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Plusieurs personnes seraient décédées au service d’anesthésie-réanimation du CNHU-HKM ce vendredi 07 octobre pour cause de coupure de courant. Réagissant à l’information, la direction générale du CNHU-HKM a confirmé le décès de 04 patients sans donner les raisons. Mais dans un entretien exclusif accordé à Frissons Radio, Augustin Adéniyi, père d’une victime a confirmé que sa fille admise au service de réanimation, a rendu l’âme après une coupure de courant.
Plusieurs personnes seraient décédées au service d’anesthésie-réanimation du CNHU-HKM ce vendredi 07 octobre pour cause de coupure de courant. Réagissant à l’information, la direction générale du CNHU-HKM a confirmé le décès de 04 patients sans donner les raisons. Mais dans un entretien exclusif accordé à Frissons Radio, Augustin Adéniyi, père d’une victime a confirmé que sa fille admise au service de réanimation, a rendu l’âme après une coupure de courant.
Sa fille, Arielle Adéniyi, âgée de 39 ans, était mère de 02 enfants et Professeur d’anglais au Ceg Tankpè. Elle était admise au service d’anesthésie-réanimation du CNHU-HKM après une opération du cœur.
« Le 10 qu’elle a été opérée, tout s’est bien passé, mais le mercredi 21, elle a commencé à sentir des problèmes et elle disait à sa maman, je ne peux plus respirer. Et d’urgence, ils l’ont amené en soin intensif. Elle est admise à la réanimation le 21 où elle a fait encore un arrêt cardiaque une seconde fois.
On l’a réanimé. Et c’est dans la nuit du jeudi 6 octobre au vendredi 7 octobre, mon épouse me réveille pour me dire qu’il y a coupure d’électricité. Il est 02h 52 minutes. Aussitôt, je me suis présenté à la réanimation dans le noir avec la torche de mon portable. L’un des garçons de salle est venu me voir, je lui ai demandé si cette coupure là ne va pas créer de problèmes à nos malades. Il a dit oui, mais on gère. Et à 03 heures 08 minutes, le courant est rétabli. J’ai demandé à aller voir ma fille. On m’ a dit non d’attendre l’heure de visite. J’ai attendu à 06h, je me suis présenté à nouveau. On me dit d’attendre et c’est au même moment, j’ai vu des parents d’une victime qu’ils ont amené dans un bureau pour leur annoncer le décès de leur parent. Ils ont quitté le bureau. Ils sont rentrés dans la salle de réanimation vers le malade.
C’est là j’ai compris qu’ils les ont amené pour qu’ils constatent que leur parent est décédé. Et quelques instants, je reviens, je suis interpellé par le médecin. Il m’amène dans un bureau. Il m’a demandé de m’asseoir. Je ne les ai même pas laissé le temps de parole. Je les ai dit, vous voulez m’annoncer le décès de ma fille ? Ils me disent papa qui vous a informé ? J’ai dit mais, il y a une coupure d’électricité. Ils se sont tus. Ils n’ont même plus dit un moment. Je me suis levé. Je suis sorti » ; a-t-il raconté avec beaucoup de tristesse.
Aux dernières nouvelles, sa défunte fille sera inhumée le samedi prochain au cimetière d’Adjagbo.
Psychose à Tanguiéta, une commune située dans le nord Bénin. Depuis deux semaines, les décès se répètent dans le village de Mamoussa.
Selon Radio Bénin Parakou, plus de dix personnes sont passées de vie à trépas.
Dans un premier temps, les habitants ont attribué ces décès rapides à des supposés sorciers du village.
Mais face à la persistance des décès, les autorités ont alerté le maire de la commune.
Ce dernier, interpellé le 27 février, est rapidement entré en contact avec le médecin coordonateur sanitaire de la zone Tanguiéta, Matéri ,Cobly.
Et c’est de la bouche de ce dernier que sortira la vraie vérité.
Loin des sorciers qui s’attaqueraient aux habitants du village, il a fait remarquer qu’il s’agit en réalité des morts liés à l’épidémie de méningite.
Une campagne de sensibilisation a alors été organisée au profit des populations pour les inviter à se rapprocher rapidement des médecins en cas d’apparition des premiers symptômes, à éviter la poussière, à arroser le sol avant de balayer, à se masquer, …
Dans une récente étude, des chercheurs affirment qu’une exposition importante à l’éclairage nocturne favorise l’apparition d’une forme de cancer de la thyroïde parmi les plus fréquentes. Ces résultats doivent être confirmés, mais semblent confirmer l’impact néfaste de la lumière artificielle sur l’organisme.
Outre la pollution atmosphérique, les citadins s’exposent aussi à la pollution lumineuse provoquée par un excès d’éclairage artificiel. Or, ses conséquences ne se limitent pas à la privation de l’observation du ciel étoilé : elle représente une source de perturbations pour la biodiversité mais aussi un danger pour la santé. Selon l’Adème, la lumière a un effet inhibiteur sur la sécrétion de mélatonine, ce qui perturbe les rythmes de l’organisme et toutes les fonctions liées, provoquant par exemple des troubles du sommeil. De même, de plus en plus d’études récentes montrent des liens entre l’éclairage artificiel nocturne et des troubles de la santé, comme une dépression ou une prise de poids.
Une nouvelle étude publiée dans la revue Cancer alerte sur le fait que les personnes vivant dans des régions avec des niveaux élevés de lumière artificielle extérieure la nuit peuvent faire face à un risque plus élevé de développer un cancer de la thyroïde. Les chercheurs du Centre des sciences de la santé de l’Université du Texas à la Houston School of Public Health sont partis du constat que de précédentes études ont mis en avant une association entre des niveaux importants de lumière nocturne mesurés par satellite et un risque plus élevé cancer du sein. Or, « certains cancers du sein peuvent partager une base hormonodépendante commune avec le cancer de la thyroïde. », expliquent-ils.
Une risque deux fois plus élevé en cas de forte exposition
Ces derniers ont donc recherché une association entre la lumière artificielle nocturne et un risque ultérieur de cancer de la thyroïde chez les participants d’une étude appelée « NIH-AARP Diet and Health », qui a recruté des adultes américains âgés de 50 à 71 ans en 1995-1996. Les enquêteurs ont analysé les données d’imagerie satellitaire pour estimer les niveaux d’éclairage nocturne aux adresses résidentielles des participants, avant d’examiner les bases de données du registre national du cancer pour identifier les diagnostics de cancer de la thyroïde jusqu’en 2011. Parmi 464 371 participants suivis pendant en moyenne 12,8 ans, 856 cas de cancer de la thyroïde ont été diagnostiqués.
Les chercheurs ont constaté que par rapport aux participants membres du groupe au quintile de lumière le plus bas la nuit, ceux appartenant au groupe où le quintile est le plus élevé présentaient un risque 55% plus élevé de développer un cancer de la thyroïde. L’association était principalement liée à la forme la plus courante de cancer de la thyroïde, appelée cancer papillaire de la thyroïde, et était plus forte chez les femmes. Comme l’explique l’Institut National contre le Cancer, « dans plus de 90 % des cas, le cancer de la thyroïde se développe à partir des cellules folliculaires. On parle de cancer différencié de la thyroïde de souche folliculaire qui comporte deux formes : papillaire ou vésiculaire. »
La lumière nocturne perturbe l’horloge interne
L’équipe scientifique a également découvert que chez les femmes, l’association était plus forte pour le cancer localisé sans signe de propagation à d’autres parties du corps, tandis que chez les hommes, l’association était plus forte pour les stades plus avancés du cancer. Mais celle-ci fait savoir que d’autres études supplémentaires sont nécessaires pour confirmer leurs résultats. « Si c’est confirmé, il sera important de comprendre les mécanismes sous-jacents à la relation entre la lumière nocturne et le cancer de la thyroïde. », estiment les auteurs. La principale hypothèse évoquée est une perturbation de l’horloge interne du corps (rythmes circadiens), un facteur de risque pour divers types de cancer.
Une autre hypothèse concerne le fait que la lumière artificielle nocturne supprime la mélatonine, considérée comme un modulateur de l’activité d’autres hormones, les œstrogènes, qui peuvent avoir d’importants effets anti-tumoraux. « Notre étude n’est pas conçue pour établir un lien de causalité. Par conséquent, nous ne savons pas si un niveau plus élevé de lumière extérieure la nuit entraîne un risque élevé de cancer de la thyroïde. Cependant, étant donné les preuves qui soutiennent le rôle de l’exposition à la lumière la nuit et de la perturbation du rythme circadien, nous espérons qu’elle motivera à examiner plus avant la relation entre la lumière la nuit et le cancer, et d’autres maladies. », notent les chercheurs.
Ces derniers concluent sur le fait que, récemment, des efforts ont été déployés dans certaines villes pour réduire la pollution lumineuse. Il sera alors important de mener d’autres études dans ces lieux pour évaluer si et dans quelle mesure ces efforts ont eu un impact sur la santé humaine. A noter que selon la Fondation ARC pour la recherche sur le cancer,les cancers de la thyroïde sont rares : ils ne représentent que 2 % de l’ensemble des cancers diagnostiqués chaque année en France, soit un peu plus de 8 000 nouveaux cas par an. Cependant, c’est une maladie en constante augmentation, un phénomène qui serait essentiellement lié aux techniques de diagnostic plus fréquemment utilisées et plus précises.