Moele-Bénin refuse une troisième humiliation à la Céna: Pas de candidat interne pour la présidentielle, mais…

Si vous attendez un troisième revers du parti de Jacques Ayadji pour remettre définitivement en cause l’efficacité de son Moele, vous en aurez pour longtemps. Recalé lors des législatives et des communales par la Commission électorale nationale autonome (Céna), le parti a refusé de tomber dans le piège d’une troisième humiliation.
A la faveur de son Conseil national ce dimanche 09 août, Jacques Ayadji et les siens ont décidé de ne pas présenter un candidat à la présidentielle de 2021. Ainsi donc, le parti ne trimballera pas de lourds dossiers d’un candidat interne, qui seraient ensuite rejetés par la Céna.
Après deux échecs, le parti opte donc pour un candidat externe à la présidentielle de 2021.
« Je vous annonce que la majorité de nos 15 coordinations nationales a désigné le président Patrice Talon comme le candidat de Moele-Bénin à la prochaine élection présidentielle », a déclaré Céphise Béo Aguiar , secrétaire général du parti, d’après des propos rapportés par le site la meteo.
On est donc loin de cette époque où Jacques Ayadji critiquait avec véhémence l’ex-magnat du coton, au point de marteler que s’il était candidat, lui aussi le serait.
Son très convoité poste de directeur général des infrastructures routières en est, peut-être, pour quelque chose..
C’est juste une supposition ‘‘kpakpatotique’’ en pleine période ‘‘galérique’’.
Manassé AGBOSSAGA

Si vous attendez un troisième revers du parti de Jacques Ayadji pour remettre définitivement en cause l’efficacité de son Moele, vous en aurez pour longtemps. Recalé lors des législatives et des communales par la Commission électorale nationale autonome (Céna), le parti  a refusé de tomber dans le piège d’une troisième humiliation.

A la faveur de son Conseil national ce dimanche 09 août, Jacques Ayadji et les siens ont décidé de ne pas présenter un candidat à la présidentielle de 2021. Ainsi donc,  le parti ne trimballera pas de lourds dossiers d’un candidat interne,  qui seraient ensuite rejetés par la Céna.

Après deux échecs, le parti opte donc pour un candidat externe à la présidentielle de 2021.

« Je vous annonce que la majorité de nos 15 coordinations nationales a désigné le président Patrice Talon comme le candidat de Moele-Bénin  à la prochaine élection présidentielle », a déclaré Céphise Béo Aguiar , secrétaire général du parti, d’après des propos rapportés par le site la meteo.

On est donc loin de cette époque où Jacques Ayadji critiquait avec véhémence l’ex-magnat du coton, au point de marteler que s’il était candidat,  lui aussi le serait.

Son très convoité poste de directeur général des infrastructures routières en est,  peut-être,  pour quelque chose..

C’est juste une supposition ‘‘kpakpatotique’’ en pleine période ‘‘galérique’’.

Manassé AGBOSSAGA

Jacques Ayadji,président de Moele-Bénin

Sur la radio nationale: Jacques Ayadji se contredit

Reçu sur l’émission ‘’90 min pour convaincre’’  de la radio nationale, le directeur général des infrastructures a battu le record de la contradiction. Interrogé sur la situation qui prévaut à l’aéroport de Tourou, sur le port sec d’Allada, les reformes portuaires et autres, Jacques Ayadji a dévié ses questions, prétextant qu’elles ne sont pas de son ressort…

On connaissait le fais ce que je dis, mais ne fait pas ce que je fais. Mais depuis ce dimanche 28 janvier 2018, on connait le fais ce que je me suis promis de ne pas faire. Son inventeur : le néo homme du couvent Jaques Ayadji.

Manassé AGBOSSAGA

Reçu sur l’émission ‘’90 min pour convaincre’’  de la radio nationale, le directeur général des infrastructures a battu le record de la contradiction. Interrogé sur la situation qui prévaut à l’aéroport de Tourou, sur le port sec d’Allada, les reformes portuaires et autres, Jacques Ayadji a dévié ses questions, prétextant qu’elles ne sont pas de son ressort.

Egalement interpellé sur l’opération des casses et de l’indemnisation des populations par un auditeur, l’ancien farouche syndicaliste a refusé de répondre à cette question, soulignant qu’il n’allait pas tomber dans « l’irresponsabilité ».

A    ce moment là, l’ami sincère de Célestine Zannou a rappelé qu’il était au couvent depuis sa nomination au poste de directeur des Infrastructures. Dans cette logique, Jacques Ayadji s’est réfugié derrière son « obligation de réserve » pour échapper aux questions des journalistes et de l’auditeur.

Mais si Jacques Ayadji s’est rappelé de son obligation de réserve et de ses compétences pour fuir certaines questions, cela n’a pas été le cas sur la question de la Cour constitutionnelle.

Interrogé sur la question de la démission d’un membre de la Cour constitutionnelle, le directeur des Infrastructures, qui à cet instant a oublié son soi-disant obligation de réservé, n’a pas  trouvé le ministre de la Justice Joseph Djogbénou plus  compétent que lui pour répondre à cette question. Avec une inspiration sans limite, le directeur des Infrastructures a attaqué une institution de la République, crachant au passage sur Théodore Holo. Du moins à demi-mot.

Pour lui, les décisions prises par les  sages de la Cour constitutionnelles tendent à désacraliser la République.

Loin de son commentaire, il est évident qu’en quelques minutes  Jacques Ayadji vient de nous inventer ‘‘je fais ce que je me suis promis de ne pas faire’’.

C’est dommage !