Forcée à se marier à un cultivateur, elle le poignarde au cours de leur première nuit de noces

Un mariage forcé qui vire au drame. Une jeune femme, la vingtaine, mariée de force à un cultivateur,  âgé de 35 ans, a poignardé ce dernier au cours de leur première nuit de noces. Ça se passe dans …

Un mariage forcé qui vire au drame. Une jeune femme, la vingtaine, mariée de force à un cultivateur,  âgé de 35 ans, a poignardé ce dernier au cours de leur première nuit de noces. Ça se passe dans le district de Tri, commune rurale de Kantoumanina, en Guinée Conakry.

 Selon les faits rapportés par Ledjely, le drame est survenu la nuit dernière. Malgré son opposition, Sitan Sidibé est mariée de force, mercredi 31 mai à un cultivateur de 35 ans.

Après la célébration de leur union, elle est accompagnée plus tard chez son époux. Mais, une fois sur les lieux, elle  refuse de rentrer dans la demeure.

Mais, elle sera encore forcée avant de rejoindre le domicile. Le pire survint plus tard. La jeune mariée met fin aux jours de son mari au cours d’une dispute.

« C’est une affaire qui dure depuis trois ans. J’ai dit à mon papa, mes frères et même à la victime que je ne l’aimais pas. Hier, ils ont organisé le mariage malgré mon opposition. Quand on m’a accompagnée chez lui, je suis restée sous l’arbre, ne voulant pas du tout rentrer dans sa maison. Quelque temps plus tard, il est venu pour m’obliger à rentrer avec lui. Et c’est quand il me tapait dessus pour me forcer à rentrer que j’ai sorti le couteau que j’avais et je l’ai poignardé au niveau du ventre », a déclaré Sitan. Sidibé après son interpellation, d’après des propos transcrits par LeDjely.

Si elle regrette son acte, elle accuse toutefois son père et un des amis de ce dernier, d’être à l’origine du drame. « Ce sont eux qui m’ont forcée dans ce mariage », a-t-elle lancé, soulignant que sa « mère était opposée à ce mariage ».

Le juge de paix de Mandiana a annoncé l’ouverture d’une enquête pour situer les responsabilités. Les parents des deux familles sont détenus du côté de Mandiana, précise la même source.

M.A

Bénin- Le mari paie la dot, le père bouffe bien l’argent, la fille refuse de rejoindre l’époux….ça finit par un violent affrontement

Quand une histoire de mariage forcé vire au drame. A Kalalé, dans le Nord Bénin, un mari a payé la dot pour épouser une mineure. Son père s’est empressé de bien bouffer l’argent. Mais la jeune fille a refusé de rejoindre son futur mari…A l’arrivée, une violente bagarre a éclaté avec des blessés graves.

Quand une histoire de mariage forcé vire au drame. A Kalalé, dans le Nord Bénin, un mari a payé la dot pour épouser une mineure. Son père s’est empressé de bien bouffer l’argent. Mais la jeune fille a refusé de rejoindre son futur mari…A l’arrivée, une violente bagarre a éclaté avec des blessés graves.

L’incident s’est produit dans l’arrondissement de Dérasi, au Nord-ouest du Bénin, la semaine dernière, rapporte Frissons Radio, ce mardi 10 mai 2022.  Selon les faits rapportés, le père a, depuis l’année dernière,  reçu la dot et bénir le mariage de sa fille, âgée de 15 ans.

Seulement voilà, la jeune fille en classe de 6ème  refuse de rejoindre son époux. Le mari décide de la faire venir de force. Rien d’étonnant puisqu’on est dans une histoire de mariage forcé.

La semaine dernière, le mari et des partisans décident d’enlever ‘‘sa femme’’ alors qu’elle est sur une moto conduite par son frère.

Une bagarre pour une histoire de mariage forcé

Le frère s’y oppose. C’est la bagarre. Des coups de machette dans les deux camps. A l’arrivée,  quatre blessés. Le frère de la jeune fille blessé et battu.  Un autre s’en sort avec l’avant-bras arraché, et un autre qui perd l’un de ses doigts.

Pendant ce temps, le papa a tranquillement pris la fuite. La Police a ouvert une enquête.

Manassé AGBOSSAGA

Mariage forcé: Après le paiement de la dot à 400.000Fcfa, le mari et le père de la fille jugés à la Criet en mai

Un père et  le mari   sont poursuivis pour   mariage forcé et viol d’une fille dans l’arrondissement de  Monsourou, dans la commune de Djidja, située dans le département du Zou, en République du Bénin. La  victime est âgée de 12 ans.

Quand une histoire de mariage forcé conduit un père devant la justice.

Un père et  le mari   sont poursuivis pour   mariage forcé et viol d’une fille dans l’arrondissement de  Monsourou, dans la commune de Djidja, située dans le département du Zou, en République du Bénin. La  victime est âgée de 12 ans.

D’après Frissons radio qui rapporte cette information judiciaire dans son édition du mercredi 27 avril 2022, le père est accusé d’avoir donné sa fille en mariage contre de l’argent et malgré l’opposition de cette dernière.

Le mari de la fille, un cultivateur,   a lors de son Interrogatoire, indiqué qu’il a payé une dot de quatre  cent mille (400000) Fcfa au géniteur.

De son côté, la fille fait savoir qu’elle ne voulait pas de ce mariage et qu’elle a subi plusieurs sévices avant d’être abandonné dans une brousse.

L’affaire a été portée devant la  Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (Criet).

Le père, le mari de la fille et deux autres citoyens  seront jugés le 19 mai, précise la même source.

Manassé AGBOSSAGA

Bénin: Un père vend sa fille en mariage à 110 mille Fcfa

Ça se passe Glazoué, commune située dans le département des Collines en République du Bénin, précisément à Aklankpa. Là-bas, un père a vendu sa fille pour la somme de 110 000 Fcfa.

Ça se passe Glazoué, commune située dans le département des Collines en République du Bénin, précisément à Aklankpa. Là-bas, un père a vendu sa fille pour la somme de 110 000 Fcfa.

Selon le récit de Frissons Radio,  dans son édition du vendredi 1er avril 2022, il s’agit en réalité d’un mariage forcé déguisé. Le père aurait donné sa fille en mariage en contrepartie d’argent.

Sa stratégie a été d’amener la fille dans la maison de son futur marié sans que sa fille ne s’aperçoive de rien. Une fois dans la maison, il a disparu sans ramener sa fille.

Au bout de quelques jours, la fille réalise qu’elle est désormais une femme mariée et qu’elle est au sein de sa belle-famille. Elle  proteste et conteste,…Mais sans résultat.

Son refus n’empêchera pas son mari à avoir des rapports sexuels forcés avec elle. Mais vous connaissez bien la femme, quand elle ne veut pas, elle ne veut pas.

Elle trouve la bonne formule et réussit quelques temps après,  à s’échapper de son mari et de la maison. Dans sa fugue, elle tombe sur une enseignante dans une brousse.

En sauveur, cette dernière la conduit dans un commissariat. A ce moment, son calvaire tire à sa fin.

Son mari, son beau-père, son père et autre sont tous interpellés. Présentés à la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET), le beau-père et  son fils ont été placés en détention provisoire pour mariage forcé.

Le père de la fille et le voisin sont par contre poursuivis sans mandat, précise la même source.

Manassé AGBOSSAGA

Côte d’Ivoire : Une fille de 13 ans sauvée in extremis d’un mariage forcé à un homme de 60 ans et déjà marié à quatre femmes

Le mariage forcé a la peau dure en Afrique. En plein XXIè siècle, le fléau perdure. Et une petite fille a failli frais de cette pratique en Côte d’Ivoire.

Le mariage forcé a la peau dure en Afrique. En plein XXIè siècle, le fléau perdure. Et une petite fille a failli frais de cette pratique en Côte d’Ivoire.

Selon une information diffusée ce vendredi 21 mai 2021 par le service web de la Radio télévision ivoirienne (Rti) , une fillette âgée de 13 ans a failli être donnée en mariage forcé à un homme de 60 ans environ.

Une fille de 13 ans sauvée in extremis d’un mariage forcé à un homme de 60 ans et déjà marié à quatre femmes/Crédit photo:Rti

La fille est une écolière en classe de CM2  à l’EPP Gbémazo, et donc candidate à l’examen du CEP.

L’homme, la soixantaine environ est un polygame, marié à quatre femmes.

Si la fille a réussi à ne pas être la cinquième femme de l’homme, c’est grâce à l’intervention du Centre social de Kani.  

« Selon le directeur adjoint du centre social de Kani, Djara Mah Fidel, c’est grâce aux informations des enseignants de cette école primaire que les agents sociaux se sont déportés le jour du mariage à Gbémazo, pour s’opposer à cette union.

Toujours, aux dires de Djara Fidel, le père de la fille a tenté de justifier ce mariage par le fait d’être à cours de moyens financiers pour s’occuper de son enfant. Raison pour laquelle, il l’a promise en mariage à cet homme.

Après maintes tractations avec le père de la jeune fille et le prétendant, les agents sociaux ont pu les convaincre de surseoir à cette union. La promesse a également été faite au père, par les agents, de chercher les voies et moyens pour l’aider à la scolarisation de sa fille, après son examen à l’entrée en 6è », renseigne la Rti.

achetez sur amazon

Amoureux de la tradition africaine, mais pas du mariage forcé !

Manassé AGBOSSAGA

Bénin : Plusieurs cas d’enlèvement des filles pour le mariage forcé à Boukoumbé

C’est un fléau qui prend de l’ampleur à Boukoumbé. Dans cette commune située au Nord Bénin, depuis le mois de décembre, des jeunes filles, surtout en apprentissage sont kidnappées  pour ensuite être données en mariage forcé.

Lors de la tournée d’une équipe du comité départemental de la campagne de lutte contre les grossesses en milieu scolaire et d’apprentissage (ZEGROMISA), Barthélémy N’Tcha, responsable du centre de promotion social de Boukoumbé a confié que plus d’une cinquantaine de cas d’enlèvement de filles, notamment en apprentissage, ont été enregistrés dans la commune, avec une certaine recrudescence dans l’arrondissement de Nata.

N’Tcha N’Po Koubakoua, chef d’arrondissement de Nata confirme la nouvelle.

 « C’est un constat bien réel et la situation me préoccupe véritablement, les actions hardies doivent être  menées », a-t-il  reconnu selon des propos rapportés par l’ABP .

« Selon le responsable CPS de Boukoumbé, lorsque les filles sont enlevées, elles sont d’abord enfermées pendant des jours dans une chambre, ensuite l’on les oblige à se marier, avant de les amener vers le Nigéria », explique l’ABP.

Il urge donc de multiplier les actions pour arrêter la saignée.

Manassé AGBOSSAGA

Bénin : Deux hommes en prison dans une affaire de mariage forcé sur une fille de 15 ans

Au Bénin, la justice a décidé de décourager à jamais les adeptes du mariage force. Preuve, elle vient de choper deux hommes impliqués dans une affaire de mariage sur une fille de 15 ans.

Selon Frissons Radio, un homme (le mari) et son complice ont été arrêtés le jeudi 18 mars dernier dans la commune de Zè. En détention, ils pont poursuivis en flagrant délit par le parquet d’Abomey-Calavi pour des faits de mariage forcé et d’atteinte sexuelle sur une adolescente d 15 ans.

La  jeune fille aurait été enlevée et séquestrée, puis mariée de force à l’homme  contre la volonté de ses parents. Pour masquer son crime, le marié aurait ensuite décidé d’entreprendre des démarches pour la dot avec l’aide de son complice.

Trop tard, puisque les deux hommes séjournent à la prison de Calavi depuis jeudi et pourraient être jugés à la fin de ce mois.

Manassé AGBOSSAGA    

Bénin : Une adolescente de 17 ans donnée en mariage forcé, ses parents arrêtés

Mariage forcé, on en parle encore en plein XXIè siècle. Preuve, une adolescente de 17 ans native de la commune de Sô-Ava a été donnée en mariage forcé à un homme résidant  dans la commune des Aguégués, il y a deux semaines.

Selon le témoignage de la jeune mariée, elle serait victime de maltraitance de la part de son époux.

Les parents de la jeune fille ont été arrêtés ce mardi 23 février 2021 et sont gardés au commissariat de Sô-Ava, confie Frissons Radio.

Ils seront présentés dans les prochains jours au Procureur.

Manassé AGBOSSAGA