d’heure dans la nuit du samedi 09 au dimanche 10 juillet à Abomey, dans le département du Zou.

Un procureur et un proche ont passé un sale quart d’heure dans la nuit du samedi 09 au dimanche 10 juillet à Abomey, dans le département du Zou.

Selon les informations rapportées par Matin Libre, le Procureur qui était dans sa voiture avec son « frère » ont été la cible de malfrats qui étaient à leurs trousses dans un mini bus  alors qu’ils revenaient de la ville.

Vigilant, le Procureur a rapidement remarqué  que des individus  suivaient son véhicule sur l’axe routier carrefour Dako-Carrefour Lapin au niveau du Ceg2 Abomey.

« Le bus des malfrats voulaient les dépasser quand, ils ont fait l’effort de s’arrêter devant eux en premier. Les agresseurs leur ont donné des coups de toutes sortes d’objets au point où le frère du procureur a perdu la connaissance. Le croyant mort, les agresseurs ont pris la tangente », explique le journal.

Avant l’offensive des présumés malfrats,  le Procureur a contacté au téléphoné  le commissaire de Hounli pour lui notifier que des gens le suivaient.

Ce dernier a dépêche des agents de la Police républicaine sur les lieux. Ces derniers arrivés après le départ des présumés hors-la- loi, ont fait les différents constats et ont ensuite « aidé le Procureur à mettre son frère dans son véhicule pour le conduire lui-même aux soins ».

« Ils ont reçu les premiers soins avant d’être admis en salle d’hospitalisation pour suivi dans un hôpital de la place », ajoute la même source.

Une enquête est ouverte pour élucider l’affaire.

Manassé AGBOSSAGA

Les Braqueurs sèment la terreur à Cotonou: Plus de 5 millions emportés dans un braquage à Saint-Michel

A Cotonou, les Braqueurs ont encore fait parler d’eux. Ils se sont signalés en fin de matinée, ce lundi 04 juillet 2022 au quartier Saint-Michel à Cotonou.

Au Bénin, les Braqueurs sèment la terreur.  Après le braquage survenu à Midombo à Akpakpa, il y a quelques jours, des hors-la-loi ont encore opéré ce lundi 04 juillet 2022 à Saint Michel, situé dans le 7è arrondissement de Cotonou. Ils ont réussi à emporter plus de 5 millions de FCFA et un ordinateur.

A Cotonou, les Braqueurs ont encore fait parler d’eux. Ils se sont signalés en fin de matinée, ce lundi 04 juillet 2022 au quartier Saint-Michel à Cotonou.

Et comme le braquage survenu à Akpakpa, les Braqueurs ont ciblé un client qui revenait de la Banque. En effet, selon les explications, la victime a été agressée, par des individus armés, après avoir retiré de l’argent à la banque et alors qu’elle s’apprêtait à entrer dans un bureau de transit.

Les bourreaux, aux nombres de 4, ont réussi à repartir avec 5.257.000 FCFA, précise le site 24 Heures au Bénin.

La victime qui serait un gérant d’entreprise et âgée de 35 ans, selon Frissons Radio, n’a pas été blessée lors de l’opération.

Donc pas de blessé ni de perte en vie humaine et des millions emportés.

C’est ça, on appelle braquage clean de Professionnels (Pro).

Manassé AGBOSSAGA

 

Bénin : Un blessé grave dans un braquage à Cotonou

Des hors-la-loi ont fait parler d’eux à Cotonou ce lundi 27 juin. Ils ont attaqué deux jeunes à moto qui revenaient d’une banque  à la hauteur de la pharmacie Midombo à Akpakpa.

Cotonou a été le théâtre d’un braquage dans la soirée de ce lundi 27 juin 2022. Deux individus qui revenaient d’une banque ont été braqués non loin de la pharmacie Midombo à Akpakpa. Bilan, un blessé grave actuellement  en « soin intensif » et une somme d’argent emportée.

Des hors-la-loi ont fait parler d’eux à Cotonou ce lundi 27 juin. Ils ont attaqué deux jeunes hommes à moto qui revenaient de la banque  à la hauteur de la pharmacie Midombo à Akpakpa.

Selon plusieurs sources, les victimes étaient suivies à moto par deux hommes. Une fois, à la hauteur de Midombo, les braqueurs lancent l’assaut et font usage d’arme à feu.

Le conducteur, agent d’une clinique,  est malheureusement touché. Par contre, son accompagnateur n’aurait pas été touché, rapporte Frissons Radio.

Le site 24 Heures au Bénin ajoute que l’un d’eux s’est réfugié dans une pharmacie. Mais, c’était sans compter avec la détermination des braqueurs de ne pas repartir bredouille de l’opération.

Ils auraient alors fait irruption dans la pharmacie et auraient tiré des coups de feu en l’air. Ainsi, ils auraient réussi à arracher à l’homme son sac avant de prendre la fuite.

Toutefois, pas d’idée sur le montant emporté. Une enquête policière a été ouverte. Le conducteur touché est actuellement en soin dans un hôpital de la place.

Manassé AGBOSSAGA

Bénin: Un présumé malfrat chopé après 6 ans de cavale

« 99 jours pour le voleur, un seul jour pour le propriétaire ».  Recherché pour « assassinat et association de malfaiteurs »depuis 2016, un présumé malfrat vient d’être chopé à Agbanou dans la commune d’Allada, département de l’Atlantique.

« 99 jours pour le voleur, un seul jour pour le propriétaire ».  Recherché pour « assassinat et association de malfaiteurs »depuis 2016, un présumé malfrat vient d’être chopé à Agbanou dans la commune d’Allada, département de l’Atlantique.

Selon Radio Sêdohoun, le présumé malfrat a été arrêté après une opération menée de main et de maître par le commissaire de police de deuxième classe Nouroudine Osé Morat et ses éléments.

L’homme serait impliqué dans l’assassinat d’un gardien d’une boutique de vente de motos en 2016. Des éléments de la bande avait été arrêtés, mais lui avait réussi à échapper aux forces de l’ordre.

Mais après 6 ans de cavale, il a été arrêté à Agbanou dans la commune d’Allada. Il a été placé en détention et sera présenté au procureur de la République dans les  jours à venir.

Manassé AGBOSSAGA

Abomey-Calavi: un présumé malfrat abattu, un autre en cavale

Les éléments du Commissariat d’arrondissement de Togba ont neutralisé un présumé malfrat dans la matinée de ce jeudi 17 février. La victime s’apprêtait à cambrioler une maison au quartier Ouega, dans la commune d’Abomey-Calavi.

Les éléments du Commissariat d’arrondissement de Togba ont neutralisé un présumé malfrat dans la matinée de ce jeudi 17 février. La victime s’apprêtait à cambrioler une maison au quartier Ouega, dans la commune d’Abomey-Calavi.

Selon les informations rapportées par le quotidien Le Matinal, des éléments du commissariat de Togba se sont rendus au quartier Ouega après des alertes d’un citoyen.

Ce dernier aurait informé les ‘‘flics’’ de Togba d’une opération de cambriolage dans une maison en cours. Les  présumés braqueurs  ont effectué des tours de reconnaissance, le mercredi 16 février dernier.

Après avoir reçu l’information,  des éléments du commissariat de Togba se sont rapidement  dépêchés sur les lieux  et quadrillés la zone.

Puis au petit matin de ce jeudi, précisément à  2 heures,  deux individus sur une moto se présentent sur les lieux.

Rapidement l’un se met en mode surveillance, tandis que l’autre tente d’escalader la clôture pour accéder à la maison.

A la vue des agents de police, l’un des présumés malfrats ouvre le  feu. Les policiers ripostent. Une riposte fatale à l’un des présumés malfrats, même si  un autre arrive à s’échapper.

La Police a ouvert une enquête pour retrouver ses traces.

Manassé AGBOSSAGA

Bénin: Un présumé malfrat abattu à Kétou par la Police républicaine

Les éléments de la Police républicaine ont abattu un présumé malfrat ce jeudi 24 juin 2021 à Kétou, dans le département du Plateau. Selon certaines sources,  la victime serait un repris de justice.

Les éléments de la Police républicaine ont abattu un présumé malfrat ce jeudi 24 juin 2021 à Kétou, dans le département du Plateau. Selon certaines sources,  la victime serait un repris de justice.

Le présumé malfrat serait impliqué dans un braquageayant causé la mort d’un citoyen dans la nuit du lundi 21 au mardi 22 Juin 2021 à Kétou.

Ce dernier à la vue des éléments du commissariat de kétou aurait ouvert le feu en premier.  Les éléments de la Police républicaine ont alors riposté et l’ont abattu.

La Police mène toujours les enquêtes pour retrouver les autres personnes impliquées dans le braquage.

Manassé AGBOSSAGA

Bénin: Un présumé malfrat surnommé ‘‘la police n’arrête pas le vent’’ abattu à Sèkandji

Il aura réussi à donner du fil à retordre aux populations et à la Police au point de se croire invincible et de se donner un surnom guerrier. Surnommé ‘‘kponon man nonhounlouin djogon’’ en fon qui en français signifie, ‘‘la police n’arrête pas le vent’’, ce présumé braqueur  semait la zizanie avant de se faire avoir ce mardi 8 juin.

Il aura réussi à donner du fil à retordre aux populations et à la Police au point de se croire invincible et de se donner un surnom guerrier. Surnommé ‘‘kponon man non Wli djohon’’ en fon qui en français signifie, ‘‘la police n’arrête pas le vent’’, ce présumé braqueur  semait la zizanie avant de se faire avoir ce mardi 8 juin.

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D’après Frissons Radio, ‘‘la police n’arrête pas le vent’’ a été abattu par les forces de l’ordre ce mardi 8 juin 2021 à Sèkandji aux environs de 15 heures alors qu’il tenterait de vendre une moto volée au quartier Donatin à Akpakpa.

Tout aurait commencé le lundi soir à Ekpè  où il aurait réussi à filer entre les doigts de la police.  Mais, le présumé malfrat   sera ensuite suivi à son domicile à Sèkandji, situé non loin de la mer.

Bénin : Un présumé malfrat surnommé  ‘‘la police n’arrête pas le vent’’ abattu à Sèkandji
Bénin : Un présumé malfrat surnommé ‘‘la police n’arrête pas le vent’’ abattu à Sèkandji

Interpellé, il aurait refusé de se rendre  et aurait pris la fuite, sans doute, comptant sur son sobriquet. Mais les éléments de la Police républicaine ne relâchent pas et engagent une course-poursuite.

Le présumé malfrat se jette à la mer pour échapper à ces derniers  mais est atteint par une balle.

‘‘La police n’arrête pas le vent’’  est déclarée mort, mais son corps est pour l’heure introuvable.

Est-il vraiment mort ? A-t-il pu se sauver malgré les balles reçues ?  Seule,  la découverte de son corps pourrait nous situer et s’il avait tort ou raison avec son surnom ‘‘la police n’arrête pas le vent’’.

Dernière heure: Aux dernières nouvelles, la mer a rejeté le corps du présumé malfrat ce mercredi 9 juin

Manassé AGBOSSSAGA

Nouvel enlèvement d’écoliers au Nigeria: des dizaines d’enfants portés disparus

Un grand nombre d’enfants ont été kidnappés par des hommes armés dans une école coranique dans le centre-nord du Nigeria, pays où les enlèvements de masse se multiplient, ont rapporté dimanche les autorités et des habitants. «Un nombre encore incertain d’élèves de l’école islamique Salihu Tanko ont été enlevés avec des passagers d’un bus» après l’attaque par des hommes armés de leur école, a fait savoir le gouvernement de l’Etat nigérian du Niger sur son compte Twitter.

Un grand nombre d’enfants ont été kidnappés par des hommes armés dans une école coranique dans le centre-nord du Nigeria, pays où les enlèvements de masse se multiplient, ont rapporté dimanche les autorités et des habitants. «Un nombre encore incertain d’élèves de l’école islamique Salihu Tanko ont été enlevés avec des passagers d’un bus» après l’attaque par des hommes armés de leur école, a fait savoir le gouvernement de l’Etat nigérian du Niger sur son compte Twitter.

«Les ravisseurs ont relâché onze enfants, qui étaient trop petits pour marcher», a indiqué le gouvernement, qui dénonce cet événement «malencontreux» et la hausse des kidnappings contre rançon à travers le centre et le nord du pays le plus peuplé d’Afrique. Un porte-parole de la police, Wasiu Abiodun, a dit que les assaillants sont arrivés à moto et qu’ils ont commencé à tirer tuant un habitant et blessant un autre, avant d’enlever les enfants.

Une salle de classe vide après le rapt d'écolières dans le nord-ouest du Nigéria. Dimanche, des dizaines d'enfants ont été enlevés par un groupe armé dans le centre du pays.
© Kola Sulaimon Une salle de classe vide après le rapt d’écolières dans le nord-ouest du Nigéria. Dimanche, des dizaines d’enfants ont été enlevés par un groupe armé dans le centre du pays.

L’école coranique Salihu Tanko enregistrait environ 200 enfants au moment de l’attaque mais plusieurs ont réussi à s’enfuir, a fait savoir l’un des dirigeants, qui souhaite garder l’anonymat pour sa sécurité. «Au début ils ont pris plus de cent élèves, mais après ils ont laissé ceux qu’ils considéraient trop petits, ceux entre 4 et 12 ans», a-t-il confié à l’AFP, ajoutant qu’il n’avait pas de chiffres précis du nombre d’enfants kidnappés. Dans un autre communiqué sur Twitter, le gouvernement a affirmé que le gouverneur Sani Bello a ordonné aux «agences chargées de la sécurité de ramener les enfants aussi vite que possible».

Ce nouveau kidnapping survient au lendemain de la libération de 14 étudiants dans l’Etat de Kaduna (nord), après 40 jours de détention. Cinq étudiants avaient été exécutés par leurs ravisseurs dans les jours qui ont suivi leur kidnapping pour faire pression sur les familles et contraindre le gouvernement à payer une rançon. Dans la presse locale, des familles ont assuré avoir du payer 180 millions de naira (357 000 euros) au total pour retrouver leurs enfants.

Ces bandes armées, dont les membres sont communément appelés «bandits» dans cette région, terrorisent les populations dans le centre-ouest et le nord-ouest du Nigeria, pillant des villages, volant le bétail et menant des enlèvements de masse contre rançon. Depuis plusieurs mois, ces bandits se livrent essentiellement à des kidnappings de masse visant les établissements scolaires : 730 enfants et adolescents ont déjà été enlevés depuis décembre 2020.

AFP/Libération

Bénin: Des braqueurs souhaitent la bienvenue au nouveau ministre de l’intérieur Alassane Séidou, braquages à Djèffa et Bohicon

Patrice Talon a nommé un nouveau ministre de l’Intérieur et de la sécurité. Alassane Séidou est depuis ce mardi 25 mai, le nouveau patron des ‘‘flics’’ en remplacement de Sacca Lafia.

Patrice Talon a nommé un nouveau ministre de l’Intérieur et de la sécurité. Alassane Séidou est depuis ce mardi 25 mai, le nouveau patron des ‘‘flics’’ en remplacement de Sacca Lafia.

Le nouveau ministre de l’Intérieur et de la sécurité a d’ailleurs pris fonction ce mercredi 26 mai apr-s la passation de charges avec le ministre sortant. Et c’est ce jour choisi par des braqueurs pour signaleur leur présence souhaiter la bienvenue au nouveau patron des ‘‘flics’’.

Deux braquages pour souhaiter la bienvenue

Ce mercredi 26 mai, des braqueurs ont opéré à Djèffa, peu après le pont  péage d’Ekpè en allant à Porto- Novo. Ils ont attaqué une boutique de divers.

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« On était à 0,5 mètre de l’endroit où ils sont venus braquer . Ils avaient un pistolet en main.  Personne ne savait que c’était un  pistolet. En ce moment là, ils avaient un sachet autour du pistolet, ils ont sorti ça.  Ils ont fait croire qu’ils veulent acheter du maïs…   Pendant que le patron discutait avec ses employés, ils ont fait sorti le pistolet…Ils ont tiré en l’air pour que tout le monde sorte… avant de partir, ils  ont tiré partout…ils ont tiré sur une petite fille de 5 ans. C’est une cousine à moi. Elle saignait …il y avait aussi un zémidjan qui les suivait , ils ont tiré sur son pied », a confié une témoin du braquage à nos confrères de Frissons Radio.

Outre Djèffa, un autre braquage a également eu lieu ce mercredi où le nouveau ministre de l’Intérieur était à son premier jour de prise de fonction.    Du moins, un braquage déjoué.

Alassane Séidou et Sacca Lafia lors lors de la cérémonie de passation de service ce mercredi 26 mai 2021

En effet, des individus qui  auraient pour habitude de se  pointer à la banque pour surveiller les grosses transactions et ensuite suivre les clients afin  accomplir leur forfait dans un endroit isolé  auraient tenté de récidiver. Mais mal leur en a pris.

Les éléments de la Police républicaine de Bohicon ont été vigilants et ont réussi à abattre deux  présumés braqueurs  à Zakpo  et  au carrefour Dako.

Alassane Séidou peut donc compter sur ses éléments face à à des braquers qui ont tenté de gâcher sa première journée en tant que ministre de l’Intérieur.

Manassé AGBOSSAGA

Bénin : Plusieurs personnes arrêtées dans une fausse affaire de kidnapping

Il y a quelques jours, les béninois ont appris avec beaucoup de crainte l’enlèvement d’un jeune homme sur l’axe Cotonou-Sèmè. Dans un audio qui a fait le tour des réseaux sociaux, une jeune femme raconte le kidnapping de son cousin alors que ce dernier se rendait à Porto-Novo.

Selon son récit, son cousin est contraint au silence avec une arme avant d’être conduit dans une pièce où il y avait plusieurs autres personnes kidnappées.

Elle confie que le père du jeune homme a ensuite été contacté par les ravisseurs deux jours après le kidnapping.

Les ravisseurs conditionnent la libération du fils au paiement de la somme de six millions de FCFA.

Entre alors en scène,  l’aîné de la famille.  Résidant aux États-Unis d’Amérique, ce dernier se plie en quatre et réussi à transférer la somme de deux millions de FCFA aux ravisseurs via Mobile Money.

Mais, ça ne suffit pas. Les ravisseurs menacent alors de tuer le jeune homme.

La famille remue ciel et terre et arrive à trouver les quatre millions restants. Les ravisseurs demandent ensuite au père de déposer la somme non loin d’une plage à Cotonou.

Pendant ce temps, le jeune homme se faisait libérer à Sèmè.

Pot aux roses découvert

Si le témoignage a créé la panique dans le rang des populations, il va plus tôt créer un sentiment de curiosité chez les flics béninois.

Informés de cette affaire, les éléments de la Police républicaine décident alors de mener leur propre enquête.

Et c’est la brigade criminelle qui va s’occuper du dossier. Le pot aux roses est alors découvert. Le kidnapping raconté est tout sauf vrai.

Selon le quotidien Matin Libre, la Brigade Criminelle met alors la main sur la jeune dame, auteure de l’audio, les acteurs impliqués dans l’enlèvement, le charlatan ainsi que le garçon enlevé. Ces derniers sont tous détenus dans les locaux de la brigade criminelle.

Manassé AGBOSSAGA