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S’il s’est montré serein et joyeux sur l’apport du Groupe Ebomaf au progrès de l’Afrique, après 32 ans d’existence, Mahamadou Bonkoungou s’est, par contre montré, attristé au sujet des accidents enregistrés au Bénin impliquant les camions de son Groupe. Interpelé sur cette triste actualité lors d’une sortie médiatique le 02 octobre dernier à Ouagadougou dans le cadre du 32è anniversaire du Groupe, il a affiché un sentiment de tristesse et a déploré ces accidents, parfois mortels.
Mahamadou Bonkoungou a, dans cette lancée, présenté ses sincères condoléances aux familles des victimes.
« Dans la hiérarchie du Groupe Ebomaf, nous ne comprenons pas non plus pourquoi autant d’accidents puissent arriver. Nous n’avons pas compris et nous avons déploré. Je profite de votre micro pour présenter toutes mes sincères condoléances aux familles éplorées et à toute la Nation béninoise puisque ces multiples cas d’accidents ont malheureusement fait des victimes. Je suis vraiment navré pour cette situation », a-t-il déclaré avec beaucoup d’émotion et de tristesse.
Toutefois, Mahamadou Bonkoungou rassure que des dispositions et mesures ont été prises pour éviter de tel drame à l’avenir.
« Je voudrais vous dire que de pareilles circonstances ne laissent pas insensible les premiers responsables. Nous avons pris des mesures visant à renforcer les capacités de nos conducteurs. Ceux nouvellement recrutés ont pris part à des tests de présélection. Nous allons durcir encore plus les conditions parce que tout ce que nous faisons là-bas ne vaut pas la vie d’une seule personne », a rassuré le Fondateur et PDG du Groupe Ebomaf.
Le Fondateur et Président directeur général du Groupe Ebomaf réfute les allégations faisant état de son soutien à certains leaders de l’opposition béninoise pour tenter de déloger Patrice Talon, notamment lors de la dernière présidentielle. A la faveur d’une sortie médiatique tenue ce samedi 02 octobre 2021 à Ouagadougou dans le cadre de la célébration du 32è anniversaire du Groupe Ebomaf, Mahamadou Bonkoungou a brisé le silence sur cette actualité.
Formel et catégorique, il jure n’avoir noué aucune liaison avec des leaders de l’opposition béninoise.
Selon ses propos, son Groupe présent sur plusieurs chantiers de construction routier au Bénin n’a, à aucun moment, soutenu des opposants Béninois.
« Non ! Ebomaf ne soutient pas les opposants Béninois », a-t-il rétorqué d’un ton ferme.
Il a expliqué que le Groupe Ebomaf, qui a vu le jour le 6 septembre 1989 et qui 32 ans après, est en pleine expansion et en pleine croissance, a fait l’option « d’accompagner les Etats africains dans leur élan de progrès. Dans ce sens, il a indiqué que le Groupe Ebomaf n’a « aucun intérêt à soutenir un opposant » en Afrique.
« Ebomaf n’a aucun intérêt à soutenir un opposant …Nous sommes une société à but lucratif. Nous travaillons avec ceux qui sont au pouvoir y compris au Bénin. Nous n’avons pas de raison à utiliser notre argent pour déstabiliser un régime », a-t-il clarifié.
Dans son développement, le patron du Groupe Ebomaf a confié qu’une plainte a été déposée contre le média auteur de la divulgation de ce qu’il qualifie de « déclaration sans fondement », tout en martelant que ses relations avec le président Patrice Talon sont « au beau fixe».
Plutôt homme d’action que de discours, Mahamadou Bonkoungou prend, pour une fois, la parole. Et ce, à l’occasion d’une sortie médiatique tenue ce samedi 02 octobre 2021 à Ouagadougou en présence de journalistes venus du Bénin, du Burkina-Faso, de la Guinée-Conakry et du Togo. Moment pour le Fondateur et Président directeur général de l’« Entreprise Bonkoungou Mahamadou & Fils » (EBOMAF) de mettre les points sur les ‘‘i’’, mais aussi et surtout de revenir sur la contribution de son groupe au développement de l’Afrique notamment dans les secteurs du Bâtiment et les Travaux publics, la Grande distribution, les Assurances, la Banque,… à l’aune de ses 32 années d’existence.
C’est un homme serein et confiant qui est apparu face aux hommes des médias venus de divers pays du continent noir dans un exercice auquel il se livre rarement. Les succès enregistrés après trois décennies d’existence, en sont, sans doute, pour beaucoup.
Mais c’est avec beaucoup de modestie et d’humilité, que Mahamadou Bonkoungou a mis en exergue les efforts du groupe EBOMAF pour « participer activement au développement de l’Afrique », depuis sa création le 6 septembre 1989.
Il fera d’ailleurs remarquer le groupe, beaucoup reconnu dans les pays d’Afrique de l’ouest et du centre , dans le domaine du Bâtiment et des travaux publics (BTP), n’a cessé d’élargir son champ d’actions et intervient désormais dans plusieurs secteurs dont la Grande distribution, les Assurances, la Banque, l’aviation d’affaires, l’industrie, les mines, la pêche, …
Mahamadou Bonkoungou ajoutera à cet effet qu’EBOMAF est « actuellement un groupe économique et financier éponyme comprenant plusieurs entreprises dont LIZA transport international, une compagnie d’affaires créée en 2007, qui exploite une dizaine d’aéronefs »…
Il a également insisté sur les facilités offertes aux pays africains pour le financement de leurs programmes de développement à travers l’exécution de projets de type Partenariat- public –privé.
Des idées novatrices, un professionnalisme, un personnel qualifié , des matériels et équipements de dernières générations qui ont permis à EBOMAF de ne pas disparaître dans un environnement concurrentiel et de « rester une entreprise en pleine expansion et en pleine croissance, faisant montre d’une résilience à toute épreuve et continuant d’accompagner les Etats africains dans leur élan de progrès ».
« Le groupe emploie environ 5000 personnes et génère un chiffre d’affaires annuel estimé à des centaines de milliards FcFa », se réjouira t-il.
Fortement présent dans le social
Face aux hommes des médias, Mahamadou Bonkoungou n’a pas manqué de rappeler que le groupe est aussi présent dans le social. Outre les milliers d’emplois créés, il a indiqué que le groupe à travers « la Fondation Ebomaf, les entreprises membres assument pleinement leur responsabilité sociale d’entreprise (RSE) en soutenant par an le progrès social à hauteur de plus de deux 2 milliards de Fcfa ».
Les ‘‘i’’ en Guinée
Cette sortie qui s’est voulue être la tribune du bilan des trois décennies d’existence du Groupe EBOMAF, a également été l’occasion pour Mahamadou Bonkoungou d’évoquer les sujets qui fâchent. Dans cette catégorie, les allégations « mensongères » d’un avocat sur une télévision guinéenne.
« Dans une émission intitulée ‘‘LES GRANDES GUEULES’’ diffusée sur ESPACE TV, des allégations reposant à la fois sur le mensonge et la mauvaise foi visant à semer le doute dans l’opinion publique guinéenne et au-delà sur une éventuelle collusion entre le régime déchu de Alpha Condé et EBOMAF sur la création de la compagnie d’affaires LTI », a-t-il fait observer, avant de dénoncer « cette sortie médiatique, indigne d’un homme de la loi car venant d’un avocat, requiert une mise au point appropriée de ma part afin de restituer la vérité et d’éclairer la lanterne des uns et des autres sur les péripéties de l’entrée d’EBOMAF et de ses activités en Guinée-Conakry. Il s’agit donc pour moi de saisir aussi cette opportunité que m’offre ce jour pour revenir sur la création de LTI d’une part et sur le rendez-vous manqué avec l’Etat guinéen dans la mise en œuvre du projet routier Kankan-Kissidougou d’autre part ».
Avec ses instruments de destruction, les puissances étrangères s’apprêtent à donner un coup fatal au grand chef entreprise et panafricain Mahamadou Bonkoungou. Tristement célèbre institution, le Fonds monétaire international (Fmi) aidé par des médias étrangers mijote la disparition des entreprises de ce digne fils du continent noir…
Il se trame un complot occidental contre le panafricain Mahamadou Bonkoungou. Sous de faux prétexte, le Fonds monétaire international (Fmi) aidé par des médias étrangers peaufine « l’assassinat » des entreprises de ce grand panafricain dont Ebomaf et Liza transport international.
Manassé AGBOSSAGA
Avec ses instruments de destruction, les puissances étrangères s’apprêtent à donner un coup fatal au grand chef entreprise et panafricain Mahamadou Bonkoungou. Tristement célèbre institution, le Fonds monétaire international (Fmi) aidé par des médias étrangers mijote la disparition des entreprises de ce digne fils du continent noir.
Sous un fallacieux prétexte de traque des dettes cachées, le Fmi a lancé un assaut voilé contre Ebomaf et Liza transport International (LTI).
Dans sa parution du 04 décembre, le magazine « La Lettre du Continent » a indirectement dévoilé le complot en cours contre ses deux entreprises panafricaines.
Le magazine qui semble donner un coup de pouce à cette machination a annoncé qu’à l’occasion d’une conférence de haut niveau organisée les 02 et 03 décembre derniers à Dakar, les pourparlers entre les responsables du Fmi et les chefs d’Etat africains présents tendent à la limitation ou la suspension du recours aux garanties souveraines.
Chose curieuse, La Lettre du Continent s’empresse de citer Ebomaf alors que le même Magazine révèle qu’aucune entreprise n’a été nommée à l’occasion de ce rendez-vous. En outre, le Magazine qui indique que les garanties souveraines sont largement utilisées dans les contrats d’énergie ou du BTP s’empresse de citer une autre entreprise de Mahamadou Bonkoungou, qui pourtant n’intervient même pas dans ce secteur.
En effet dans sa parution ‘‘La Lettre du Continent’’ cite la compagnie aérienne Liza transport international qui appartient à l’homme d’affaires. Le média se plaît même d’accuser la Compagnie aérienne Liza Transport International d’affréter gracieusement ses avions à certains chefs d’Etat pour leurs voyages.
Des questions qui confirment la machination
Alors surviennent à l’esprit certaines questions au sujet de cette publication. Pourquoi citer spécifiquement Ebomaf alors qu’à la rencontre de Dakar aucune entreprise n’a été nommée ? Pourquoi de toutes les entreprises qui existent dans le secteur des BTP au niveau africain ou international, c’est seulement le cas d’Ebomaf qui intéresse le magazine ? Pourquoi ne pas avoir fait mention d’une entreprise qui intervient dans le secteur de l’énergie ?
Que vient faire la compagnie aérienne Liza transport international dans ce débat ? Comment une entreprise arriverait elle à survivre si elle fonctionnait en mode gratuit ?
En réalité, les réponses à ces questions confirment le complot qui se trame contre le Président directeur général d’Ebomaf. A titre d’exemple, sur le cas de la filiale Liza transport international, au cas où La Lettre du Continent ferait semblant de l’ignorer, il s’agit d’une structure spécialisée dans la location des jets privés essentiellement destiné au transport des personnalités. Cette filiale n’est donc pas dans le bénévolat.
Visiblement jaloux des performances et prouesses d’Ebomaf et de Liza transport international, le Fmi aidé par la ‘‘Lettre du Contient’’ veut faire disparaitre l’une des rares structures africaines qui arrivent à concurrencer les multinationales étrangères.
S’achemine t- on vers une élimination programmée d’une entreprise panafricaine après Air Afrique?
On connaissait du Fonds monétaire international (FMI), sa capacité à faire endormir l’économie des pays africains avec des programmes anti-développement, mais ce qu’on ignorait, c’était la capacité de l’institution financière à orchestrer l’élimination des sociétés africaines qui résistent à la concurrence des multinationales étrangères, notamment dans le secteur des BTP. Les aveux du magazine « La Lettre du continent » sur le cas Ebomaf ( Entreprises Bonkongoun Mahamadou et fils) en disent long…
On connaissait du Fonds monétaire international (FMI), sa capacité à faire endormir l’économie des pays africains avec des programmes anti-développement, mais ce qu’on ignorait, c’était la capacité de l’institution financière à orchestrer l’élimination des sociétés africaines qui résistent à la concurrence des multinationales étrangères, notamment dans le secteur des BTP. Les aveux du magazine « La Lettre du continent » sur le cas Ebomaf (Entreprise Bonkoungou Mahamadou et fils) en disent long.
Manassé AGBOSSAGA
« Afrique de l’ouest : LE FMI TRAQUE LES DETTES CACHEES », ainsi écrivait le magazine « La Lettre du Continent » dans sa parution du numéro 813 du mercredi 04 décembre 2019. Dans cette publication, le magazine prétend que le Fmi mène une campagne active contre le système des garanties souveraines, qui selon le journal en ligne, est utilisé par de nombreux Etats africains « pour masquer leur niveau réel d’endettement ». Le magazine indique d’ailleurs que le sujet a été longuement abordé dans les coulisses de la conférence de haut niveau organisée les 02 et 03 décembre derniers à laquelle participaient plusieurs chefs d’Etats africains dont ceux du Bénin, du Sénégal, de la Côte d’Ivoire, du Burkina-Faso.
Le FMI programme la mort d’Ebomaf ?
Ce qui attire l’attention, c’est que ‘‘La Lettre du Continent’’ ne tarde pas à cracher le morceau. Plus loin, le magazine, souvent très bien informé’, dévoile indirectement le plan diabolique empreint d’impérialisme qui se cache derrière la prétendue « traque des dettes ».
Expliquant que les garanties souveraines sont largement utilisées dans les contrats d’énergie ou du BTP, le magazine révèle que les pourparlers entre les responsables du Fmi et les chefs d’Etat africains tendent à la limitation ou la suspension du recours aux garantis. En outre, le journal ajoute que les pourparlers ne visent aucune entreprise nommément, mais « ciblent particulièrement le secteur du BTP qui selon ‘‘La lettre du Continent’’ « fait un usage de plus en plus immodérée des garanties ».
L’objectif est il d’empêcher l’entreprise de traiter avec ses partenaires traditionnels et manquer plus de fonds pour exister?
Fidèle à sa vision d’empêcher le développement de l’Afrique avec des programmes qui ne répondent pas aux réalités du continent, le Fmi donne des raisons de répondre par l’affirmatif. Dans ce cas, l’institution lance ainsi petit à petit l’assaut de destruction d’une entreprise panafricaine qui résiste à la concurrence des multinationales étrangères. Car, Ebomaf, c’est avant tout, une entreprise panafricaine qui fait preuve de professionnalisme et de notoriété. Ebomaf, c’est avant tout, une entreprise qui fidèle au respect du cahier des charges a su s’imposer sur le continent africain. Preuve, l’entreprise a, dans le strict respect des normes internationales, obtenu des marchés de construction d’infrastructures routières dans plusieurs pays dont le Libéria, la Côte d’Ivoire.
Ebomaf, c’est aussi et surtout une entreprise panafricaine qui appartient à un digne du fils du continent en la personne de Mahamadou Bonkoungou.
Jaloux de ce joli tableau, le Fmi après ses précédents destructeurs programmes uniquement concoctés pour l’Afrique revient à la charge pour éliminer une entreprise panafricaine sous le couvert « d’une traque de la dette ». Cette fois avec aux commandes Christalina Georgieva.